Depuis ce lundi 2 novembre, le pont du chemin de la Garenne est à nouveau accessible

Depuis ce lundi 2 novembre, le pont du chemin de la Garenne est à nouveau accessible. Il avait été fermé suite aux intempéries du 19 septembre dernier.
Afin de sécuriser l’accès des véhicules et piétons des travaux ont été effectués pour :
- consolider la chaussée
- sécuriser la structure du pont

Bulletin de vigilance départemental

Dans la nuit de samedi à dimanche, sur le littoral et la plaine de l’Hérault et du Gard, des orages vont se former.pdfCapture

Ces orages seront particulièrement intenses et pourront être durables et très peu mobiles. Sous ces orages stationnaires les intensités de pluie seront très fortes et les quantités de pluie prévues peuvent atteindre 150 à 200 mm en très peu de temps.

L’amélioration est attendue dimanche matin.

QUELQUES NOMS DE LIEUX DU BASSIN DE THAU en lien avec la langue occitane

Par Josiane UBAUD – Lexicographe et ethnobotaniste en domaine occitan

 

Nos noms de lieux (toponymes) conservent les traces les plus anciennes de toutes les langues (pré-indoeuropéen, gaulois, grec, latin, etc.). Ces noms digérés et façonnés par l’occitan, comme on en voit l’évolution au fil des siècles dans les archives, cartulaires et compoix, ont été ensuite transcrits en français à partir du 17e siècle de façon souvent approximative quant à l’orthographe, voire catastrophique, les rendant opaques et sans lien avec leur langue d’origine, l’occitan.

Rappelons en effet l’évidence : les noms occitans des villages qui s’affichent parfois en plus du nom français… existaient avant le français. Ils ne sont donc point des « traductions du français » puisque c’est exactement tout le contraire. À ce sujet, on se rappellera la rocambolesque affaire des panneaux bilingues de Villeneuve-les-Maguelonne/Vilanòva de Magalona, où la municipalité avait été attaquée par un individu tous crocs dehors et d’une grande ignorance, accusant d’avoir inventé le nom occitan (pourtant présent dans les archives depuis le 12e siècle, encore faut-il s’instruire dans les livres adéquats).

Affichage qui, de plus, serait… accidentogène pour les automobilistes, à cause d’un deuxième panneau qui perturbe gravement leurs yeux. Cela ne fait pas rire hélas… Il a été débouté mais en deuxième instance seulement, le premier jugement lui ayant donné raison. Les juges ne sont pourtant point linguistes. Surréaliste et très français, quant au rapport aux langues régionales que dénote l’incident.

« Les explications les plus fantaisistes circulent aussi concernant le sens de ces noms (Loupian… parce qu’il y avait des loups…), véhiculées par des personnes croyant savoir, se faisant passer à peu de frais pour l’érudit local, mais s’abstenant de consulter le moindre ouvrage de spécialistes. Or l’étymologie est une science, pas une intime conviction ou un jeu d’improvisation « à l’oreille ». Mais la réponse est parfois bien difficile à trouver, les toponymistes ne sont pas toujours d’accord entre eux, et les affirmations sur tel ou tel nom ont pu évoluer au fil du temps, grâce à de nouvelles recherches sur les langues anciennes. »

Nous allons donc donner quelques grandes lignes d’explications pour quelques toponymes du bassin de Thau, du moins ceux qui sont clairs. Non tant pour faire une leçon d’étymologie que pour surtout remettre en évidence la langue occitane sous-jacente, pour les habitants d’origine ou d’adoption. Ils ne liront plus ces noms sans aucun retour de sens…

Ce qui frappe bien sûr en premier, c’est la grande abondance de noms en –an et en –ac (comme ailleurs en Languedoc et en Provence).

Ce sont des noms de domaines gallo-romains attribués en récompense à de valeureux soldats. Le nom exprime donc « le domaine de … », avec trois suffixes latins possibles :

  • nom de la personne + -anum qui donne tous les toponymes en –an,
  • nom de la personne + -acum qui donne tous les toponymes en –ac,
  • nom de la personne + -anicis qui donne tous les toponymes en –argue, formation absente ici mais très présente à l’est de Montpellier (Vendargues, Lansargues, Aimargues, etc., affublés en français d’un s final non étymologique).

