« Retour vers le Paléo » illustré en partie par Aurélie Bordenave

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En 2018, entre-autres, Aurélie Bordenave avait présenté durant 2 mois des dessins originaux de musiciens de jazz croqués entre 2007 et 2010 ainsi qu’une série de danseurs de Lindy Hop et 4 peintures à l’acrylique, à l’hôtel Pont Royal, à Paris.
Aurélie, Poussanaise, a fait bien du chemin depuis ses débuts, comme dessinatrice en illustrant « la Lettre de Sète ». A Paris, elle a su percer et depuis plusieurs années s’imposer en se spécialisant.
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Aurélie est maintenant illustratrice indépendante collaborant majoritairement pour l’édition et la communication scientifique.

De 2007 à 2010, elle dessinait très régulièrement durant les concerts de jazz auxquels elle assistait. La musique lui permettait de laisser danser son feutre pinceau sur le papier lisse et de se laisser aller à des phrasés graphiques… Ses croquis durant un festival Jazz à Sète avaient été regroupés dans deux recueils et avaient donné lieu à sa première exposition personnelle dans la Coursive de la Galerie Dock Sud en 2009. Et depuis, Aurélie ne s’est plus arrêtée.

Dernièrement, elle a illustré en partie « Retour vers le Paléo » qui EST EN LIBRAIRIE à partir de ce 3 AVRIL 2019 grâce au Team Paléo
Retour vers le Paléo
Et si nos ancêtres avaient tout inventé ?
Préface Jean-Paul Demoule
Éditions Flammarion
« Loin de nous, le Paléo ? Plus la science avance et plus les hommes et les femmes du passé nous apparaissent proches. Dans les années 2000, la France découvre le bling-bling grâce aux clips de rappeurs à succès. Modernes, les lunettes hors de prix, les bracelets en poils d’éléphant et les montres XXL ? Que dire alors des colliers en griffe d’aigle et en coquilles Saint-Jacques peintes qu’arborait jadis Néandertal ?
Comment ne pas voir de même dans les cinq têtes de cerf successives de la Nef de Lascaux l’ancêtre des gifs animés ? Dans les Vénus opulentes les premières pin-up ?
Street-art, apéro pain-vin-fromage, punks à chiens, etc. : nombre de phénomènes perçus comme la signature du mode de vie citadin et hyperconnecté actuel trouvent leur origine dans les pratiques de nos ancêtres. En dix chapitres illustrés, les auteurs vous embarquent pour le Paléo en confrontant savamment modernité et tradition. »
La « TeamPaléo » est composée d’Aurélie Bordenave, illustratrice scientifique ; Clothilde Chamussy, créatrice de la chaîne YouTube « Passé sauvage » ; Jennifer Kerner , spécialiste de l’archéologie funéraire à l’université Paris-Nanterre, et créatrice de la chaîne YouTube « Boneless Archéologie » ; Pierre Kerner, enseignant-chercheur à l’université Paris-Diderot; Marion Sabourdy, chargée des nouveaux médias à La Casemate, le centre de sciences de Grenoble.
Jean-Paul Demoule est professeur émérite de protohistoire européenne à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et ancien président de l’Inrap.
Pour apprécier le travail d’Aurélie Bordenave : Illustratrice & DA indépendante, spécialisée en communication scientifique :
 

Portfolio : AurelieBordenave.fr // Réseaux sociaux >> LinkedInTwitter
(Illustration scientifique ⎢ Direction Artistique ⎢ Bande dessinée ⎢ Dessin en direct)

En Poussan ta porte N°3 : « A vendre » vous pouvez réserver

Et si l’espace public était une marchandise comme les autres ?

L’image contient peut-être : 1 personne, lunettes et texte
Fini le temps où la commune était administrée par une municipalité. Désormais, rien ne vaut une gestion privée.

« Deux agents immobiliers de l’agence Luximmo sont mandatés pour vendre la commune. Habitats, habitants, entreprises, espaces verts, parc automobile : tout est à vendre. Une visite du bien est l’occasion pour nos experts d’imaginer les stratégies nécessaires pour rentabiliser cet investissement. »

La Cie Thé à la Rue à accepté de descendre chez nous pour jouer ce spectacle, profitez-en, vous ne serez pas déçu !

