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Du vendredi 26 au dimanche 28 juillet, place de la Mairie, c’est la fête locale de Poussan.
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La 27ème édition de Fiesta Sète, du 20 juillet au 4 août, s’annonce comme son habitude riche en découvertes et surprises avec un festival qui sait associer des artistes de renommée internationale et de nombreuses découvertes, toujours axées autour de la richesse et de la diversité des musiques vivantes.
« Musiques vivantes plutôt que musiques du monde tout simplement parce que celles que nous chérissons parlent au présent de notre monde d’aujourd’hui. Nos choix restent ainsi guidés, pour l’essentiel, par une certaine idée de la modernité, du métissage et du mouvement. Rien ne nous enthousiasme autant que les propositions musicales aux saveurs inédites, les mixtures les plus audacieusement relevées, à condition que qualité et plaisir soient au rendez-vous ! »
Il faut savoir qu’en 1997, étourdi par une petite brise de mer, José Bel, Monsieur Open Music, disquaire mythique à Sète (de 1975 à 2002), passionné de musique et militant culturel au sein des maisons de jeunes et ciné-club décide de prolonger son amour pour la musique en créant un festival. Accompagné de quelques locos locaux tout aussi passionnés ils ont décrété que la Corniche sétoise valait bien le Malecon havanais, et que le temps était idéal pour mettre à flots le festival Fiesta Latina. La voile latine les a ensuite poussés vers d’autres rivages, de l’océan Indien à l’Afrique en passant par les Balkans : tout un monde de musiques que le festival, judicieusement rebaptisé Fiest’A Sète, n’a de cesse d’explorer depuis pour vous en faire partager les richesses.
27 ans plus tard, le festival, partage avec une passion indemne sa fringale de découvertes, toujours animé par la certitude que la musique, d’où qu’elle vienne, est un langage universel, une source inépuisable d’émotions et un puissant vecteur de fraternité et de dialogue interculturel.
Écouter la différence, célébrer la richesse de notre éblouissante diversité culturelle, fêter le genre humain dans tout ce qui l’unit et le rassemble. En 2024, Fiest’A Sète reste bien évidemment fidèle au credo qui depuis des années anime son équipe, son public et ses artistes invités.
La 27e édition se déroule du 20 juillet au 4 août et débutera comme à l’accoutumée par une première semaine de concerts gratuits avant embarquement, pour la seconde, à bord du vaisseau de pierre du Théâtre de la Mer.
Métissages tous azimuts, légendes et jeunes pousses, croyance contre vents et marées en un futur remuant, aux couleurs vives, à l’image du visuel conçu par Virginie Morgand ; voilà ce qui constitue pour l’essentiel nos filets de « pêche aux émotions » et notre raison d’être.
Du Togo à la Louisiane, du Japon aux Caraïbes, nous nous déboussolerons ensemble avec une joie, un désir de partage et une exigence artistique inaltérables.
À l’instar de la danse, sa sœur siamoise, la musique est une affaire de rites, et les rites ont été inventés par l’humanité à son aube pour se reconnaître en tant que telle, s’accepter, se forger un destin collectif, véhiculer des épopées, des histoires, des mémoires, des valeurs, et s’abreuver à des sources sacrées ou profanes, savantes ou festives.
Parce que cette richesse est infinie, Fiest’A Sète a toujours ignoré les formatages dictés par l’industrie du divertissement, privilégiant les croisements esthétiques audacieux et les formes porteuses de sens.
À force d’exigence, de passion, d’authenticité et de prise de risques, le festival a gagné une place de choix parmi la vingtaine de rendez-vous européens qui comptent dans le registre de ce que nous aimons qualifier de « musiques vivantes » : châabi, ma’louf, raï, éthio-groove, vodoun, funaná, batuque, danzón, mambo, maloya, cante jondo, reggaeton, fado, musique carnatique, hindoustani, kawwali, afrobeat, gwoka, rebétiko, sembe, cumbia, transe gnawa, rumba congolaise, blues songhaï, forró, bossa, funk créole, musiques rom et klezmer, pour n’évoquer que quelques formes plus ou moins patrimoniales dont on sait l’aptitude globale au métissage tous azimuts. Vidéo d’introduction : https://youtu.be/VQibUowRsuI
Oui, musiques vivantes plutôt que « musiques du monde », tout simplement parce que celles que nous chérissons parlent au présent de notre monde d’aujourd’hui. Plus profondes sont les racines, plus belles et élancées sont les branches. Nos choix restent ainsi guidés, pour l’essentiel, par une certaine idée de la modernité, du métissage et du mouvement. Rien ne nous enthousiasme autant que les propositions musicales aux saveurs inédites, les mixtures les plus audacieusement relevées, à condition que qualité et plaisir soient au rendez-vous !Les objectifs et les désirs de Métisète et de son équipe de bénévoles n’ont guère changé depuis 1997 : faire vivre une grande manifestation culturelle globale, qui mette en avant la diversité et la richesse des cultures et musiques du monde.
