Black Beauty est né en 2007. Jusqu’en 2014 ce groupe de rock s’est produit régulièrement en concert dans la région jusqu’à ce qu’il se mette en sommeil. Mais certains de ses membres se tenaient prêts pour repartir de plus belle.
Et ce samedi soir, premier concert privé, à la cave coopérative de Poussan, dans les locaux des Motos de l’Espoir pour présenter un répertoire de morceaux déjà étoffé , des chansons et des compositions qui envoient mais aussi des mélodies qui vous emportent dans un rock solide et sensuel.
Un bel événement et une renaissance appréciée par tous les amateurs. Avec le retour de Gégé et de Pierrot (Ex Twenty-Wine), l’on retrouve Bruno Rességuier à la guitare, tous les trois accompagnés par Sandra au chant (Sète), Jean-Mi au chant et Natacha aux claviers, ces 2 derniers venant de Lunel.
Et déjà des concerts programmés : le 9 avril à Lunel pour le 7ème printemps de la Scène ouverte, et un autre pour le week-end de fête des Motos de l’Espoir avant de se produire pour la fête de la Musique à Sommières.
Nous souhaitons aux membres de Black Beauty de prendre beaucoup de plaisir en jouant et d’en donner autant à tous leurs spectateurs.
Archives pour la catégorie Divers
Les plus jeunes de l’ASP
En Poussan ta porte : Une Surprise hors catalogue


Avec la manipulation comme thème central, les spectacles de la compagnie intègrent dès leur origine la magie comme technique de base de la plupart des créations que ce soit en utilisant l’effet magique comme accessoire de jeu ou la construction dramaturgique propre à l’art magique comme moteur d’écriture. Volontiers engageants, les spectacles de la compagnie puisent régulièrement dans les esthétiques populaires pour mieux porter un point de vue sociétal critique et souvent corrosif.
Guido, un italien, est mentaliste. Guido est une bête curieuse. Le mentalisme est l’art de présenter des effets semblant relever du paranormal. « Mago mentalista » est un spectacle qui interroge facétieusement l’humain à force d’expériences qui ne semblent pas faire appel à la prestidigitation ni à la science et qui relèvent indéniablement de l’inexplicable.
« Quel est dans nos vies la part de hasard et la part de destin ? Comment notre comportement peut-il trahir nos pensées ? Jusqu’où sommes nous prêts à aller pour être aimé, accepté ? » Voilà les questions posées par Guido. Et sous la forme d’un spectacle faussement classique d’humour et de music-hall Guido va nous aider à y répondre sans nous donner la clef ?
Pourtant, le mentaliste fait son numéro: enfermé dans un genre, il s’engage tout entier dans son spectacle comme dans une farce mais, en fin de compte, ne serait-ce pas plutôt une mascarade ?
Maître dans cet Art, Guido n’eut pas de mal à deviner ou découvrir des nombres, des dates de naissance, des professions et des passions ou même des questions intérieures propres à certains spectateurs.
Avec lui, le hasard disparaissait et l’on se laissait tenter par la télépathie, la psychologie ou la suggestion (programmation neuro-linguistique) (PNL), par une sorte d’hypnose. Entre illusion, prestidigitation, manipulation, magie mentale, toutes les techniques du mentalisme étaient utilisées pour que ce spectacle nous laisse perplexe mais plein d’espoir : communiquer entre nous par le mental, est ce possible ou cela peut-il le devenir ?
Pour se réchauffer et pour en débattre, les spectateurs pouvaient poursuivre leurs investigations et partager avec l’acteur et les organisateurs quelques moments enrichissants.
Une agriculture locale : pourquoi ? pour qui ? comment ?
Le 2 avril 2016, à Poussan
de 14 h à 18 h
(salle Jean Théron et ses abords – Face au Foyer des Campagnes)
Une agriculture locale : pourquoi ? pour qui ? comment ?
« Initiatives citoyennes » a eu l’idée d’une journée d’animations et de réflexion sur ce thème, ouverte à tous et portée par les paysans et organismes intéressés.
C’est ainsi que s’est créé, pour organiser cet évènement du 2 avril à Poussan, un collectif comprenant des viticulteurs, des maraîchers, des associations de consommateurs et des militants du maintien d’une agriculture paysanne.