Et pour clôturer la soirée : un pic-nique géant « tiré du sac », place de la Mairie où nous partagerons ce que chacun a apporté ! Pour chaque soirée « En Poussan ta porte » la réservation est obligatoire pour recevoir le mail de confirmation, le mail d’infos de la soirée, le lieu, le parking, etc…

Ce spectacle d’anticipation interroge avec cynisme la gestion de l’espace public en la mettant en parallèle avec le monde des affaires.
« La commune est à la fois le décor et la matière première de ce spectacle, réadapté à chaque représentation. »

 

Par la Compagnie Thé à la rue :

« Ce spectacle est VRAIMENT un coup de coeur. Cela fait plusieurs année qu’il tourne, et nous avions TRÈS TRÈS envie de vous le faire découvrir, depuis un moment. La Cie Thé à la Rue à accepté de descendre chez nous pour jouer ce spectacle, profitez-en, vous ne serez pas déçu ! C’est un spectacle TOUT PUBLIC, une marche dans les rues de pPoussan, avec, pour clôturer la soirée, un pic-nic géant partagé, place de la Mairie !! » Précise Mathilde.

N’oubliez pas d’apporter un petit quelque chose !!

clic ici pour réserver !

Déambulation d’environ 1h

Tout public

Avec EscapadeS profitez de GROU

EscapadeS vous propose un spectacle jeune public 
Grou!
Au centre culturel Léo Malet de Mireval
Mercredi 17 avril à 18h
« Imaginez la rencontre improbable entre un homme de Cro-Magnon et un petit garçon d’aujourd’hui… Commence alors un immense voyage épique dans le temps… Une ode à la vie humaine et son évolution tantôt absurde, tantôt magique. »
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Pour plus d’informations sur ce spectacle proposé à partir de 6 ans, vous pouvez suivre ce lien : http://www.theatredesete.com/spectacle/grou
« Imaginez la rencontre improbable entre un homme de Cro-Magnon et un petit garçon d’aujourd’hui. Charles fête son anniversaire seul dans sa cuisine et fait un voeu en soufflant ses bougies, son souhait : changer le monde. Le résultat : Grou ! Un homme de Cro-Magnon débarque inopinément du four habillé en peaux de bêtes avec une torche enflammée.Commence alors un immense voyage épique dans le temps qui va leur permettre de traverser des époques, voir la construction des grandes pyramides, se battre au temps des chevaliers, rencontrer Mona Lisa, demander conseil à Diou ou encore discuter sous une pluie d’obus.

Une cuisine multi-fonctions est l’occasion de jouer toutes les époques, toutes les situations et les différents personnages rencontrés laissant libre cours à une imagination débridée pour aller à la rencontre de nos origines et de nos ancêtres. Une ode à la vie humaine et son évolution tantôt absurde, tantôt magique.

À vous de jouer ! »

Écriture : Baptiste Toulemonde | Mise en scène et Jeu : Arthur Oudar et Baptiste Toulemonde | Regard extérieur : Hugo Giordano | Scénographie : Bertrand Nodet | Lumière : Amélie Géhin | Régie lumière : Isabelle Derre | Création sonore : Guillaume Vesin

Le tarif des places est de 10€ pour les adultes
                                          8€ pour les enfants de moins de 11 ans et personnes bénéficiaires des minima sociaux.
Si vous êtes intéressés, merci d’en informer très rapidement Aurélie et de faire parvenir le règlement avant le 9 avril.
Téléphone : 06.15.31.80.55

« TARTARIN DE TARASCON » A Gigean

« TARTARIN DE TARASCON » d’Alphonse DAUDET par l’ ATELIER ADULTES DU STRAPONTIN SAMEDI 30 MARS à 20H45 A LA SALLE POLYVALENTE DE GIGEAN

Rue Pompe Vieille
Représentation organisée par l’ ASSOCIATION DE SAUVEGARDE DE LA CHAPELLE DES PENITENTS
Tarifs : 8 €
Infos: 04 67 46 64 64L’image contient peut-être : texte

« Héros de la petite ville de Tarascon, Tartarin ne rêve que d’aventure et de chasse au lion. Mais que l’Afrique est loin pour celui qui n’a jamais quitté sa maison !
L’intrépide chasseur s’embarque enfin : parviendra-t-il à débusquer un fauve du désert ? Personnage burlesque mais si attachant, Tartarin est le type même du Méridional hâbleur qui se dupe lui-même autant qu’il dupe les autres. »

