
Vous envisagez de vous faire tatouer ? Attention, le tatouage n’est pas un acte anodin. Service-Public.fr vous délivre quelques conseils pour choisir votre tatoueur et sur les gestes d’hygiène essentiels.
La première étape est de savoir si vous souhaitez faire un tatouage temporaire ou permanent.
Le tatouage temporaire ne rentre pas dans l’épiderme mais est déposé à même la peau. L’encre éphémère utilisée entre dans la catégorie des produits cosmétiques. Le dessin reste en règle générale un peu moins d’un mois sur la peau.
Le tatouage permanent est réalisé avec un colorant indélébile qui est introduit sous la peau à l’aide d’une aiguille : le tatouage permanent dure toute une vie !
À savoir : il est possible de se faire enlever un tatouage permanent à l’aide d’un électrodermographe ou d’un laser mais ce geste ne peut être réalisé par un tatoueur. Il s’agit d’un acte médical pouvant entraîner un risque de cicatrices.
Le choix du professionnel effectuant l’acte est important.
Les points de vigilance sur lesquels il faut être attentif avant de se rendre dans un salon de tatouage sont les suivants :
Si ces pratiques ne sont pas respectées, il est recommandé de trouver un autre professionnel.
Attention : avant la séance, évitez de consommer de l’alcool ou de prendre des médicaments qui fluidifient le sang, comme l’aspirine, car ils peuvent ralentir la cicatrisation et augmenter le risque de saignement.
Bien que le tatouage temporaire présente moins de risque que le tatouage permanent, il ne doit pas se dérouler à la légère.
Faites preuve de vigilance lorsque des tatouages aux encres foncées vous sont proposés et évitez l’application de tatouages temporaires au henné noir. Pour intensifier la coloration noire du henné, le para-phénylènediamine (PPD) peut parfois être utilisé. Il s’agit d’un produit dangereux à l’origine d’allergies pouvant entraîner une intervention médicale, voire une hospitalisation. La Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) rappelle que « cet ingrédient est interdit dans les produits cosmétiques autres que les teintures capillaires ».
À noter :
Une fois votre tatouage effectué, vous devez surveiller tout signe d’effets indésirables.
Les tatouages permanents présentent plusieurs risques comme :
À savoir : le tatouage comporte des risques sanitaires réels de transmission infectieuse bactérienne ou virale (l’hépatite B et C). La contamination peut provenir du matériel ou de l’encre. Consultez toujours un médecin en cas d’apparition de signes cliniques (démangeaisons, eczéma, inflammations ou autres réactions d’allergie) après un tatouage récent.
À savoir : votre enfant est mineur et il souhaite se faire tatouer ? Les tatoueurs ne peuvent pratiquer ces prestations sur des jeunes n’ayant pas 18 ans sans une autorisation écrite des parents ou tuteurs. Ce document devra être conservé pendant 3 ans par le professionnel.
« Pourpoint, harpe et lévrier » est un livre attrayant et instructif, sur la vie de château au Moyen Âge illustré de peintures méconnues, un document de 108 pages écrit par Sophie Clarinval et édité par les Nouvelles presses du Languedoc… Sophie Clarinval, historienne de l’art et passionnée par le patrimoine régional, a exercé les fonctions d’enseignante, de chargée d’études pour la DRAC Languedoc-Roussillon, de guide conférencière au musée de Lodève et propose des conférences depuis de nombreuses années au sein de l’Université du temps libre du Bas-Languedoc. Son mémoire universitaire « Le plafond peint du château de Capestang en Languedoc » est à l’origine du présent ouvrage.
Aux XIVe et XVe siècles, les seigneurs méridionaux améliorent leur cadre de vie. Les façades s’ornent de sculptures et, dans les salles d’apparat, les couleurs s’affichent partout, des sols aux plafonds. Ces derniers, en particulier, offrent quantité d’images variées et parfois surprenantes.
