Prime exceptionnelle de rentrée : qui peut en bénéficier ?



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La prime exceptionnelle de rentrée fait partie des mesures prises par le gouvernement en faveur du pouvoir d’achat pour la rentrée 2022, dans un contexte d’inflation élevé. Elle sera versée le 15 septembre 2022. Environ 11 millions de foyers sont concernés.

La loi de finances rectificative (LFR) pour 2022 permet de financer des mesures pour le pouvoir d’achat des Français et prévoit notamment une aide exceptionnelle de solidarité (AES) dite « prime de rentrée » destinée aux foyers modestes.

Qui peut en bénéficier ?

D’un montant de 100 €, auxquels s’ajoutent 50 € par enfant à charge, cette aide mise en place exceptionnellement pour l’année 2022 s’adresse aux bénéficiaires des minima sociaux comme le revenu de solidarité active (RSA), l’allocation aux adultes handicapés (AAH) ou l’allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa), aux allocataires des aides au logement (APL, ALF, ALS) mais aussi aux personnes touchant la prime d’activité.

Le dispositif concerne donc à la fois les personnes aux revenus modestes, les étudiants boursiers, les personnes âgées précaires et les Français percevant des APL.

  À noter : cette aide ne doit pas être confondue avec l’allocation de rentrée scolaire (ARS), octroyée sous conditions de ressources aux familles ayant au moins un enfant scolarisé âgé de 6 à 18 ans et destinée à compenser le coût des dépenses de rentrée scolaire. L’ARS est versée à la mi-août.

Comment obtenir l’aide ?

Si vous êtes éligible, le versement s’effectuera de manière automatique par l’organisme dont vos minima sociaux dépendent, sans démarche de votre part. Par exemple, si vous percevez le RSA ou l’APL, le versement sera effectué par votre Caisse d’allocations familiales. Si vous êtes demandeur d’emploi, c’est Pôle Emploi qui vous versera la prime.

Nouveau à Poussan : le Comité citoyen pour faire vivre la démocratie participative !

 En juin, un premier tirage au sort parmi les 5 672 Poussannais inscrits sur les listes électorales, a permis d’établir la liste des hommes et femmes qui avaient la chance de pouvoir faire partie de ce Comité citoyen.
Les plus enthousiastes ont participé à une première réunion de présentation le 4 juillet en présence de plusieurs élus, dont Madame Le Maire et Madame Cécillon-Pinteno, conseillère déléguée à la Communication et à la Citoyenneté.
Un deuxième tirage au sort sera fait au mois d’août afin de former au final un groupe de 32 Poussannaises et Poussannais (en respectant la parité Femme/Homme) engagés pour 2 ans.portoCapture d’écran 2022-08-04 220356
Peut-être serez vous tiré au sort !
Les missions du Comité citoyen :
Il gère le budget participatif. Il s’agit d’un budget de 20 000 € /an réservé aux projets d’intérêt général des habitants pour leur ville. Ce budget est provisionné sur le budget principal de la ville pour que les Poussannais puissent agir et voir se concrétiser leurs idées.
 Il peut être sollicité sur des questions d’intérêt général par les élus.
 Il donne son avis sur des dossiers soumis par la municipalité. Il peut être force de propositions.
 Il peut aussi être à l’initiative d’actions, de projets à mener.
 Il peut soulever des problèmes spécifiques qu’il souhaite approfondir, être à l’initiative de réflexion à mener.

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Le Pass’Sport

Le Pass’Sport est une allocation de rentrée sportive de 50 euros par enfant/jeune adulte éligible pour financer tout ou partie de son inscription dans une association sportive. Plus d’un million de jeunes ont déjà pu en bénéficier !

Le Pass’Sport est reconduit pour la saison sportive 2022-2023.

Profite de 50 € pour t’inscrire dans un club sportif à la rentrée !

Qu’est-ce que le « Pass’Sport » ?

C’est une allocation de rentrée sportive. D’un montant de 50 euros, cette aide de l’État est destinée aux enfants de 6 à 18 ans bénéficiaires de l’allocation de rentrée scolaire. Elle permet de prendre une adhésion ou une licence dans une structure sportive éligible pour la saison 2022-2023.

Pour les jeunes, c’est une opportunité de :

  • rejoindre un club
  • retrouver des camarades
  • pratiquer son sport favori ou l’essayer

Pour les familles, c’est :

  • un soutien socio-éducatif
  • une activité et un cadre structurants pour leur enfant

Pourquoi faire du sport ?

