Sport Tambourin : Masters de Tambourin France / Italie

02 août – 16:0003 août
Cournonterral

La Fédération Française de Jeu de Balle au Tambourin et le Tambourin Club Cournonterralais, accueillent, avec le concours de la Ville de Cournonterral, du Département de l’Hérault et le soutien logistique d’Hérault Sport, l’élite mondiale de Sport Tambourin.

Voici l’occasion de voir ce qui se fait de mieux dans la discipline, les meilleurs cordiers, tiers et fonds, vous donnent rendez-vous, durant trois journées, sur le terrain de Cournonterral

Lieu de l’événement :
Terrain de Tambourin
Tarif :
Entrée gratuite
Contact :
tccournonterralais@gmail.com

SMBT : balade été

Balade été : Evasion sur le bassin de ThauScreen Shot 07-19-16 at 07.04 AM

Embarquez avec une pêcheuse professionnelle sur l’Etoile de Thau, pour une mini croisière. Vous allez découvrir l’élevage des huîtres de Bouzigues et la pêche sur notre lagune. Les métiers de ces « paysans de la mer » n’auront plus aucun secret pour vous!

Cette visite commentée vous fera aussi découvrir la biodiversité si belle mais si fragile de cette lagune.

Quand : Du 11 juillet au 26 août inclus. Tous les jours , de 15h à 16h,

Où : au port de Marseillan ville – quai Antonin Gros (rive gauche).

Téléchargez le programme complet des balades

Se garer au parking du théâtre.

Championnats de l’Hérault de Tambourin : 13ème journée

 

 Photo de Bernard Martin-Rabaud

Championnat Hérault 1 : Castelnau-de-Guers inaccessible.

Avec 8 points d’avance en tête de la poule A Castelnau-de-Guers avec Pignan, le concurrent le plus sérieux de cette poule, repoussé à la 3ème place la fin de saison devrait être plutôt tranquille pour les Castelnaulais.

Dans la poule B Vendémian se refait une santé grâce à sa victoire sur Cournonsec (13-5). Vendémian remonte provisoirement à la 4ème place. Avec deux journées d’avance sur la plupart des autres équipes cette remontée reste encore virtuelle pour Vendémian.

 Championnat Hérault 1 Féminin : Poule d’accession

Note : Après la saison régulière une poule d’accession et une poule de maintien sont constituées. La poule d’accession est composée des deux dernières équipes de Nationale 1 Féminine (N1F) plus des deux premières du championnat Hérault 1 Féminin (H1F). La poule de maintien est composée des quatre autres équipes du Championnat H1F.

Dans la poule d’accession Vendémian, issu de H1F, après avoir remporté une première victoire contre Grabels (13-7) s’est inclinée face à Cournonterral (13-6). Pour l’instant les deux équipes venues de N1F restent aux deux premières places. Notre-Dame-de-Londres clôture le tableau.

Championnat Hérault 2 :

Malgré sa courte défaite contre Cournonsec (13-12), Teyran reste en tête de la poule A malgré un match de retard. Mais Usclas-d’Hérault et Notre-Dame-de-Londres restent en embuscade.

Pignan est leader de la poule B. Avec 9 points d’avance il va être plus que compliqué pour les poursuivants d’inquiéter les Pignanais à quatre journées de la fin du championnat.

 Championnat Hérault 2 Féminin : En attendant Bessan – Florensac

Bessan est en tête devant Florensac avec 3 points d’avance. La rencontre Bessan – Florensac qui n’est pas encore jouée sera déterminante pour la fin du championnat.

Championnat Hérault 3 :

Montpellier a battu Monceau-sur-Dordogne (13-6) et s’installe à la 4ème place de la poule A, Florensac est largement en tête de la poule.

Malgré un match de retard Montarnaud compte 14 points d’avance en tête de la poule B.

La région Occitanie

Le portail Région Occitanie présente son actualité, politiques régionales, aides, projets.

http://www.laregionoccitanie.fr/

La fusion du Languedoc-Roussillon et le Midi-Pyrénées.Au cours des ages, l’Occitanie a évolué. Actuellement en 2015, elle occupe environ le tiers de la France. L’espace occitan n’a aucune frontière politique mais des critères culturels et surtout linguistiques permettent de l’établir. A cet égard, elle constitue l’une des plus importantes minorités ethniques d’Europe.

Ses climats, reliefs, cultures et types sociaux sont très diversifiés. C’est la langue avec ses dialectes qui a permis au lien social de s’instaurer.
Au moyen age, il existait des comtés, des duchés très puissants comme des États (Gascogne, Limousin, Auvergne, Provence). Ces anciennes provinces tout comme leurs terroirs sont réhabilitées de nos jours pour le tourisme, le folklore ou le commerce.

