Une idée de sortie : l’aven de la Salamandre

  Ouverture au public de cette grotte exemplaire à proximité des gorges de la Cèze, sur le plateau de Méjannes Le Clap. Une cavité saluée comme l’une des plus belles d’Europe, qui va élargir notre connaissance du monde sous-terrain et minéral

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L’aven de la Salamandre, spectaculaire abîme s’ouvrant au cœur d’une forêt courte et dense, est connu depuis la nuit des temps par les bûcherons, chasseurs et promeneurs. En 1964 une équipe de spéléologues nîmois s’y aventurait pour la première fois. C’est du nom du joli batracien noir et jaune trouvé au bas du puits d’entrée que ces derniers l’ont alors baptisée.

Méjannes le Clap :
un joyau de plus pour les Cévennes gardoises ! La grotte de la Salamandre.

En 2007 naissait le projet de son aménagement et c’est en avril 2011 qu’un premier tunnel d’accès donnait naissance à la Grotte de la Salamandre. Un second tunnel devait suivre quelques mois plus tard.
Après de longs travaux d’aménagement, l’Incroyable Grotte de la Salamandre a ouvert ses portes au public le 1er juin 2013.

Elle est l’une des premières grottes en Europe à être accessible sans assistance aux Personnes à Mobilité Réduite en fauteuil.

Informations : Ouverture de mars à octobre.

Horaires : de 9 h 30 à 19 h en juillet et août, de 9 h 30 à 18 h en septembre et de 10 h 30 à 16 h 30 en octobre.
Visite de la grotte : 1 h
Le Grand Rappel : 1 h 30
Tarifs : 9, 50 € (réduit : 6 €) ; Le Grand Rappel : 36 € pour les + de 16 ans (25 € pour les 12 à 16 ans).
www.grottedelasalamandre.com

Science participative : à la recherche des hirondelles

Le printemps est terminé, il a fait revenir les hirondelles avec lui. De retour des pays d’Afrique subsaharienne, les hirondelles ont parcouru plus de 6 000km pour revenir nicher dans notre pays.

Hirondelle fenetre Delichon urbicum 25 Nicolas Macaire290Hirondelle fenêtre  par Nicolas MacaireMais depuis quelques années, elles sont de moins en moins nombreuses à revenir. C’est pourquoi le 15 mai 2012 et pour 2 ans, la LPO, aidée des associations locales de protection de la nature, lance une grande enquête de science participative sur les hirondelles de fenêtre de notre pays

combien sont elles cette année ?

Les chiffres obtenus lors de précédents programmes de suivi montrent par exemple qu’il y a une diminution de 41% des effectifs d’hirondelles de fenêtre depuis 1989 (source MNHN 2010). La modification des pratiques culturales, le dérangement, les destructions volontaires ou non des nids, tous ces facteurs jouent un rôle dans ce déclin. Il semble donc nécessaire de mieux connaître ces espèces pour mieux les protéger et les prendre en compte dans les aménagements urbains.

L’enquête

L’enquête nationale hirondelles est un projet coordonné par la LPO et relayé au niveau local par une cinquantaine d’associations de protection de la nature. Lancé pour 2 années, il se compose de 3 parties visant chacune des publics bien distincts : le grand public pour une meilleure connaissance des Hirondelles de fenêtre, un public plus avertis pour participer au recensement exhaustif des nids occupés d’Hirondelles de fenêtre et rustique sur 5 communes par an et par département et pour finir, les ornithologues professionnels pour celui des Hirondelles de rivage.

La LPO et les associations locales ont besoin d’aide

La première partie de l’enquête repose exclusivement sur la participation du grand public : famille, école… tout le monde peut participer, pas besoin d’être un expert.

La LPO et les associations font donc appel à tous !

Les Hirondelles de fenêtre sont faciles à localiser et à identifier. Elles construisent généralement leur nid, un hémisphère de boues et de salive sous les avant toits de nos habitations au sein même des villes et des villages. Quant à l’Hirondelle de fenêtre elle-même, on la reconnait facilement à son dessous blanc et son dos et ses ailes noir-bleuté, contrastant fortement avec son croupion blanc.

