Ce samedi après-midi, les U10 du CA Poussan Foot retrouvaient les terrains avec un groupe décimé. Ils se déplaçaient à Balaruc. Après une défaite d’une courte tête lors du premier match, les jeunes poussannais se sont imposés aisément (5-1) face à l’AS Mireval.
Archives mensuelles : novembre 2021
Un bon plateau pour les U7 du CA Poussan Foot à La Peyrade
Ce samedi matin, les U7 du CA Poussan Foot se déplaçaient à La Peyrade pour effectuer le plateau hebdomadaire. Sous un froid glacial, les jeunes poussannais ont fait match nul contre La Peyrade et se sont inclinés contre le FC Sète 34 et contre le Stade Balarucois.
Coronavirus : dernier point de situation en Occitanie
L’Agence Régionale de Santé recensait ce vendredi 26 novembre ausoir, 779 hospitalisations en cours dont 167 en réanimation et soins critiques et 5 312 décès dans les établissements de santé
Cliquez sur l’image pour l’agrandir.
Prochain bulletin d’information : mardi 30 novembre
Pour comparer :
Bulletin d’information COVID-19 en Occitanie du mardi 23 novembre 2021
[Point presse situation COVID-19 en Occitanie du mardi 23 novembre 2021]
Bulletin d’information COVID-19 en Occitanie du vendredi 19 novembre 2021
Information coronavirus : suivi hebdomadaire des Hôpitaux du Bassin de Thau

Les rencontres du week-end des 27 et 28 novembre du CA Poussan Foot
Les rencontres du week-end des 27 et 28 novembre du CA Poussan Foot
Des JO avant l’heure, sur le territoire de SAM durant deux jours!

Le contexte particulier a conduit les organisateurs à proposer des ateliers sans brassage d’élèves, avec un fonctionnement par classe, dans le respect du protocole sanitaire en vigueur et des contraintes de sécurité.
Il ne s’agissait donc pas d’une réelle rencontre entre élèves, mais il était important de montrer que des actions étaient envisageables, et ce fut le cas durant les temps dédiés au sport.
Les classes étaient accueillies par journée et participaient à 4 ateliers parmi les ateliers suivants : athlétisme (1e sport olympique), relais en aveugle avec l’USEP/ sensibilisation au handicap visuel (jeux paralympiques), culture olympique avec le CDOS34, basket-ball ou handball.
Le skate-board, sport additionnel des Jeux olympiques de Paris 2024, était proposé en démonstration durant le temps méridien. Une démonstration de breaking, autre sport additionnel, proposée en clôture de la journée a mis le feu aux différentes classes avant qu’elle ne se séparent.
8 classes de CM2 par jour…
oLundi : Balaruc-les Bains, Balaruc-le-vieux, Bouzigues, Fabrègues, Frontignan, Gigean, Millau, Mireval
oMardi : Loupian, Marseillan, Mèze, Montbazin, Poussan, Sète, Vic-la Gardiole , Villeveyrac.)
-Programme de chacun des jours : Cérémonie d’ouverture, défilé des classes dans l’ordre alphabétique des communes, prises de parole, déclaration d’ouverture ,entrée et levée du drapeau / Hymne olympique et lecture du serment des athlètes par des élèves.
Puis ateliers sportifs et/ou culturels, pause déjeuner couplée avec démonstration de skate-board et ateliers sportifs et/ou culturels. Et à 15h30 : cérémonie de clôture : remise des médailles à tous les enfants – Marseillaise, Hymne olympique –descente du drapeau, démonstration de breaking avec l’association « Dimension 34 » et enfin déclaration de clôture et remerciements…
Vidéo : https://youtu.be/WZmDKmlUZGU
Au programme de ce week-end des 27 et 28 novembre 2021, toutes les équipes de l’ASP Rugby jouent
Au programme de ce week-end des 27 et 28 novembre 2021, toutes les équipes de l’ASP Rugby jouent ! Seuls les cadets/juniors jouent à domicile à Frontignan, les autres se déplacent. Qui seront les courageux qui feront le déplacement !?
Un joli moment se prépare à la Mjc Poussan …

Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes
Des chiffres implacables
-
125 décès liés aux violences conjugales recensés
par la police et la gendarmerie en 2020.
-
Parmi les victimes, 102 sont des femmes, 23 sont des
hommes. 82 % des victimes de violences conjugales
sont donc des femmes.
- 82 % des auteurs de ces violences sont des hommes.
-
3 5 % d e s fe m m e s v i c t i m e s avaint d é j à s u b i
des violences.
-
67 % d’entre elles avaient signalé ces faits aux forces
de l’ordre.
-
Au total, 18 % des victimes féminines avaient déjà
déposé plainte.
-
66 % des faits sont commis entre époux, concubins ou
pacsés.
-
Dans 86 % des cas, les passages à l’acte se produisent
au domicile du couple, de la victime ou de l’auteur.
- 30 % des faits sont précédés d’une dispute.
-
Dans 24 % des cas, les faits interviennent dans le
contexte d’une séparation non acceptée.
- 33 % des victimes ont été tuées par arme à feu.
-
Sur les 125 auteurs identifiés, 105 étaient de nationa-
lité française et 20 de nationalité étrangère.
-
En 2020, 238 tentatives d’homicide au sein du couple
ont été recensées. C’est 30 de moins qu’en 2019.
Ces chiffres sont tirés de l’Étude nationale sur les morts
violentes au sein du couple, publiée le 2 août 2021 par
le ministère de l’Intérieur.
A ce sujet François Commeinhes, Président de Sète Agglopôle précisait :
C’est un problème très grave…
(Vidéo : https://youtu.be/oVCwlC-G5C4)
« Les années qui viennent de s’écouler ont été catastrophiques dans le domaine de la violence faite aux femmes. La crise sanitaire et les confinements successifs ont engendré une hausse significative du phénomène. Les signalements ont augmenté de 40% dès le premier confinement et de 60% lors du second.
Ce triste constat fait réfléchir. Il démontre qu’en étant intégrées par le travail, la vie sociale, l’engagement associatif, les femmes sont davantage protégées, soutenues, écoutées. C’est une motivation supplémentaire à concentrer nos efforts sur l’intégration économique et sociale des femmes dans nos communes, dans nos territoires. J’y travaille depuis ma première élection en tant que maire de Sète où j’ai créé la première délégation à la condition féminine, inspiré du premier secrétariat d’Etat éponyme créé par Simone Veil que nous avions eu le plaisir d’accueillir à Sète. Conscient du problème, nous avons d’abord travaillé à développer l’accès aux droits, aux soins, à l’emploi et à la culture grâce au réseau Via Voltaire. Ce réseau est toujours aujourd’hui, une force vive d’écoute et de réactivité, un outil essentiel pour aider, accompagner les femmes dans leur parcours.
A travers le Conseil intercommunal de sécurité, de prévention de la délinquance, que je préside avec Hugues MOUTOUH, préfet de l’Hérault, Fabrice BELARGENT, procureur de la République, et Kléber MESQUIDA, président du Département de l’Hérault, nous travaillons sur l’accueil des victimes, femmes et enfants au sein du commissariat de Sète-Frontignan. Je salue à ce titre l’implication de Robert Saby, commissaire divisionnaire, de son équipe, et de la brigade de la famille.
Nous avons ainsi :
-
créé un poste d’assistance sociale chargée de l’accueil des femmes victimes de violence et aménagé un bureau dédié à l’aide d’ailleurs d’un chantier d’insertion,
-
installé des couloirs distincts pour qu’auteurs et victimes ne se croisent pas.
-
créé une salle Mélanie adoucir tant que faire se peut l’audition des petites victimes
-
et posé des cloisons phoniques pour écouter les femmes en leur assurant un climat de confidentialité
En tant que maire de Sète, Président de Sète agglopôle et du CISPDR, j’ai souhaité renforcer l’accès aux droits. Plusieurs locaux ont été mis à disposition d’associations qui font un remarquable travail d’écoute et d’orientation. Je pense au CIDFF, à l’association des avocats, au défenseur des droits, aux conseillers familiaux, aux conseillers du droit. Des policiers municipaux mais aussi des agents des services municipaux ont été formés aux mécanismes de ces violences en partenariat avec le réseau Via Voltaire.
Enfin, médecin de profession, j’apporte tout mon soutien à la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) notamment dans le cadre du contrat de ville. Nos acteurs de santé sont un des rouages clés dans la détection et l’orientation des victimes. Je salue leur implication. Je n’oublie pas l’appui de France Victimes, des psychologues cliniciens qui apportent l’aide nécessaire aux femmes et aux enfants pour leur permettre de se reconstruire, même si le chemin est souvent long et jonché d’embuches.
Face à ce fléau, il est important d’unir nos forces pour mener une action coordonnée et gagner en réactivité. En ce sens, la situation évolue favorablement. Le mouvement #MeToo,le comptage des féminicides par les associations qui atteignent le triste chiffre de 90 en ce mois de novembre 2021,le Grenelle des violences conjugales lancé le 3 septembre 2019, ont permis une meilleure prise de conscience de la dangerosité des violents conjugaux et des défaillances dans la prise en charge des victimes.
Les dispositifs de signalement ont été renforcés et des campagnes de communication ont permis de mieux sensibiliser la population à ce fléau. Les forces de sécurité : police Nationale, Gendarmerie et police municipale se sont pleinement mobilisées.
Mais il y a encore beaucoup à faire.
Je remercie Mme CANOVAS Déléguée Départementale aux droits des femmes et des familles, ainsi que les élus et partenaires présents ce soir. Ensemble, nous trouverons de nouvelles solutions pour améliorer la situation sur le bassin de Thau, notamment en matière d’accueil d’hébergement d’urgence sécurisé pour les victimes de violences conjugales. »
Pensions de retraite : + 1,1 % au 1er janvier 2022
Compte tenu de la publication par l’Insee de l’indice des prix à la consommation hors tabac pour le mois d’octobre 2021, les pensions de retraite de base seront revalorisées de 1,1 % au 1er janvier 2022.
La revalorisation des pensions de retraite intervient au 1er janvier de chaque année.
Cette revalorisation de 1,1 % concerne toutes les retraites de base, à l’exception de celle des avocats : celle des salariés du privé, des fonctionnaires et des indépendants. Elle sera appliquée sur les pensions dues au titre du mois de janvier 2022 qui seront versées début février.
La règle de revalorisation annuelle des montants des retraites de base est inscrite dans le Code de la Sécurité sociale.
Cette hausse de 1,1 % a donc été calculée selon la formule qui correspond au rapport entre l’évolution de l’indice des prix à la consommation de novembre 2019 à octobre 2020 et celui de novembre 2020 à octobre 2021.
Par ailleurs, pour faire face à la hausse des prix de l’énergie et des carburants, les retraités qui perçoivent un montant de pension inférieur à 2 000 € nets par mois recevront une indemnité inflation d’un montant de 100 €. Elle sera versée par leur caisse de retraite en février 2022.
À noter : La revalorisation des pensions de retraite était de 0,4 % au 1er janvier 2021.
À savoir : L’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa) sera également augmentée de 1,1 %.