Pratique du sport : le nouveau protocole sanitaire

 Homme, Femme, Push-Ups, Bien-Être

Selon la pratique et le lieu où elle est exercée, l’activité sportive peut être soumise à la présentation du passe vaccinal depuis le 24 janvier 2022. Depuis le 19 janvier 2022, de nouvelles mesures sanitaires sont entrées en vigueur pour la pratique du sport. Le port du masque redevient obligatoire dans tous les équipements sportifs couverts et de plein air. Les conditions d’accueil dans les enceintes sportives sont limitées et la consommation de boissons et d’aliments est interdite dans les espaces sportifs. Sports de compétition ou de loisir, sport scolaire et universitaire, événements sportifs en établissements couverts ou de plein air, Service-Public.fr fait le point avec le ministère des Sports.

Un nouveau protocole sanitaire est entré en vigueur le 19 janvier 2022. Selon le public et le type d’établissement recevant du public (ERP) où l’activité sportive est exercée, le passe vaccinal peut être exigé depuis le 24 janvier 2022. Le port du masque redevient obligatoire et il est formellement interdit de le retirer même momentanément dans les équipements sportifs couverts et de plein air (ERP X et PA), excepté au moment de la pratique sportive et de son encadrement effectif. Les conditions d’accueil dans les enceintes sportives sont limitées à 2 000 personnes pour les événements organisés en intérieur et à 5 000 personnes en extérieur jusqu’au 2 février 2022. La consommation de boissons et d’aliments est interdite dans les espaces sportifs jusqu’au 16 février 2022. La nouvelle « gestion des cas positifs et cas contact » a été ajoutée.

Les ERP X sont les établissements clos et couverts tels que les gymnases, les salles sportives spécialisées, les patinoires, les manèges, les piscines couvertes, transformables ou mixtes.

Les ERP PA sont les établissements de plein air comme les stades, les terrains de sport, les piscines en plein air, les hippodromes.

Les mesures sanitaires pour le sport au 24 janvier 2022
Haut niveau* et professionnel Mineurs de 12 à 15 ans** Majeurs
Pratiquants de loisir et de compétition Obligation du passe vaccinal pour les sportifs de plus de 16 ans qui pratiquent dans les ERP intérieurs (ERP X) et de plein air (ERP PA).Sauf pour les activités non soumises à déclaration ou autorisation préfectorale organisées dans l’espace public Obligation du passe sanitaire (preuve d’un test PCR ou antigénique négatif de moins de 24 heures possible) en ERP X et ERP PA sauf pour les activités non soumises à déclaration ou autorisation préfectorale organisées dans l’espace public.Toutes pratiques sportives sont autorisées.

Pour les épreuves sportives se déroulant dans l’espace public, le contrôle du passe vaccinal ou sanitaire doit être effectué le jour même.

Obligation du passe vaccinal en ERP X et ERP PA sauf pour les activités non soumises à déclaration ou autorisation préfectorale organisées dans l’espace public.Toutes pratiques sportives sont autorisées.

Pour les épreuves sportives se déroulant dans l’espace public, le contrôle du passe vaccinal ou sanitaire doit être effectué le jour même.

Sport scolaire, universitaire et formation professionnelle Exemption du passe vaccinal ou sanitaire quel que soit le lieu de pratique (ERP X, ERP PA, espace public).Activités physiques et sportives se déroulent en extérieur en priorité. En intérieur, seules les activités de faible intensité compatibles avec le port du masque sont recommandées.
Bénévoles et salariés accueillant du public dans les ERP et les événements concernés Obligation du passe vaccinal ou sanitaire et du port du masque. Obligation du passe vaccinal ou sanitaire et du port du masque.
SpectateursÉquipements intérieurs, extérieurs ou de plein air éphémère Passe vaccinal ou sanitaire dès la 1re personne et respect des gestes barrières.Assis : limitation à 2 000 personnes pour les événements organisés en intérieur et à 5 000 personnes en extérieur jusqu’au 2 février 2022.