Plus de précisions sur www.enquete-hirondelles.fr.

Participer, c’est facile !

Un carnet, un crayon, une balade au détour d’une ville ou d’un village. Il suffit de lever les yeux et d’observer. Chacun peut ainsi trouver un nid d’Hirondelle de fenêtre. Ensuite, il suffit de prendre le temps de regarder s’il est occupé et de noter quelques informations comme la date et le lieu. Enfin, le site dédié à l’enquête www.enquete-hirondelles.fr permet de saisir ses données afin qu’elles soient étudiées à la fin de l’enquête en 2014. Une enquête de science participative qui aidera ainsi les scientifiques à mieux connaître la répartition des hirondelles de notre pays et ainsi à mieux les protéger !

Mais cette enquête ne s’arrête pas là : Dans le cadre de l’enquête nationale sur les hirondelles lancée en 2012 par la LPO, la LPO Hérault organise des prospections poussées des hirondelles dans 5 communes du département. Poussan a été choisi pour faire partie de ces 5 communes. Ces recensements ont lieu de mai à août. Ainsi, des ornithologues et des amoureux de la nature vont sillonner la commune. Ils risquent de venir frapper à votre porte à la recherche des ambassadrices du printemps. Faites leur bon accueil. Si vous souhaitez prendre part à ces recensements ou si vous hébergez un ou plusieurs couples d’hirondelles chez vous, n’hésitez pas à contacter Jacques Bougard de la LPO au 06.81.05.92.09.

Ce projet est soutenu par le Ministère de l’écologie, du développement durable, des transports et du logement.

Contacts :

Marjorie POITEVIN
Responsable Programme
05.46.82.12.34

La CCNBT inaugure une nouvelle génération de stations

  La Station d’épuration des eaux usées de Mèze‐Loupian sera inaugurée vendredi 5 juillet à 10h30, à l’Ecosite de Mèze. L’occasion de venir visiter cette station en avance sur les procédés d’épuration actuels

Cette station accueille aujourd’hui les eaux usées des habitants de Mèze et Loupian, soit presque 13.000 personnes. Pour faire face aux pics de fréquentation saisonnière et à l’augmentation démographique de ces communes, la capacité de la station a du être augmentée.

De plus, la sensibilité de l’étang de Thau imposait un meilleur traitement de l’azote et du phosphore présents dans les eaux usées. La CCNBT a donc investi dans une solution « sur mesure » comprenant la création d’une station supplémentaire en amont du lagunage et une transformation avant‐gardiste du lagunage existant.

Principaux atouts du site, les 14 hectares de bassins ont permis de mettre en œuvre des solutions innovantes qui, par leur coût et leur demande foncière, n’auraient pas pu voir le jour.

‐ Les aléas météorologiques sont contrôlés. Les eaux de pluie, qui ne sont pas traitées dans les stations classiques, sont ici stockées dans d’anciennes lagunes qui font office de bassins d’orage. Ainsi, toute eau excédentaire qui entre aujourd’hui dans la station est dépolluée avant d’être rejetée dans le milieu récepteur.
‐ Le traitement est plus long donc plus efficace. Une fois épurée, l’eau séjourne dans des bassins de finition où l’exposition aux UV parfait son traitement.
‐ Les boues sont pré‐traitées sur place. Grâce à leurs rhizomes, les roseaux plantés dans d’anciennes lagunes permettent aux boues de sécher plus rapidement. Ce système permet un curage moins fréquent et d’importantes économies financières et énergétiques.

Une performance supérieure aux attentes

Maîtrisé à distance par un système de télésurveillance, ce procédé permet à la station d’obtenir de très bons résultats épuratoires.
Les concentrations en azote et en phosphore en sortie de station sont bien moindres que celles obtenues par la technique de lagunage : plus de 13 fois moins d’azote et plus de 4 fois moins de phosphore. Les concentrations moyennes annuelles sont largement inférieures aux niveaux de rejet exigés par les autorités préfectorales. Les résultats des études du Réseau de Suivi lagunaire Languedoc-Roussillon sur la période 2011-2012 ont confirmé l’effet bénéfique du traitement de ces polluants sur la biodiversité observée dans la conque de Mèze.

