JeVeuxAider.gouv.fr : plusieurs milliers d’actions solidaires cet été

Crédits : JeVeuxAider.gouv.fr

Le site de bénévolat solidaire JeVeuxAider.gouv.fr lance « La tournée d’été ». Un mois de campagne de mobilisation nationale pour mettre en avant des missions de bénévolat liées à la culture, aux sports et aux loisirs. Découvrez le programme de cet événement avec Service-Public.fr.

JeVeuxAider.gouv.fr est une plateforme publique de bénévolat créée en 2020. Elle met en relation celles et ceux qui veulent agir pour l’intérêt général avec les associations, les établissements publics et les communes qui ont besoin de bénévoles. Elle représente à ce jour une communauté de 460 000 bénévoles.

Le site lance une campagne de mobilisation et de sensibilisation avec son opération «  La tournée d’été  » qui met le cap sur les solidarités d’été. Durant tout le mois de juin, des missions de bénévolat dédiées aux sports, à la culture et aux divertissements sont encouragées et mises en avant.

Trois webinaires

Trois webinaires d’une heure sont organisés dans les domaines du sport, de la culture et des loisirs pour donner la parole aux associations et à leurs bénévoles et transmettre des retours d’expériences :

  • « Le sport au service de la solidarité » : le 14 juin à 18h30 avec l’association Oxfam ;
  • « Le défi des arts et de la culture pour tous » : le 20 juin à 18h30 avec l’association Art Explora ;
  • « Faire vivre le droit aux vacances pour tous » : le 27 juin à 18h30 avec l’association APF Evasion France Handicap.

Inscrivez-vous aux webinaires.

Près de 3 000 missions proposées cet été

Pour 1 heure ou 2 heures, une ou plusieurs fois par mois, vous pouvez trouver cet été une mission qui correspond à vos envies et à vos disponibilités dans les domaines mis en avant et autour d’une variété de projets d’activités.

Art et culture :

  • médiation culturelle ;
  • soutien à la réalisation d’un festival de musique ;
  • visite patrimoniale pour des jeunes en échanges internationaux ;
  • animation d’arts plastiques pour les enfants défavorisés…

Sports :

  • organisation d’un trail solidaire ;
  • animation de séances sportives pour adolescents ;
  • encadrement d’une course de caisse à savon ;
  • participation à une activité joëlette pour personne à mobilité réduite…

Loisirs :

  • animation d’activités en extérieur ;
  • permanence en ludothèque ;
  • création d’événements de jeux de société intergénérationnels ;
  • participer à des moments conviviaux dans les centres médicaux ;
  • organiser des vacances à destination des personnes fragiles…

Trouvez une mission pour cet été pour cet été parmi près de 3 000 offres.

Un festival

JeVeuxAider.gouv.fr sera présent au VyV festival à Dijon les 9, 10 et 11 juin aux côtés de 30 autres initiatives solidaires portées par des intervenants issus du monde associatif, mutualiste, de l’entreprise, de l’enseignement, des collectivités, ou encore des médias.

Sur le stand baptisé « Le Refuge de l’Engagement » seront proposées de nombreuses activités pour répondre aux questions des festivaliers : Que signifie l’engagement de nos jours ? Comment trouver du temps pour s’engager ? Vers qui s’orienter pour s’engager ? Etc.

Levée des restrictions de récolte, commercialisation & consommation des moules et palourdes de l’étang de Thau Hérault

 
Les moules et les palourdes issus de l’étang de Thau peuvent désormais être consommés sans restriction
Direction départementale de la protection des populations
Arrêté préfectoral n°DDPP34-23-XIX-105 portant levée de l’interdiction temporaire
de la pêche, du ramassage, du transport, de la purification, de l’expédition, du
stockage, de la distribution, de la commercialisation et de la mise à la
consommation humaine des coquillages du groupe 2 (palourdes,…) de la zone
34.38.02 – Conque de Mèze.
Arrêté préfectoral n°DDPP34-23-XIX-106 portant levée de l’interdiction temporaire
de la pêche, du ramassage, du transport, de la purification, de l’expédition, du
stockage, de la distribution, de la commercialisation et de la mise à la
consommation humaine des moules et groupe 2 (palourdes,…) de l’étang de Thau
(zones 34.38, 34.39, 34.40) suite à une contamination par des toxines lipophiles
(Dinophysis)