Il y a vingt-sept ans, la musique n’était évidemment ni dématérialisée, ni « streamée », pas encore convenablement rangée en playlists, en plateformes, en algorithmes détecteurs d’affinités. Et si pour les musiciens comme pour les mélomanes, les nouvelles technologies constituent un progrès inestimable en termes d’accès, de découverte, d’exploration de mondes musicaux inconnus, rien ne saurait remplacer l’ivresse que procure l’étourdissante brise de mer mélangée aux notes de balafon, le parfum du large imprégnant les harmonies tziganes, la douceur d’un soir d’été sublimée par une langue inconnue, l’émotion de la rencontre, l’intense vibration de la fête partagée, l’éclat de la musique vivante.
Fiest’A Sète débute par quelques jours de réjouissances musicales gratuites dans d’autres lieux que le Théâtre de la Mer : la Plage de la Ola à Sète, le Dancing de Sète, la ville de Poussan et même le Patio de la médiathèque François Mitterrand. Ces soirées régies par une volonté d’éclectisme, avec des artistes venus d’horizons différents, expriment on ne peut mieux notre désir de rendre accessible la musique au plus grand nombre.
Le festival ne serait pas ce qu’il est sans son berceau historique : Sète, une ville qui invite au voyage, avec son ambiance portuaire et son tempérament méditerranéen. C’est dans l’un des lieux les plus majestueux et emblématiques de Sète que se tient traditionnellement le temps fort du festival : le bien nommé Théâtre de la Mer. Cet amphithéâtre à ciel ouvert et à flanc de corniche est un ancien fortin côtier qui nous offre la Méditerranée en fond de scène. C’est sur ce belvédère que se succèdent une semaine durant les plus grands artistes internationaux et nouveaux talents, lors de soirées thématiques pleines d’éclat.
Ce cadre exceptionnel qu’est le Théâtre de la Mer a inspiré de nombreuses rencontres exceptionnelles au fil des ans : un grand moment de complicité entre Taj Mahal et Bassekou Kouyaté, Manu Dibango invitant Hugh Masekela, Lili Boniche et Idir, la nuit Ethiopiques avec Mahmoud Ahmed et Alémayèhu Eshèté, Ibeyi et Yael Naim, Omara Portuondo & Diego el Cigala rejoints par Yilian Cañizares, Oumou Sangare par Fatoumata Diawara & Hindi Zahra ou encore Eliades Ochoa et Roberto Fonseca… et bien d’autres à venir !
Dès la première édition du festival, de grands artistes parmi lesquels Richard Di Rosa, Hervé Di Rosa, Robert Combas ou Pierre François nous ont fait confiance et ont réalisé les affiches de Fiest’A Sète. Depuis 27 ans tous les ans une affiche originale créée par un artiste est proposée.
Retrouvez toutes les affiches et artistes des éditions précédentes en cliquant ici
En plus de la musique, Fiest’A Sète c’est aussi une programmation culturelle plurielle en lien avec les concerts : des tchatches musicales, des séances de cinéma, des expositions dans différents lieux de la ville, des ateliers enfants et adolescents…
A partir de 20 h 30, ce samedi soir, sur le parking de l’Hôtel de Ville de Poussan, les choses se sont donc accélérées : Bien que le public se soit fait longtemps attendre en tout début de soirée, vu la chaleur ambiante, José Bel qui s’occupe de l’association Métisète l’invitait à se rapprocher de la scène pour présenter Fiest’A Sète 2024, ou Fiest’A Poussan et pour l’inviter à voyager avec les 2 formations qui allaient animer la soirée :
» C’est la 23ème fois que nous sommes reçus à Poussan et que nous pouvons y organiser une soirée de Fiest’A Sète, Poussan une ville toujours fidèle, avec encore 2 menus, toujours en partenariat avec la Mairie et le comité des Fêtes du Carré d’As. C’est toujours un plaisir et cette année nous allons commencer par « WATERLiNE »
Vidéos :
On sait depuis longtemps que l’afrobeat peut s’épanouir ailleurs qu’à Lagos et que la bossa de Tokyo vaut bien celle d’Ipanema.