Debout : interdiction de spectateurs debout jusqu’au 2 février 2022.

Port du masque obligatoire et distanciation d’un mètre.

Vestiaires collectifs Ouverts
Restauration, buvette La vente et consommation de boissons et d’aliments interdite dans les espaces sportifs jusqu’au 16 février 2022 sauf dans les bars et restaurants assimilés intégrés dans des enceintes sportives, la consommation de nourriture et de boissons est autorisée si et seulement si elle est assise.
*Athlètes inscrits sur les listes ministérielles, élites, senior relève.** Les jeunes qui ont 12 ans en cours d’année disposent d’un délai de 2 mois pour présenter leur passe sanitaire.

  Rappel : Le passe vaccinal pour les personnes de 16 ans et plus consiste en la présentation numérique (via l’application TousAntiCovid) ou papier, d’une preuve sanitaire, parmi les trois suivantes :

  • certificat de vaccination (schéma vaccinal complet, dose de rappel comprise dans le délai imparti pour les personnes à partir de 18 ans et 1 mois qui y sont éligibles) ;
  • certificat de rétablissement de plus de 11 jours et moins de six mois ;
  • certificat de contre-indication à la vaccination.

Les adolescents de 12 à 15 ans ne sont pas soumis au passe vaccinal mais au « passe sanitaire ». Dans les lieux où le « passe vaccinal » est exigé, ils peuvent continuer à présenter un test PCR ou antigénique négatif de moins de 24h.

  À noter : Dans les espaces publics (plages, plan d’eau, lacs…), le port du masque n’est pas obligatoire. Toutefois, le préfet de département peut, par arrêté, le rendre obligatoire si nécessaire.

Qui contrôle le passe sanitaire ?

Le responsable de l’équipement sportif ou l’organisateur de l’activité désigne les personnes habilitées à effectuer le contrôle du passe sanitaire. Ce sont les personnes qui contrôlent habituellement l’accès ou à défaut celles qui organisent l’activité. Les équipements en accès libre ou en autonomie, où la pratique sportive n’est pas organisée, ne sont pas soumis au contrôle du passe sanitaire.

Ce qui change en janvier 2022

Smic, retraites, allocations familiales, impôts, taxe d’habitation, taux de l’intérêt légal, prix des timbres, soldes, emballage des fruits, garantie légale de conformité, malus automobile, financement des rénovations de logement, etc. Retrouvez dans notre dossier l’essentiel de ce qui change en janvier 2022.

Travail

Revalorisation du montant du Smic ; Hausse du minimum de traitement dans la Fonction publique ; Hausse des pensions de retraite ; Saisies sur rémunérations : nouveaux barèmes…

Smic : revalorisation de 0,9 % au 1er janvier 2022

Fonction publique : hausse du minimum de traitement au niveau du Smic le 1er janvier

Pensions de retraite : + 1,1 % au 1er janvier 2022

Paiement des pensions de retraite : le calendrier 2022

Saisies sur rémunérations : nouveaux barèmes à partir du 1er janvier 2022

  À noter : En raison du contexte économique lié à la crise sanitaire, le plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS) est exceptionnellement maintenu à son niveau de 2021.

Famille

Actualisation des plafonds de ressources pour les allocations familiales, protocole sanitaire applicable dans les écoles, élargissement du Pass culture.

Allocations familiales : les plafonds de ressources applicables en 2022

Le protocole sanitaire applicable dans les écoles, collèges et lycées

Le Pass Culture est élargi aux jeunes entre 15 et 17 ans

Argent

La loi de finances 2022 actualise les barèmes de l’impôt sur le revenu, instaure une avance de 60 % des crédit d’impôt, poursuit l’exonération de la taxe d’habitation, maintient le relèvement exceptionnel de certains crédits d’impôt, prolonge divers dispositifs d’aides. Par ailleurs, les taux de l’intérêt légal et les prix du timbre sont révisés.

Loi de finances pour 2022 : ce qui est prévu pour les particuliers

Réductions et crédits d’impôt : versement d’une avance de 60 % le 17 janvier

Devrez-vous payer la taxe d’habitation en 2022 ?