La grande lessive à Poussan : « de la lumière, des pigments… »

Dès 9 h du matin, ce jeudi 28 mars des animateurs du Pôle Enfance Jeunesse, ont installé les œuvres des jeunes artistes (ainsi que celles d’autres enfants fréquentant les ALP des Baux et de Véronique Hébert, de l’ALAE et de l’ALSH) pour cette nouvelle édition de la Grande Lessive à Poussan qui se déroulait dans les Halles.

Après la fermeture des portails, à 9 h 15, certaines classes des écoles, avec leur enseignant, sont venues « étendre leur linge », au centre de Poussan,  cette année, alors que pour d’autres classes il était prévu que des parents volontaires assurent l’accrochage, dans la matinée.colP1200934

Car cette année encore, la Grande Lessive promettait un mélange d’œuvres éblouissant.

Avec « De la couleur ! »

Avec ou sans dessin, de la lumière, des pigments, du numérique…

  Le principe de La Grande Lessive® est de tendre des fils pour y suspendre des réalisations (dessins, peintures, images et photographies numériques, collages, poésie visuelle, etc.) de format A4 à deux dimensions, faites par toutes et tous, sans qu’aucune ne soit semblable à une autre, bien que conçues à partir d’une même invitation : »

  Une installation artistique éphémère s’est donc déployée dans les Halles et vous pouvez en profiter jusqu’à 17 h.

En effet, le projet est de concevoir, de manière collective, un dispositif inédit, intrigant, et artistique, pour faire de l’art participatif !

Les membres du Pôle Enfance Jeunesse sont venus très nombreux dans la matinée pour accrocher les œuvres des enfants dont ils s’occupent et d’autres artistes en herbe.

L’essentiel étant de participer.

Sont arrivés alors tous les autres participants inscrits, ou leurs représentants, ceux de la Maison de retraite La Mésange, du RAM, des petites Pousses et du Cocon, certaines classes avec des élèves motivés, ainsi que des volontaires bien épanouis. Et ce avec une lumière naturelle assez intense.

Car, que serait la couleur sans la lumière ? Et nous, que deviendrions-nous sans l’une et l’autre ? Nous ne pourrions rien voir ! Un monde sans couleur ne serait plus celui que nous connaissons et qui nous fait rêver. Il perdrait sa saveur comme les aliments que nous mangeons quand nous sommes privés de la vue. Tout donnerait le sentiment de se ressembler, en soulignant − trop tard − le prix que nous accordons aux différences. En somme, nous aurions l’impression de perdre notre identité et de vivre dans un univers étranger.

  Et que deviendraient les peintres et la peinture qui, depuis les premiers temps de l’Humanité, ont permis de manifester l’existence de celle-ci comme celle d’une pensée qui ne cesse de cheminer ? Qu’en serait-il, par exemple, de la photographie, du cinéma et de la vidéo : l’image retrouverait-elle ses apparences premières ?coulP1200924

Explorer, chercher, (ré)inventer…

Toute pratique artistique s’empare d’une question pour la mettre à distance et l’étudier afin d’en tirer un bénéfice créatif. La couleur est l’une des composantes qui étaye, autant notre perception, que nos pratiques plastiques. Travailler la couleur revient ainsi à s’interroger sur les relations qu’elle entretient à la forme et à la texture, appelée parfois « matière ». Faut-il les distinguer, les abandonner, les associer ou les combiner ? Que de décisions à prendre et d’expériences à tenter !

C’est dans la perspective d’une recherche menée grâce à la coopération que La Grande Lessive® du 28 mars 2019 adressait à toutes et à tous une invitation à utiliser la couleur, avec ou sans dessin, à partir de pigments naturels ou chimiques, du numérique et, bien sûr, en utilisant la lumière. « De la couleur ! » ouvre ainsi un champ créatif infini.

« De la couleur ! Vous n’y pensez pas ! »colP1200918

Inviter à travailler la couleur n’est toutefois pas simple à formuler, dans un contexte où la couleur ne se réduit pas à un élément décoratif destiné à repeindre un mur.

