Archives pour la catégorie concert
L’Orchestre « ALMERAS » a mis Poussan en fête et en danse avec beaucoup d’énergie
L’Orchestre de Variétés « ALMERAS » a ouvert la fête avec brio sur le parking de la Mairie de Poussan ce vendredi 28 juillet avec des musiciens et des danseuses motivés et bien en forme. Il fait partie de la famille des grands orchestres de variété, régionaux et même nationaux. Des artistes et des chanteurs de talent, des techniciens de bonne qualité, qui ont permis à tous de vivre une très bonne soirée riche en couleurs et en sensations, en danses et en chorégraphies.
L’Orchestre a proposé de la variété française et internationale sachant alterner les styles, les chanteurs et les époques, mixant variété, musiques et standards, tubes des années 80 mais aussi succès actuels et rocks pour satisfaire un public intergénérationnel qui a su bouger au gré des rythmes et des mélodies. Que du bonheur de voir enfants, parents et seniors ne pas hésiter à se lancer sur la piste sur du disco, du rock…. Entre-autres. Un beau partage…
Quelques morceaux choisis mettaient Poussan en condition dès 21 h 30 et rapidement avec des musiciens de haut niveau ce ne fut que du plaisir. Car’orchestre l’orchestre Alméras Music Live, est bien plus qu’un simple orchestre de variété ou de bal, car il offre un véritable show de variété avec un visuel très sophistiqué ! C’est également un parcours, des convictions mais aussi une gestion professionnelle dirigés par Christophe Alméras avec une équipe jeune et dynamique appréciée du public et de nombreux organisateurs, une équipe qui ne marque aucune pause avec une grande exigence dans le choix des artistes alliant talent, classe, énergie et bonne humeur.
Il faut savoir que 2017 à 2019 l’Orchestre Alméras Music Live accompagnait en Live Jean Baptiste Guégan avec le Spectacle « La Voix de Johnny » et l’a mené jusqu’à la Victoire lors de la Finale de l’émission Incroyable talent sur M6.
Quant aux différents manèges tenus par des forains ils connurent un grand succès. L’on se faisait un peu peur, l’on s’amusait, l’on pêchait les canards ou l’on dégustait des sucreries…. L’on était heureux et n’est-ce pas là le sens de la fête… Un très bon mix pour débuter cette fête locale 2023, avec une météo des plus conciliante. Il faisait bon être à Poussan ce 28 juillet au soir…
Fiest’à Poussan 2023 : le blues de l’Anatolie Turque, les rythmes aksak, et la rumba congolaise pour rythmer une soirée festive
La 26ème édition de Fiesta Sète, du 21 juillet au 4 août, s’annonce comme son habitude riche en découvertes et surprises avec un festival qui sait associer des artistes de renommée internationale et de nombreuses découvertes, toujours axées autour de la richesse et de la diversité des musiques vivantes.
« Musiques vivantes plutôt que musiques du monde tout simplement parce que celles que nous chérissons parlent au présent de notre monde d’aujourd’hui. Nos choix restent ainsi guidés, pour l’essentiel, par une certaine idée de la modernité, du métissage et du mouvement. Rien ne nous enthousiasme autant que les propositions musicales aux saveurs inédites, les mixtures les plus audacieusement relevées, à condition que qualité et plaisir soient au rendez-vous ! »
Il faut savoir qu’en 1997, étourdi par une petite brise de mer, José Bel, Monsieur Open Music, disquaire mythique à Sète (de 1975 à 2002), passionné de musique et militant culturel au sein des maisons de jeunes et ciné-club décide de prolonger son amour pour la musique en créant un festival. Accompagné de quelques locos locaux tout aussi passionnés ils ont décrété que la Corniche sétoise valait bien le Malecon havanais, et que le temps était idéal pour mettre à flots le festival Fiesta Latina. La voile latine les a ensuite poussés vers d’autres rivages, de l’océan Indien à l’Afrique en passant par les Balkans : tout un monde de musiques que le festival, judicieusement rebaptisé Fiest’A Sète, n’a de cesse d’explorer depuis pour vous en faire partager les richesses.
26 ans plus tard, le festival, partage avec une passion indemne sa fringale de découvertes, toujours animé par la certitude que la musique, d’où qu’elle vienne, est un langage universel, une source inépuisable d’émotions et un puissant vecteur de fraternité et de dialogue interculturel.
À l’instar de la danse, sa sœur siamoise, la musique est une affaire de rites, et les rites ont été inventés par l’humanité à son aube pour se reconnaître en tant que telle, s’accepter, se forger un destin collectif, véhiculer des épopées, des histoires, des mémoires, des valeurs, et s’abreuver à des sources sacrées ou profanes, savantes ou festives.