La Ville de Poussan recrute un responsable adjoint(e) Espaces Jeunes / ALC

Merci d’adresser votre CV et une lettre de motivation (de préférence dactylographiée), avant le 22 juin 2023 au plus tard, à l’attention de Madame le Maire de Poussan, en les envoyant par courriel à recrutement@poussan.fr et en précisant la référence : « CANDIDATURE RESPONSABLE ADJOINT EJ/ALC » dans le titre de votre courriel.aaaababalcCapture d’écran 2023-05-25 152519 aaaababalcCapture d’écran 2023-05-25 152603

Sète agglopôle méditerranée recherche un(e) Responsable Smart City et Développement numérique

Sète agglopôle méditerranée recherche un(e) Responsable Smart City et Développement numérique https://vu.fr/HhhsaaaababasmartCapture d’écran 2023-05-31 171226
Ce poste vous intéresse ? Merci de déposer en ligne votre candidature, comportant lettre de motivation, CV et diplômes, avant le 30 juin sous la référence « Poste responsable smart city» sur https://www.agglopole.fr/formulaire-recrutement-sete…/

 

Retard dans votre déclaration de revenus 2023 : quelle pénalité encourez-vous ?

Euro, Sembler, Argent, La Finance



Savez-vous que vous vous exposez à une majoration de votre impôt si vous transmettez votre déclaration de revenus en retard ? Pensez à vérifier la date limite en fonction de votre département. Service-Public.fr vous informe sur les pénalités.

Vous êtes en retard pour déclarer vos revenus

La déclaration de revenus doit se faire selon le calendrier de l’année en cours. Si vous effectuez votre déclaration en dehors des délais indiqués, vous risquez une majoration de votre impôt, définie de la manière suivante :

  • 10 % si vous faites les démarches avant la mise en demeure ;
  • 20 % lorsque la déclaration a été déposée dans les 30 jours qui suivent la réception de la mise en demeure ;
  • 40 % lorsque la déclaration n’a pas été déposée dans les 30 jours qui suivent la réception de la mise en demeure ;
  • 80 % si l’administraion fiscale découvre que vous exercez une activité occulte (travail non déclaré ou activité illicite) ; vous ne recevez dans ce cas pas de mise en demeure préalable.

  À noter : vous rencontrez des difficultés financières pour régler votre impôt ? Signalez-le à l’administration fiscale qui peut vous accorder un délai supplémentaire pour payer en fonction de votre situation. Une remise partielle ou totale de l’impôt ou des pénalités appliquées peut dans certains cas être accordée. Un motif valable comme une hospitalisation vous exonère de pénalités.

Vous payez vos impôts hors des délais imposés

Sont considérés comme retard de paiement :

  • le défaut de paiement ;
  • le paiement partiel ;
  • le paiement tardif.

Le retard de paiement engendre une pénalité de 10 % de l’impôt dû.

Cette pénalité s’applique si vous n’avez pas payé votre impôt dans les 45 jours qui suivent la date de mise en recouvrement. Elle s’applique également dans les situation suivantes :

  • retard des acomptes qui n’ont pas été réglés le 15 du mois suivant (au cours duquel ils sont devenus exigibles) ;
  • retard dans le paiement des échéances, en cas de prélèvement automatique mensuel. Dans ce cas, au deuxième retard, vous perdez également la possibilité d’opter pour le prélèvement mensuel.

Qu’est-ce que les intérêts de retard ?

À ces sanctions s’ajoutent des intérêts de retard. Ils s’élèvent à 0,20 % de l’impôt dû par mois (2,4 % de l’impôt dû si vous n’avez rien déclaré au bout d’un an).

  Attention : si vous êtes concerné par une déclaration papier, vous devez l’envoyer au plus tard le 22 mai à 23h59, quel que soit votre lieu d’habitation (y compris pour les Français qui résident à l’étranger). Le cachet de La Poste fait foi.

Vous déclarez vos revenus en ligne ? Il vous suffit de vous rendre dans votre espace « Particulier » sur impots.gouv.fr et de vous laisser guider.

Déclaration des biens immobiliers : vous avez jusqu’au 30 juin !

L'Architecture, Immeubles, Ville

Vous êtes propriétaire d’un bien immobilier ? Savez-vous que vous avez l’obligation, pour la première fois cette année, de déclarer le statut d’occupation de ce bien ? Cette démarche est distincte de la déclaration de revenus et vous avez jusqu’au 30 juin 2023 pour la remplir. Service-Public.fr vous rappelle toutes les informations utiles.

Depuis le 1er janvier 2023, vous êtes soumis à une nouvelle obligation déclarative de vos biens immobiliers à usage d’habitation, inscrite dans la loi de finances pour 2020.