Dons aux associations : prolongement du plafond à 1 000 € de la déduction fiscale pour 2022 et 2023

Taux d’intérêt légal pour le 1er semestre 2022 : quelle évolution ?

Prix du timbre : hausse au 1er janvier 2022

Consommation

Garantie légale de conformité étendue aux produits numériques et durée étendue pour les produits d’occasion, soldes d’hiver, emballages plastiques des fruits et légumes progressivement supprimés, contrôle de l’usage des plastiques à usage unique, interdiction de l’incinération des invendus non alimentaires.

La garantie légale de conformité étendue aux contenus et services numériques

Achat d’un produit : comment s’applique la garantie légale de conformité ?

Soldes d’hiver 2022 : les dates

Fin des emballages plastiques des fruits et légumes : quel calendrier ?

Contre le gaspillage et pour l’économie circulaire : ce que prévoit la loi

Destruction des invendus non alimentaires interdite dès le 1er janvier 2022

Transports

Titre-mobilité, nouveau barème du malus automobile, reconduction de la prime à conversion, avec taux maximal d’émission de CO2 révisé.

Payer ses frais de transport en titre-mobilité sera bientôt possible !

Malus automobile 2022 : durcissement du barème

Le montant du bonus écologique et de la prime à la conversion sont prolongés

20 points à l’ordre du jour du Conseil Communautaire de Sète Agglopôle méditerranée, ce 27 janvier avec l’élection de Thierry Baëza et des précisions sur la LGV

 Conseil Communautaire de Sète Agglopôle méditerranée du 27 janvier 2022 :

Sète Agglopôle méditerranée tenait ce jeudi 27 janvier 2022 son conseil communautaire du mois dans les locaux de Sète Agglopôle avec 20 points à l’ordre du jour et e introduction l’élection de Thierry Baëza comme 3ème Vice-Président de Sète agglopôle.

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Et avant de conclure le Conseil Communautaire François Commeinhes, Président de Sète Agglopôle a souhaité s’exprimer et apporter des précisions au sujet de l’enquête Publique sur le projet LGV

Thierry Baëza, nouveau maire de Mèze depuis décembre 2021, a été élu ce jeudi 27 janvier, 3ème vice-Président de Sète agglopôle méditerranée, lors du Conseil communautaire Avec 47 voix sur 48 exprimées…
Lors de cette première séance de l’année 2022 qui comptait 20 points soumis à délibération, il a obtenu lors d’un vote à bulletin secret, la quasi-unanimité (1 seul vote blanc).
Sa délégation lui sera attribuée très prochainement par le Président François Commeinhes qui l’a félicité pour son nouveau rôle.

Suite au renouvellement partiel du conseil communautaire, le Président François Commeinhes a tenu à saluer les trois nouveaux membres mézois qui ont intégré la représentation communautaire : Eve Gimenez-Silva, Marcel Graine, Josépha Garcia.

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Nous y reviendrons avec les réactions des intervenants.

Vidéos : https://youtu.be/RdfPEao9bmQ

 https://youtu.be/NKt6JY6jEAg

Ci-dessous le résumé des points principaux sur les 20 points plutôt techniques qui ont été débattus par les élus présents lors de la séance retransmise en direct (dès 17h) sur le Site de SAM.

L’ordre du jour : ==> ===> Téléchargez l’ordre du jour de la séance 

TéléchargezRevivez les débats en cliquant sur la vidéo ci-dessous. https://youtu.be/smlU-ssRNz0?t=268

Revivez les débats de la séance, dont l’ordre du jour comptait 20 points : www.agglopole.fr

Pour ce Conseil communautaire l’on pourra retenir que les élus ont approuvé :

Il  a été délibéré sur les points suivants :

 SAM s’engage pour la rénovation de l’habitat du centre ancien de Sète en investissant 2,3 millions d’euros

 

 Le renouvellement urbain et la requalification de l’habitat ancien dégradé du centre-ville de Sète est un enjeu majeur du Contrat de ville et du Programme Local de l’Habitat (PLH) de Sète agglopôle méditerranée.

