Miro au Musée Paul Valéry

 Du 21 juin au 9 novembre le Musée Paul Valéry consacre son exposition d’été à Joan Miró. En réunissant plus de 70 œuvres :

Peintures, sculptures, œuvres sur papiers, de collections publiques et privées, nationales et internationales, l’exposition intitulée MIRÓ
– Vers l’infiniment libre, vers l’infiniment grand, a pour propos de mettre en évidence tout à la fois l’extrême liberté de l’artiste sur les plans de l’esthétique, de la représentation de la femme, de son regard politique, et son aspiration à introduire dans ses oeuvres une cosmogonie personnelle spontanément liée à l’immensité des espaces célestes. Vers l’infiniment libre car, dans toutes les étapes qui scandent sa production, Miró ne cesse d’exprimer une indépendance d’esprit qui le maintient à l’écart de toute adhésion définitive à quelque doctrine que ce soit, si proche a-t-elle parfois pu lui paraître.

Miro au Musée Paul Valéry

 

Maïté Valles-Bled a présenté jeudi la grande expo d’été conscrée à Juan Miro.

Du 21 juin au 9 novembre 2014, le Musée Paul Valéry consacre son exposition d’été à Joan Miró.

En réunissant quelque 70 oeuvres : peintures, oeuvres sur papiers, de collections publiques et privées nationales et internationales, l’exposition Vers l’infiniment libre, vers l’infiniment grand propose de mettre en évidence tout à la fois l’extrême  liberté de l’artiste sur les plans de l’esthétique, de la représentation de la femme, de son regard politique, et son aspiration à introduire dans ses oeuvres une cosmogonie personnelle spontanément liée à l’immensité des espaces célestes.
Vers l’infiniment libre car, dans toutes les étapes scandant sa production, Miró ne cesse d’exprimer une indépendance d’esprit qui le maintient à l’écart de toute adhésion définitive à quelque doctrine que ce soit, si proche a-t-elle parfois pu lui paraître.
Ainsi, même s’il adhère au surréalisme lorsqu’il en signe le alors à la remise en question personnelle qu’il fait de toute référence, il sera cependant loin d’en suivre tous les dogmes, comme n’a cessé de le lui reprocher André Breton, qui reconnaîtra cependant que la production de Miró «atteste d’une liberté qui n’a pas été dépassée ».