Ces formations expliquent que l’on retrouve les mêmes toponymes en des régions diverses (Gignac par exemple) car formés sur le même prénom. Ou encore le même prénom mais suffixé différemment qui donnent des toponymes proches (Veyrac et Veyran).

 LES NOMS EN –ANzoug55Capture

Ils sont donc issus de la suffixacion en –anum qui se réduit ensuite à –an.

Marseillan = Marcellus + -ianum. En occitan Marselhan (prononcé Massilhan).

Loupian = Loppius + -anum. En occitan Lopian. Par sa sonorité, la ville a naturellement choisi le loup comme animal totémique.

 Poussan = Porcius + -anum. La bonne transcription en français est Pourçan, ou au moins Pouçan, de l’occitan Porçan, le r n’étant pas prononcé en languedocien et assimilé au ç qui suit. Mais il n’y a point de s dans l’étymon qui puisse justifier leur présence en français.

Gigean = Gijius + -anum. La bonne transcription est Gijan.

Frontignan = Frontinus + -ianum. En occitan Frontinhan.

Bessan = Bettius + -anum. La bonne transcription en français est Beçan, comme en occitan, les deux s étant anti-étymologiques comme dans Poussan.

Nézignan = Nasinius + -anum. En occitan Nasinhan, qui est passé à Nesinhan. Le z de la transcription en français est une pure fantaisie anti-étymologique, fantaisie qui affuble bien d’autres toponymes (par exemple Barry au lieu de Barri, le rempart ; Pézenas au lieu de Pésenas qui serait encore mieux en Pésénas).

 LES NOMS EN –AC

Ils sont donc issus de la suffixacion en –acum qui se réduit ensuite à –ac.

Montagnac = Montanus + -acum. En occitan Montanhac.

Florensac = Florentius + -acum. En occitan Florençac (encore un s anti-étymologique).

Veyrac = Varius + -acum. En occitanVairac. Encore la lettre y totalement fantaisiste dans la transcription française… Et donc Villeveyrac, de l’occitan Vilavairac. Ce village porte aussi le nom de Vilamanda en occitan.

 LES NOMS D’AUTRES ORIGINES

Tous les toponymes ne sont pas d’origine latine. Certains sont bien plus anciens, dont la racine est attribuée à une langue antérieure, cataloguée de pré-indo-européen. D’autres peuvent avoir une origine gauloise ou germanique.

Mèze vient du latin mesua qui aurait pour base une racine pré-indo-européenne mis, signifiant peut-être marécage, selon les toponymistes. Sa transcription française est encore fantaisiste et devrait être Mèse (de l’occitan Mèsa ou Mesa ?).

Sète a pour base une racine pré-indo-européenne set, signifiant montagne, Seta en occitan (avec un e fermé). Elle a été un temps affublée du nom de Cette (par attraction avec l’adjectif démonstratif français ?).

Montbazin est formé sur le latin montem (mont) et le nom d’homme germanique Basen. En toute logique le toponyme s’écrit Montbasin (encore un z fantaisiste !).

Agde est évidemment à part, puisque ce fut un comptoir grec. Elle tient son nom du grec Agathé, qui donne Agde en occitan, prononcé [Adde] ou [Ate] et dont l’adjectif dérivé est en occitan agatenc ou dagdenc(prononcé [daddenc] ou [datenc]).

LES NOMS LIÉS AUX PLANTES

Quelques toponymes et microtoponymes (il faudrait en faire le recensement plus exhaustif sur les cartes anciennes) sont en liaison directe avec la présence d’une plante.

Pinet = petit bois de pins (pinus + -etum). De l’occitan Pinet.

Pomérols = pommeraie, petit verger de pommiers. De l’occitan Pomairòl.

Tamarissière = lieu où abonde le tamaris. De l’occitan Tamarissièira. À noter que l’arbrisseau est féminin en occitan (la tamarissa). Il prend ici le suffixe –aria qui désigne en latin le collectif « forêt de…, étendue de… » (cf. Eusièira, Rovièira, transcrits en français en Eusière, Rouvière, etc.)