 Il s’agit d’accélérer la requalification et l’adaptation du parc de logement, de résorber la vacance et de traiter l’habitat indigne. La stratégie d’intervention proposée vise à améliorer l’attractivité des secteurs cumulant une concentration d’habitat dégradé, des ménages paupérisés et un déficit d’attractivité.agloIMG_20220127_180939

L’évaluation de la précédente Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat en Renouvellement Urbain (OPAH-RU – 2017-2021) a conclu à un bilan positif du point de vue qualitatif comme quantitatif : 342 logements ont été améliorés, 80 propriétaires occupants ont bénéficié de ces aides. 50 logements ont fait l’objet de travaux réalisés par des propriétaires bailleurs. 212 logements de 32 copropriétés ont été améliorés et 23 copropriétés (soit 157 logements) ont bénéficié du fonds de prévention de la collectivité.

En ce sens, SAM décide de poursuivre son action par la mise en place d’une nouvelle OPAH-RU pour la période 2022-2026, concertée avec la Ville de Sète qui conduit une politique de revitalisation du centre ancien. L’État et l’Anah sont impliqués et soutiennent les collectivités dans ce cadre. Les bénéficiaires des aides seront des propriétaires occupants, des propriétaires bailleurs ou des syndicats de copropriétaires. Pour atteindre ces objectifs, l’Agglopôle et l’Anah s’engagent à financer ce programme, sous la forme de subventions en faveur des particuliers et par la participation au financement du suivi-animation. SAM agira par le biais de deux subventions, une de 262.730€ pour l’aide aux travaux et une pour l’ingénierie à hauteur de 368.167€.

 Les objectifs quantitatifs de ce programme qui va durer 5 ans :

 - améliorer 160 logements occupés par leur propriétaire,

- remettre sur le marché 155 logements locatifs à des loyers maîtrisés

traiter 276 logements inclus dans les copropriétés en difficultés et fragiles.

 

 Rapport quinquennal sur l’évolution et la conséquence des compétences transférées

 Le rapport d’information sur l’évolution des attributions de compensation eu égard aux dépenses liées à l’exercice des compétences transférées souligne l’investissement considérable réalisé par notre communauté d’agglomération au bénéfice de nos usagers et des communes membres.agloIMG_20220127_180930

 Il ressort de ce rapport que les transferts de compétences ont donné lieu à une évaluation des  charges de 10,8 M€ annuels qui est venue diminuer du même montant les attributions de compensation des communes. Ce montant se décompose de la manière suivante : 9,9 M€ pour la partie fonctionnement et 0,9 M€ pour la partie investissement. A noter qu’en 2020, le coût de fonctionnement réellement supporté par SAM  pour ces compétences, a été de 24,1 M€ (à comparer aux 9,9 M€ pris en compte dans les attributions de compensation). De leur côté, les investissements effectivement réalisés par SAM sur ces compétences ont été de 72,4 M€ en cumulé sur 5 ans (de 2016 à 2020).

 Le graphique ci-dessous montre les dépenses d’équipement réalisées de 2016 à 2020 sur les compétences transférées et compare ce montant avec celui qui est retiré de l’attribution de compensation des communes, pour la partie investissement, sur les compétences en question.agloCapture

A ce sujet François Commeinhes a apporté des précisions :

« Les chiffres qui nous ont été donnés parlent d’eux même : ils montrent depuis sa création en 2003 l’investissement considérable réalisé par la communauté d’agglomération dans le cadre de ses compétences et équipements au bénéfice de ses usagers et communes membres. Investissement qui dépasse de loin, ce qui est logique, le montant retenu sur l’attribution de compensation de nos communes. Le coût total du montant des attributions reversées par l’agglomération a été divisé par plus de 2 depuis sa création, en particulier pour la commune de Sète, dont l’AC annuelle a diminué de presque 13 millions € sur la période. Dans certains EPCI, il arrive même que les attributions de compensation s’opèrent dans le sens inverse, de certaines communes vers l’agglomération, suite à des mutualisations et prises de compétences particulièrement abouties.