La pratique régulière d’une activité physique et sportive, même à intensité modérée, est un des meilleurs moyens pour prévenir les risques liés à la sédentarité ainsi que pour lutter contre de nombreuses pathologies chroniques associées (obésité, hypertension artérielle) et limiter le développement d’affections de longue durée (cancers, maladies cardiovasculaires, diabète).

À qui s’adresse le « Pass’Sport » ?

Le Pass’Sport s’adresse aux :

Comment cela fonctionne ?

Les familles éligibles sont notifiées de cette aide par un courrier dans la 2ème moitié du mois d’août. Elles doivent présenter ce courrier aux clubs sportifs de leur choix et volontaires du réseau Pass’Sport lors de l’adhésion et se verront retrancher 50 euros à l’inscription.

Ce montant couvre tout ou partie du coût d’inscription dans un club, c’est à-dire à la fois la partie « licence » reversée à la fédération, ainsi que la partie « cotisation » qui revient au club. Elle est donc versée non pas aux familles mais directement aux clubs.

Cette aide est personnel et utilisable une seule fois auprès d’un club choisi. Le Pass’Sport est une aide cumulable avec les autres aides mises en place notamment par les collectivités et les aides de la Caisse d’Allocations Familiales.

Où l’utiliser ?

Le Pass’Sport peut être utilisé :

  • dans les associations et structures sportives affiliées aux fédérations sportives délégataires 
  • dans les quartiers prioritaires de la ville, auprès de toutes les associations sportives agréées qu’elles soient affiliées ou non à une fédération sportive et/ou soutenues par le programme « Cités éducatives » de l’État
  • dans le réseau des maisons sport-santé reconnues par les ministères de la Santé et des Sports

Toutes les associations partenaires doivent être volontaires, et proposer une découverte gratuite de leur activité avant de confirmer la prise de licence.

Les associations sportives partenaires du dispositif Pass’Sport sont identifiées sur une carte interactive disponible sur le site www.sports.gouv.fr.

Le saviez-vous ?

La licence sportive permet de :

  • prendre part aux activités organisées par une fédération sportive ou un de ses clubs
  • bénéficier de nombreux avantages liés à la pratique en club, notamment la participation aux compétitions
  • participer au fonctionnement de la fédération.

Le licencié est couvert par l’assurance obligatoire de la fédération pour les dommages qu’il cause ou qu’un autre participant lui cause lors de ces activités.

Prestations familiales : les nouveaux montants au 1er avril 2022

Prestation d’accueil du jeune enfant (Paje), allocations familiales, prime de déménagement, complément de libre choix du mode de garde (CMG), allocation d’éducation de l’enfant handicapé (AEEH), allocation de rentrée scolaire (ARS)… Au 1er avril 2022, les prestations familiales sont revalorisées de 1,8 % comme le précise une instruction interministérielle du 28 mars 2022.

Zéro, Pour Cent, Des Nuages, Paradis

Retrouvez tous ces nouveaux montants sur les fiches Service-Public.fr mises à jour :

Allocations versées à partir du 1er enfant

Paje – prime à la naissance  ;

Paje – prime à l’adoption  ;

Allocation de base (après la naissance)  ;

Allocation de base (après l’adoption)  ;

Allocation versée en cas de décès d’un enfant .

Allocations versées à partir du 2e enfant

Allocations familiales (famille de 2 enfants et plus)  ;

Complément familial (famille de 3 enfants et plus)  ;

Prime de déménagement .

Enfant gardé par un tiers

CMG – garde à domicile  ;

CMG – micro-crèche  ;

CMG – assistante maternelle .

Enfant gardé par un parent

Prestation partagée d’éducation de l’enfant  ;

Allocation journalière de présence parentale .

Allocation de soutien familial (ASF)

ASF – parents séparés  ;

ASF – enfant non reconnu  ;

ASF – enfant orphelin  ;

ASF – enfant recueilli .

  À noter : Les valeurs indiquées dans l’instruction ministérielle citée en référence sont calculées avant précompte de la CRDS, donc légèrement supérieures aux montant nets versés.

Cette instruction fixe également les montants de l’AEEH et les montants de l’ARS .

La PMI c’est aussi la planification familiale

 

Sexualité, contraception, IVG, relations de couple, violences… dans les Centres de planification et d’éducation familiale de l’Hérault, des professionnels de PMI vous accueillent de manière anonyme et gratuite. Et ce, quel que soit votre âge !