Parce que cette richesse est infinie, Fiest’A Sète a toujours ignoré les formatages dictés par l’industrie du divertissement, privilégiant les croisements esthétiques audacieux et les formes porteuses de sens.
À force d’exigence, de passion, d’authenticité et de prise de risques, le festival a gagné une place de choix parmi la vingtaine de rendez-vous européens qui comptent dans le registre de ce que nous aimons qualifier de « musiques vivantes » : châabi, ma’louf, raï, éthio-groove, vodoun, funaná, batuque, danzón, mambo, maloya, cante jondo, reggaeton, fado, musique carnatique, hindoustani, kawwali, afrobeat, gwoka, rebétiko, sembe, cumbia, transe gnawa, rumba congolaise, blues songhaï, forró, bossa, funk créole, musiques rom et klezmer, pour n’évoquer que quelques formes plus ou moins patrimoniales dont on sait l’aptitude globale au métissage tous azimuts.
Oui, musiques vivantes plutôt que « musiques du monde », tout simplement parce que celles que nous chérissons parlent au présent de notre monde d’aujourd’hui. Plus profondes sont les racines, plus belles et élancées sont les branches. Nos choix restent ainsi guidés, pour l’essentiel, par une certaine idée de la modernité, du métissage et du mouvement. Rien ne nous enthousiasme autant que les propositions musicales aux saveurs inédites, les mixtures les plus audacieusement relevées, à condition que qualité et plaisir soient au rendez-vous !
vidéos : https://youtu.be/XuJ7SHnh9X0
https://youtu.be/1Ie2tfroX1g?t=6
Les objectifs et les désirs de Métisète et de son équipe de bénévoles n’ont guère changé depuis 1997 : faire vivre une grande manifestation culturelle globale, qui mette en avant la diversité et la richesse des cultures et musiques du monde.
Il y a vingt-six ans, la musique n’était évidemment ni dématérialisée, ni « streamée », pas encore convenablement rangée en playlists, en plateformes, en algorithmes détecteurs d’affinités. Et si pour les musiciens comme pour les mélomanes, les nouvelles technologies constituent un progrès inestimable en termes d’accès, de découverte, d’exploration de mondes musicaux inconnus, rien ne saurait remplacer l’ivresse que procure l’étourdissante brise de mer mélangée aux notes de balafon, le parfum du large imprégnant les harmonies tziganes, la douceur d’un soir d’été sublimée par une langue inconnue, l’émotion de la rencontre, l’intense vibration de la fête partagée, l’éclat de la musique vivante.
Quelques chiffres
- 15 jours de festival
- plus de 200 artistes issus des 4 coins du monde
- 12 concerts au Théâtre de la Mer
- 8 concerts gratuits dans les communes autour du Bassin de Thau et à Sète
- Des séances de cinéma
- Des tchatches musicales
- Des ateliers enfants et adolescents
- Des stands de cuisine du monde sur les lieux des concerts
- Plus de 300 adhérents à l’association Métisète qui organise le festival
Des escales musicales autour du Bassin de Thau
La fête populaire, telle que la font vivre nos villes et villages languedociens, semblant parfaitement compatible avec la plus grande exigence musicale, Fiest’A Sète débute avec une semaine de réjouissances musicales gratuites dans les communes qui bordent l’étang de Thau : Balaruc-les-Bains, Marseillan et Poussan. Ces soirées régies par une volonté d’éclectisme, avec des artistes venus d’horizons différents, expriment on ne peut mieux notre désir de rendre accessible la musique au plus grand nombre.
Un lieu magique : le Théâtre de la Mer
Le festival ne serait pas ce qu’il est sans son berceau historique : Sète, une ville qui invite au voyage, avec son ambiance portuaire et son tempérament méditerranéen. C’est dans l’un des lieux les plus majestueux et emblématiques de Sète que se tient traditionnellement le temps fort du festival : le bien nommé Théâtre de la Mer. Cet amphithéâtre à ciel ouvert et à flanc de corniche est un ancien fortin côtier qui nous offre la Méditerranée en fond de scène. C’est sur ce belvédère que se succèdent une semaine durant les plus grands artistes internationaux et nouveaux talents, lors de soirées thématiques pleines d’éclat.
