Montpellier recevra l’arrivée de la 11e étape Carcassonne-Montpellier (164 km) le 13 juillet et le départ de la prestigieuse 12e étape Montpellier-Ventoux le 14 juillet (185 km).
L’arrivée de l’étape Carcassonne-Montpellier le 13 juillet aura lieu devant l’enceinte du stade Yves-du-Manoir.
Le 14 juillet,le village du Tour sera installé sur l’Esplanade Charles de Gaulle en lien avec l’organisation du départ sur la place de la Comédie.
Pour prolonger l’action de la Sécurité Routière présente sur le village d’arrivée le 13 juillet, une douzaine de cyclistes amateurs fermeront la caravane publicitaire, revêtus du maillot « La route se partage », au départ de l’étape du 14 juillet qui s’effectuera de Montpellier jusqu’à Castries (où sera donné le départ réel).
Avec Juliette et Mathilde que nous connaissons bien grâce aux mémorables soirées En Poussan ta porte cette année c’est la Compagnie Surprise qui fait les visites théâtrales nocturnes dans les villes de la CCNBT ! Elles sont à suivre tout au long de l’été sur Poussan et les villages du Bassin de Thau.
Une enquête différente par ville !
La première était à Loupian ce 12 Juillet, puis ce sera Montbazin le 19 Juillet et à Poussan le 20.Une soirée dont les spectateurs se souviendront : « C’était super, nous étions très nombreux (au moins 50), des Loupianais, mais aussi des visiteurs des communes du Bassin de Thau et des vacanciers, pas mal d’enfants. L’enquête était effectivement insolite et menée tambour battant par une enquêtrice fantasque. Elle a été pimentée par une rencontre avec une voyageuse en pèlerinage pour Saint Jacques de Compostelle un peu évaporée et naïve !
Le public a été captivé ! A la prochaine, à Montbazin…
Montpellier recevra l’arrivée de la 11e étape Carcassonne-Montpellier (164 km) le 13 juillet et le départ de la prestigieuse 12e étape Montpellier-Ventoux le 14 juillet (185 km).
L’arrivée de l’étape Carcassonne-Montpellier le 13 juillet aura lieu devant l’enceinte du stade Yves-du-Manoir.
Le 14 juillet,le village du Tour sera installé sur l’Esplanade Charles de Gaulle en lien avec l’organisation du départ sur la place de la Comédie.
Après le départ, le peloton prendra la direction de Castelnau-le-Lez après avoir parcouru la rue de la loge, les Arceaux, la rue Assas, la Domitienne puis l’avenue de la Justice de Castelnau.
A cette occasion, la Sécurité Routière sera présente sur le site de la ligne d’arrivée afin de rappeler le nécessaire partage de la route par tous les usagers et ainsi de rendre plus sûr l’usage du vélo.
Un stand Sécurité routière sera installé à l’arrivée des étapes. Celui-ci sera animé par les Intervenants Départementaux de Sécurité Routière (IDSR) qui pourront répondre à toutes les questions du public sur l’importance du partage de la route.
L’objectif est de rappeler les règles de bonne conduite et les bons comportements à adopter pour une meilleure cohabitation sur la route, que l’on soit conducteur ou cycliste.
Un quizz permettra au public de tester ses connaissances. Un tirage au sort lui permettra de gagner des maillots cyclistes qui portent les messages suivants : « Cyclistes, respections les règles ! » et « Je double : je m’écarte –> 1,50 m et 1 m en ville » Par ailleurs, deux véhicules aux couleurs de la Sécurité routière emprunteront l’itinéraire de la course au sein de la caravane publicitaire.
Pour prolonger l’action de la Sécurité Routière présente sur le village d’arrivée le 13 juillet, une douzaine de cyclistes amateurs fermeront la caravane publicitaire, revêtus du maillot « La route se partage », au départ de l’étape du 14 juillet qui s’effectuera de Montpellier jusqu’à Castries (où sera donné le départ réel).
Le Tour de France et la Sécurité Routière s’engagent pour la sécurité des cyclistes
L’association Terres de Thau, Nourricières et Solidaires organisait un stage de jardinage naturel ce dimanche 10 Juillet sur ses jardins dans le bas de Poussan avec la collaboration de Catherine Garnier des Jardins de TARA qui font partie des Jardiniers de France. L’objectif de la journée était de comprendre comment l’on peut réussir un beau jardin au naturel et économe en eau.
Devant une belle assistance avec principalement des jardiniers des Jardins Familiaux Yves Dhont de Poussan et en présence d’André Robinet président de l’Association Terres de Thau, Nourricières et solidaires de Poussan, Catherine Garnier, avant de se lancer avec les participants dans la pratique, entamait une discussion de plus d’une heure pour démontrer que faire pousser des plants et des arbres avec peu d’eau c’était presque toujours possible :
« Il faut prendre de bonnes habitudes, et éviter au maximum toutes les eaux même naturelles qui peuvent être polluées. »
Mais c’est à partir de ses expériences et de ses études que Catherine n’a pas désiré porter de l’intérêt à la culture programmée mais a préféré tirer les fruits de ses propres recherches basées sur ses connaissances.
Pour elle tout passe par la compréhension du sol, par son respect puis par sa restitution :
« L’on peut faire de l’agriculture partout, le tout est de s’adapter au sol en lui apportant ce qui lui manque pour lui permettre d’aider les plants à se développer mais toujours d’une façon naturelle.
L’argile ne sera plus un problème, par exemple.
Mais pour Jacqueline il est primordial de ne pas passer le tracteur, de respecter l’équilibre « Naturel » et d’utiliser la griffe à bêcher pour conserver les petits animaux et ne pas disséminer et multiplier les mauvaises herbes.