Nous n’en sommes pas là au sein de Sète agglopôle Méditerranée.

Mais les divers tableaux duaglo2Capture rapport montrent clairement la montée en puissance de l’agglo depuis sa création. L’évolution du coût des compétences importantes reflète notre volonté d’augmenter le niveau de services et de réaliser des équipements structurants à rayonnement intercommunal, comme les médiathèques de Sète ou Frontignan et les diverses piscines ayant un coût de fonctionnement beaucoup plus important que celui retenu sur le transfert de charges. Mais je pense aussi aux compétences globalisées bénéficiant à toutes les communes y compris celles qui n’exerçaient pas la compétence auparavant, l’exemple des transports publics étant le plus parlant puisque le coût était en 2020 de 7 millions d’euros avec une retenue sur l’AC des seules communes de Sète, Frontignan et Balaruc les Bains pour un modeste montant de 520.000 €.

Sur la période d’étude du rapport, ce sont 72,4 millions € de dépenses d’équipement nettes de subvention réalisées par l’agglo sur le périmètre des 27 compétences transférés (sans compter les compétences équilibrées par des recettes affectées), avec seulement 4,3 millions retirés de attributions de compensations des communes pour l’investissement.

Pour les dépenses de fonctionnement, sans entrer dans le détail de chaque compétence et équipements, je ne retiendrai que les conclusions du rapport et ses grandes constatations :

- Avant tout, moins de 10 millions € sont retenus au total sur les attributions de compensations des commune alors qu’en « rythme de croisière », les coûts de fonctionnement sur les mêmes équipements sont désormais de 24 millions.

- Certains transfert n’ont pas fait l’objet d’une évaluation, quand il n’a pas été possible d’identifier leur coût dans les budgets communaux, donc la charge est portée par la seule agglomération

- Les tous premiers transferts n’ont pas fait l’objet d’une retenue de coût moyen annualisé, car l’obligation légale est postérieure aux premiers transferts

- Les coûts de fonctionnement de compétences importantes, le conservatoire ou les médiathèques de Sète ou en grande partie la scène nationale, sont toujours retenus sur l’attribution de compensation de la ville, sans que les charges de fonctionnement n’aient beaucoup évolué, contrairement à la piscine Fonquerne ou à la médiathèque Montaigne

- Enfin, certaines évaluations ont volontairement été minorées, suite à un accord politique discuté en bureau communautaire.

Je pense en particulier à des sujets importants comme la compétence eaux pluviales ou le service d’urbanisme, où les discussions nous ont permis d’aboutir à un compromis qui met en exergue l’important effort financier effectué par Sète agglopôle méditerranée. Ainsi sur le pluvial le coût annuel retenu sur les AC est de 428.000 au lieu de 823.000, et sur le droit des sols de 230.000 au lieu de 879.000. Sur l’entretien des espaces naturels, la retenue est de 105.000 € annuels pour 655.000 de dépenses réelles, et sur le développement économique 152.000 € de retenus pour 1,3 Millions de dépenses.

Ce sont là des exemples qui ont forcément un coût pour notre collectivité, mais qui montrent les priorités politiques souhaités par les élus communautaires.  « 

 Il a été pris acte de ce rapport.

ENQUETE PUBLIQUE LGV

 Enquete publique sur la LGV

 François Commeinhes, Président de Sète Agglopôle a souhaité s’exprimer et apporter des précisions au sujet de l’enquête Publique sur le projet LGV

 

« Pour la Ligne nouvelle Montpellier- Perpignan Comme vous le savez sans doute, et malgré ma demande de prolongation auprès du Préfet, c’est aujourd’hui à 17h30 que s’est achevée l’enquête publique préalable à la déclaration d’utilité publique de future ligne dite LNMP.