Depuis longtemps, la couleur a été l’objet de débats artistiques opposant ses tenants et à ceux qui privilégiaient le dessin. Fallait-il utiliser l’un plus que l’autre ? Le dessin devait-il être réalisé avant la peinture afin d’en conditionner l’usage ? Ou bien, la couleur serait-elle supérieure au dessin au point de s’en dispenser ou de le remplacer pour tracer, détourer, représenter..?

Chacun des participants individuellement oucolP1200930 en groupe a pu répondre à ces questions, en se les posant ou simplement en laissant aller son imagination sur le thème de cette édition.

 Cette exposition éphémère ravit chaque année les enfants et les seniors qui comme toujours ont beaucoup d’imagination individuellement ou collectivement. Ce n’est que du plaisir pour ceux qui participent avec une belle excitation, celle de la création, celle de la découverte, celle que l’on éprouve quand l’on partage. »

En peinture, Claire Aton, aime relever des défis

Claire Aton et la Mairie de Poussan vous proposent une exposition au foyer des campagnes de Poussan. L’exposition est ouverte du 23 mai au 1er juin, du mardi au dimanche, de 17h à 20h. Entrée libre.

Le vernissage de l’exposition de Claire Aton avait lieu ce vendredi 23 mai en présence de l’artiste, Claire Aton, qui est une spécialiste des peintures murales et des tableaux.

Elle partage son temps entre ces deux styles. Un jour en haut d’un échafaudage, l’autre dans le calme de son atelier, elle précisait qu’elle était passionnée par son travail, de la réalisation de petites toiles ou de maquettes à la réalisation d’œuvres pouvant aller jusqu’à plus de mille m2.Travailler dans le vent, le froid ou par grande chaleur, s’attaquer à une immense surface ou se concentrer sur un plus petit format… rien ne l’effraie. L’amour de son travail décuple les forces.

Les outils que sont le dessin, la peinture, la couleur, la perspective sont mixés différemment. La concentration, la rigueur sont là. Dans une décor mural, souvent , même si ce n’est pas une règle absolue après tout, le contexte est essentiel; le lieu, l’utilisation de celui-ci, son histoire, la personnalité des  »clients  », aussi, leurs goûts et leurs désirs sont primordiaux dans la réflexion et la création d’une maquette qui servira de trait d’union entre l’imagination du peintre et leurs souhaits. Cette maquette est une projection de ce décor qui, très bientôt, apparaîtra. Car Claire peint là où on le lui demande : A Poussan, à Gigean comme à Lyon ou à Annecy et sur tous les supports, le papier, les murs, les toiles , les bordures de piscine… Elle a d’énormes ressources.

En la recevant au Foyer ce vendredi soir, Florence Sanchez, Adjointe au Maire de Poussan, déléguée à la Culture précisait qu’elle nous faisait le plaisir de présenter certaines de ses œuvres qui témoignent de toutes ses possibilités.

Pour Claire la peinture c’est une espèce de chimie, de magie que de voir se matérialiser tout un processus de lâcher-prise et de maîtrise mélangés. C’est une bataille féroce avec, parfois des instants de grâce, lorsque le cerveau et le pinceau se font alliés. Coule alors une écriture claire et limpide, aussi bien dans le tourment que le calme… et la toile apparaît.

Et Michel Bernabeu rajoutait : « Vous pouvez profitez d’Aton dedans et d’Aton dehors car si cette exposition présente d’une part des toiles et des maquettes de peintures murales, d’autre part, vous pouvez découvrir la Fresque des enfants en cours de réalisation : « Garrigue et étang de Thau« 

Pour habiller le mur qui jouxte l’entrée du foyer des campagnes et le jardin
d’enfant, la commune de Poussan a sollicité Claire afin de réaliser une
fresque avec les élèves des écoles élémentaires de Poussan.

Ce projet impulsé par le service culture fait partie du programme d’initiation à l’art proposé aux enfants de la ville. Une exposition des études, maquettes, dessins des œuvres murales de Mme Aton est donc présentée en même temps que la réalisation de la fresque au foyer des campagnes :
« La Mairie de POUSSAN m’a demandé de réfléchir à la réalisation d’une peinture murale avec les enfants des écoles. Le lieu choisi est Le mur jouxtant le Foyer des Campagnes. Le thème de « la garrigue et de l’étang de Thau » a été rapidement choisi. Il fallait en effet un thème où les enfants pourraient se projeter et s’investir. Leurs repères quotidiens facilitent l’approche.