Alors que la taxe d’habitation a été supprimée pour les résidences principales à partir de 2023, la Direction générale des finances publiques (DGFiP) demande à tous les propriétaires d’une résidence principale, secondaire ou d’un logement loué, d’effectuer une déclaration supplémentaire à l’administration fiscale. L’objectif est de déterminer précisément les propriétaires encore redevables de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires ou de la taxe sur les logements vacants.

  Attention : en cas de non-déclaration, d’erreur, d’omission ou de déclaration incomplète, une amende d’un montant forfaitaire de 150 € par bien pourra être appliquée. La déclaration d’occupation et de loyer est une nouvelle obligation prévue par l’article 1418 du Code général des impôts (CGI), entrée en vigueur en 2023.

Les sanctions ne devraient être mises en place qu’à partir du 1er janvier 2024, après des rappels aux propriétaires qui n’auraient pas effectué leur déclaration.

En quoi consiste cette déclaration et comment y procéder ?

Cette obligation déclarative concerne tous les propriétaires, particuliers et entreprises, de biens immobiliers à usage d’habitation, et notamment :

  • les propriétaires indivis ;
  • les usufruitiers ;
  • les sociétés civiles immobilières (SCI).

La déclaration est ouverte et accessible depuis le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » (GMBI) du site impots.gouv.fr. Vous devez au préalable vous connecter à « Votre espace particulier », muni de votre numéro fiscal et de votre mot de passe. L’usager dispose dans son espace d’une vision de l’ensemble de ses biens bâtis ainsi que de leurs caractéristiques (surface, nombre de pièces, nature du local, numéro de lot…), sur l’ensemble du territoire. Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d’occupation connues des services des impôts sont pré-affichées. Par la suite, seul un changement de situation nécessitera une déclaration.

Pour chacun de ses logements, le propriétaire doit indiquer à quel titre il les occupe. S’il n’occupe pas lui-même le bien, il est tenu de renseigner l’identité des occupants et la période d’occupation (situation au 1er janvier 2023).

Une fois la déclaration validée, un document PDF récapitulatif est mis à la disposition du déclarant, qui peut ainsi s’assurer que sa déclaration d’occupation a bien été prise en compte.

La date limite pour effectuer la déclaration est le 30 juin 2023 inclus.

  À savoir : si vous n’étiez pas encore propriétaire du bien au 1er janvier 2023, c’est à l’ancien propriétaire de réaliser la déclaration d’occupation avant le 30 juin 2023.

Quelle assistance en cas de difficulté pour remplir cette nouvelle déclaration ?

Vous êtes propriétaires mais votre espace particulier est vide ?

Si l’onglet « Gérer mes biens immobiliers » est vide alors que vous détenez des biens, vous devez le signaler rapidement aux services des impôts via la messagerie sécurisée en indiquant les éléments nécessaires de localisation afin que le bien soit retrouvé sur le cadastre.

Il y a une erreur sur la surface enregistrée pour votre bien ?

Vous devez également le signaler aux services des impôts. Attention : la surface affichée est la surface au sol et non la surface loi Carrez, ce qui peut expliquer le différentiel constaté. Les dépendances doivent également être déclarées (cave, parking, garage, etc.).

Une assistance proposée par l’administration fiscale pour toute difficulté rencontrée

La démarche étant totalement dématérialisée, vous ne pouvez pas faire de déclaration papier de vos biens immobiliers. L’administration fiscale a mis en place divers canaux d’informations pour vous renseigner : qui doit déclarer le bien d’une personne résidant en Ehpad, en cas de sous-location par une société de gestion immobilière, en cas de bien occupé sans titre ou illégalement… Retrouvez toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le site www.impots.gouv.fr avec une Foire aux questions et un Pas-à-pas pour réaliser votre déclaration en ligne.

En cas de difficulté dans l’utilisation du service, vous pouvez contacter l’assistance usagers du service des impôts (de 8h30 à 19h00 du lundi au vendredi) :

  • par téléphone au 08 09 401 401 (service gratuit + prix d’un appel local) ;
  • via votre messagerie sécurisée (depuis votre espace sécurisé, dans la rubrique « J’ai une question sur ma déclaration d’occupation et de loyer de mon bien immobilier »). Cette démarche permet de laisser une trace écrite qui prouvera de votre bonne foi en cas de transmission hors délais de la déclaration.

  À noter : si vous vous apercevez que vous avez commis des erreurs en remplissant votre déclaration, vous pouvez facilement la modifier d’ici le 30 juin en vous reconnectant à votre espace.

