Médicaments génériques : ce qu’il faut savoir

Illustration 1 Médicament générique - Devenir générique ça se mérite

Qu’est-ce qu’un médicament générique ? Un médicament générique a-t-il les mêmes composants que le médicament d’origine ? Est-il toujours moins cher ? Et si je préfère me soigner avec un médicament non générique ? Dans le cadre de la campagne d’information sur les médicaments génériques lancée par le ministère des Affaires sociales et de la Santé, retrouvez tout ce qu’il faut savoir sur le site medicaments.gouv.fr.

Le site web www.medicaments.gouv.fr détaille en quoi consistent les génériques :

  • qui sont des médicaments conçus à partir de la molécule d’un médicament déjà autorisé dont le brevet est tombé dans le domaine public ;
  • et qui doivent notamment avoir la même composition qualitative et quantitative en principes actifs et la même efficacité thérapeutique (on parle de « bioéquivalence »).

En général, les médicaments génériques n’ont pas de nom de marque. Sur la boîte, c’est la dénomination commune internationale (DCI), désignant la substance active des médicaments, qui apparaît, suivie du nom du laboratoire et du dosage. Attention néanmoins, certains médicaments génériques ne suivent pas cette règle, la mention « » (pour générique) suivant alors le nom de marque.

En cas d’effets indésirables, il est important de le signaler rapidement à votre médecin ou à votre pharmacien afin d’adopter la meilleure conduite à tenir. Vous pouvez également signaler directement en ligne un effet indésirable via le système national de déclaration proposé par l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) .

  À noter :

Les excipients sont des substances sans activité thérapeutique, leur fonction étant de faciliter la fabrication, l’administration (consistance, forme, goût…) et la conservation du médicament.

Repas du CAP : convivialité et partage

screen-shot-10-29-16-at-08-09-amVendredi soir, le repas festif du CAP a réuni les partenaires, élus, éducateurs et dirigeants du club pour une présentation générale de la saison 2016/2017.screen-shot-10-29-16-at-08-09-am-001

Cette soirée fut très conviviale et agréable et a permis de nouer des liens amicaux entre les différents participants.

La rouille de seiche de Franck a, comme d’habitude, été excellente.screen-shot-10-29-16-at-08-10-am

Un grand merci à toutes les personnes présentes.

L’encadrement des loyers : comment ça marche ?

                                                 Illustration 1Crédits : © Pixabay.com

Illustration 1 Façade immeuble

Vous vous interrogez sur le montant de votre loyer. Comment est-il fixé ? Comment et quand peut-il être révisé ? En quoi consiste l’encadrement des loyers ? Quels sont les recours possibles si mon bailleur ne respecte pas les règles en matière d’encadrement des loyers ?

Service-Public.fr vous propose de faire le point sur ces questions et de comprendre la réglementation à Paris et dans les autres villes.

En quoi consiste l’encadrement des loyers ?

L’encadrement des loyers consiste à limiter les hausses des loyers remis en location ou réévalués en fin de bail. Cette réglementation ne concerne que certaines villes où les prix des logements loués sont très élevés.

Comment est fixé le loyer d’un logement du secteur privé ?

Le loyer initial est en principe librement fixé par le propriétaire sauf dans les communes dans lesquelles le loyer est encadré et ne peut pas dépasser certains plafonds.

Il peut être révisé une fois par an si une clause inscrite dans le bail le prévoit. Si le bail ne prévoit pas de clause de révision, le montant du loyer reste le même durant toute la durée du bail.

Le bailleur peut-il réviser un loyer sous-évalué ?

Le loyer d’un logement vide ou meublé peut être réévalué au moment du renouvellement du bail s’il est manifestement sous-évalué par rapport aux prix du marché. Cette réévaluation est possible sous réserve de respecter une procédure précise.

Paris : votre loyer respecte-t-il l’encadrement des loyers ? Faites le test

La plateforme : encadrementdesloyers.gouv.fr , vous permet d’évaluer votre niveau de loyer actuel par rapport au loyer de référence et au loyer maximum autorisé pour les caractéristiques de votre logement.

Quels recours en cas de loyer trop élevé à Paris ?

À Paris, le locataire peut obtenir une diminution de loyer sur la base de références comparables, si le loyer fixé au sein du contrat de bail est supérieur au montant du loyer de référence majoré. La demande doit être formulée auprès du bailleur. En l’absence d’accord, un recours amiable puis judiciaire peut être envisagé.

Une bonne Zumba d’Halloween

Les petits comme les grands se sont bien régalés en se déguisant pour
l’Halloween Zumba et interpréter des danses ensorcelantes et envoûtantes.screen-shot-10-28-16-at-02-00-pm

Éclats de rire, bonbons, nougats et friandises étaient aussi de la partie pour
le plaisir de tous.screen-shot-10-28-16-at-02-01-pmZMBTT34 va se préparer dès à présent pour de nouveaux défis…. En
attendant, si vous le souhaitez rejoignez-les !

Avec le FTHB et PTHB : pour vous les Femmes

screen-shot-10-28-16-at-06-01-pmLe temps d’un après-midi, venez découvrir et vous initier à différentes activités sportives! Des stands d’information autour de l’emploi, de la formation, de la culture et de la santé seront également là pour vous renseigner vous Mesdames.

A noter qu’un espace sera dédié aux enfants (animations, jeux…)
Rejoignez-nous et venez partager ce moment convivial avec nous !
Renseignements : Comité Départemental Olympique et Sportif Hérault / 06.73.97.03.06

Verres correcteurs et lentilles de contact

Des conditions de délivrance assouplies

Illustration 1Crédits : © Pixabay.com

Illustration 1 vente lunettes

Les conditions de délivrance des verres correcteurs et des lentilles de contact oculaires correctrices viennent d’être assouplies après la publication d’un décret au Journal officiel du 16 octobre 2016. Ce texte fait suite à l’article 132 de la loi du 26 janvier 2016 sur le système de santé.

Dans le cadre d’un renouvellement, les opticiens sont désormais autorisés, après réalisation d’un examen et sauf opposition de l’ophtalmologiste, à adapter les corrections optiques sur les prescriptions médicales de lentilles de contact datant de moins de :

  • un an, pour les patients âgés de moins de 16 ans ;
  • trois ans, pour les patients âgés de plus 16 ans.

L’opticien reporte alors sur la prescription médicale l’adaptation de la correction réalisée et en informe le médecin prescripteur.

Par ailleurs, la délivrance de verres correcteurs d’amétropie (astigmatisme, myopie ou hypermétropie) par les opticiens est conditionnée à la présentation ou la vérification de l’existence d’une ordonnance médicale. La durée de validité de cette ordonnance est maintenant fixée à :

  • un an, pour les patients âgés de moins de 16 ans ;
  • cinq ans, pour les patients âgés de 16 à 42 ans ;
  • trois ans, pour les patients âgés de plus de 42 ans.

Une copie de cette ordonnance est conservée par l’opticien jusqu’à l’expiration de sa validité (sauf opposition du patient).

En cas de perte ou de bris des verres correcteurs, lorsque l’urgence est constatée et en l’absence de solution médicale adaptée, les opticiens peuvent exceptionnellement délivrer sans ordonnance de nouvelles lunettes.