Récemment redécouverts, ils montrent, dans un style naïf voire humoristique, des musiciens, des danseurs, des amoureux, des bouffons, des animaux et créatures fantastiques, des scènes religieuses… À partir de ces représentations souvent méconnues, et d’autres sources d’époque, Sophie Clarinval offre, dans une langue simple et claire, une sorte de chronique « mode et société » médiévale, largement illustrée, qui va de l’habitat aux divertissements, en passant par les croyances et les habitudes vestimentaires.
Si dans une commune, l’aula, le lieu de prestige mesurait 20 m sur 8,40, à Poussan, au château d’en bas, il est de 6m sur 9. Les constructeurs y ont recherché un peu de luminosité. Pour Sophie Clarinval, l’on peut remarquer la cheminée de cette salle d’apparat qui date du milieu du XVème siècle ainsi que le plafond peint à caissons. Celui de la salle Vinas de Poussan est vraiment remarquable. C’est une référence.
D’ailleurs, Jean Laforgue, sur une proposition de Marc Lugand qui avait écrit avec des Poussanais un bel ouvrage sur Poussan, avait étudié ce plafond de la salle Vinas. Après avoir remarqué l’immense cheminée gothique fixée dans le mur entourée par un magnifique escalier en colimaçon, il avait exploré le plafond de 54 m², du « château d’en bas » devenu château Malbois au moment de la Révolution Française, plafond qui fut redécouvert en 1998 avec sa décoration. Mis à part un problème d’entretien, il était très bien conservé.
Composé de 6 grands carrés, avec un espace libre pour la cheminée, il est fabriqué avec des poutres réelles et 4 fausses poutres transversales pour régulariser. On trouve ensuite selon des proportions bien définies, des planches et des couvre-joints. Mais entre le plancher supérieur et le plafond on s’aperçut que les concepteurs avaient utilisé de la paille compressée qui évite la déformation des bois. Outre les moulures classiques, rien n’a été laissé au hasard. Les solives moulurées sont posées perpendiculairement aux poutres à raison de 7 par caisson. d’ailleurs on retrouve le même plafond, mais moins riche, sous cette salle. C’est le frère jumeau de celui de la maison Jacques Cœur à Montpellier, qui date de 1447, ce qui permet de donner une approximation pour la construction de celui de Poussan, aux alentours de 1454.
Si le château d’en bas, qui pourrait être bâti sur un édifice antérieur, n’a pas fini d’étonner, ses caissons peints, font encore l’actualité tout en étant des éléments fondamentaux de l’art européen. Retrouvez les dans le livre de Sophie Clarinval qui y dépeint la vie de la cour, en pays d’oc, à la fin du Moyen Âge.
Le livre est accessible à tous, y compris aux plus jeunes. tous ceux qui veulent en savoir plus, pourront s’informer plus avant, grâce aux nombreuses notes de fin d’ouvrage et à la riche bibliographie.
Bonne fête aux Hippolyte, Cassien, Radegonde, Riowen, Vitalina et leurs dérivés.
Bonne fête également aux Bénilde.
Le temps du 13 août, dure quatre jours.
S’il pleut le jour de Sainte-Radegonde, la misère s’abat sur le monde.
Ce nom signifie en grec : celui qui délie les chevaux.
C’est celui d’un prêtre romain du IIIe siècle au caractère trempé qui s’opposa à plusieurs papes sur des questions de doctrine et fut condamné aux travaux forcés par l’empereur Maximin avant de se réconcilier avec l’Église.
Le 13 août 1624 :
Richelieu chef du Conseil du roi
Le 13 août 1624, Richelieu devient le chef du Conseil du Roi. Le cardinal entreprend de discipliner la noblesse et la met au service du roi.
Il réoriente la diplomatie dans le sens de l’intérêt national.
Il combat le fanatisme religieux lorsque celui-ci sert les ennemis de la France.
C’est aussi bien le fait des catholiques, groupés autour de la reine et favorables à l’Espagne, que des protestants de la Rochelle qui appellent les Anglais à leurs côtés.
Et le 13 août 1521 :
Cortés entre à Tenochtitlan
Le 13 août 1521, le conquistador Hernan Cortés, ses compagnons d’armes et ses alliés mexicains entrent à Tenochtitlan, capitale de l’empire aztèque, vaincue par un long siège qui a réduit sa population à la famine.