Une nouvelle génération de stations

Particulièrement volontariste dans le domaine de l’assainissement, la CCNBT a investi 8 millions d’euros dans ses stations (Villeveyrac, Montbazin, Poussan‐Bouzigues), pour les équiper de ces mêmes fonctionnalités. Elles font aujourd’hui office de modèle dans le secteur de l’épuration des eaux usées et préfigurent les standards que devront respecter les stations dans l’avenir.

Vendredi 5 juillet 2013 à 10 h 30, au parc environnemental et scientifique Ecosite, route des salins à Mèze.

Ouvert au grand public. Visites guidées organisées par l’équipe technique. Contact : 04 67 78 55 96.

Ce mercredi, sur Fr3, « Des racines et des ailes » spécial bassin de Thau

    http://www.france3.fr/emissions/des-racines-et-des-ailes

Cette semaine, Des Racines et des Ailes part dans le Languedoc-Roussillon. Cette région, à l’histoire et aux paysages très riches, plusieurs femmes vont nous la  faire découvrir…

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Avec ses 300 000 hectares, le Languedoc-Roussillon est le plus grand vignoble de France. Après plusieurs années passées à Londres, Eléonore d’Allaines s’apprête à reprendre le domaine familial de l’abbaye de Valmagne qui depuis 800 ans produit du vin. Ce joyau de l’architecture médiévale, est surnommé la « cathédrale des vignes » ! Durant plusieurs mois, le père d’Eléonore va l’initier à la gestion et à la préservation de ce domaine chargé d’histoire, l’un des plus beaux monuments cisterciens de France !

Autre trésor du Languedoc-Roussillon : l’étang de Thau. Claudia Azais-Négri est l’unique femme patron-pêcheur du bassin. Elle traque la daurade royale. Elle est aussi une « sentinelle » de l’étang : Claudia est ainsi au premier rang pour mesurer l’impact de la présence humaine sur cet écosystème fragile.

La lagune est l’un des rares sites en Europe où vivent de nouveau de grandes colonies d’hippocampes : ce poisson fascinant (c’est le mâle qui porte les œufs) a été menacé de disparition. Avec l’association Hippo-Thau, Patrick Louisy, un océanologue de renom, les étudie et sensibilise les riverains de l’étang.

Toujours sur la lagune, Annie Castaldo défend et promeut l’environnement de cette petite mer intérieure. Ostréicultrice, elle est l’une des rares femmes à y élever des huîtres. Elle aussi consacre sa vie à la sauvegarde de l’étang de Thau !

Nous poursuivons notre voyage sur le Canal du Midi, inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO. Entre Toulouse et la Méditerranée, il est un paradis pour les plaisanciers. Pourtant, depuis quelques années, un mal incurable ronge les platanes centenaires le long de ses berges. Attaqués par un redoutable champignon, les arbres meurent. Pour éviter la contagion, des campagnes d’abattages se succèdent. Émilie Collet, en charge de l’environnement pour les Voies Navigables de France, est devenue une spécialiste de la lutte contre ce fléau. Son espoir repose aujourd’hui sur une nouvelle variété de platanes, plus résistante.

Nathalie Komaroff élève des chevaux de Mérens depuis plus de vingt ans. Une race emblématique de la région, déjà présente il y a 15 000 ans, mais qui a bien failli disparaître dans les années 70. Chaque année, ses chevaux semi-sauvages se lancent dans une longue transhumance au cœur des Pyrénées-Orientales : des bords de mer jusqu’aux pâturages des hautes vallées de Cerdagne, le troupeau et ses gardiens traversent un patrimoine naturel exceptionnel…

Réalisé par Philippe Poiret

Une coproduction : CAPA et France 3

Des jachères à Saint Vincent

Fin avril 1,7 hectares de jachères fleuries ont été semés près de la ruine Saint Vincent. Ces fleurs sont en floraison de mi-juin à mi-octobre.