Des rencontres inédites sur scène
Ce cadre exceptionnel qu’est le Théâtre de la Mer a inspiré de nombreuses rencontres exceptionnelles au fil des ans : un grand moment de complicité entre Taj Mahal et Bassekou Kouyaté, Manu Dibango invitant Hugh Masekela, Lili Boniche et Idir, la nuit Ethiopiques avec Mahmoud Ahmed et Alémayèhu Eshèté, Ibeyi et Yael Naim, Omara Portuondo & Diego el Cigala rejoints par Yilian Cañizares, Oumou Sangare par Fatoumata Diawara & Hindi Zahra ou encore Eliades Ochoa et Roberto Fonseca… et bien d’autres à venir !
Des affiches originales, réalisées par de grands ARTISTES
Dès la première édition du festival, de grands artistes parmi lesquels Richard Di Rosa, Hervé Di Rosa, Robert Combas ou Pierre François nous ont fait confiance et ont réalisé les affiches de Fiest’A Sète. Depuis 26 ans tous les ans une affiche originale créée par un artiste est proposée.
Retrouvez toutes les affiches et artistes des éditions précédentes en cliquant ici
Et aussi…
En plus de la musique, Fiest’A Sète c’est aussi une programmation culturelle plurielle en lien avec les concerts : des tchatches musicales, des séances de cinéma, des expositions dans différents lieux de la ville, des ateliers enfants et adolescents…
-
Avant de voyager autour de l’étang de Thau, ce samedi 22 juillet, c’était à PoussanRetrouvez la programmation complète sur https://www.fiestasete.com/index.html
A partir de 20 h 30, ce samedi soir, sur le parking de l’Hôtel de Ville de Poussan, les choses se sont donc accélérées : Bien que le public se soit fait attendre en tout début de soirée, vu la chaleur ambiante, José Bel qui s’occupe de l’association Métisète l’invitait à se rapprocher de la scène pour présenter Fiest’A Sète 2023, ou Fiest’A Poussan et pour l’inviter à voyager avec les 2 formations qui allaient animer la soirée :
» C’est la 22ème fois que nous sommes reçus à Poussan et que nous pouvons y organiser une soirée de Fiest’A Sète, Poussan une ville bien fidèle, avec encore 2 menus, toujours en partenariat avec la Mairie et le comité des Fêtes du Carré d’As. C’est toujours un plaisir et cette année nous allons commencer par « JOHNNY MAKAM »
Vidéos :
« JOHNNY MAKAM » en occident, dispose de deux modes musicaux : majeur et mineur (et sept petites déclinaisons). En orient, ces modes s’appellent « makam », et on en compte une cinquantaine. Voilà qui donne une idée de l’étendue du terrain de jeu choisi par ce quintet cosmopolite (une Turque, un Écossais, trois Toulousains) amoureux des traditions des Balkans et de l’Anatolie turque. Johnny Makam s’empare de ces codes avec une grande rigueur et beaucoup de passion, et tout cela ne manque pas de résonner avec force dans la transe festive du groupe et ses motifs tourbillonnants. est mené.
Le public s’est laissé porter et emporter par »JOHNNY MAKAM » qui avec ses mélodies véloces, ses rythmes percutants, ses chansons de la mer noire, suit le chemin des musiques traditionnelles de Bulgarie, de Macédoine et de Turquie, héritage multiculturel qui n’hésite pas à prendre sur sa route de nouveaux instruments et sonorités.
Le mot Makam fait référence à un système musical complexe décliné du Maghreb à la Chine auquel le groupe Johnny Makam infuse l’électricité du rock. Nous étions embarqués vers la danse, vers le cri de joie. «
Aucun problème pour les spectateurs qui se laissaient entraîner sans retenue dans ces rythmes bien particuliers et des mélodies surprenantes dans un subtil mélange.
Sétois, vacanciers, Poussannais, connaisseurs ou néophytes, profitaient de cette opportunité pour passer un bon début de soirée. Le public s’était fait assez nombreux tandis que déjà la pause technique était à l’ordre du jour.
Les spectateurs appréciaient cette douce nuit qui s’annonçait musicale. A l’heure de la Pause, direction les rafraîchissements et les points snacks avec foodtruck(s) car même si cela fait longtemps que Poussan s’associe à Fiesta Sète pour l’organisation d’une soirée, le Carré d’As, de la buvette à l’accueil des groupes, aidé par la Mairie fait son maximum.
Après près d’une heure trente de concert, José Bel revenait sur Fiest’A Sète et sur les formidables soirées de cet été en précisant qu’il fallait faire vivre avec Fiest’à Sète et adhérer au projet pour que cela perdure.
Se profilait alors un autre voyage avec Borumba.
