Pv audio du 10 juillet
Compte-rendu des délibérations du conseil municipal du 10 juillet 2020
http://www.ville-poussan.fr/conseil-municipal
Une Poussannaise nous communique à 19 h : « selon le service des eaux une canalisation centrale a cassé, d’ici la fin de soirée l’eau devrait être remise »
Merci pour ces renseignements…
A 19 h 55 : « La canalisation est remplacée avenue de la gare, la pression revient » selon le service des eaux. Merci… » Bonne soirée à tous ».
Le RAM Est du Bassin de Thau avait participé en 2019 à l’animation de « Partir en Lire ». Le but étant de faciliter les rencontres entre enfants qui fréquentent le RAM et les petits du centre de loisirs de Poussan. Après une lecture collective et un Kamishibai, ils avaient dessiné (ou pas) ce qu’ils avaient envie de reprendre de ces histoires lues, entendues ou ressenties. Cela avait été un très beau moment de partage.
Cette année, vu les restrictions qui s’imposent au RAM (pas plus de 25 enfants), et celles que l’on attend pour la rentrée de septembre, Françoise Adélino, Responsable RAM Nord Bassin de Thau, n’a pas souhaité faire de « gros rassemblements ». Elle a préféré prioriser les groupes de 2 à 4 assistantes maternelles afin de pouvoir gérer à la fois les contraintes sanitaires et un moment de rencontre entre professionnelles.
« Ainsi, comme le livre est très présent dans mes animations, je me suis associée pour la deuxième année consécutive à « Partir en livre » qui s’est déroulé du 8 au 19 Juillet 2020 qui permet de faire découvrir ou redécouvrir l’objet livre aux enfants qui viennent, mais aussi à leurs parents. Après être apparu sur la carte interactive du site, j’ai proposé deux vidéos sur le compte Facebook du RAM afin que chaque petit puisse revoir deux histoires qu’ils connaissent bien : « Abris » d’Emmanuelle Houdart et « Chut ! on a un plan » de Chris Haughton. » Précise Françoise…
Le site de la manifestation est encore très riche de ressources.
https://www.partir-en-livre.fr/
Pour encourager à effectuer les gestes qui sauvent en situation d’arrêt cardiaque, les citoyens sauveteurs pourront agir sans risques de poursuites judiciaires.
Afin d’encourager les personnes confrontées à une situation d’arrêt cardiaque à effectuer les gestes qui sauvent, le statut de « citoyen sauveteur » va leur permettre d’agir sans risques de poursuites judiciaires en cas de préjudice non intentionnel causé à la victime. La loi parue au Journal officiel le 4 juillet 2020 prévoit également de mieux sensibiliser les citoyens aux gestes de premiers secours et de renforcer les peines pour le vol ou la dégradation d’un défibrillateur.
La méconnaissance des comportements qui sauvent (massage cardiaque, utilisation d’un défibrillateur) ainsi que la peur de ne pas les effectuer correctement empêchent de nombreux Français de porter secours spontanément à une personne en détresse.
C’est pourquoi la loi octroie à quiconque porte assistance de manière bénévole à une personne en situation apparente de péril grave et imminent le statut de « citoyen sauveteur » et le fait bénéficier de la qualité de collaborateur occasionnel du service public. Cela lui permet d’être exonéré de toute responsabilité civile (sauf en cas de faute lourde ou intentionnelle de sa part) si son geste ne fonctionne pas ou lorsqu’un préjudice résulte de son intervention.
Cette loi prévoit également l’organisation d’opérations de sensibilisation aux premiers secours auprès des élèves dans le cadre de la scolarité obligatoire, aux salariés avant leur départ à la retraite, ainsi qu’aux arbitres et aux juges sportifs. Elle institue une journée nationale de la lutte contre l’arrêt cardiaque et de sensibilisation aux gestes qui sauvent. Les modalités de ces mesures seront précisées par décret.
L’objectif est de former 80 % de la population afin de faire passer le taux de survie des victimes de mort subite en France de 3 % à 10 % d’ici 10 ans.
Enfin, le texte renforce les peines encourues en cas de vol ou dégradation de matériel destiné à prodiguer des soins de premiers secours. Le vol, la destruction, la dégradation, la détérioration sont punies de 5 ans de prison et 75 000 € d’amende. Le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins est passible de 15 000 € d’amende et d’une peine de travail d’intérêt général.
À savoir : Un rapport d’évaluation annuel sera remis au Parlement indiquant :
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