Et certaines opérations sont alors nécessaires mais assez simples à réaliser :
1) Aérer le sol sans le retourner.
2) Améliorer la capacité de rétention d’eau
3) Mettre du paillis et du crottin
4) Ne pas « chambouler » la terre arable et ses 20 premiers centimètres. (Une terre arable est une terre qui peut être labourée ou cultivée (latin arabilis : labourable). Les terres arables comprennent les terrains en jachère, les cultures maraîchères et céréalières et les prairies artificielles. Quand ils sont intensivement cultivés et labourés, les sols arables peuvent perdre certaines de leurs qualités (richesse en humus, diversité génétique et richesse en champignons y diminuent généralement, de même parfois que leurs capacités de rétention et épuration de l’eau).
5) Uniquement composter pour redonner de la vie à la terre.
6) Respecter 3 semaines de délai pour le compost sinon écarter le compost et mettre du terreau.
7) Faire attention aux racines des arbres ou à celles des plants en les respectant et en privilégiant des plants naturels adaptés à la région et de préférence sans greffon.
8) Et avec un minimum d’arrosage (pas automatique), les graines et les plants développeront des racines qui sauront aller trouver de l’eau dans leur périphérie ou en profondeur si nécessaire.
Les discussions étaient engagées et avant de passer à la pratique, chacun profitait de la présence de Jacqueline pour adapter les conseils à son jardin et aux plantes et arbustes qui y poussent.
Une formation et des informations enrichissantes pour ces jardiniers et qui le sauront aussi pour le sol sur lequel ils travaillent. Et avec des conseils sur le choix des plantes et comment respecter la biodiversité chacun des participants avait de quoi réfléchir sur son mode de jardinage squi n’en doutons pas est déjà assez proche de celui de Jacqueline.Cliquez sur les images pour les agrandir et zoomer.
Dans l’Aude, à Quillan, 15 enfants inscrits au séjour proposé par le Service Enfance Jeunesses de Poussan et accompagnés de 3 encadrants profitent d’une semaine ensoleillée et d’un programme d’activités aussi varié que ludique : balade à cheval, tir à l’arc, accrobranche, rafting, canoraft, via corda, spéléo.Ce lundi, ils sont allés dans un parc aquatique à Barcarès puis ont profité d’un après-midi plage , toujours avec un grand soleil . Les enfants se sont bien amusés. Que du bonheur.
Les éclairs, le tonnerre et la foudre accompagnent les orages mais comment se forment exactement les orages ? Où et quand se produisent-ils en France ? Quels sont les dangers ? Pour répondre à ces questions, Météo-France vous propose son dossier concernant ce phénomène météorologique.
Les orages se forment lorsque l’atmosphère est instable avec un air chaud en surface et froid en altitude. Cette instabilité aboutit à la formation d’un nuage de type cumulonimbus (large de 5 à 15 kilomètres et pouvant s’élever jusqu’à 15 kilomètres d’altitude). Ce nuage est accompagné par un ensemble de phénomènes violents (rafales de vent, précipitations intenses…) sans oublier les séries d’éclairs, les coups de tonnerre et les impacts de foudre. Si les éclairs sont le résultat visible de l’échauffement de l’air et les coups de tonnerre le bruit émis par la vibration de l’air, la foudre est une décharge électrique constituant un phénomène très dangereux (la France reçoit en moyenne un million de coups de foudre par an).
Par conséquent, pour s’en protéger, il convient notamment de :
ne pas rester sous un arbre isolé,
ne pas s’allonger, ni s’appuyer contre une paroi,
éviter de manipuler tout conducteur d’électricité (eau qui ruisselle, objets métalliques…),
s’asseoir par terre,
s’isoler au maximum du sol au moyen de tout matériau isolant (sac de couchage par exemple).
Sur l’ensemble de l’année, les orages sont plus fréquents en Corse et sur le sud de l’Aquitaine avec en moyenne plus de trente jours d’orage par an. Ils sont par contre assez rares sur la Bretagne.
La pédagogie de projet est une pratique de pédagogie active qui permet de générer des apprentissages à travers la réalisation d’une production concrète. Cette pédagogie permet aux élèves d’avancer dans l’apprentissage de l’autonomie, d’expérimenter la liberté de choisir, de suivre ses propres stratégies et d’augmenter son estime de soi surtout chez les élèves en difficulté.
La LPO Hérault avec d’autres associations membres du réseau CPIE du Bassin de Thau a à nouveau accompagné cette année une classe d’une école de Sète.
D’avril à juin, 10 rendez-vous avec les élèves et l’enseignante ont permis de découvrir le territoire, définir des thèmes de recherche, une problématique commune et ensuite d’investiguer en sortant de l’école, rencontrant des acteurs du territoire, observant l’environnement proche.
Une journée de restitution regroupant les 9 autres classes a permis à ces jeunes habitants du Bassin de Thau de présenter leurs découvertes à leurs camarades des communes voisines sous la forme d’un marché de connaissance et de présentations sur scène.
Vendredi, le Domaine de Maleska a eu la joie d’accueillir le groupe de jazz « Jazz’on quartet » une seconde fois, cette année, pour le plus grand plaisir des résidents.Quatre jeunes très bons musiciens ont illuminé la soirée avec des morceaux allant de Count Basie à Ornette Coleman et à Wes Montgomery. Ils ont agrémenté durant près de 2 h 00 un repas joliment concocté par les cuisiniers (petites verrines, mignardises…).
« Un véritable moment de musique, de partage et d’échanges », malgré la chaleur.Et le Domaine compte sur vous tous pour partager avec résidents, animateurs et musiciens des moments conviviaux.