Le mur est tout en longueur (environ 16 m sur 2 m de hauteur) et il est intéressant de pouvoir y dérouler un décor : d’un côté la terre ferme et ses collines, de l’autre l’étang de Thau et ses parcs à huîtres.
Enfants, instituteur (trice) et moi-même, nous sommes rencontrés plusieurs fois.

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J’ai demandé aux enfants de créer le plus possible de dessins, croquis, peintures… sur le thème choisi, en particulier sur la faune et la flore. Ce qu’ils ont fait avec beaucoup de spontanéité, de sensibilité.
A partir de ces trésors, j’ai pu élaborer une trame, un cadre, des rythmes dans lesquels la fraîcheur de leurs créations pourraient s’épanouir. Leurs dessins ont servi également à la composition d’un lettrage animalier dans lequel un « g » apparaît sous la forme d’un flamand rose, un « a » sous celle d’une avocette, par exemple.
Le résultat devrait être vivant et ludique, avec une pointe de poésie je l’espère. » Précise Madame Aton qui ne tarit pas d’éloges sur les élèves qui ont peint avec elle : « J’ai apprécié leur contact. Peindre à l’extérieur développe les échanges tandis que dans mon atelier le dialogue est plutôt intérieur. Les deux styles m’apportent beaucoup de bonheur. »

Contact :
Mairie de Poussan
Service culture : 06 81 31 48 24 – culture@ville-poussan.fr
Service communication : 04 67 78 99 56 – communication@ville-poussan.fr
www.ville-poussan.fr et blog.ville-poussan.fr

 

Le 28 mars profitez de la Grande Lessive de 10 h à 17 h

pierP1020989Déjà des participants pour cette nouvelle édition de la Grande Lessive, le 28 mars 2019.

  • La Maison de retraite La Mésange
  • LES ALP
  • L’école des Baux élémentaire
  • L’école Véronique Hébert maternelle et élémentaire
  • Le RAM
  • Les petites pousses
  • Le cocon

Seniors, enfants petits et grands, de différents établissements participent à nouveau  cette année. Le thème de 2019, c’est celui « De la Couleur ! »

Ça promet un mélange d’œuvres éblouissant.

Tout le monde peux venir déposer son œuvre, il faut juste se munir de deux épingles à linge.

L’exposition se fera aux Halles de Poussan de 10 h 00 à 17 h  le jeudi 28 Mars ( sous réserves).

« De la couleur ! »

Avec ou sans dessin,

de la lumière, des pigments, du numérique…

  Le principe de La Grande Lessive® est de tendre des fils pour y suspendre des réalisations (dessins, peintures, images et photographies numériques, collages, poésie visuelle, etc.) de format A4 à deux dimensions, faites par toutes et tous, sans qu’aucune ne soit semblable à une autre, bien que conçues à partir d’une même invitation : » De la couleur !  » Avec ou sans dessin, de la lumière, des pigments, du numérique…

  Une installation artistique éphémère se déploie ainsi in situ, c’est-à-dire là où un collectif décide de la faire exister : rue, place, cour, espaces privés ou publics…  L’étendage a lieu en plein air, qu’il pleuve ou qu’il vente ! Le projet est de concevoir, de manière collective, un dispositif inédit, intrigant, et pourquoi pas artistique, pour faire de l’art participatif !

« LE PRIX MARTIN » d’ Eugène LABICHE à FABREGUES

« LE PRIX MARTIN » d’ Eugène LABICHE  PAR LA COMPAGNIE DU STRAPONTIN
MERCREDI 27 MARS à 21 H A FABREGUES
CENTRE CULTUREL JOSÉ JANSON
93 Rue Georges Pompidou
FESTIVAL LES 4 CHEMINS
ENTRÉE : 8 €
INFOS : 07 87 01 39 08 / les4chemins@orange.fr

UNE COMÉDIE BURLESQUE !
Ferdinand Martin, mari trompé, est poussé à la vengeance par son cousin Hernandez Martinez.
Ira-t-il jusqu’à précipiter dans un ravin son vieil ami Agénor dont il a découvert qu’il était l’amant de sa femme ?
Après « la poudre aux yeux », le Strapontin revient vers LABICHE, pour une comédie burlesque mise en scène par Marie Anne MOURARET.