Les Mougères (à Marseillan) : lieu où abonde les cistes (moge en occitan). De l’occitan Las Mogièiras. Ce nom a pu être déformé en certains endroits et donné par transcription en français… Les Mouches, Les Mouchères ! Non, point d’insectes, mais seulement cet arbuste de garrigue aux belles fleurs fragiles, qui a donné aussi le Château de la Mogère, à Montpellier.

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QUELQUES AUTRES NOMS OCCITANS

Bouzigues est formé sur l’occitan Bosigas, terres défrichées, du gaulois bodica.

Issanka, bien folklorisé lui aussi, vient de l’occitan eissancat, issancat, qui signifie humide, trempé.

La Gardie, La Gardiole, ici comme aileurs, désignent toujours des hauteurs d’où l’on peut observer et donc surveiller. Ils sont formés sur l’occitan Gàrdia, et son diminutif Gardiòla, à partir d’un étymon germanique.

La Peyrade, La Rouquette, Le Clap (Bouzigues), Les Clachs (Poussan) font tous référence à la pierre. Ces noms sont issus de l’occitan Peirada (la jetée, du latin petram, pierre), La Roqueta (petite roche, de l’occitan ròca, d’origine pré-indo-européenne ?), Lo Clap, au pluriel Los Claps (amas de rocher, formé sur la racine pré-indo-européenne clapp, pierre). La phonologie particulière du languedocien concernant le pluriel de Claps a mené à entendre [Clachs].

Valmagne est issu de l’occitan Valmanha, signifiant grande vallée

Grenatière vient de l’occitan Granatièra, un grenier.

Les Ounglous est une déformation de l’occitan Los Anglons (petits terrains en angles), sans rapport avec les ongles ! Le n final d’Anglon ne se prononce pas en languedocien.

Vic, toponyme fréquent, vient du latin vicum, signifiant village (d’où chemin vicinal).

 

Comme partout, les toponymes disent l’histoire, les travaux des hommes, l’emplacement des villages, la qualité des sols, la présence dominante de tel ou tel végétal. Une leçon complète de civilisation indissociable d’une langue… Comme tels, ils doivent être respectés dans leur transcription, et non folklorisés selon des démarches qui doivent très peu à la science linguistique…

La ville de Poussan a distribué aux 418 élèves du CP au CM2, deux masques lavables (normes réglementaires)

mascxCaptureLa ville de Poussan a distribué gratuitement, ce vendredi après-midi, aux 418 élèves du CP au CM2, deux masques suite au nouveau protocole sanitaire de l’Education Nationale du 2 novembre 2020, imposant le port du masque pour tous les élèves.

Ces masques sont lavables à 60° et fabriqués selon les normes réglementaires (AFNOR SPEC S76-001 certifiés DGA UNS2). mascCapture

« Nous souhaitons à tous les élèves une très bonne continuation dans la poursuite de leur scolarité. »

Les élus de Sète Agglopôle ont parfaitement compris la nécessité de prendre en compte le risque de submersion ou d’inondation

Les élus de Sète Agglopôle ont parfaitement compris la nécessité de prendre en compte le risque de submersion ou d’inondation qui pourrait menacer les habitants de nos communes. Pour y faire face, ils ont décidé lors de la séance communautaire d’hier soir, de consacrer près de 766 000 € d’ici 2025 pour l’entretien et l’aménagement de 40 cours d’eau du territoire.L’image contient peut-être : plante, plein air, nature et eau
Une compétence spécifique, la GEMAPI (Gestion des Milieux Aquatiques et Protection des Inondations) est exercée par Sète agglopôle depuis 2018 pour répondre à ces enjeux. Dans ce cadre-là et assistée du Syndicat mixte du bassin de Thau, des travaux de nettoyage et de restauration de nombreux ruisseaux (Vène, Pallas, Soupié, Fontanilles…) sont régulièrement programmés. Au total ce ne sont pas moins de 131 km qui sont concernés.
Veiller sur ces zones qui abritent de nombreuses espèces animales et végétales, les maintenir en bonne santé, c’est aussi protéger notre identité lagunaire.

