La Brasserie Pastoret organise un repas dansant Spécial Valentin avec orchestre ce mardi 14 février à midi : Orchestre ANDRE SALVADOR
Réservations au 04 67 78 29 99
Si certains membres du JAP y travaillent le soir, tous les week-end depuis deux mois, ils sont plus d’une dizaine à s’occuper de leur char bien fleuri qui se veut ainsi habillé, un symbole d’espoir pour qu’un jour, au milieu des colombes, les canons nous inondent de fleurs. Avec leur énergie et leur sens du collectif nous retrouverons bientôt ces militaires de la Paix, pour la cavalcade du 26 février.
Sébastien Durand et Franck Rudelle deux hommes à la base d’un projet innovant ont participé dernièrement à Vinisud 2017, le salon International des Vins et Spiritueux Méditerranéens à Montpellier. Pourtant ils n’ont pas de caves, ne sont pas vignerons mais ils mettent à la disposition de ces derniers un outil permettant d’innover, de diversifier leur production et de se différencier. Ainsi une cave pourra monter en gamme, valoriser son image et marquer sa notoriété grâce à leur technique, si elle le souhaite.
Il y a quatre ans, Sébastien et Franck, ont eu l’idée de tenter une expérience au fond de leur garage avec quelques hectolitres de vin, dans deux cuves, une équipée de musique, l’autre non. S’apercevant qu’après fermentation, le vin obtenu était bonifié par la musique, ils ont tenté l’expérience à plus grande échelle à la Cave des Terroirs de la Voie Domitienne à Cournonsec, puis au Domaine de l’Octroi en Agde.
Parallèlement, ils ont fondé leur société, « Swing it », pour lancer cette vinification musicale, avec un protocole effectif durant la fermentation (3 semaines) afin d’agir sur les organismes vivants, les levures, qui contribuent à révéler les arômes et qui apportent une plus grande typicité ainsi qu’une structure gustative plus complexe et plus riche.
« Dans de nombreuses régions, la Musique est utilisée pour le monde animal, végétal. Il nous fallait l’essayer sur les fameuses levures. Et le constat fut à la hauteur des espérances car les qualités organoleptiques du vin obtenu étaient supérieures à celles des autres vins. » Précisent-ils.
Il s’agit d’ondes qui traversent le liquide en se propageant mieux que dans l’air : et si la musique classique a été concluante à Cournosec (Quatre saisons de Vivaldi), en Agde ce fut du Jazz. L’I Coop Vin (Services aux Entreprises viti-vinicoles), a constaté des différences positives pour ce style de vin blanc ou rosé, pourtant beaucoup de personnes ont encore du mal à admettre qu’il s’agit de l’impact de la musique même si des tests et des analyses gustatives semblent le prouver.
S’ils effectuent avec des spécialistes des recherches dans les domaines, musical et scientifique, si le brevet a été déposé, ils désirent aller plus loin avec un protocole scientifique bien défini. Grâce à un environnement connecté, entre nouveaux usages et moyens de communication adaptés, face à un certain scepticisme, ils espèrent tout de même que leur vinification musicale technique liée à leur marketing va porter ses fruits.
« Nous recherchons donc des partenaires pour continuer. Si certains sont prêts à tenter l’aventure avec nous, dans la Région que nous aimons, nous sommes prêts, car cette technique a de l’avenir. Des progrès sont encore réalisables, nous sommes dans un autre monde où tout est réalisable. »
A la recherche de partenaires, Swing it, domiciliée à Poussan, suscite des interrogations auprès des médias et des consommateurs.
Sébastien et Franck sont des précurseurs qui font chanter le vin. Reste à sensibiliser les viticulteurs en leur prouvant que l’utilisation de cet outil ne peut que bonifier le vin. En premier lieu il faut le goûter.
Entre Jazz, Reggae, Classique, Salsa et autres styles, tout est possible…
Pour en savoir plus :
Facebook : https://www.facebook.com/Swing-it-Le-vin-qui-chante-1619216215007550/?fref=ts
Tel : 06.84.11.77.45
Salariés connectés en dehors des heures de bureau, réponse à un courriel professionnel en soirée… Afin de mieux respecter les temps de repos et de congé mais aussi la vie personnelle et familiale des salariés, l’article 55 de la loi du 8 août 2016 dite « loi Travail » a introduit un droit à la déconnexion.
Les partenaires sociaux sont dans l’obligation, depuis le 1er janvier 2017, d’aborder ce thème dans le cadre des « négociations annuelles sur l’égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et la qualité de vie au travail ».
En cas d’absence d’accord sur la mise en place de dispositifs de régulation de l’utilisation des outils numériques, l’employeur se trouve dans l’obligation d’élaborer une charte après avis du comité d’entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel. Cette charte doit définir les modalités d’application de ce droit à la déconnexion. Elle prévoit aussi, pour les salariés, le personnel d’encadrement et la direction, des actions de formation et de sensibilisation à un usage raisonnable des outils numériques.
À noter :
La loi Travail comporte d’autres dispositions en matière de questions numériques (accessibilité, télétravail, élections professionnelles, CPA, économie collaborative…).
Depuis plusieurs semaines, les membres du Strapontin vivent à un rythme bien soutenu. Si Jeannot Artières sera le Maître de Cérémonie pour le Carnaval 2017 de Poussan, pour tous les membres de la Compagnie, les répétitions se succèdent : entre le jugement de Paillasse et le « Prix Martin », la dernière création du Strapontin, pas question de lever le pied… Après une « Générale » à venir, rendez-vous le vendredi 17 février à 21 h et le samedi 18 février à 21 h à la salle Paul Vilalte de la MJC.
Entrée : 7 € / 5€
Réservations : 04 67 18 16 24 /contact@compagniedustrapontin.fr
Mise en scène : Marie Anne Mouraret
Le repas des carnavaliers aura lieu le vendredi 17 Février 2017 au hangar Decoux avec comme plat principal une rouille de Seiche pour une participation de 5€ par personne.
La réservation est à faire et à régler auprès de Cédric Lelong (cedric.lelong@yahoo.fr ) qui vous fournira des tickets pour le jour du repas.
Sans ticket pas de repas. Merci de dire le nombre de participants avant le 11 février pour pouvoir joindre le Traiteur et lui dire le nombre de parts qu’il doit préparer.
Pour éviter les trafics et l’abandon d’animaux, le commerce de chats et de chiens est réglementé depuis le 1er janvier 2016. Seuls les éleveurs ou vendeurs immatriculés et les établissements de vente (animalerie par exemple) sont autorisés à vendre des chats et des chiens. Un particulier qui vend la portée d’une chienne ou d’une chatte est considéré comme un éleveur, ce qui n’est pas le cas s’il s’agit d’un don.
Tout vendeur d’un chiot ou d’un chaton doit obligatoirement être immatriculé, dès le 1er animal vendu :
Les particuliers qui cèdent gratuitement un animal (don gratuit) ne sont pas concernés par cette obligation.
À cette déclaration s’ajoutent d’autres obligations concernant :
Toute personne qui vend plus d’une portée de chiens ou de chats par an doit également :
Dans le cas d’une cession à titre gratuit, l’annonce doit en plus mentionner la gratuité.