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Le Conseil d’administration de la Coordination nationale des Conseils de développement (CNCD) qui s’est réuni jeudi 7 juillet 2002 a élu Bruno Arbouet au poste de co-président.
Cette nomination consacre le travail accompli depuis plusieurs années et l’engagement au sein de la CNCD dans l’ensemble des événements majeurs qu’elle porte dans les instances nationales.
En effet, le Conseil de développement de Sète agglopôle Méditerranée a accueilli les 12èmes Rencontres nationales des Conseils de développement en présence de la Ministre de la Cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales. Il a participé très activement à la célébration des 20 ans de la CNCD au Sénat où le Président François Commeinhes est intervenu. Plus récemment, à l’automne dernier, le Codev de Sète a porté un atelier sur la thématique de l’eau, en lien avec le Ministère de la mer.
« Je suis particulièrement honoré de cette nomination qui positionne le Codev de Sète Agglopôle au rang national, parmi les 105 Codev membres de la CNCD où figurent des métropoles et des agglomérations importantes, confie Bruno Arbouet. Nous sommes déjà actifs dans un événement national au Conseil Economique, Social et Environnemental qui aura lieu en novembre à Paris. Ici, sur notre territoire, notre Conseil de développement, outil de démocratie participative est engagé sur des thématiques très importantes pour l’avenir de ses habitants, sur des questions liées à l’habitat, la mobilité, l’accueil de l’innovation, la révision du Schéma de Cohérence Territoriale, avec 2040 comme horizon. La centaine de citoyens engagés présentera son travail le 15 octobre prochain à Frontignan pour un premier bilan après un an de fonctionnement avec une nouvelle équipe ».
Le territoire du Bassin de Thau couvre 14 communes et accueille chaque année 1.5 millions de touristes. Sa situation en bordure du littoral méditerranéen en fait un territoire marqué par la saisonnalité dans le secteur de l’hôtellerie-restauration.
Le redémarrage de l’économie en 2022 crée de vives tensions sur les recrutements dans de nombreux métiers de la filière. Les établissements sont soumis à des difficultés de recrutement, en partie liées aux suites de la crise Covid. Dans ce contexte, et pour leur apporter un soutien dans le recrutement et la gestion de leurs ressources humaines, la ville de Sète, Sète Agglopôle Méditerranée, la CCI et la Mission Locale d’Insertion des Jeunes du Bassin de Thau (MLIJBT) se sont associées pour créer une enquête auprès des saisonniers du secteur CHR.
L’enquête qui va être menée du 8 au 31 juillet, par un groupe de jeunes accompagnés par la MLIJBT, sera administrée auprès de 300 saisonniers, avec l’accord de leurs employeurs préalablement sollicités.
Pour Laurence Magne, Présidente de la MLI, élue municipale et vice-Présidente de SAM, «l’ambition de cette enquête est de mieux comprendre quels sont les profils et les attentes des saisonniers employés dans la ville, et plus particulièrement mesurer leur intérêt à s’engager sur des contrats de travail pluriannuels, sous réserve d’entrer en formation professionnelle entre les saisons estivales. Elle permettra également de comprendre leurs parcours et leurs motivations à s’ancrer dans le métier et/ou bénéficier de formations entre les saisons, pour rendre leur métier plus valorisant, et leur parcours plus riche ».
L’objectif de cette enquête est également d’accompagner la filière CHR dans l’attractivité des métiers et la pérennisation des emplois.
« Si les résultats mesurent un intérêt important sur des parcours emplois/formation, l’objectif sera alors de proposer aux salariés des contrats de 2 à 3 saisons estivales et de se former pendant un ou deux hivers, pour obtenir des diplômes ou qualifications » précise Yamina Chihib, directrice de la Mission Locale.
Sète Agglopôle Méditerranée se chargera de définir et organiser les contenus de formation, trouver les financements pour ces parcours mixtes, en lien avec les représentants de la profession et les organismes de formation.
Madame le Maire et les membres du Conseil Municipal souhaitent de très bonnes vacances et un bel été à tous.
Le Contrat de gestion intégrée et de transition écologique a été signé avec l’État et les partenaires en fin d’année.
Les contours d’un développement harmonieux de nos villes et villages ont été tracés par le Schéma de cohérence territoriale (SCOT) et sa révision.