Pour en savoir plus : http://www.laregionoccitanie.fr/

Pourquoi la fusion du Languedoc-Roussillon et du Midi-Pyrénées

En savoir plus sur l’Occitanie via Wikipédia

Double P Riquet explique la fusion des régions aux plus jeunes

PP Riquet, vous savez celui qui a construit le Canal du Midi reliant Toulouse à Sète, nous présente la nouvelle grande Région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées.
La nouvelle région c’est 13 départements, une région aussi grande que le Benelux et plus forte au niveau national et européen, une région où il y a la fois la mer et la montagne, 35 universités et grandes écoles, la 1ère Région Bio, près de 29 400 chercheurs et chercheuses, une culture commune occitane, 8 sites classés patrimoine de l’UNESCO, le plus grand vignoble du monde sous appellation d’origine, la Catalalogne, des mélanges de cultures… bref, une population dynamique. Et comme dit Double P Riquet, « Ils vont avoir le sum les voisins ».

 

La carte de l’ancienne occitanie

Carte des départements de l'ancienne occitane par Estivada
Carte des départements de l’ancienne occitane par Estivada

Le livre sur l’Occitanie d Antonin Berbòsc

Tot ben qu’agem fach pron bèl camin, sèm luènh d’èstre al cap. Ce livre vient sans doute à point. Ni trop tôt ni trop tard. Non pas que le domaine occitan n’ait pas produit son contingent de représentations, d’images, d’analyses et de témoignages. Les auteurs de ce travail collectif ont voulu participer à cette mise à jour de l’aventure occitane. Aventure, s’il en est, quand elle ne veut ni ne peut être réduite à un seul fait d’écriture, de parole, ou d’identité en creux proclamée. Aventure, parce que les cinquante dernières années ont produit une réalité sociale et culturelle prodigieusement mutante et que le mouvement politique, naissant et minoritaire dans son propre pays, a commencé à réaliser des analyses et des pratiques et tenté de répondre aux questions du moment. Aventure, enfin, car son cheminement produisant sa propre dynamique – à l’écart, certes relatif, de tout centre de décision reconnu – a invité toutes celles et tous ceux qui le souhaitent à se regrouper, non pour témoigner, mais pour commencer à changer l’état des choses. L’occitanisme des années quatre-vingts s’est pris en mains. Hétérogène, divisé, subissant la forte pression des idéologies centralistes dans tous les domaines, il a commencé à construire une voie différente de celle de ses prédécesseurs, héritiers de la Libération. L’autonomisme politique ne pouvait être que minoritaire. Se définir tout en avançant à la fois sur les terrains culturel, social et politique semblait une gageure. Plus de vingt ans après, ce mouvement de construction d’une pensée et d’une pratique autonomes existe et veut s’approfondir. Il n’est plus l’objet d’études sociologiques de la part des spécialistes des mouvements sociaux des années quatre-vingts. Il fait moins parler de lui. Il existe au prix d’un pragmatisme patient, de terrain, inégal selon les régions occitanes.

L’occitanisme est confronté à quatre types de questions :

      • L’urgence de forger ses outils culturels pour trouver à court terme des solutions possibles et créer le mouvement en marchant. On était loin, il y a dix ans encore, d’un consensus pour mettre en route les écoles bilingues, les calandretas. L’évolution de la situation politique a convaincu la majorité des occitanistes qu’il fallait passer à l’acte et construire l’édifice par le bas… L’avancée n’est pas spectaculaire, vu les moyens. On aurait tort de la sous-estimer ; elle ne peut à présent que s’affirmer.
    • L’exigence de parvenir à une représentation politique a fait son chemin, même si le nombre des élus n’est pas ce qu’il pourrait être. Il s’agit ici de considérer le terrain électoral comme un possible aboutissement du travail sur le terrain. Trop d’occitanistes ont imaginé pouvoir parvenir à la représentation sans ce nécessaire exercice de la preuve par l’œuvre. D’autant plus difficile pour nous qu’il faut aller à contre-courant de toutes les habitudes de dépendance qui rythment le jeu politique traditionnel.
    • La nécessité de fournir sur le plan socio-économique des outils créateurs d’emplois doit être prise en compte. D’autres nationalités, dans des contextes différents (Euskadi-Nord, Corse, Bretagne…) ont créé des outils pour l’emploi (Herrikoa, Femu Qui…). La création d’une Chambre Economique des Pays d’Oc est une avancée qui va dans ce sens. Il serait souhaitable que les acteurs économiques conscients prennent une initiative comparable à celles évoquées, quand le moment sera propice. Encore faut-il que l’idée soit expliquée et préparée soigneusement.
    • En plus de ces trois questions qui essaient de répondre à la mise en place de moyens sociétaux et politiques, la grande question à laquelle l’occitanisme est aussi confronté est celle de la construction de L’Europe. L’occitanisme veut savoir comment ce projet politique va arriver à concilier la nécessaire reconversion des économies et des politiques des Etats-Nations. La politique européenne – pour autant qu’il y en ait une – oscille entre une prise en compte des Régions, un souci de régler les questions locales et régionales à leurs niveaux respectifs (subsidiarité) et une politique inter-étatique qui refuse de céder la moindre parcelle de souveraineté. L’Europe politique n’existe pas à ce jour. Entre un Comité des Régions, au pouvoir purement consultatif, et un Conseil sans représentation démocratique, l’idée régionale est mal partie. Il n’empêche que le ver est dans le fruit : les contradictions de la « construction » européenne sont sur le point d’engendrer une crise dont toutes les conséquences sont imprévisibles. Si l’on ne veut pas revenir en arrière, les Etats partenaires devront faire des concessions. L’idée régionale y tiendra-t-elle encore quelque place? Quelle forme prendra-t-elle? C’est sur cette incertitude que s’achève l’année 96. L’Europe, quelle que soit sa forme future, centralisée et inter-étatique ou décentralisée, laissant à la région des compétences propres et partagées, ne pourra reproduire un système comparable au modèle français. Ce serait une remise en question des traditions politiques de nombreux pays qui la composent aujourd’hui.

