Portes ouvertes à l’Aviron sétois

 Ca y est ! L’été s’est enfin installé, le moment idéal pour tester les sports nautiques et pourquoi pas l’aviron ?

Jusqu’au 12 juillet, Le club de l’Aviron Sétois ouvre ses portes à tous les curieux de sensations, sportifs ou non, pour s’essayer à la glisse en bateau.
Un sport complet qui vous fera travailler 75% de vos muscles et votre coordination ! Venez seul, en famille ou entre amis pour découvrir et partager une expérience amusante et sportive, le  temps d’une demi-journée ou plus si affinités !
L’aviron sétois est situé à l’entrée de Sète, (côté Balaruc-les-Bains) , au 54 quai des moulins. Pour en savoir plus, ou s’inscrire, contacter Pauline  au 06.77.70.75.21. 
Plus d’informations sur le site du club : www.avironsetois.fr

Réunion publique du Conseil Municipal

  Réunion publique du Conseil Municipal

Lundi 8 Juillet 2013

à 18h30

Hôtel de Ville

Ordre du jour :

 1°) Décision modificative

2°) Service enfance jeunesse :

  • Tarifs rentrée scolaire de septembre 2013

  • Budget annexe

 3°) Travaux – demande de subventions

 4°) Conseil communautaire : recomposition pour 2014

 5°) Blanchisserie industrielle de Gigean

 6°) Acquisition de parcelles

Projet de salle de cinéma Art et Essai à Frontignan la Peyrade

 

Priscilla Schneider peut être satisfaite. Le travail de fond qu’elle a mené pour développer l’audience et la notoriété des salles de cinéma de Frontignan et de Balaruc est en train de trouver une éclatante reconnaissance.
Le projet, qu’elle défend avec Jacques Font, son directeur de Ciné Movida, l’exploitant du Cinémistral et du Cinécure, pour créer un nouveau complexe cinéma sur Frontignan vient de recevoir le feu vert de la Commission départementale d’aménagement Commercial (CDAC) qui s’est réunie vendredi 28 juin.
Ce projet prévoit un ensemble de six salles avec près de 1000 de places, dans les anciens chais Botta, sur le quai Voltaire. Pierre Bouldoire, le maire de Frontignan, qui depuis longtemps soutien le développement du Cinémistral était bien sûr présent à cette réunion importante. Mais ce qui est remarquable et encourageant c’est que l’avais favorable a été émis à l’unanimité des personnes présentes : outre Pierre Bouldoire, Jean-Pierre Deneu, maire de Vic-la-Gardiole qui représentait Thau agglo, Max Levita, adjoint à la culture de la ville de Montpellier, Michel Guibal, conseiller général, Alain Auclaire expert du Centre national du cinéma et de l’image animée et Jacquie Bessières, représentant des consommateurs. Emile Anfosso, au nom du Syndicat mixte du bassin de Thau avait également émis un avis favorable.

Souhaitons à présent que ce beau projet se concrétise maintenant sans polémiques ou rivalités stériles entre les communes du Bassin de Thau qui ont déjà bien à faire pour préserver leurs cinémas de cœur de ville comme ils existent aujourd’hui.  Il faut aider d’abord ce qui bouge et sur ce plan Frontignan est un bon choix car elle dispose d’une équipe motivée et compétente autour de Priscilla: 

«  La programmation et la politique évènementiel seront proches du travail développé depuis 11 ans au sein du CinéMistral par notre équipe en partenariat avec la Ville dans le cadre d’une délégation de service public. Le nombre de salles, la capacité d’accueil du public et ainsi que les commodités annexes du lieu (salle expo, salle d’atelier, lectures…) permettront de donner une ampleur nouvelle à notre projet tout en gardant la convivialité et l’esprit aujourd’hui caractéristique et mythique du CinéMistral de l’avenue Frédéric Mistral. Nous l’avons rêvé, faisons-le !!! »

L’équipe du CinéMistral : Aïcha Alaoui, Angèle Rodriguez, Frédéric Rayne et Priscilla Schneider

Delphes – « Raconte moi »

Dans un univers haut en couleurs, Delphes donne à l’autre les prémisses d’une histoire et s’amuse à le dérouter par une image légèrement décalée.
Comme dans un rêve, utiliser l’inconscient, ouvrir à l’imaginaire, avec une pointe de gaieté, un soupçon d’humour.
Le mode opératoire réside dans une dialectique du visible et de l’invisible, de l’exhibition et de la pudeur, du dire et du penser.
Reste à chacun d’inventer sa propre histoire.