L’orgueilleuse métropole va être détruite pierre à pierre et sur son emplacement sera érigée Mexico,
centre de la colonisation espagnole en Amérique centrale.
Lever du soleil : 06 h 48
Coucher de soleil : 20 h 56
Ciel : soleil et nuages
Vent : grec
Températures : matin :19°
Soir : 25°
https://marine.meteoconsult.fr/(
Et en musique : https://youtu.be/La0IJPt0t4Q
Vous avez l’intention de rapporter de vos vacances des galets pour refaire votre salle de bains ou agrémenter votre jardin, ou du bois flotté pour décorer votre intérieur ? Attention, il existe une réglementation qui protège l’écosystème fragile des littoraux, avec des amendes pour atteinte au domaine public pouvant être très élevées.
L’usage des plages est libre et gratuit selon le Code de l’environnement. Cependant, y ramasser du sable, des galets ou des coquillages comme souvenirs de vacances est une pratique fragilisant les littoraux qui est encadrée par la loi avec des amendes pour les contrevenants.
En effet, l’article L.321-8 du Code de l’environnement stipule que « les extractions de matériaux […] sont limitées ou interdites lorsqu’elles risquent de compromettre, directement ou indirectement, l’intégrité des plages, dunes littorales, falaises, marais […] ».
Il est interdit de ramasser du sable sur la plage. Le Code de l’environnement considère son prélèvement comme une atteinte au domaine public maritime, fragilisant les littoraux. Cependant, il est possible de collecter le « sable éolien » : celui qui a été déplacé hors de la plage par le vent sur la chaussée ou les trottoirs.
Les autorités peuvent tolérer le ramassage lorsqu’il se fait en petite quantité. Le prélèvement déraisonnable, parfois à but commercial, est passible d’une amende pouvant s’élever jusqu’à 1 500 €.
Pour les coquillages vides, la restriction est la même que pour le sable.
Sur une plage, les galets protègent la faune et la flore de la houle et de l’érosion.
Les amas de galets empilés sont à la mode mais ne sont pas sans danger pour l’écosystème du littoral.
Le glanage de galets peut coûter une amende de 1 500 €.
Les littoraux marins disposent d’une flore spécifique qui ne pousse qu’en bord de mer et qui est classée comme protégée. Couper ces plantes peut valoir 150 000 € d’amende pour « atteinte à la conservation d’espèces végétales non cultivées ».
Il n’existe pas de réglementation officielle concernant le ramassage du bois poli par l’eau et ramené sur les plages par les vagues et les marées.
Le prélèvement est autorisé car il contribue à la propreté de la plage.
Vous aimez ramasser des coquillages vivants pour les déguster ensuite ? Que ce soit pour des raisons environnementales ou sanitaires, informez-vous auprès de la mairie car la réglementation peut varier selon les départements.
À savoir : la « laisse de mer » est ce qui est laissé par la mer au gré du mouvement des vagues, du flux et du reflux des marées. Elle forme une bande où sont accumulés des éléments vivants ou d’origine vivante (os de seiche, algues, éponges, bois mort) et des débris venant des activités humaines (sacs plastiques, morceaux de filets de pêche, boulettes de pétrole).
Quand la « laisse de mer » n’est pas trop polluée, elle constitue un véritable écosystème qui participe à la vie du littoral, abritant de nombreux micro-organismes qui vivent dans le sable, nourrissant les plantes qui vont contribuer à retenir le sable, ainsi que les insectes, les oiseaux, les crustacés.
Ne pouvant honorer ses engagements pour la réalisation des concours officiels durant l’été en raison des fortes chaleurs, « La Boule Poussannaise » veut malgré tout faire plaisir aux nombreux boulistes de la région.
C’est ainsi qu’à partir du 28 juillet 2023, il sera organisé à 18h30 chaque vendredi soir jusqu’à la fin août, des concours animations ouverts à tous (licenciés et non licenciés).
Les jeux s’effectueront en doublette (mixte ou non) au complexe sportif des Baux à POUSSAN.
Une buvette et une petite restauration seront mises en place.
Dans l’espoir de vous voir nombreux dans un esprit convivial