
A découvrir dès le 16 octobre, elle prendra le relai de l’Exposition qui est toujours en cours jusqu’au 15 octobre
Confusion d’une espèce comestible avec une espèce toxique, consommation de champignons comestibles en mauvais état, mal cuits ou mal conservés, achat « à la sauvette »… Que l’on soit connaisseur ou que l’on pratique la cueillette occasionnellement, c’est une activité qui peut comporter des risques très graves pour la santé et on déplore chaque année un millier d’intoxications. Service-Public.fr vous rappelle les bonnes pratiques pour une consommation en toute sécurité.
Les conséquences des intoxications sur la santé peuvent être sévères et conduire à une hospitalisation : troubles digestifs sévères, complications rénales, atteintes du foie pouvant nécessiter une greffe. Certaines peuvent entraîner le décès.
Ces intoxications ont lieu principalement au mois d’octobre, lorsque les conditions météorologiques associant précipitations, humidité et fraîcheur favorisent la pousse des champignons et leur cueillette.
Pour limiter ces risques, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) vous invite à respecter certaines recommandations.
En cas d’apparition de symptômes suite à la consommation de champignons : douleurs abdominales, diarrhées, vomissements, nausées, tremblements, vertiges, troubles de la vue notamment, il faut appeler immédiatement un Centre antipoison en mentionnant cette consommation :
Notez les heures du repas concerné et de la survenue des premiers signes, et conservez les restes de la cueillette pour identification.
Le délai d’apparition des symptômes est variable : de quelques heures après la consommation à plus de 12 heures. L’état de la personne intoxiquée peut s’aggraver rapidement.
En cas de détresse vitale : perte de connaissance, détresse respiratoire… appelez le 15 ou le 112.
Attention : Les centres anti-poison ont pu constater que, dans certains cas, la confusion entre espèces avait été favorisée par l’utilisation d’applications de reconnaissance de champignons sur smartphone qui avaient donné des identifications erronées sur les champignons cueillis.
En octobre Poussan s’habille de rose !
Retrouvez les informations utiles, pour bien vivre son quotidien et améliorer celui de ses parents : des conseils santé et loisirs, des renseignements sur ses droits, l’offre de logement adapté, le transport. Disponible sur demande au 04 67 67 69 30
l’US Poussan organise ce week-end de début octobre les phases finales de la Coupe de France.
Matches ce vendredi à 21h00, samedi à 10h30 ,14h00 & 16h00, et pour finir les finales dimanche à 14h00 & 16h00.
LA VILLE DE POUSSAN RECRUTE
1 ANIMATEUR DE VIE QUOTIDIENNE
A TEMPS PARTIEL
Par voie contractuelle de vacation
URGENT
Employeur : Mairie de POUSSAN – 1 Place de la mairie – 34560 POUSSAN
Située à 13 km de Sète, au cœur du territoire de Sète Agglopôle Méditerranée, 2ème intercommunalité du Département de l’Hérault avec 126 000 habitants, la Commune de Poussan compte aujourd’hui près de 6 000 habitants 80 agents municipaux dont 42 intervenants au sein du Service Enfance et Jeunesse.
Pour favoriser la scolarisation et répondre aux besoins éducatifs particuliers d’un élève en situation de handicap (mobilité réduite), la Ville de Poussan recherche un(e) animateur / animatrice de vie quotidienne.
Type de contrat : Vacataire
Famille de métier : Animation
Métier : Animateur de vie quotidienne
Poste à pourvoir le : Au plus tôt
Descriptif de l’emploi : Intervenant au sein du Service Enfance et Jeunesse sous l’autorité du Responsable de la structure assurant la gestion des accueils de loisirs périscolaire et extrascolaire, vous serez en charge de l’accompagnement individualisé d’un enfant mineur en situation de handicap (mobilité réduite), afin de faciliter sa participation aux activités et de lui apporter l’aide nécessaire au bon déroulement des temps de vie quotidienne sur les différents accueils fréquentés.