A coté d’espèces reconnues depuis longtemps pour leur caractère mellifère comme la bourrache ou la Centaurée, figurent aussi d’autres espèces dont le Cosmos sulphureus, le Godetia ou le Rulbeckia.

La Jachère Fleurie Mellifère est donc intéressante du point de vue mellifère et paysager, elle offre un couvert utile aux pollinisateurs tout en permettant la valorisation du paysage. Cela permet d’y implanter des végétations productrices de pollen et de nectar qui permettront aux insectes pollinisateurs, dont l’abeille domestique, de trouver plus facilement des ressources alimentaires de qualité.

Avec la LPO : prospection Pie-grièche à poitrine rose

A Villeveyrac, le 7 juillet 2013

La participation à la recherche des sites de nidification de la Pie-grièche à poitrine rose dans l’Hérault est ouverte aux adhérents.

Attention, ces sorties ne sont pas grand public mais réservées aux bénévoles souhaitant aider la chargée de mission dans sa prospection de sites de reproduction de l’espèce.

 Lieu de rendez-vous : Parking de la mairie

Responsable

Adeline PICHARD, Chargé de mission

 Renseignements :

LPO – Hérault
Centre Régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage
15, Rue des Cigales, Route de Loupian
34560 VILLEVEYRAC
04.67.78.76.24

Les moules utiles à la science

 Les moules sécrètent une substance adhésive qui pourrait servir de modèle pour d’importantes applications médicales.

Les moules peuvent s’accrocher aux rochers et y rester coller fermement quelque soit l’agitation de la mer et les conditions climatiques. grâce à un ensemble de filaments à la fois résistants et élastiques, le byssus.
Cette remarquable capacité est due à la sécrétion de protéines ayant une forte concentration d’un acide aminé appelé DOPA (dihydroxyphenylalanine ).
« Cette colle de moule » durcit rapidement en milieu aqueux et résiste à de très fortes pressions. Elle est en mesure de coller avec une constance et une force inégalée sur quasiment toutes surfaces, inorganiques comme organiques, sèches ou mouillées

L’équipe du Docteur Phillip Messersmith, professeur d’ingénierie biomédicale à l’université Northwestern près de Chicago, a eu l’idée de copier la nature et de synthétiser un nouveau materiau à base de DOPA pour diverses applications médicales.
A Boston, lors de la dernière Conférence de l’ AAAS (American Association for the Advancement of Science) il en a donné plusieurs exemples pour la réparation ou la reconstruction de tissus dans le corps humain.
Ainsi la première application pour ce nouvel adhésif s’inspirant de celui produit par la moule serait la réparation de trous dans la membrane fœtale responsable de fausses-couches ou de naissances prématurées, actuellement très compliquées à traiter.
Le Docteur Messersmith a encore indiqué qu’il serait possible de “fabriquer des timbres qui colleront au pancréas et sécréteront de l’insuline » ou encore de réparer des dents ou des os fracturés.
Dans un autre domaine,l’équipe de Chicago travaille sur des hydrogels antibactériens à base de ses nouvelles mocécules et d’ions d’argent à faible concentration.
Enfin, peut-être plus révolutionnaire encore, les chercheurs de Chicago travaillent sur des polymères “collés” in situ dans l’environnement humide particulièrement difficile du corps humain et capables de libérer de façon programmée des molécules anti-cancéreuses.
Pour en savoir plus : voir le site de l’équipe du professeur Messersmith

Le programme des activités estivales du CPIE Bassin de Thau

      Comme chaque année, le CPIE Bassin de Thau propose des animations nature, à destination du grand public, sur le territoire de Thau entre le 8 juillet et le 31 août.

Les balades sont réalisées par les structures membres du CPIE Bassin de Thau, spécialisées dans l’éducation à l’environnement, l’agriculture, la conchyliculture et la découverte de la nature par le sport.