 

Un sujet sensible qui occupe l’actualité et sur lequel Sète agglopôle Méditerranée a apporté une contribution. Tout d’abord, il convient de préciser que Sète agglopôle méditerranée considère que ce projet de LNMP revêt pour l’Occitanie, mais aussi pour la France et l’Europe un caractère ferroviaire majeur.

Cette nouvelle ligne qui viendra compléter la ligne existante permettra:

– De répondre aux besoins croissants de mobilité longue distance ;

- De compléter le réseau ferré à grande vitesse européen ;

– De faciliter l’accès à la Grande Vitesse en Occitanie ;

- D’augmenter la part de FRET ;

C’est d’ailleurs pour ces raisons que SAM s’est engagée dans le financement de ce projet, en actant sa participation aux travaux de la phase 1 entre Montpellier et Béziers, à hauteur de 12,4M€. Un montant étalé sur plusieurs décennies et certes élevé. Mais une participation bien plus faible que celle demandée à la plupart des autres collectivités et EPCI qui jalonnent la ligne.

A titre d’exemple, la participation de la Métropole de Montpellier est supérieure à 85M€, celle de l’agglomération de Béziers avoisine les 35M€, et celle de l’agglo de Carcassonne, qui ne bénéficie pas non plus d’une nouvelle gare, se monte à 24 millions.

Une de nos demandes a ainsi été prise en compte, à savoir que le montant demandé aux EPCI prenne en compte l’apport pour le territoire concerné de cette LGV, ce qui n’était pas le cas pour les études préalables où tous étaient logés à la même enseigne. La validation de ce protocole ne doit pas être considérée comme un blanc-seing donné au maitre d’Ouvrage.

Car si nous avons décidé de financer des études complémentaires à hauteur de 330 000€, nous avons refusé de financer les acquisitions foncières, en considérant qu’il était bien plus prudent d’attendre la déclaration d’utilité publique.

Une fois posé le contexte général de ce projet, il me faut donc évoquer avec vous l’impact local de cette LNMP sur notre territoire.

Je vais donc ici, en quelques mots, vous synthétiser l’avis de Sète agglopôle méditerranée :

En matière de Mobilité, les effets positifs sur le territoire sont quasiment inexistants. En effet, comment justifier, sur notre bassin de vie, que le gain de temps en TGV de 39 minutes entre Montpellier et Perpignan soit intégralement annihilé par la réduction drastique du nombre de TGV à l’horizon 2045 en gare de Sète. Sur ce thème, Sète agglopôle méditerranée souhaite donc : 

le maintien d’une offre TGV de qualité en gare de Sète, car on ne peut se résoudre à n’accueillir que 2 TGV par jour en gare de Sète, qui plus est avec son passage en pôle multimodal dans lequel toutes les collectivités ont fortement investi. 

la garantie d’un renforcement très significatif des trains du quotidien, afin de bénéficier d’un véritable « RER Littoral » mis en avant par la région Occitanie è que SNCF Réseau prenne dès aujourd’hui les mesures nécessaires pour anticiper les risques de submersion de la ligne historique. La ligne historique ne devra pas être abandonnée en l’horizon de 2050/20100.

En matière d’attractivité, Sète agglopôle méditerranée s’interroge de savoir si cette LNMP n’aura pas un effet négatif sur le tourisme, les événements culturels ou le thermalisme.

D’un point de vue environnemental, le tracé va impacter plus de 500 hectares de terres agricoles, viticoles, de massifs forestiers et 11 cours d’eau.

Et il n’a échappé à personne que notre territoire sera traversé par de nombreux ouvrages d’art, dont le plus emblématique, si j’ose dire, sera un viaduc de plus de 1,4 km de long et 28 mètres de haut qui sera visible, par exemple, de l’abbaye de St Félix de Montceau, du Mont-Clair ou de la Crique de l’angle.

Sur ce thème, Sète agglopôle méditerranée souhaite donc : 

maîtriser la mise en œuvre des mesures compensatoires sur son territoire et notamment se voir déléguer, au titre de sa compétence GEMAPI, l’ensemble des travaux permettant la restauration des ripisylves ; la renaturation des cours d’eau ou bien encore la renaturation des zones humides ;

que SNCF Réseau porte une attention particulière sur l’intégration paysagère du viaduc

Autre point qui me tient à cœur en tant que Président de l’agglomération mais également Maire de Sète : la ressource en eau.