Chai du château de Girard – Mèze

Exposition jusqu’au 11 août 2013
Jeudi, samedi et dimanche de 10h à 12h30
Mardi, mercredi et vendredi de 15h à 19h
(fermée le lundi)

Course populaire d’Eau libre à Sète

 

Le Comité d’Organisation eau libre 2013, profite de l’organisation à Sète de la coupe Comen pour inviter toutes et tous, licenciés FFN ou pas, à venir vous essayer à l’eau libre samedi 13 juillet à 9h.
De nombreux lots sont en jeu, dont deux chèques de 300 € au club FFN et à la structure associative (club autre que FFN, entreprise…) présentant le plus grand nombre de participants classés.  Plongez en famillle, entre amis pour ce défi de l’été !

Programme et modalités :

  • 7h45 : Rassemblement des nageurs et inscriptions sur place : quai Léopold Suquet (cadre royal)
  • 9h00 : Départ de la course du cadre royal en direction de la chambre de commerce de Sète, et retour dans le sens inverse vers le lieu de départ.

Prix de l’engagement : 8€ pour les licenciés FFN – 10€ pour les autres
Remise des prix sur place à partir de 11h30.
De plus amples informations sur le site : www.dauphinsdesete.org

La CCNBT inaugure une nouvelle génération de stations

  La Station d’épuration des eaux usées de Mèze‐Loupian sera inaugurée vendredi 5 juillet à 10h30, à l’Ecosite de Mèze. L’occasion de venir visiter cette station en avance sur les procédés d’épuration actuels

Cette station accueille aujourd’hui les eaux usées des habitants de Mèze et Loupian, soit presque 13.000 personnes. Pour faire face aux pics de fréquentation saisonnière et à l’augmentation démographique de ces communes, la capacité de la station a du être augmentée.

De plus, la sensibilité de l’étang de Thau imposait un meilleur traitement de l’azote et du phosphore présents dans les eaux usées. La CCNBT a donc investi dans une solution « sur mesure » comprenant la création d’une station supplémentaire en amont du lagunage et une transformation avant‐gardiste du lagunage existant.

Principaux atouts du site, les 14 hectares de bassins ont permis de mettre en œuvre des solutions innovantes qui, par leur coût et leur demande foncière, n’auraient pas pu voir le jour.

‐ Les aléas météorologiques sont contrôlés. Les eaux de pluie, qui ne sont pas traitées dans les stations classiques, sont ici stockées dans d’anciennes lagunes qui font office de bassins d’orage. Ainsi, toute eau excédentaire qui entre aujourd’hui dans la station est dépolluée avant d’être rejetée dans le milieu récepteur.
‐ Le traitement est plus long donc plus efficace. Une fois épurée, l’eau séjourne dans des bassins de finition où l’exposition aux UV parfait son traitement.
‐ Les boues sont pré‐traitées sur place. Grâce à leurs rhizomes, les roseaux plantés dans d’anciennes lagunes permettent aux boues de sécher plus rapidement. Ce système permet un curage moins fréquent et d’importantes économies financières et énergétiques.

Une performance supérieure aux attentes

Maîtrisé à distance par un système de télésurveillance, ce procédé permet à la station d’obtenir de très bons résultats épuratoires.
Les concentrations en azote et en phosphore en sortie de station sont bien moindres que celles obtenues par la technique de lagunage : plus de 13 fois moins d’azote et plus de 4 fois moins de phosphore. Les concentrations moyennes annuelles sont largement inférieures aux niveaux de rejet exigés par les autorités préfectorales. Les résultats des études du Réseau de Suivi lagunaire Languedoc-Roussillon sur la période 2011-2012 ont confirmé l’effet bénéfique du traitement de ces polluants sur la biodiversité observée dans la conque de Mèze.

Une nouvelle génération de stations

Particulièrement volontariste dans le domaine de l’assainissement, la CCNBT a investi 8 millions d’euros dans ses stations (Villeveyrac, Montbazin, Poussan‐Bouzigues), pour les équiper de ces mêmes fonctionnalités. Elles font aujourd’hui office de modèle dans le secteur de l’épuration des eaux usées et préfigurent les standards que devront respecter les stations dans l’avenir.

Vendredi 5 juillet 2013 à 10 h 30, au parc environnemental et scientifique Ecosite, route des salins à Mèze.

Ouvert au grand public. Visites guidées organisées par l’équipe technique. Contact : 04 67 78 55 96.