L’année dernière ce sont environ 1 200 touristes et usagers qui ont pu découvrir les richesses du territoire de Thau ; en selles pour découvrir les oiseaux de la lagune, la tête en l’air pour la visite d’un parc éolien, ou la tête sous l’eau pour rencontrer la vie subaquatique de l’étang…

Cliquez sur les images pour les agrandir.

Une diversité de thème accentuée, cette année, par l’arrivée de nouvelles balades et la présentation d’une exposition inédite de photos de la lagune prises d’un cerf-volant! Cette exposition sera itinérante sur tout le territoire de Thau entre le 14 juillet et le 4 novembre 2013.

L’ensemble du programme ainsi que les modalités de réservation et les tarifs, sont disponibles sur le site internet. Vous pouvez aussi retrouver les actualités et découvrir en exclusivité des photos de l’exposition « Eau vue d’en Haut » sur la page facebook du CPIE.

Le 1er Dimanche de l’été, la LPO Hérault organise un festival

     Festival Orni’Thau!
« Entre terre et lagune, les oiseaux! »

      
                                                                                                                                                                   Rollier d’Europe ©Rambal-LPO34

Le 1er Dimanche de l’été, la LPO Hérault organise un festival

les oiseaux y sont à la fête, rejoignez l’aventure

Dans le cadre des célébrations des 100 ans de la LPO et de l’ouverture du Centre régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage à Villeveyrac, la LPO Hérault a initié l’organisation d’un festival « Orni’Thau », le festival où l’oiseau est à l’honneur dans notre région !

Un festival qui explore le bassin de Thau.

Durant cette journée, un rallye ornithologique est organisé autour de Villeveyrac sous forme de mini expéditions, chacune explorant un milieu du bassin de Thau : la lagune, la garrigue, la plaine viticole, les pinèdes, les villages. Le but ? tenter de voir 100 espèces d’oiseaux différentes pour le plaisir, pour se former et pour améliorer les connaissances sur la biodiversité du territoire. Les données sont valorisées sur les plateformes d’inventaires participatifs (nottament via le site http://faune-lr.org) et permettront de mieux protéger cette biodiversité.

   8h-10h, reconnaissance des chants d’oiseaux

10h-12h, observons les oiseaux de la lagune

12h-13h30, repas partagé au sein du Parc pédagogique de la LPO Hérault

13h30-15h30, les oiseaux hauts en couleurs des plaines viticoles

 15h30-17h30, les princes des garrigues

  17h30-19h30, une circulade de Faucons

20h-21h, repas partagé au domaine départemental de Bessilles

21h-23h, Concert                                   

21h30-22h30, sortie nocturne

Une journée riche, et en parallèle de ce fil rouge, de nombreux autres événements auront lieu. Des expositions, des projections de films naturalistes, des conférences seront proposés. Le Centre Régional de Sauvegarde de la Faune Sauvage organisera également une des seules journées portes ouvertes de l’année dans ses locaux, l’occasion de découvrir le travail des soigneuses. La soirée se terminera par un repas partagé et un concert.

Des oiseaux pour tout le monde : le but de ce festival est d’allier les aspects festifs, pédagogiques et scientifiques pour permettre une découverte ou une redécouverte des oiseaux du bassin de Thau. Cette manifestation entièrement gratuite et sans inscription vise donc à la fois un public large, de familles, de vacanciers ainsi qu’un public plus averti.

Récapitulatif

Le dimanche 30 juin 2013

De 8 h à 23 h:

Point central du festival : Les locaux de la LPO Hérault ( le Parc Pédagogique et le Centre régional de Sauvegarde la Faune Sauvage) à Villeveyrac (34)

Le soir, rendez vous pour un concert.

Manifestation entièrement gratuite.

Pas d’inscription préalable.

Organisé par la LPO Hérault.

LPO Hérault
15, Rue des Cigales, Route de Loupian, 34560 VILLEVEYRAC

Renseignements
06.81.37.81.63