Le projet traverse le périmètre de protection rapproché (PPR) du captage d’Issanka. A ce jour, la construction de la LNMP est incompatible avec la déclaration d’utilité publique des captages d’Issanka qui interdit toutes nouvelles constructions au sein du PPR.

Je serai très attentif aux garanties apportées par SNCF Réseau pour maintenir notre seul ressource en eau. En conclusion, et je le redis ici devant vous, Sète agglopôle Méditerranée n’est pas opposée au principe de cette LNMP, mais il faut impérativement que des réponses claires et précises soient apportées par SNCF Réseau à nos interrogations. »

Thierry Baëza, nouveau maire de Mèze depuis décembre 2021, a été élu ce jeudi 27 janvier, 3ème vice-Président de Sète agglopôle

Thierry Baëza, nouveau maire de Mèze depuis décembre 2021, a été élu ce jeudi 27 janvier, 3ème vice-Président de Sète agglopôle méditerranée, lors du Conseil communautaire qui se déroulait dans nos locaux.
Lors de cette première séance de l’année 2022 qui comptait 20 points soumis à délibération, il a obtenu lors d’un vote à bulletin secret, la quasi-unanimité (1 seul vote blanc).
Sa délégation lui sera attribuée très prochainement par le Président François Commeinhes qui l’a félicité pour son nouveau rôle.Peut être une image de 1 personne, position assise et intérieur

 

Revivez le Conseil communautaire du 27 janvier 2022

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Crédit immobilier : durée limitée à 25 ans et taux d’endettement plafonné à 35 %

Depuis le 1er janvier 2022, les banques doivent limiter à 25 ans la durée des crédits immobiliers qu’elles accordent aux particuliers, et veiller à ce que le taux maximum d’endettement ne dépasse pas 35 % des revenus des emprunteurs, assurance comprise.

Afin d’éviter un surendettement des ménages, le Haut conseil de stabilité financière a révisé les conditions d’octroi des crédits immobiliers, dans une décision prise le 29 septembre 2021, avec date d’effet au 1er janvier 2022. Désormais, la durée maximum d’un emprunt immobilier souscrit par un particulier est fixée à 25 ans. D’autre part, le taux maximum d’endettement, qui mesure le montant des annuités de remboursement par rapport aux revenus de l’emprunteur, ne doit pas dépasser 35 %, assurance comprise, contre 33 % auparavant.

Les établissements bancaires qui octroient les crédits doivent appliquer ces nouvelles règles. L’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) vérifie leur respect, et peut infliger blâmes et sanctions financières en cas de manquement. Ces limites étaient auparavant de simples recommandations.

Les ménages qui achètent un logement neuf sur plan, avant achèvement du bien, ou qui achètent dans l’ancien et engagent des travaux importants, dont le montant représente au moins 25 % du coût d’acquisition, peuvent bénéficier de deux années supplémentaires de durée d’emprunt.

Les établissements de crédits peuvent s’affranchir de ces conditions maximum de durée et de taux d’endettement pour 20 % des prêts octroyés. Ces dérogations doivent être réservées, pour 80 % d’entre elles, aux ménages qui achètent leur résidence principale, avec une proportion de 30 % aux primo-accédants, afin de ne pas exclure les emprunteurs aux revenus modestes ou disposant d’un faible apport, mais dont les dossiers sont toutefois jugés solides.

Le Pass’Sport est étendu et prolongé jusqu’à fin février 2022

Garçon, Baignade, Leçons De Natation

Votre enfant veut faire partie du club de natation mais l’adhésion est trop chère ? Vous êtes bénéficiaire de l’Allocation de rentrée scolaire (ARS), de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) ou de l’allocation adulte handicapé (AAH) ? L’aide de 50 € pour une inscription dans un club sportif est prolongée jusqu’au 28 février 2022 pour permettre aux adeptes de sports d’hiver d’en bénéficier. Le Pass’Sport se renouvelle pour être plus inclusif et pour faciliter l’accès à la pratique du sport.