A Montbazin, le Conseil Communautaire de Sète Agglopôle méditerranée ce 5 novembre 2020, priorité à l’économie

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Conseil Communautaire de Sète Agglopôle méditerranée du jeudi 5 novembre 2020

Le dernier Conseil Communautaire de Sète Agglopôle méditerranée se tenait ce jeudi 5 novembre 2020 dans la salle Marcelin Albert de Montbazin  avec port du masque et un minimum de public, pandémie oblige…

 47 points étaient à l’ordre du jour, avec quelques débats bien importants durant la réunion en relation avec les difficultés engendrées par les contraintes sanitaires..

Voici ci-dessous le résumé des points principaux : de nombreuses décisions qui portent sur des domaines budgétaires n’ont pas donné lieu à des débats, la plupart ayant été votées à l’unanimité.montbaIMG_20201105_180727

 En premier lieu, le rapport du précédent Conseil Communautaire a été approuvé à l’unanimité.

Ensuite, François Commeinhes pour faire suite à des décisions internes et à un bureau commnautaire a demandé à l’assemblée de pouvoir présenter un 48ème point relatif à des mesures de soutien à l’économie par la stimulation de la consommation, en relation avec l’office de Commerce, l’Archipel de Thau, avec l’attribution d’une subvention exceptionnelle associée à une convention de participation financière…

      Avant que Jean-Guy Majourel, vice-Président de Sète Agglopôle ne présente ces mesures avec particulièrement une subvention exceptionnelle à l’Office de Commerce-Archipel de Thau d’un montant de 236 000€ pour déployer une opération de relance (Mesure votée à l’unanimité) François Commeinhes a défini les grandes lignes des aides communautaires aux petits commerces et entreprises frappées par le confinement

Pour François Commeinhes : « Une nouvelle fois, depuis qu’a commencé cette terrible crise pandémique en début d’année, notre collectivité a fait le choix d’être en première ligne pour aider les petits commerces et entreprises frappées par les mesures nationales de confinement.

Plutôt que de se perdre dans des annonces sans lendemain ou prise d’arrêtés illégaux mettant en péril les commerces auxquels ils s’adressent, et sans pour autant renoncer au lobbying auprès des pouvoirs publics pour soutenir les commerces pénalisés, les élus de Sète agglopôle méditerranée se sont mobilisés le jour même de l’annonce du reconfinement. Ceci pour intervenir, dans un cadre légal, au côté des partenaires institutionnels et consulaires et en complément des aides décidées aux niveaux national ou régional. »

Lors de la première période de confinement, à la veille des élections municipales, et donc dans un contexte particulièrement délicat pour les collectivités, les élus communautaires avaient décidé un plan d’actions sans précédent de 20 millions d’euros de soutien à l’économie locale.

François Commeinhes avait présenté le mois dernier un premier bilan, avec ses axes forts qu’étaient le soutien aux structures frappées d’une fermeture administrative, une aide à la relance au côté de la région, ainsi que des aides spécifiques pour des secteurs emblématiques du territoire, tels que la conchyliculture ou le thermalisme.

Le Président de Sète Agglopôle rajoutait :  » nous nous apprêtons également à voter une aide substantielle pour les thermes de Balaruc-les-Bains, première station thermale nationale qui irrigue l’économie entière du territoire et qui est si durement frappée par cette crise sans précédent.

Plus de 2000 entreprises et indépendants du territoire, tous secteurs confondus, ont ainsi été aidés par notre collectivité durant la première phase de confinement.

En dégageant un budget si important, essentiellement financé par l’emprunt car nous ne souhaitons pas amputer notre capacité d’investissement qui participe aussi à la relance économique, nous nous doutions que nous en avions pour de longs mois de crise. Et qu’il nous faudrait donc revenir à l’ouvrage, comme nous le faisons actuellement. »

Dès le lendemain de l’annonce gouvernementale du reconfinement, SAM s’est réuni en commission des maires pour aborder la réactivation de nos aides économiques spécifiques au territoire. Ce jeudi matin la région Occitanie réunissait les élus des EPCI pour leur indiquer les adaptations de ses dispositifs d’aide à la situation de crise actuelle, concernant notamment les commerces de proximité, qui sont pénalisés à plusieurs titres. Et juste avant ce conseil, les élus se sont réunis en bureau communautaire pour affiner leurs propositions :

-La première d’entre elle, concerne la mise en place, en lien avec l’Office de Commerce – Archipel de Thau, d’une opération de stimulation à la consommation par « cagnottage » visant à soutenir et à relancer le commerce « très local /de coeur de ville » sur le territoire.