La planification et l’éducation familiale c’est quoi ?

Elle s’adresse à tous ! Des mineurs et des jeunes adultes principalement. Les mineurs qui souhaitent garder le secret sur leur vie intime peuvent obtenir, gratuitement et sans autorisation de leurs parents, une consultation médicale, la prescription d’un moyen contraceptif, la contraception d’urgence, ainsi que les bilans et le suivi nécessaires.

« L’adolescent a tendance à se tourner vers une structure plus neutre en matière de santé sexuelle, le médecin généraliste pouvant être perçu comme une figure parentale. Le centre de planification est le lieu le plus propice, la parole se libère dénuée de tout affecte. Il est plus adapté au moment de l’adolescence » Carole Durand, médecin CPEF

Des professionnels de santé sont à l’écoute, conseillent et informent tous les publics. Ils proposent également une approche positive de la sexualité et de la vie affective des personnes en situation de handicap, fondée sur la reconnaissance et le respect de leur autonomie.

Les missions de la planification familiale ?

Favoriser une entrée positive et responsable des adolescents dans la vie affective et sexuelle.

« Dans notre posture d’accueil, nous faisons la promotion du respect des personnes quelles que soient leurs orientations sexuelles ou leurs identités de genre » explique Marie Saint-Cyr, conseillère conjugale et familiale

Les équipes des centres de planification réalisent des animations en milieu scolaire (collège et lycée) afin de faciliter l’accès à l’information et à la prévention en matière de sexualité, donner aux jeunes l’opportunité de trouver des interlocuteurs pour poser leurs questions, mais également sensibiliser et lutter contre toutes discriminations, violences sexuelles ou stéréotypes de genre.

« C’est la singularité des personnes qui fait la rencontre, la qualité et la spécificité des consultations que nous proposons. Le cœur du soin c’est d’avoir le souci de l’autre » Carole Durand, médecin en centre de planification

Les équipes des centres de planification réalisent aussi des entretiens afin d’aider au projet de couple, à préparer à la fonction parentale, et à la résolution de problèmes familiaux ou conjugaux. Ces professionnels de la PMI accompagnent également les victimes de violences.

Pour en savoir + sur la Planification, cliquez ici

Contraception gratuite pour les femmes de moins de 25 ans à partir de janvier 2022

Pilules, Pilules Contraceptives

Afin de faciliter l’accès des jeunes femmes à la contraception, la prise en charge intégrale des frais liés à la contraception dès le 1er janvier 2022 concernera toutes les femmes jusqu’à l’âge de 25 ans et non plus seulement les mineures, comme c’est le cas actuellement. C’est ce qu’a annoncé le ministre de la Santé, Olivier Véran, le 9 septembre 2021.

L’extension de la gratuité de la contraception aux jeunes femmes de moins de 25 ans est motivée par le recul de l’usage de la contraception, souvent lié à des raisons financières.

Dès le 1er janvier 2022, l’Assurance maladie prendra en charge à 100 % et sans avance de frais, le coût de la contraception et les actes qui y sont liés (une consultation par an avec un médecin ou une sage-femme et les examens biologiques potentiels).

3 millions de jeunes femmes sont concernées par cette mesure.

Qui peut actuellement bénéficier de la gratuité des frais liés à la contraception ?

La contraception est actuellement gratuite pour les mineures. Elle l’est depuis 2013 pour les jeunes filles de 15 à 18 ans et depuis janvier 2020, pour les mineures de moins de 15 ans.

En pratique, les jeunes femmes mineures peuvent accéder gratuitement aux différents types de contraception (pilules hormonales de 1ère ou de 2e génération, implant contraceptif hormonal, stérilet, contraception d’urgence hormonale), aux consultations de médecin ou de sage-femme, examens ou actes médicaux en lien avec la contraception.

  À savoir : Ne sont pas concernés les préservatifs masculins et féminins, les crèmes spermicides, les patchs, les anneaux vaginaux et les pilules de 3e et 4e générations.

Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes

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Dans le cadre de la Journée internationale pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes, l’agglopôle organisait hier, une soirée thématique au Théâtre Molière de Sète (petites scènes jouées par la Compagnie « Aux Ailes Citoyennes », suivies d’un débat interactif).
L’occasion de présenter l’aide apportée aux femmes victimes de violences conjugales (environ 220 000 chaque année en France), à travers le Conseil Intercommunal de Sécurité et de Prévention de la Délinquance (création d’un poste d’intervenante sociale, pose de cloisons phoniques pour auditionner en toute confidentialité au Commissariat de Sète, mise à disposition gratuite de locaux pour les associations et conseillers… ).
L’objectif étant d’améliorer toujours plus, l’accueil et l’hébergement d’urgence sécurisé pour les victimes.