Waterline est ainsi un quartet occitan dont le cœur bat au rythme de l’Irlande. Et il battait assez fort, régulièrement et loyalement ce samedi soir à Poussan pour qu’on ne puisse pas un instant mettre en doute l’authenticité de l’âme celtique qui habite les musiciens. Le meilleur compliment qu’on puisse leur faire c’est qu’on a l’impression d’entendre un seul instrument ! ». Voilà qui en dit long sur la cohésion et la fougue déployée par Waterline durant près d’une heure trente…
Aucun problème pour les spectateurs qui se laissaient entraîner sans retenue dans ces rythmes bien particuliers et des mélodies surprenantes dans un subtil mélange.
Sétois, vacanciers, Poussannais, connaisseurs ou néophytes, profitaient de cette opportunité pour passer un bon début de soirée. Le public s’était fait un peu plus nombreux tandis que déjà la pause technique était à l’ordre du jour.
Les spectateurs appréciaient cette douce nuit qui s’annonçait musicale. A l’heure de la Pause, direction les rafraîchissements et les points snacks proposés soit par le Carré d’As soit par des foodtruck(s) car même si cela fait longtemps que Poussan s’associe à Fiesta Sète pour l’organisation d’une soirée, le Carré d’As, de la buvette à l’accueil des groupes, aidé par la Mairie fait son maximum.
Après un premier concert, José Bel revenait sur Fiest’A Sète et sur les formidables soirées de cet été en précisant qu’il fallait faire vivre avec Fiest’à Sète et adhérer au projet pour que cela perdure.
Se profilait alors un autre voyage avec SOA.
Vidéos :
Un voyage avec un rock cuivré latino revendiqué par Soa, Pas d’esbroufe, pas de pose, pas d’embrouille chez ce joyeux septet d’ambianceurs qui ont placé l’esprit de la fiesta au cœur de leur démarche artistique. Ça a déménagé fort jusqu’à minuit. Avec eux, On pense bien sûr à la Mano Negra pour cette propension à restituer l’ambiance festive des barrios de Barcelone, Tijuana ou Bogota. Cumbia, reggae, échos mariachis, riffs fédérateurs.
Aucune option n’a été négligée pour faire advenir une célébration fraternelle et remuante, pleine de chaleur, de couleurs et de sourires partagée par des spectateurs bien motivés, en osmose avec le groupe.
L’on y était, l’on se laissait porter par ces belles sonorités. « Un univers musical qui se passait là, à Poussan, ce 20 juillet » !
Deux concerts très différents, par deux groupes qui s’appréciaient mais qui se découvraient. Il y avait de la qualité, et surtout la joie et du plaisir avec l’envie de partager outre leur conception de la musique, l’opportunité de se faire connaître.
Objectif atteint car une des volontés premières de ce festival est de est de s’affirmer en tant qu’entité culturelle, loin des tendances et des modes. L’on a pu le vérifier encore. Et n’hésitez pas à poursuivre car le festival s’attache cette année à mettre encore en lumière la diversité du patrimoine musical mondial, et à partager sans la moindre modération ces immenses richesses, fidèle à ses objectifs.
Pour en savoir plus : www.fiestasete.com/
Ce 13 juillet 2024, la ville de Poussan vous conviait à une fin de journée toujours appréciée par ses habitants, les touristes et les visiteurs aussi, des plus âgés aux plus petits…
Une soirée bien complète avec en point d’orgue le feu d’artifice de la Fête Nationale à partir de 23h, derrière le quartier de Belbézet, rue du collège, pour un spectacle pyrotechnique tiré du bassin de rétention municipal ( du Cous) et précédé par une retraite aux flambeaux.