Mise en scène : Marie Anne MOURARET

Distribution : Richard MONCHATRE, Jean ARTIERES, Pierre ROBERT, Séverine CAMPAGNA, Josette BARD, Didier LECROISEY, Henri LARGER, Gabriel PETOLLA.

Régie Lumière : Norbert BENEZECH

Orgue de barbarie : Marie Anne MOURARET

Régisseurs Plateau : Chantal ARTIERES / Jef BARD / Gilles VIUDES

Décors : Jef BARD / Chantal ARTIERES / Laurie LIETOT

Couture Costumes : Sylvie JEAN PIERRE

Photographie : Laure ARTIERES

Affiche : Pierre ROBERT

 

Feu de camp interdit à Balaruc le Vieux…

La municipalité de Balaruc le vieux avait invité ce 21 mars, Hugues AUFRAY…

Non, pas l’original qui fêtera ses 90 ans en août. Mais Jean Artières et son groupe car cela fait quelques décennies de succès qui ont ancré le nom d’Hugues Aufrey dans notre mémoire et notre patrimoine culturel.auferIMG_3476

C’est Jean ARTIERES et son groupe « FEU DE CAMP INTERDIT » qui nous ont invités à redécouvrir quelques unes de ses chansons, comme Céline, Stewball, Hasta Luego, Le Rossignol anglais, L’Épervier, Dès que le printemps revient ou Santiano. Il n’a peut être manqué dans ce tour de chant que « Les Crayons de couleur » superbe chanson dénonçant le racisme, hélas toujours d’actualité, mais sur plus de 500 chansons d’Hugues Aufray, difficile de faire un choix.

Jean a émaillé aussi son récital de quelques pages de la vie d’Hugues Aufray, avec un mélange d’humour, d’émotion … et de nostalgie ! Une soirée qu’il ne fallait pas rater !

Jean ARTIERES nous a présenté également son « skiffle group » avec au chant, et à la guitare Dominique DENIZE, à l’accordéon, clavier, basse, chœurs Daniel MOULIN aux percussions, chœurs et Jeff BARD /Pierre ROBERT pour la régie lumière, projection avec la complicité d’Antoine.

Jean Artières, c’est aussi un écrivain, avec un premier livre : « C’est arrivé à Poussan » c’est également un comédien, à la Compagnie du strapontin à Poussan mais il a bien d’autres cordes à son arc, inutile de vous dire ou il habite…Merci pour cette excellente soirée pleine de nostalgie pour les uns et de découverte pour les autres !

Georges Cantin

Une exposition sur le Linceul de Turin

linceulCaptureLe suaire de Turin, ou linceul de Turin, est un drap de lin jauni de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large montrant l’image floue (de face et de dos) d’un homme présentant les traces de blessures compatibles avec un crucifiement. La représentation figurant certains détails de la Crucifixion de Jésus de Nazareth décrite dans les évangiles canoniques est l’objet de piété populaire et est considérée par l’Église catholique comme une icône. Certains croyants la vénèrent comme une relique insigne, le « Saint-Suaire ».

Les premières mentions documentées et non contestées de ce drap proviennent de Lirey, en Champagne, dans la seconde moitié du XIVe siècle : Jeanne de Vergy, qui tenait le suaire de ses ancêtres, y organise des expositions du suaire. Les ostensions de l’objet aux fidèles sont interdites à deux reprises par les évêques de Troyes, qui affirment avoir découvert le faussaire responsable de la supercherie. En 1390, le pape Clément VII publie une bulle autorisant l’ostension du linge, mais il défend que soient faites « les solennités en usage lorsqu’on montre une relique » et exige que la foule soit avertie qu’on ne montre pas l’objet en tant que relique, mais en tant que « figure ou représentation du suaire du Christ ». Après diverses pérégrinations, l’objet devient en 1453 la propriété du duc de Savoie Louis Ier ; à partir de la seconde moitié du XVe siècle, il est vénéré comme une relique de la Passion. Il est conservé depuis 1578 dans la chapelle de Guarini de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin.

En savoir plus sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suaire_de_Turin