 

      De son côté, le système français concentrant l’essentiel de ses richesses dans la Région-capitale sera bien obligé de dépasser l’hypertrophie parisienne pour, dans sa logique, répondre à l’ « atonie régionale ». Repenser le territoire à partir de l’Europe devient pour lui nécessité. Le rééquilibrage des territoires – du seul point de vue de l’aménagement – doit se faire, au risque d’aggraver la fragilisation des périphéries. Dans le cadre d’une politique interrégionale européenne, le modèle français est condamné. Tout concourt à ce que cette situation évolue. C’est pourquoi, loin de laisser entrevoir des solutions toutes faites, l’Europe reste une contradiction lourde à gérer pour l’Etat français. L’occitanisme doit continuer à adopter une attitude réaliste et critique face à l’évolution de la situation communautaire. C’est à toutes ces questions qu’est confronté le mouvement occitan. Aujourd’hui, ses orientations se précisent ; il reste attentif à la perspective des grands bouleversements qui peuvent faire évoluer une situation en apparence bloquée. Comme il l’est également aux situations socio-économiques et politiques au pays qui s’annoncent à l’horizon 2000.

De même, il continuera à aider tous les acteurs de la reconquête linguistique et culturelle qui reste la base de la construction d’une société occitane vivante et d’un pays devenu conscient de lui-même. Ces chemins ouverts restent en chantier. Ils invitent les occitans à se rendre au rendez-vous de l’histoire. Peut-être, plus simplement, à découvrir par eux-mêmes, comme nous y invitait cet ami lors des grandes luttes viticoles des années soixante-dix, qu’on peut en finir avec le désespoir.

Examen du code de la route : l’inscription en ligne

Examen du code de la route : l’inscription en ligne, c’est possible !

Illustration 1Crédits : © Sécurité routière

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Des prestataires privés, agréés par l’État, peuvent désormais faire passer l’épreuve théorique générale du permis de conduire (le code). Dans le cadre de cette réforme, le groupe La Poste et la société SGS viennent de lancer leur site internet pour permettre aux candidats de réserver une place pour cet examen : lecode.laposte.fr et objectifcode.com. Cette externalisation vise à réduire les délais d’attente mais les centres d’examen de l’État continuent de faire passer l’épreuve.

Comment s’inscrire ?

Il convient de se munir de son code NEPH (Numéro d’enregistrement préfectoral harmonisé). Ce code se compose de 12 chiffres et il est obligatoire pour se présenter aux épreuves théorique et pratique du permis de conduire. Il est remis aux candidats lors de leur inscription à l’examen. Les sites www.lecode.laposte.fr ou www.objectifcode.com permettent maintenant aux candidats de choisir le centre d’examen, la date et l’heure de l’épreuve.

Pour finaliser la réservation, les sites demandent de fournir ses coordonnées bancaires afin de régler la redevance pour le passage de l’épreuve du code (30 €).

  À savoir :

l’auto-école peut aussi se charger de l’inscription en ligne.

Que se passe-t-il ensuite ?

Objectifcode.com envoie une confirmation et une convocation par message électronique et lecode.laposte.fr transmet un message de confirmation d’inscription pour poursuivre le processus.

Muni de sa pièce d’identité et de sa convocation, le candidat se rend ensuite sur le lieu de l’examen pour passer l’épreuve. Le prestataire transmet alors les réponses au ministère de l’Intérieur pour la correction et les candidats reçoivent une réponse 48 heures plus tard par message électronique.