Un décret publié au Journal officiel du 26 décembre 2021 prolonge la durée du dispositif « Pass’Sport » jusqu’au 28 février 2022 et en étend le bénéfice aux personnes âgées de 16 à 30 ans révolus au 30 juin 2021 et bénéficiant, pour l’année 2021, de l’allocation aux adultes handicapé.

De quoi s’agit il ?

Le Pass’Sport est une une aide forfaitaire (allocation sportive) versée par l’État pour la prise d’une licence auprès d’un club sportif par un jeune de 6 à 17 ans bénéficiant de l’allocation de rentrée scolaire ou de l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé. Le Pass’Sport s’ouvre désormais aux personnes de 16 à 30 ans révolus au 30 juin 2021 qui ont bénéficié en 2021 de l’allocation aux adultes handicapés. Elle permet de réduire le coût de la licence ou de l’adhésion que l’on doit payer en s’inscrivant.

Quel est son montant ?

L’aide est de 50 € par enfant.

Par exemple, si vous inscrivez vos 2 enfants de 9 et 14 ans dans un club, l’État prendra en charge 2 fois 50 € c’est-à-dire 100 €.

Qui peut en bénéficier ?

L’aide est pour les enfants de 6 à 17 ans dont les familles perçoivent :

  • l’allocation de rentrée scolaire (ARS) ;
  • l’allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH) ;
  • l’allocation adulte handicapé (AAH).

Elle concerne aussi les personnes âgées de 16 à 30 ans révolus au 30 juin 2021 qui ont bénéficié en 2021 de l’allocation aux adultes handicapés.

  À savoir : Vous pouvez obtenir en même temps d’autres aides mises en place par votre ville, votre département ou votre région et la Caisse d’allocations familiales (CAF), pour adhérer à un club ou association sportive.

Comment et quand en profiter ?

Au mois d’août 2021, un courrier a été envoyé aux familles éligibles. Si vous avez reçu ce courrier, vous devez le présenter à l’association sportive au moment de l’inscription. Si toutefois vous ne l’avez pas reçu ou que vous faites partie des nouveaux bénéficiaires de cette aide, il vous suffit de télécharger l’attestation de paiement pour l’une des allocations (ARS, AAH, AEEH, AAH) et de la présenter au club sportif de votre choix.

Vous ne recevrez pas directement l’argent. Le montant de l’aide est versé directement au club.

Le montant couvre tout ou partie du coût d’inscription dans un club, c’est-à-dire :

  • la partie licence reversée à la fédération ;
  • et la partie cotisation qui revient au club.

Où l’utiliser ?

Le  Pass’Sport peut être utilisé :

  • dans les associations sportives affiliées aux fédérations sportives agréées ;
  • dans les Quartiers Prioritaires de la ville, auprès de toutes les associations sportives agréées qu’elles soient affiliées ou non à une fédération sportive ;

  À noter : Pour utiliser cette aide, il faudra que l’association sportive soit partenaire du dispositif Pass’Sport. Retrouvez-les sur la carte interactive .

Les associations doivent proposer une découverte gratuite de leur activité avant de confirmer la prise de licence.

JEUDI 27 JANVIER dès 18h30, c’est à l’Odéon music bar que ça se passe !!

SaÏ : chanteur, saxophoniste et guitariste talentueux de la région !
Il vous propose un répertoire varié autour du funk, du jazz et de la saoul et du swing.
Le tout dans une Ambiance conviviale et décontractée !
Tout un programme à lui tout seul !
La soirée idéale pour décompresser, seul, en famille ou entre amis !
absaCapture
Happy hour 18h30/19h30 c’est :
-50% sur les tous les cocktails
Carte TAPAS avec nouveauté : Assiette d’huitres.
Réservation conseillée 06.63.384.943
Mesures sanitaires en vigueur !