Cette initiative permettra de réaffirmer que Poussan a toujours une vocation agricole.
Sont prévus :
Des stands de producteurs locaux, d’associations locales d’appui aux producteurs/consommateurs et d’organismes agricoles
Des tables rondes, avec la participation du public et des agriculteurs locaux
Thèmes envisagés :
1 – Circuits courts : quelle production locale et quelle sécurité alimentaire ?
2 – Installer des agriculteurs ? Sur quelles terres ? Avec quel accompagnement ?
Exemples : échanges de graines et de plantes, animations enfantines (jardinage), projection de films, exposition, buvette
Vous êtes cordialement invités à participer à cette manifestation.
Portes ouvertes du domaine de Roquemale
Samedi 2 et Dimanche 3 Avril 2016 de 14 h à 19 h :
Dégustation de notre gamme de vins bio accompagnée des fromages de chèvre du Mas Saint Farriol.Venez découvrir la fraîcheur du millésime 2015 : le rosé, le Sans Filet, les Terrasses, le Méli Mélo…
Exposition des peintures de « Lo Pintre » Jean Claude Chabrol.
Visite des vignes avec le vigneron Dimanche à 14 h 30.
Animation musicale Dimanche à 16 h 00 avec le groupe Elvindes . Ouvert à tous Samedi et Dimanche de 14 h à 19 h 00.
De très bons résultats pour les Écuries Aubin
La Grande Lessive de l’école Véronique Hébert
Malgré le vent fort, les élèves de l’école Véronique Hébert et leurs enseignants ont tenu bon et avec des volontaires ils ont bien voulu exposer leur travail en participant à la Grande Lessive 2016 dont le thème commun était : « Faire bouger les lignes. «
« Faire bouger les lignes » ?
Pour cette exposition éphémère, comme lors de chaque édition, il existe plusieurs niveaux de compréhension possibles en fonction de l’âge des participants, de leur histoire personnelle, de leurs références, de leurs choix, des circonstances et du pays qui est le leur. « Faire bouger les lignes » correspond au désir de ne pas les laisser telles qu’elles sont. Au préalable, il s’agit cependant de définir ce qu’est une ligne, et ce que sont ces lignes. D’ailleurs, en existe-t-il à l’état naturel ou la ligne est-elle une création humaine ?
Une ligne se définit, en géométrie, par un point qui se déplace, sans aucune épaisseur. Dans le langage courant, la ligne évoque un tracé continu qui peut, à ce moment-là, avoir ou non une épaisseur selon l’instrument utilisé (calame, stylet, crayon, pinceau…). Cette ligne a une forme (droite, brisée, courbe ou serpentine…) et une direction (horizontale, verticale, oblique…). En ce cas, il est fréquent d’associer la ligne au dessin ou à la gravure, de même qu’à des supports plans, plus ou moins entamés par la pression exercée afin de la tracer. Et s’il est possible d’identifier des lignes dans un paysage naturel ou urbain, c’est sans doute parce que nous les isolons en tant que telles, en prenant appui, à la fois, sur l’expérience de leurs tracés et sur une notion issue de notre humanité.
Avec la ligne, La Grande Lessive® s’intéresse à une trace élaborée de manière délibérée ou laissée telle une empreinte derrière soi sans le décider, et à un élément fondamental de la pratique des arts visuels et plastiques, et de l’écriture : le dessin. Ainsi, que la ligne soit choisie ou fortuite, le regard porté sur ce tracé donnera prise à l’interprétation et à l’imaginaire.
Pari réussi pour l’école primaire Véronique Hébert. Pour le groupe scolaire et les ALAE des Baux ce devrait être bientôt, en fonction de la météorologie car la place de la Mairie subit de plein fouet la tramontane…
El Duende, ce feu sacré qui est en chacun de nous
Après avoir beaucoup voyagé et vécu dans son enfance au contact des Aborigènes en Australie, des Indiens Navajos aux États-Unis et des Tibétains dans le nord de l’Inde, Benjamin Barou-Crossman a retrouvé chez les Tsiganes le même sens du collectif, de l’hospitalité et du partage que dans ces sociétés. Et chez les Tsiganes le monde de son enfance a resurgi. D’où son désir profond de réinventer le duende cher à Federico García Lorca dans Jeu et théorie du duende, nourri également par la poésie d’Alexandre Romanès.