Les sites d’examen

Dans un premier temps, La Poste propose 12 sites d’examen dans 9 départements et la société « SGS » dispose, quant à elle, de 13 salles. Ces prestataires prévoient des ouvertures supplémentaires au mois de juillet 2016.

Le 20 juillet, Fortunée vous emmènera à une découverte de Poussan

Pour la 6ème année consécutive, La Communauté de Communes du Nord du Bassin de Thau et son office de tourisme proposent une série de soirées théâtrales en été dans toutes les communes du nord du Bassin de Thau.

Le mercredi 20 juillet à 21 h, ce sera la 3ème soirée (après celle de Loupian et de Montbazin) et la première de l’été à Poussan.

Il s’agit d’une déambulation dont le départ est prévu devant la porte de la Ferrage.Screen Shot 07-13-16 at 06.16 PM 001Cette année, l’Office de Tourisme s’est entouré de la compagnie Surprise, de Poussan, qui propose déjà des spectacles sur la Région, notamment à Poussan (En poussant ta porte).

A Poussan, Fortunée Impérato, une enquêtrice détective vous emmènera à une découverte de la ville au travers d’enquêtes insolites mêlant faits historiques et imaginaires.

Screen Shot 07-13-16 at 06.16 PM

Cette guide touristique atypique vous livrera le fruit de ses recherches sur Poussan qui de façon étonnante, est dotée d’un centre-ville en forme de cœur dont on peut même voir les aortes vues du ciel … est-ce l’amour qui a guidé les architectes et les urbanistes de l’époque !Toute cela est bien intriguant, n’est-ce pas ? Alors venez vivre l’histoire de cette ville avec elle.

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Renseignements : Office de Tourisme de la Communauté de Communes du Nord du Bassin de Thau au 04 67 43 93 08 ; gratuit

www.tourisme-nordbassindethau.fr

Orientation : que faire sans le bac ?

Illustration 1Crédits : © Pixabay.com

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Redoublement, préparation d’un diplôme, formation en alternance, entrée dans la fonction publique, reprise des études plus tard : que faire sans le bac ?

Pour les jeunes ayant échoué à l’examen du baccalauréat, l’Office national d’information sur les enseignements et les professions (Onisep) propose le dossier en ligne « Que faire sans le bac ? » qui détaille l’ensemble des solutions existantes.

Les lycéens qui choisissent de repasser le bac ont la possibilité de se réinscrire dans le lycée dont ils sont issus (ce droit s’exerce par contre uniquement l’année qui suit immédiatement l’échec au bac).

L’Onisep indique qu’il est par ailleurs possible de continuer les études dans le supérieur et de préparer un diplôme : capacité en droit, école spécialisée dans le domaine des arts, du tourisme ou encore de l’hôtellerie-restauration, diplômes de l’animation et du sport ou du paramédical.

Il est également envisageable :

  • de suivre une formation en alternance (baccalauréat professionnel, BTS, titre professionnel) ;
  • d’intégrer la fonction publique (concours, armées, police) ;
  • de reprendre des études plus tard (diplôme d’accès aux études universitaires, validation des acquis professionnels).

  À savoir :

l’Onisep est un établissement public qui élabore et diffuse toute l’information sur les formations et les métiers auprès des élèves, des parents et des équipes éducatives.

Vacances d’été 2016 : conseils pratiques

Illustration 1Crédits : © haveseen – Fotolia.com

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Voyage en train, location de voiture, chambre d’hôte, café en terrasse, sorties en discothèque, utilisation des feux d’artifice… Alors que les vacances d’été approchent, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) fait le point sur les réglementations en vigueur et les précautions à prendre afin d’éviter tout désagrément.

Les conseils d’été de la DGCCRF à destination des vacanciers s’articulent autour de cinq thématiques :

  • les déplacements et les voyages (voyager en autocar, en train, en avion, en bateau, pratiquer le covoiturage, louer un véhicule, prendre un taxi, une voiture de transport avec chauffeur, VTC, ou encore une moto-pro, circuler sur autoroutes…) ;
  • l’hébergement (en camping, chambre d’hôtes, hôtel, location saisonnière ou résidence de tourisme, plateformes de réservation en ligne) ;
  • la restauration (cafés, fermes-auberges, tables d’hôte, camions aménagés, glaciers, restaurants, marchés de plein air, respect des températures de conservation des produits alimentaires) ;
  • la santé (contenu des boissons énergisantes, précautions à prendre en cabines de bronzage, marquage CE pour les lunettes de soleil et les préservatifs, , recommandations en matière de méthodes amincissantes, qualité des produits anti-moustiques et des produits de protection solaire, conseils avant de faire un tatouage) ;
  • les loisirs (aires collectives de jeux, piscines, fermes équestres, accrobranche, vélos à assistance électrique et VTT, mini-motos et quads, casques sportifs, activités de montagne, discothèques et cabarets, pétards et feux d’artifice).