Il s’agit, sur le même principe que l’opération « Thau Foliz » lancée, en juin dernier, au côté de la chambre départementale de commerce, afin de permettre aux consommateurs de se voir rembourser, par le biais d’une application mobile, 20% de leurs achats (sur les 100 premiers euros) dépensés chez les commerçants et restaurants des cœurs de villes des 14 communes de Sète agglopôle méditerranée.

« La proposition qui est faite ce soir est de voter une subvention de 200.000 € à l’Office de Commerce pour le déploiement de cette opération qui débutera dès le déconfinement – « que nous souhaitons le plus rapide possible – à la réouverture de tous les commerces. »

Ces 200 000 € vont générer automatiquement au minimum 1 millons € de recettes chez plus de 1 900 commerces références gratuitement. Mais, au vu des expériences précédentes, on estime un effet multiplication de 9 chez les commerçants concernés.

Une manne financière importante et bienvenue en cette période cruciale, durant laquelle ils réalisent en moyenne plus d’un quart de leur chiffre d’affaire annuel. Ce sera aussi une augmentation réelle du pouvoir d’achat des consommateurs, également impactés par la crise et parfois le chômage partiel.

- La seconde, sollicitation de la région Occitanie pour réactiver le fonds d’urgence spécifique à notre territoire et tenant compte du tissu économique de nos communes.

« Nous souhaitons en effet aider les entreprises frappées par une fermeture administrative. Tous ces petits commerces, professions libérales, indépendants ou artisans, dont le chiffre d’affaires est inférieur à 500.000€. Cela représente plusieurs milliers de professionnels sur le territoire. »

En conventionnant avec la Région, l’agglopôle pourra comme lors de la première phase du confinement leur attribuer un fonds spécifique de 2000 €.

Troisième mesure, continuer à contribuer au fonds de relance régional appelé Llocal, constitué d’avances remboursables et de subvention pour des investissements pour se conformer aux normes sanitaires.

En accord avec SAM, la Région Occitanie fait évoluer les formes de cette aide pour qu’elle colle mieux aux besoins de terrain, et l’a prolongé jusqu’au 31 janvier de l’année prochaine.

Parmi les principales évolutions pour élargir les publics bénéficiaires : rendre tous les artisans éligibles et pas seulement ceux recevant du public, toutes les activités commerciales ainsi que celles liées au sport, loisirs, événementiel ou tourisme… Et pour les avances remboursables : augmentation du différé de remboursement

La Région a par ailleurs décidé de déplafonner cette aide, notamment pour pouvoir aider les entreprises de thermalisme, et en particulier les thermes de Balaruc-les-Bains, qui sont au centre de de l’attention de SAM.

« Appel aussi au civisme de nos agents pour que les traditionnels bons d’achat de Noël, qui représentent plusieurs centaines de milliers d’euros pour agglomération et mairies, soient exclusivement utilisés dans le tissu local, hors vente en ligne et grandes surfaces. Bons d’achat que nous adapterons, si nécessaire, pour rendre impossible de tels achats.

En outre, toujours en lien avec les partenaires, études pour financer le passage au e-commerce de tous les commerçants, entreprises ou artisans qui n’en sont pas dotés. C’est aussi un pari sur l’avenir, car, quelle que soit la durée de la crise, de tels investissements seront précieux pour s’adapter et non pas subir les nouveaux modes de consommation. Cela devrait donner en outre du travail aux entrepreneurs et start-up concernés. »

Les 2 délibérations proposées ayant été votées une large communication sera faite en lien avec la chambre de commerce et celle des métiers, pour que toutes les entreprises soient informées des aides auxquelles elles ont droit, via les sites internet, réseaux sociaux et envois direct aux entreprises et commerçants.