Le duende, c’est la flamme, le feu sacré, le supplément d’âme que tout un chacun peut porter. « Le duende ne s’explique pas, il se ressent » déclare García Lorca.En partenariat avec les villes de Sète, Mireval, Marseillan, Mèze, Balaruc-le-Vieux, Frontignan la Peyrade, Montbazin, Poussan, Gigean, Balaruc-les-Bains ce spectacle créé en mars 2016 à la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau a aussi reçu l’aide de la Région.
Et ce samedi soir, il avait élu domicile à Poussan, à la salle Paul Vilalte de la MJC. Conçu comme une forme de cabaret, le théâtre de Benjamin Barou-Crossman, formé par Stanislas Nordey, se voulait être l’expérience du partage avec le public, grâce à l’imprévu, à l’humour, au corps, à une douce folie, à l’élan vital et à la rage de vivre. Car pour faire ressentir ce mystérieux duende, il y avait de l’oralité, celle de deux comédiens dont Benjamin Barou-Crossman. Il y avait aussi du flamenco rempli de chants, de danse ( Karine Gonzalez qui travaille régulièrement avec Tony Gatlif) et de musique (la guitare de Luis Dávila Oria).
Les talentueux acteurs, le guitariste exceptionnel et la superbe Karine Gonzalez dans des danses flamenco qui illustraient à merveille cet état second que l’on atteint grâce au Duende, ont chacun à leur façon, ou en duo, essayés de partir à la recherche de ce fameux Duende, cette force venue de la Terre qui permet de réduire son corps pour qu’il soit en suspension.
Comme une chanteuse qui portée par la foule, par l’envie et la passion, va oublier son « être », en concert, comme un dervish-tourneur qui pourra tourner durant des heures, comme encore ces grands Peintres qui dépassent leurs souffrances physiques pour créer des œuvres incomparables, ou encore ces marathoniens qui oublient les signaux émis par leur corps, chacun d’entre nous peut, porté par « Le Duende » se transcender, atteindre un niveau ou seul l’esprit vous porte. Et c’est dans cet oubli du corps que vont naître des créations étonnantes. Plus question de codes, de limites, l’esprit libéré est soutenu par cette force qui va lui permettre de s’exprimer sans limites physiques.
Car pour le dictionnaire de l’Académie espagnole (1732), un « duende », est un terme commun pour désigner les démons domestiques (trasgos) ; l’Académie espagnole l’intègrera comme « charme mystérieux et ineffable » et le rapportera au flamenco, « los duendes del cante flamenco ». Elle y reconnaît dès lors cette disposition spéciale rappelant la transe, où le génie, l’inspiration, vient soudainement et alors tout réussit sans virtuosité à l’interprète musicien, chanteur ou danseur.
Le spectacle d’El Duende nous a fait ressentir « ce vent de l’Esprit qui était passé sur la tête des morts pour annoncer d’une façon permanente le baptême des choses créées. »
Animé par la voix ou par le geste de l’expérience de l’art flamenco, le duende s’étend à tous les domaines de l’art, à chaque fois qu’il s’agit de faire la différence entre la véritable inspiration et l’imposture (Wikipédia).
Et ce samedi soir le spectacle possédait la fraîcheur de ces choses qui viennent d’être créées pour nous faire approcher cette expérience subjective, cette recherche de la flamme qui est en nous.
Passage à l’heure d’été dimanche 27 mars 2016
Le passage à l’heure d’été se déroulera dimanche 27 mars 2016 à 2 heures du matin. Il faudra ajouter 60 minutes à l’heure légale. Il sera alors 3 heures.
Depuis 1998, les dates de changement d’heure ont été harmonisées au sein de l’Union européenne. Dans tous les pays membres, le passage à l’heure d’été s’effectue le dernier dimanche de mars et le passage à l’heure d’hiver, le dernier dimanche d’octobre. Le prochain passage à l’heure d’hiver aura lieu dimanche 30 octobre 2016, à 3 heures du matin.
L’objectif du changement d’heure est principalement de faire correspondre au mieux les heures d’activités avec les heures d’ensoleillement pour limiter l’utilisation de l’éclairage artificiel.
Rappel :
le changement d’heure a été instauré en France à la suite du choc pétrolier de 1973-1974.