 

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Des chiffres implacables
-
125 décès liés aux violences conjugales recensés
par la police et la gendarmerie en 2020.
-
Parmi les victimes, 102 sont des femmes, 23 sont des
hommes. 82 % des victimes de violences conjugales
sont donc des femmes.
- 82 % des auteurs de ces violences sont des hommes.
-
3 5 % d e s fe m m e s v i c t i m e s avaint d é j à s u b i
des violences.

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-
67 % d’entre elles avaient signalé ces faits aux forces
de l’ordre.
-
Au total, 18 % des victimes féminines avaient déjà
déposé plainte.
-
66 % des faits sont commis entre époux, concubins ou
pacsés.
-
Dans 86 % des cas, les passages à l’acte se produisent
au domicile du couple, de la victime ou de l’auteur.
- 30 % des faits sont précédés d’une dispute.
-
Dans 24 % des cas, les faits interviennent dans le
contexte d’une séparation non acceptée.
- 33 % des victimes ont été tuées par arme à feu.
-
Sur les 125 auteurs identifiés, 105 étaient de nationa-
lité française et 20 de nationalité étrangère.
-
En 2020, 238 tentatives d’homicide au sein du couple
ont été recensées. C’est 30 de moins qu’en 2019.
Ces chiffres sont tirés de l’Étude nationale sur les morts
violentes au sein du couple, publiée le 2 août 2021 par
le ministère de l’Intérieur.

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 A ce sujet François Commeinhes, Président de Sète Agglopôle précisait :

 C’est un problème très grave…

(Vidéo : https://youtu.be/oVCwlC-G5C4)

 « Les années qui viennent de s’écouler ont été catastrophiques dans le domaine de la violence faite aux femmes. La crise sanitaire et les confinements successifs ont engendré une hausse significative du phénomène. Les signalements ont augmenté de 40% dès le premier confinement et de 60% lors du second.

 Ce triste constat fait réfléchir. Il démontre qu’en étant intégrées par le travail, la vie sociale, l’engagement associatif, les femmes sont davantage protégées, soutenues, écoutées. C’est une motivation supplémentaire à concentrer nos efforts sur l’intégration économique et sociale des femmes dans nos communes, dans nos territoires. J’y travaille depuis ma première élection en tant que maire de Sète où j’ai créé la première délégation à la condition féminine, inspiré du premier secrétariat d’Etat éponyme créé par Simone Veil que nous avions eu le plaisir d’accueillir à Sète. Conscient du problème, nous avons d’abord travaillé à développer l’accès aux droits, aux soins, à l’emploi et à la culture grâce au réseau Via Voltaire. Ce réseau est toujours aujourd’hui, une force vive d’écoute et de réactivité, un outil essentiel pour aider, accompagner les femmes dans leur parcours.

 A travers le Conseil intercommunal de sécurité, de prévention de la délinquance, que je préside avec Hugues MOUTOUH, préfet de l’Hérault, Fabrice BELARGENT, procureur de la République, et Kléber MESQUIDA, président du Département de l’Hérault, nous travaillons sur l’accueil des victimes, femmes et enfants au sein du commissariat de Sète-Frontignan. Je salue à ce titre l’implication de Robert Saby, commissaire divisionnaire, de son équipe, et de la brigade de la famille.

 Nous avons ainsi :

  • créé un poste d’assistance sociale chargée de l’accueil des femmes victimes de violence et aménagé un bureau dédié à l’aide d’ailleurs d’un chantier d’insertion,

  • installé des couloirs distincts pour qu’auteurs et victimes ne se croisent pas.

  • créé une salle Mélanie adoucir tant que faire se peut l’audition des petites victimes

  • et posé des cloisons phoniques pour écouter les femmes en leur assurant un climat de confidentialité

 En tant que maire de Sète, Président de Sète agglopôle et du CISPDR, j’ai souhaité renforcer l’accès aux droits. Plusieurs locaux ont été mis à disposition d’associations qui font un remarquable travail d’écoute et d’orientation. Je pense au CIDFF, à l’association des avocats, au défenseur des droits, aux conseillers familiaux, aux conseillers du droit. Des policiers municipaux mais aussi des agents des services municipaux ont été formés aux mécanismes de ces violences en partenariat avec le réseau Via Voltaire.