Mais cette année sur la place de la Mairie du village dès 17 h les festivités avaient débuté avec des jeux gonflables et des animations pour enfants et adultes, dont un atelier « maquillages » et durant deux heures des échanges bien sympathiques de sumo, pour enfants et adolescents.
Sans oublier le bal concert proposé en définitive dès 18 h 30-19h avec les groupes « Color of Sound » et « Léna Garcia » jusqu’à 21 h. Les commerçants de l’association vous attendaient nombreux pour faire la fête avec eux et ils ne se sont pas trompés puisque selon leurs goûts et leurs disponibilités, Poussanais et vacanciers furent nombreux à prendre l’apéritif sur le parking de la Mairie, puis à partager des repas composés tout en profitant de la musique, de cette belle soirée festive qui ne faisait que commencer.
Une très belle ambiance, des rencontres et des échanges, des rires et du plaisir, c’était le principal..
Les participants étaient heureux de se retrouver sur la place de l’Hôtel de Ville et sur le parking de la Mairie, mais dès 21 h ils furent beaucoup plus nombreux, pour poursuivre par la Fête Nationale, tout en profitant de l’intermède pour discuter un peu de leurs vacances et certains de la météo, de la chaleur… des projets…
Les vidéos de la déambulation :
https://youtu.be/bmpK9n3gIRM?t=6
La chaleur s’estompait, La soirée s’annonçait des plus belle , et un ciel bien conciliant
Après la distribution des lampions par les élus, avec un nombre déjà très impressionnant de familles, de Poussannais, il s’est formé un défilé qui a pris en musique, au son de marches militaires, la direction du centre-ancien de Poussan, en descendant vers le centre-ville par la rue de la Salle, en passant par les ruelles, en remontant sur la Place de l’église pour redescendre par le Boulevard René Tulet, en saluant les Halles, puis en remontant jusqu’à l’Hôtel de Ville, avant de poursuivre jusqu’à la rue du Collège, tout en déambulant sur l’avenue Charles de Gaulle.
Les participants s’étaient faits bien plus nombreux (environ 1500) et ils retrouvèrent ceux qui s’étaient rendus directement sur le site pour former une foule de l’ordre de 1600 personnes. Vraiment impressionnant.
De bien nombreux lampions Ils illuminaient le très long défilé alors que le crépuscule était passé. La pression montait.
A 22 h 54 environ, c’était parti et le ciel allait s’enflammer.
Un bien beau spectacle pyrotechnique de plus de 12 minutes allait emporter le public qui aurait voulu qu’il se poursuive longtemps et qui a bien apprécié sa variété avec ses étoiles, et toujours quelques palmiers.
Un fond d’écran infini dans lequel le feu d’artifice s’intégrait à merveille.
Mais il fallait s’y résoudre, toutes les bonnes choses ont une fin. Et c’était bien fini
.Si certains spectateurs rentraient chez eux, d’autres poursuivaient la fête. Car il faisait bon en profiter et se retrouver sur le parking de la Mairie, toujours en musique pour discuter entre amis et savourer cette belle nuit d’été.
L’association des Comerçants de Poussan était toujours disponible, les foodtruck(s) ouverts, tout allait pour le mieux. Et l’on était heureux de partager en famille ou entre amis des moments de bonheur.
Un grand merci à tous ceux qui ont permis la réalisation de cette Fête, des Elus aux Services Techniques municipaux, de l’Association des Commerçants de Poussan (https://www.facebook.com/share/v/pBaXhE753iwsptey/) aux musiciens, des services de sécurité à la Police municipale.
Cerise sur le gâteau, dans les magnifiques halles de Poussan, rénovées et restaurées, (l’inauguration ne saurait tarder) une introduction musicale permettait aux retardataires d’être à l’heure. Sous la baguette de Samuel Zaroukian la chorale de Cournonsec ( Le Choeur Riez) associée à l’ensemble vocal de Fabrègues (Eole) allait nous interpréter avec entrain plusieurs chansons comme « Papa ou t’es? » ou encore « Voyage-Voyage ».
Retour sur les Halles qui resplendissaient avec un descendant de son bâtisseur qui se félicitait que celles-ci aient été rénovées. Madame Sanchez, Maire de Poussan était appelée pour donner des explications sur l’historique de celles-ci qui ont maintenant plus d’un siècle.