Missions :Sous la responsabilité du ou de la Responsable de la structure, l’animateur / animatrice de vie quotidienne est garant(e) de la sécurité affective, morale et physique du mineur dont il / elle a la charge. Il / elle contribue activement à l’inclusion scolaire d’un enfant mineur en situation de handicap (mobilité réduite).
Relations fonctionnelles :
* Relations internes :
– Relation permanente avec l’enfant mineur en situation de mobilité réduite.
– Echanges réguliers d’informations avec son supérieur hiérarchique.
– Relation avec les autres agents municipaux du service.
* Relations externes :
– Echanges réguliers d’informations avec les parents.
Profil recherché :
– Facilitateur de la vie quotidienne d’un enfant en situation de handicap : envie d’aider autrui, attitude positive, patience, empathie sont des qualités indispensables pour ce poste.
– Analyse et accompagnement de l’enfant vers une démarche de progrès.
– Ecoute et capacité à rendre compte à sa hiérarchie de ses activités.
– Sens de l’investissement, discrétion professionnelle.
*Conditions particulières d’exercice : Le contrat est de 8 heures minimum par semaine, sur les temps d’accueil du midi (12h00-14h00) du lundi au vendredi en période scolaire, avec possibilités d’heures complémentaires ponctuelles selon les besoins d’accueils de l’enfant pouvant aller jusqu’à 20 heures par semaine.
COMMENT CANDIDATER ?
Merci d’adresser votre CV et lettre de motivation (de préférence dactylographiée), au plus tôt à l’attention de Madame le Maire de Poussan, et de les envoyer par courriel à l’adresse : rh@ville-poussan.fr en précisant la référence « CANDIDATURE ANIMATEUR VIE QUOTIDIENNE » dans le titre du courriel.
Information complémentaire auprès du Chef de Service : sej@villepoussan.fr – 07.87.55.72.66
À partir du 1er octobre 2021, les aides à domicile du secteur associatif intervenant chez les personnes âgées et handicapées vont bénéficier d’une revalorisation de leur salaire de 13 à 15 % en moyenne. Cette augmentation peut atteindre jusqu’à 300 € par mois. Un décret publié au Journal officiel du 8 septembre 2021 précise les modalités de l’aide financière de l’État versée aux départements et au secteur de l’aide à domicile, afin qu’ils concrétisent cette hausse des salaires applicable dès le 1er octobre 2021.
À compter du 1er octobre, le salaire des employés du secteur associatif (auxiliaires de vie, assistantes de vie…) de l’aide d’accompagnement à domicile (SAAD) et des services de soins infirmiers à domicile (SSIAD) devrait augmenter de 13 à 15 % en moyenne. Selon l’ancienneté et le statut de l’aide à domicile, cette augmentation de salaire peut atteindre 300 € bruts par mois. Cette revalorisation ne concerne que les aides à domicile du secteur associatif et ne s’applique donc pas aux aides à domicile employés dans le secteur privé commercial.
A savoir : Le décret publié au Journal officiel du 8 septembre 2021 précise les modalités de l’aide financière de l’État versée aux départements qui s’engagent à revaloriser les salaires des professionnels de la branche de l’aide à domicile (BAD) à partir du 1er octobre 2021. Il est pris en application de l’article 47 de la loi n° 2020-1576 du 14 décembre 2020 de financement de la sécurité sociale pour 2021.
D’autre part, l’agrément de l’avenant 43 (arrêté du 20 juin 2021 et arrêté du 28 juillet) prévoit une augmentation des salaires des employés des services d’aide et d’accompagnement à domicile (SAAD) et des services de soins infirmiers à domicile (SSIAD).
Sa mise en œuvre représente un surcoût pour les départements, l’État s’est donc engagé à ce qu’il soit compensé à hauteur de 70 % en 2021.
À partir de 2022, la compensation du surcoût s’établira à 50 %.