Les ALSH recevaient leurs homologues

Aux Baux, la semaine dernière, les ALSH, maternelle et élémentaire, ont reçu leurs homologues de l’école Véronique Hébert durant le temps méridien. C’était une façon de les remercier pour leur invitation de la semaine précédente.

Avant de partager un bon pique-nique dans la cour de la maternelle, plusieurs groupes ont présenté à tous les élèves un petit spectacle haut en couleurs.

Un beau moment de convivialité avant de se séparer durant les congés.

Fin de saison festive au TC Poussan

       Samedi dernier a eu lieu la traditionnelle journée de fin d’année  du club de tennis poussannais.

Toute l’après-midi s’est déroulé le tournoi de doubles à la mêlée, pour les adultes du club.
Mélangeant les messieurs et les dames; les plus forts aux moins forts.
Pour la petite histoire, il y a eu 2 finales : une remporté par le double messieurs, J F Martinez associé à M Codron et l’autre par l’équipe mixte, P Castanier/J Guazzagalopa.
En fin d’après-midi, le club a fêté le titre de vainqueur de la coupe de l’Hérault 2éme division, obtenu par l’équipe 2 des garçons 13/14 ans du club. Les récompenses de la part du club ont été suivi d’un apéritif.
Pour terminer la journée, le repas du soir était pris en commun par environ 45 membres du club.
L’année du TC Poussan n’est pas encore terminée, car le samedi 6 juillet, à 17 h, aura lieu le traditionnel match de foot. Les Jeunes du club défieront les Moins jeunes balle au pied.

Ce mercredi, sur Fr3, « Des racines et des ailes » spécial bassin de Thau

    http://www.france3.fr/emissions/des-racines-et-des-ailes

Cette semaine, Des Racines et des Ailes part dans le Languedoc-Roussillon. Cette région, à l’histoire et aux paysages très riches, plusieurs femmes vont nous la  faire découvrir…

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Avec ses 300 000 hectares, le Languedoc-Roussillon est le plus grand vignoble de France. Après plusieurs années passées à Londres, Eléonore d’Allaines s’apprête à reprendre le domaine familial de l’abbaye de Valmagne qui depuis 800 ans produit du vin. Ce joyau de l’architecture médiévale, est surnommé la « cathédrale des vignes » ! Durant plusieurs mois, le père d’Eléonore va l’initier à la gestion et à la préservation de ce domaine chargé d’histoire, l’un des plus beaux monuments cisterciens de France !

Autre trésor du Languedoc-Roussillon : l’étang de Thau. Claudia Azais-Négri est l’unique femme patron-pêcheur du bassin. Elle traque la daurade royale. Elle est aussi une « sentinelle » de l’étang : Claudia est ainsi au premier rang pour mesurer l’impact de la présence humaine sur cet écosystème fragile.

La lagune est l’un des rares sites en Europe où vivent de nouveau de grandes colonies d’hippocampes : ce poisson fascinant (c’est le mâle qui porte les œufs) a été menacé de disparition. Avec l’association Hippo-Thau, Patrick Louisy, un océanologue de renom, les étudie et sensibilise les riverains de l’étang.

Toujours sur la lagune, Annie Castaldo défend et promeut l’environnement de cette petite mer intérieure. Ostréicultrice, elle est l’une des rares femmes à y élever des huîtres. Elle aussi consacre sa vie à la sauvegarde de l’étang de Thau !

Nous poursuivons notre voyage sur le Canal du Midi, inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Entre Toulouse et la Méditerranée, il est un paradis pour les plaisanciers. Pourtant, depuis quelques années, un mal incurable ronge les platanes centenaires le long de ses berges. Attaqués par un redoutable champignon, les arbres meurent. Pour éviter la contagion, des campagnes d’abattages se succèdent. Émilie Collet, en charge de l’environnement pour les Voies Navigables de France, est devenue une spécialiste de la lutte contre ce fléau. Son espoir repose aujourd’hui sur une nouvelle variété de platanes, plus résistante.

Nathalie Komaroff élève des chevaux de Mérens depuis plus de vingt ans. Une race emblématique de la région, déjà présente il y a 15 000 ans, mais qui a bien failli disparaître dans les années 70. Chaque année, ses chevaux semi-sauvages se lancent dans une longue transhumance au cœur des Pyrénées-Orientales : des bords de mer jusqu’aux pâturages des hautes vallées de Cerdagne, le troupeau et ses gardiens traversent un patrimoine naturel exceptionnel…

Réalisé par Philippe Poiret

Une coproduction : CAPA et France 3