Mais alors que Florence Sanchez terminait, un groupe de personnes masquées, en chemise de nuit et coiffées de bonnet de nuit ont couvert la tête de Madame le Maire avec un sac et l’ont enlevée vers on ne sait où !
La foule était en émoi, mais il était déjà trop tard pour les poursuivre.
Heureusement quatre inspecteurs de police faisaient partie du public et non des moindre : le Capitaine Marleau, Hercule Poirot, Miss Marple et Colombo. Avec eux, en principe, l’on allait retrouver Madame le Maire.
A travers cette déambulation semi-nocturne, les inspecteurs invitaient chaque fois les spectateurs à repartir sur les traces d’un Poussan qui d’un siècle à l’autre depuis plus de 1000 ans a connu bien des péripéties, des périodes troubles et d’autres d’expansion, tout en restant concentrés sur l’enquête.
Et la troupe du Strapontin aidée par des volontaires passionnés avait même amélioré le circuit en l’adaptant en fonction de ses analyses de ses expériences… Mais cette année, l’histoire en elle-même laissait souvent place aux mystères qui subsistent encore autour de l’histoire de Poussan
Vous comprendrez encore que la déambulation ne vous sera présentée qu’en fin d’été.
Toutefois des vidéos vous donneront un avant-goût de de la visite…
https://youtu.be/ZXA61Bs7Alk?t=64
Entre les Halles et les portes des remparts de Poussan, entre les places du vieux village et ses châteaux, entre les ruelles et son église et au-delà, entre la salle « Vinas » et la chapelle des Pénitents, les histoires imaginées et les saynètes décalées ont trouvé leur place, ce qui recentraient l’auditoire sur la réalité des faits, nécessaire, pour une telle visite, sans les éloigner de son objectif, retrouver Madame le Maire.
Chacun a pu en faire son interprétation après une visite où l’humour et les mystères ont côtoyé la grande Histoire de Poussan. L’on n’avait pas de mal à dissocier les deux pour remonter le temps, mémoriser les légendes, mais aussi découvrir ou redécouvrir notre patrimoine…..
Toujours est-il qu’entre Dracula en l’église de Poussan et Don Camillo accompagné de Peppone non loin de là, point d’indices pour récupérer Florence Sanchez
L’on n’y croyait presque plus, quand……
Les vidéos :
https://youtu.be/Jq5RApqFPDk?t=11
https://youtu.be/iXzBvMtMODg?t=6
https://youtu.be/o8D2Wiiu4gY?t=98
Plus de de 2000 personnes en instantané, et plus de 3000 comptabilisées (certainement) lors de leurs passages, avec une belle jeunesse heureuse de s’amuser sur le parking dans la liesse populaire.
Police Municipale, Gendarmerie Nationale et service de sécurité étaient en alerte.
Cette soirée estivale organisée par la Mairie de Poussan qui assurait même le maquillage a été un formidable succès.
Après un début de soirée autour des foodtruck (s) et de la buvette tenue par les membres du JAP (Judo Athlétic Club), tous se sont laissés entraînés par les rythmes endiablés et électriques du DJ qui a assuré durant près de 3 h sachant faire remonter la pression quand certains commençaient à fatiguer. Goodies fluo, chapeau, cadeaux, tap tap led, canon à confettis… Tout était prévu, même des adaptations d’Indochine, de musiques entraînantes, on a su danser et se laisser aller sans oublier de chanter la Marseillaise au moment opportun.
Car un téléviseur grand écran permettait aux passionnés de football de suivre à leur gré, la soirée musicale ou le match de foot, ou encore les deux. Et à l’heure des tirs au but, la pression était à son comble.
La victoire des Bleus a permis aux fan(s) de se libérer et la soirée Night Kolorz est repartie de plus belle.
Madame le Maire a même pu s’essayer aux platines auprès de DJ Cassou, plus en forme que jamais. Une foule qui remuait, qui s’excitait.
Ça dégageait mais ce fut toujours dans le plaisir car le public était en osmose avec DJ Cassou qui a « mis le feu » pour ouvrir une saison estivale qui se voudra festive… L’on n’en doute pas. Et rendez-vous est pris pour début juillet 2025, à Poussan.