Télétravail : des exonérations d’impôt pour les frais professionnels engagés en 2022

Le télétravail est largement pratiqué et engendre souvent des coûts pour les salariés. Les frais professionnels et les allocations forfaitaires versées par les employeurs au titre du télétravail à domicile en 2022 seront exonérés d’impôt, dans la limite de 580 euros pour l’année au maximum. L’exonération est différente, selon que l’employeur verse ou non ces allocations destinées à couvrir les frais liés au télétravail.Le Télétravail, La Technologie, Portable

Les allocations couvrant les frais de télétravail à domicile versées par l’employeur peuvent prendre la forme d’indemnités, de remboursements forfaitaires ou encore de remboursements de frais réels.

Quels sont les frais de télétravail déductibles ?

Parmi les frais déductibles, figurent notamment les frais suivants :

  • frais de communication (abonnement, souscription à une offre internet…) ;
  • frais de fournitures et d’imprimés (dépenses de cartouches d’encre, de ramettes de papier) ;
  • achat de mobilier et matériel informatique pour les besoins de votre activité professionnelle…).

En 2022, vous avez reçu de votre employeur une allocation destinée à couvrir vos frais de télétravail :

  • remboursement d’une partie de l’abonnement internet ;
  • remboursement du diagnostic électrique du logement ;
  • prime forfaitaire pour couvrir les frais liés au télétravail.

La déduction des frais professionnels de télétravail est différente, selon que vous optez ou non pour les frais réels et selon qu’une allocation couvrant les frais de télétravail à domicile est versée ou non par votre employeur.

Vous avez engagé des frais de télétravail et n’avez pas perçu d’allocation de votre employeur

Si vous n’optez pas pour la déduction des frais réels, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 10 %, calculé automatiquement sur les montants que vous déclarez en traitements et salaires.

Si vous optez pour la déduction des frais réels, les frais professionnels liés au télétravail à domicile sont exonérés dans la limite de 2,5 € par jour de télétravail, soit une exonération de 55 € maximum par mois et dans la limite annuelle de 580 €. Vous pouvez également déduire les frais de télétravail pour leur montant exact si cela est plus favorable.

En cas d’option pour la déduction en frais réels, vous pouvez déduire de votre impôt sur le revenu la totalité de vos frais professionnels (liés au télétravail ou non), mais vous devez pouvoir les justifier.

Vous avez engagé des frais de télétravail et avez perçu des allocations de votre employeur

Si vous n’optez pas pour la déduction des frais réels, les allocations versées par l’employeur couvrant les frais de télétravail à domicile (indemnités, remboursements forfaitaires ou remboursements de frais réels) sont exonérées d’impôt sur le revenu. Vous n’avez pas à les déclarer.

Dans ce cas, vous bénéficiez d’un abattement forfaitaire de 10 %, calculé automatiquement sur les montants que vous déclarez en traitements et salaires.

Si vous optez pour la déduction des frais réels, les allocations versées par l’employeur sont exonérées d’impôt sur le revenu. Vous n’avez pas à les déclarer.

Vous ne pourrez pas déduire vos frais de télétravail à domicile, mais vous pouvez déduire vos autres frais réels (frais professionnels, non liés au télétravail).

En revanche, vous avez la possibilité de déduire vos frais de télétravail, notamment si le montant est supérieur aux allocations versées par l’employeur. Dans ce cas les allocations perçues sont imposables et vous devez les déclarer, en les réintégrant dans vos traitements et salaires. Les frais professionnels liés au télétravail sont alors exonérés dans la limite de 2,5 € par jour de télétravail, soit une exonération de 55 € pour un mois comprenant 20 jours de télétravail, dans la limite annuelle de 580 €.

  À noter : lorsque vous percevez une allocation pour des frais de télétravail, elle est présumée être utilisée conformément à son objet à hauteur de 10 € par mois pour un salarié effectuant un jour de télétravail à domicile par semaine. Cette allocation forfaitaire passe à 20 € par mois pour un salarié effectuant deux jours de télétravail par semaine. Si au cours d’un même mois le nombre de jours de télétravail hebdomadaire varie, il est admis que les allocations forfaitaires ont été utilisées conformément à leur objet à hauteur de 2,50 € par jour de télétravail pour le mois considéré.

  À savoir : le montant du revenu imposable prérempli sur la déclaration de revenus ne doit pas, en principe, inclure les allocations couvrant les frais de télétravail à domicile versées par l’employeur. Vous pourrez vous en assurer en vérifiant les montants préremplis par rapport à vos bulletins de paie (ou l’attestation fiscale annuelle délivrée par votre employeur).