« Le pas de l’Autre – Pluie, vapeur, vitesse », c’était une conférence théâtralisée proposée par le TMS

aaaaaaaaaaaabuIMG_20230511_203311Dans le cadre de sa convention avec le Théâtre Molière de Sète, la ville de Poussan accueillait « Le pas de l’Autre – Pluie, vapeur, vitesse », une conférence théâtralisée autour du climat et des migrations, écrite par François Gemenne et mise en scène par Michel André, ce dernier étant dans la salle du Foyer des Campagnes, ce jeudi 11 mai à 20 h 30, accompagné par Sandrine Mini, directrice de la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau.

Les spectateurs n’étaient pas très nombreux pourtant les sujets étaient sensibles et d’actualité par ce théâtre de l’urgence, ce théâtre de l’humain. Mais en semaine, il n’est souvent pas aisé de se rendre disponible

 Le Pas de l’autre | Le Pas de l'autre - François Gemenne - Michel André - Théâtre | François Gemenne - Michel André
« Le pas de l’Autre – Pluie, vapeur, vitesse » a été Co-écrite par le géopolitologue et lanceur d’alerte François Gemenne, et allie le monde artistique à celui de la recherche scientifique. Glissant vers le conte planétaire pour dire l’urgence d’agir ensemble, elle est l’occasion de penser le monde autrement et de reconsidérer notre rapport à l’autre.
Une exploration à la fois scientifique, intime et poétique des enjeux mondiaux liés au réchauffement climatique et aux migrations qui en découlent.
Avec simplicité et humour, mais sans jamais renoncer à la complexité de l’analyse, ils entraînent le public, et notamment les plus jeunes d’entre nous, dans une stimulante réflexion sur migrations et changements climatiques, pointant avec évidence ce qui relie ces deux phénomènes.
Sommes-nous capables d’agir pour l’autre au-delà de nos frontières géographiques et générationnelles ? Sommes-nous capables de reconnaître l’autre, non pas comme quelqu’un de différent de nous-mêmes, mais au contraire, comme une partie intégrante de nous ?
En d’autres termes, sommes-nous capables de faire humanité ensemble ?
Des questions vertigineuses mais tellement nécessaires.
Nous rentrions alors dans l’anthropocène !