(Vidéos en téléchargement)
Un voyage avec Jocelyn Balu formé auprès des vétérans du Bakolo Music International, disciples du grand Wendo Kolosoy, père de la rumba congolaise quia toujours baigné dans ce prestigieux patrimoine musical. Doté d’une voix sublime, ce jeune gardien de la flamme a initié un trio d’instrumentistes du sud de la France qui se glisse avec grâce dans ce délicat canevas harmonique et rythmique. Fidèle à ce qui constitue la signature du genre et aux canons définis entre les années 40 et 70 par les pionniers, de Nico à Tabu Ley, Borumba revisite avec enthousiasme les standards de cet âge d’or.
L’on y était, l’on se laissait porter par ces belles sonorités. « Un univers musical qui se passait là, à Poussan, ce 22 juillet » !! C’étaient celles de la rumba qui coule dans les veines de Jocelyn Balu comme la Primus arrose le zinc des maquis de Kinshasa. Avec ses trois compères de Borumba (guitare, basse, batterie, percussions), toutes les occasions étaient bonnes pour voyager dans la fièvre des années 40 à 70…
Deux concerts très différents, par deux groupes qui s’appréciaient mais qui se découvraient. Il y avait de la qualité, et surtout la joie et du plaisir avec l’envie de partager outre leur conception de la musique, l’opportunité de se faire connaître.
Objectif atteint car une des volontés premières de ce festival est de est de s’affirmer en tant qu’entité culturelle, loin des tendances et des modes. L’on a pu le vérifier encore. Et n’hésitez pas à poursuivre car le festival s’attache cette année à mettre encore en lumière la diversité du patrimoine musical mondial, et à partager sans la moindre modération ces immenses richesses, fidèle à ses objectifs.
Pour en savoir plus : www.fiestasete.com/
DU 21 JUILLET AU 4 AOUT : LES ESCALES FIESTA
DU 21 JUILLET AU 4 AOUT : LES ESCALES FIESTA
Cliquez sur les photos pour en savoir plus
Festival Fiest’A Sète : le teaser 2023
|
|
26e Festival des musiques du monde à Poussan c’est ce soir samedi 22 juillet
Cette semaine au programme à Poussan place de la Mairie
26e Festival des musiques du monde à Poussan
La Night Kolorz est de retour à Poussan !
Elèves, enseignants et parents d’élèves des Baux ont partagé une belle soirée tous en chœur
Ce mardi 4 juillet 2023, après leurs camarades de Véronique Hébert, les enfants de toutes les classes de l’école élémentaire des Baux ont offert à leurs parents et à de nombreux membres de leurs familles un bel événement à partir de 18 h 30, à l’occasion de la présentation d’une soirée spectacle, « Une Ode à l’amitié », qui est l’aboutissement d’un travail de longue haleine. C’est en effet l’équipe pédagogique de l’école qui a monté et mené le projet à son terme.Et c’est dans le répertoire des chœurs d’enfants de Montpellier et de « Swing Gum enfance » que les enseignantes de l’école et les élèves ont trouvé leur bonheur à chanter avec l’aide de Thierry Capéran, conseiller pédagogique en musique, spécialisé dans l’élaboration de de spectacles de chœurs d’enfants, à Montpellier et sur tout le département..
Les vidéos :
https://youtu.be/0_D3UG9PtIQ?t=8
https://youtu.be/UVmaAHy1DOI?t=68
Depuis 2016, le chœur d’enfants de l’école des Baux n’avait pas été reconstitué. c’est donc avec beaucoup d’émotions que tous avaient envie, après un long travail de plusieurs mois, de partager avec l’auditoire très très nombreux, le plaisir d’interpréter plus de 10 chansons issues du répertoire populaire .
Pour ces efforts de mémorisation, ils étaient déjà applaudis puis l’on allait s’imprégner en chansons, de belles histoires d’amitiés, de voyages, de rencontres.
Grâce à des chansons puisées dans un répertoire adapté et très bien interprétées par des élèves vraiment en osmose avec les enseignantes, devenues chefs de chœur, tour à tour, de nombreuses interprétations collectives nous faisaient voyager entre la « maison bleue » et les « bambous », entre Higelin et William Sheller, ou encore entre Trénet et un mix de chansons adaptées à l’ambiance de la soirée qui se terminait par un chant en polyphonie, en combinant plusieurs parties mélodiques, dans la composition musicale.
Les chants traduisaient bien l’envie des enfants de faire passer des messages d’amitié et de partage, entre pays ou entre humains, pour mettre en avant la tendresse dans un monde où elle a tendance à être oubliée.
Parents, élèves et enseignants partageaient ces moments de bonheur
De la joie et du plaisir, du sérieux dans les interprétations. Félicitations pour la mémorisation de tous les textes ainsi que des mélodies qui y sont associées.