 Enfin, médecin de profession, j’apporte tout mon soutien à la communauté professionnelle territoriale de santé (CPTS) notamment dans le cadre du contrat de ville. Nos acteurs de santé sont un des rouages clés dans la détection et l’orientation des victimes. Je salue leur implication. Je n’oublie pas l’appui de France Victimes, des psychologues cliniciens qui apportent l’aide nécessaire aux femmes et aux enfants pour leur permettre de se reconstruire, même si le chemin est souvent long et jonché d’embuches.

 

Face à ce fléau, il est important d’unir nos forces pour mener une action coordonnée et gagner en réactivité. En ce sens, la situation évolue favorablement. Le mouvement #MeToo,le comptage des féminicides par les associations qui atteignent le triste chiffre de 90 en ce mois de novembre 2021,le Grenelle des violences conjugales lancé le 3 septembre 2019, ont permis une meilleure prise de conscience de la dangerosité des violents conjugaux et des défaillances dans la prise en charge des victimes.

 Les dispositifs de signalement ont été renforcés et des campagnes de communication ont permis de mieux sensibiliser la population à ce fléau. Les forces de sécurité : police Nationale, Gendarmerie et police municipale se sont pleinement mobilisées.

 Mais il y a encore beaucoup à faire.

 Je remercie Mme CANOVAS Déléguée Départementale aux droits des femmes et des familles, ainsi que les élus et partenaires présents ce soir. Ensemble, nous trouverons de nouvelles solutions pour améliorer la situation sur le bassin de Thau, notamment en matière d’accueil d’hébergement d’urgence sécurisé pour les victimes de violences conjugales. »

Rendez-vous sur le nouveau site web « Info Jeunes Hérault » !

 

Le Département de l’Hérault et le Centre Régional Information Jeunesse Occitanie (CRIJ) présentent leur nouveau site web « Info Jeunes Hérault ». Une véritable mine d’informations à portée de clics !

Inauguré le 8 novembre au Domaine Départemental Pierresvives à Montpellier en présence de Julie Garcin-Saudo, conseillère départementale déléguée à la démocratie citoyenne et à la jeunesse, le site est accessible à l’adresse : www.crij.org/herault/fr/

Un site web d’informations et d’accompagnement pour les jeunes

Il donne accès aux jeunes à une multitude d’informations, aussi bien en matière d’orientation professionnelle et scolaire que de vie quotidienne.

Cet outil permet :

  • d’accéder à des offres de logement, jobs, stages, missions de service civique, volontariat à l’étranger…mais aussi à des informations sur les loisirs, la santé, l’information-emploi dans l’Hérault et au-delà ;
  • de prendre connaissance de toute l’actualité et de l’agenda des événements de l’Espaces Jeunes Citoyens de Pierresvives : ateliers numériques, ateliers citoyenneté, journées thématiques information jeunesse (sur le logement, la mobilité, les découvertes métiers, les jobs d’été, la prévention santé…).

Quand mettre à jour votre livret de famille ?

Quand mettre à jour votre livret de famille ?

Infographie Quand mettre à jour votre livret de famille ? - Quand mettre à jour votre livret de famille ? - plus de détails dans le texte suivant l’infographie

 Vous vous mariez ou vous divorcez ? Vous avez un nouvel enfant ? Vous avez obtenu la nationalité française ? Vous changez de nom ou de prénom ? Vous devez mettre à jour votre livret de famille en cas de changement de votre situation familiale ou de votre état civil. Service-Public.fr fait le point sur les événements de votre vie qui nécessitent sa mise à jour.

Vous devez mettre à jour votre livret de famille en cas de changement de votre situation familiale ou de votre état civil.

Changement de situation familiale :

  • Vous vous mariez
  • Vous divorcez
  • Vous vous séparez
  • Un nouvel enfant naît (couple marié ou non)
  • Vous adoptez un enfant
  • Vous êtes père et reconnaissez un enfant qui est déjà inscrit sur un livret de famille de sa mère
  • Vous obtenez, perdez ou retrouvez la nationalité française
  • Il y a un décès d’une personne inscrite sur le livret : époux, parent, enfant

Changement d’état civil :

  • Vous changez de nom
  • Vous changez de prénom
  • Vous changez de sexe (genre)

À noter : la démarche est gratuite. Vous devez vous déplacer à la mairie dans les meilleurs délais.

Crédits : @ Service-Public (DILA)