« La semaine prochaine, le vice-président à l’économie et aux commerces, Jean-Guy Majourel, rencontrera les associations de commerçants du territoire, les élus au commerce des communes, pour les informer et identifier au mieux les besoins des entreprises concernées. Ceci de manière complémentaire et concertée avec la Chambre de commerce de d’industrie, où il est également élu, CCI qui assure elle aussi, par tous moyens et supports et avec la mise en place d’une cellule de crise, la diffusion de l’information et une mission de conseil, d’accompagnement et de recensement et promotion de nos entreprises, notamment au travers des nouvelles technologies que constituent les plateformes et autres « click and collect » qui se multiplient. »

Pour François Commeinhes ce plan d’aide est ambitieux, basé sur des actions concrètes, pragmatiques et efficaces. « Inédit par son ampleur et par ses diverses dispositions, il est à la hauteur de la gravité de la situation, en espérant de tout cœur qu’il évitera les disparitions d’activité si dramatiques en termes économique et social. » Conclut-il…

Ce point était voté à l’unanimité.montbaMG_20201105_180636

S’en suivait le débat sur l’élaboration d’Un nouveau pacte de gouvernance

Au lendemain du regroupement des EPCI opéré en 2017, Sète agglopôle méditerranée s’est dotée d’un Pacte de Gouvernance, dont les principes fondateurs sont la recherche de la meilleure association des communes à la conduite de la politique communautaire, l’association de la société civile à travers les prérogatives laissées au Conseil de Développement, ainsi que la solidarité à l’échelle du bloc communal, à travers une pratique de mutualisation à la carte au service des communes et l’élaboration d’un Pacte de solidarité financière et fiscale. Ce pacte a guidé ces trois dernières années la mise en place de la nouvelle agglomération et son fonctionnement. Il est proposé de le rénover pour y introduire de nouvelles notions, et dans certains cas pour y inscrire des pratiques collaboratives qui ont pu se mettre en place, de façon spontanée, et qui méritent d’être inscrite dans ce document cadre. Il sera ensuite soumis aux communes membres pour qu’elles puissent se prononcer dans les délais requis.

Puis fut étudié pour la future médiathèque de Balaruc-les-Bains la mise en compatibilité du PLU

Poursuivre sur : http://thau-infos.fr/index.php/commune/echos/89410-dddddddddbngconseil-communautaire-de-sete-agglopole-mediterranee-4

Peut-on se faire expulser pendant la trêve hivernale ?

Du dimanche 1er novembre 2020 au mercredi 31 mars 2021, l’expulsion d’un locataire pour cause d’impayés successifs est suspendue. En revanche, certaines personnes ne sont pas protégées par cette trêve. Retrouvez la liste des cas ici > https://bit.ly/3mSEhZxAucune description de photo disponible.

RAPPEL : Les 6 déchetteries de Sète agglopôle méditerranée sont ouvertes

RAPPEL : Les 6 déchetteries de Sète agglopôle méditerranée sont ouvertes pendant cette nouvelle phase de confinement, pour les particuliers et les professionnels
Les personnes se rendant dans les déchetteries doivent être en possession d’une attestation de déplacement et avoir coché la case « se rendre à une convocation judiciaire ou administrative ou se rendre dans un service public ».
Toutefois, il est conseillé de ne pas y multiplier les déplacements, en se limitant au strict nécessaire, et de respecter les gestes barrières et notamment le port du masque obligatoire sur les sites.L’image contient peut-être : une personne ou plus, personnes debout, chaussures, ciel, enfant et plein air

Challenge 1 Kilomètre 1 Déchet avec Project Rescues Océan

Challenge 1 kilomètre 1 déchet
c’est très simple!!
Lors de sa sortie journalière d’une heure, dans un rayon d’un kilomètre, on s’engage à :
1 – collecter un déchet sauvage trouvé
2 – prendre un selfie masqué  avec le déchet
3 – publier le selfie dans l’événement en identifiant 3 amis avec le #challenge1kilometre1dechet