Le lancement en fin d’année de la plateforme territoriale collaborative BlueThauLab et du Projet Alimentaire Territorial (PAT) via l’évènement « Ora maritima » participent à la co-construction d’un modèle de territoire plus résilient.
Etre résilient, c’est être bien préparé aux crises et trouver dans nos ressources l’agilité pour vivre en toute sérénité sur le territoire de Thau.
Le rapport d’activités présente de façon synthétique les actions du SMBT et de ses partenaires, à lire de toute urgence !
Cliquer ici pour télécharger le rapport d’activité 2021 ou ici pour le feuilleter sur Calaméo.
https://www.smbt.fr/wp-content/uploads/RA-2022-GRAND-PUBLIC-LIGHT.pdf
https://fr.calameo.com/read/007122067857c6c1bca09
On enregistre, depuis le début de la semaine, une émergence de moustiques adultes dans plusieurs zones humides à submersions temporaires incluses dans le secteur d’intervention de l’EID Méditerranée, en particulier autour du Grau-du-Roi / Aigues-Mortes / La Grande-Motte, et, plus à l’ouest, de Palavas, de Marseillan, de Gruissan et, dans une moindre mesure, autour de l’étang de Salses.
Cette situation s’explique de la manière suivante : après une période continue de sécheresse concernant toute notre région, sont intervenus courant juin une succession de coups de mer et, surtout, des orages localisés dans la nuit du 23 au 24 juin (plus de 80 mm à certains endroits), qui ont submergé un grand nombre de zones humides à submersions temporaires, provoquant l’éclosion d’une profusion d’œufs pondus par les femelles de l’espèce anthropophile (piquant l’Homme) Aedes caspius et accumulés durant la période très sèche précédente, entraînant l’apparition de larves de moustiques, avec des densités particulièrement élevées.
Bien sûr, les équipes opérationnelles de l’EID Méditerranée ont procédé aussitôt, y compris le week-end, à une série de traitements antilarvaires, soit, depuis le 20 juin, près de 2 300 hectares de zones humides (703 ha dans le Gard, 354 ha dans l’Hérault, 787 ha dans l’Aude, 443 ha dans les Pyrénées-Orientales), principalement, compte tenu de l’étendue des territoires concernés, par moyens aériens. Il convient en effet, à cette période de l’année, de réagir très rapidement et de traiter dans les 2 à 3 jours qui suivent les mises en eau.
Cependant, les conditions météorologiques, principalement le vent, ont retardé certaines interventions aériennes. Et d’autres contraintes sont intervenues, constituées par :
Certains traitements s’en sont trouvés insuffisamment efficaces, sans possibilités de reprises au regard de la durée très courte du développement larvaire, indexée sur les températures très chaudes.
Ainsi, malgré nos efforts, des émergences de moustiques sont advenues et des nuisances se produisent, favorisées par les chaleurs actuelles, qui, bien que sans commune mesure avec ce qui résulterait de l’absence de traitements, sont perçues de façon très gênante en ce début de saison estivale.
Les évaluations effectuées montrent que certains moustiques adultes réchappés de ces traitements pourraient migrer vers d’autres zones agglomérées.
L’EID Méditerranée précise : » Nos services sont mobilisés pour contrôler au plus près la population de ces moustiques nuisants. Compte tenu de cette éclosion exceptionnelle, à l’échelle d’une bonne part du littoral de la région, des interventions terrestres très ponctuelles, elles-mêmes exceptionnelles, contre ces moustiques à l’état adulte pourraient être effectuées dans les secteurs urbains les plus impactés, à la demande des collectivités et après accord des autorités, dans les conditions prévues par les arrêtés préfectoraux annuels encadrant les opérations de démoustication, à l’instar de celles qui ont eu lieu en 2015, lors d’un épisode comparable. À condition que la météo, en particulier les conditions de vent, et les contraintes réglementaires les rendent possibles. »
« Enfin, il faut souligner que les orages, précédés et suivis de fortes chaleurs, donc d’arrosages, ont été très favorables au développement du moustique-tigre, espèce urbaine, dans divers réceptacles généralement secs à cette période. Les nuisances dues à cette espèce, en se conjuguant avec celles des moustiques nuisants issus des zones humides, sont susceptibles d’augmenter la gêne ressentie par les populations. Dans ce cas, il importe de prévenir ces situations en veillant, chacun chez soi, à vider les eaux stagnantes ou en rendant étanches les récipients recueillant de l’eau par une toile moustiquaire fine et/ou un couvercle. «