Soyons solidaires en nous amusant avec Razquette

24 heures de Poussan :

Téléthon !

Le samedi 6 décembre, l’ensemble des Razquettes seront présents pour une action caritative !

Tous les enfants pourront venir s’initier au paintball (encadrés par un Razquette) à partir de 9 h 30 sur le terrain de Paintball.

2€ les 50 billes. Les bénéfices seront reversés intégralement aux 24 Heures de Poussan !

Soyons solidaires en nous amusant . Un minibus sera disponible au centre du village pour assurer le trajet .

Pôle Emploi : connaissez-vous toutes les aides auxquelles vous avez droit ?

Sortir d’une période de chômage et retrouver du travail n’est jamais facile, d’autant plus quand vos ressources personnelles vous permettent difficilement de vous rendre à un entretien, à une formation… Mais des aides existent pour ça. Les connaissez-vous ?

Vous êtes au chômage et vous aimeriez sortir rapidement de cette situation ? Mais comment faire lorsque votre allocation chômage ne vous permet pas de vous déplacer pour vous rendre à un entretien, de vous nourrir une fois que vous y êtes ou de faire garder vos enfants pendant votre absence ?

Justement certaines aides de Pôle Emploi sont toutes particulièrement conçues pour ça… Mais elles sont peu connues. VotreArgent.fr a décidé de faire le point, expliquant que ces « dépenses […] sont autant de frein pour les demandeurs d’emploi peu ou pas indemnisés ».

Afin de pouvoir en profiter, il existe des conditions : être inscrit à Pôle Emploi en catégorie 1 à 5, et ne pas toucher plus que l’Allocation de retour à l’emploi (ARE) minimale, d’un montant de 28,58 euros par jour. Si vous entrez dans cette catégorie, vous pouvez donc demander à Pôle Emploi de l’aide pour vos frais de déplacement, d’hébergement, ou de repas. 

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Pour obtenir une aide aux frais de déplacement, il faut que votre entretien d’embauche, votre reprise d’emploi, votre formation financée par Pôle Emploi ou votre concours de la fonction public se déroule à plus de 60 km aller/retour de chez vous, ou deux heures aller/retour. Le trajet est réduit à 20 km aller/retour dans les DOM. Il faut également que votre déplacement pour un entretien d’embauche ou une reprise d’emploi vise un CDI, un CDD ou un contrat de travail temporaire d’une durée minimal de 1 mois.

30 euros par nuit, 6 euros de repas par jour, 0,20 euro par kilomètre
Pour vous déplacer, si vous utilisez votre propre véhicule, vous obtiendrez une aide forfaitaire de 0,20 euro par kilomètre. Pour un voyage en transports en commun, un bon de transport vous sera remis, et vous devrez ensuite le présenter au transporteur en échange d’un billet. Pour obtenir cette aide, présentez à votre Pôle Emploi un courrier ou un mail avec les coordonnées de la personne qui vous reçoit, son nom, son numéro de téléphone, ainsi que l’offre d’emploi ou la convocation.

Si vous devez vous nourrir ou dormir sur place, sachez que Pôle Emploi peut aussi vous aider, à hauteur de 30 euros par nuit et de 6 euros par jour pour les repas. Au total, ces aides ne peuvent pas dépasser 5 000 euros par an. Renseignez-vous auprès de votre Pôle Emploi.

Enfin, vous pouvez aussi bénéficier d’une aide pour la garde de votre enfant afin de vous accompagner au mieux vers un retour à l’emploi. Pôle Emploi paye ainsi une partie des frais de garde dans les structures collectives ou par des nounous. L’aide à la garde d’enfants pour parents isolés (Agepi) dépend du nombre d’enfants que vous avez, ainsi que de la durée de l’activité que vous retrouvez (plus ou moins de 15 heures par semaine).

Votre enfant doit avoir moins de 10 ans et vous devez en avoir la garde, ainsi que la charge lorsque vous allez reprendre un emploi en CDI, en CDD ou en travail temporaire de 3 moins minimum. S’il s’agit d’une formation, elle doit être au minimum de 40 heures.

Découvrir les huiles essentielles de l’automne et de l’hiver

  Découvrir les huiles essentielles de l’automne et de l’hiver simplement ! Vous entendez parler des huiles essentielles mais vous ne savez pas ce que c’est ?

   Lundi soir se tenait la première réunion d’information sur les huiles essentielles de l’automne et de l’hiver, à la boutique ODLYS à Poussan.
Le public avait répondu présent, pour venir découvrir les bienfaits de ces composés naturels qui peuvent soulager les maux de tous les jours.

Après un bref historique et une explication sur les principes d’extractions de ces huiles, nous avons été invité à apprivoiser les différents familles biochimiques.
Aldéhydes, cétones, monoterpènes, monoterpénols et autres, nous ont été présentés simplement afin que tout le monde comprenne bien que les huiles essentielles ne sont pas à prendre à la légère!
Ce n’est pas parce que ces produits sont naturels qu’ils ne sont pas sans danger.


Après une collation à base d’huiles essentielles, comme un mariage du jus de cerise et de l’huile de géranium, ou un gâteau à l’ylang ylang et à la lavande, c’est au tour de 4 huiles essentielles de l’automne et de l’hiver de nous être présentés.
On retiendra donc le citron pour drainer son foie et stimuler son immunité, le romarin à verbénone qui régénére ce même émonctoire, le ravintsara qui est l’huile essentielle de l’hiver ainsi que le thym à thuyanol.

  La réunion était enrichie par les questions des participants qui étaient visiblement très demandeurs d’informations sur cette façon de rester en bonne santé… naturellement !Il est à noter que la boutique ODLYS recevra samedi 6 Décembre à partir de 14 h 30, MYRIAM SOULET, formatrice et experte en aromathérapie: www.formationhuilesessentielles.frToutes les informations apparaitront sur le site de la boutique www.odlysboutique.fr et sur le facebook: www.facebook.com/odlys

Samedi 6 Décembre 2014
à 18h30
Boutique ODLYS
2, rue Pasteur
POUSSAN

Fest’ud finit son week-end en beauté

  FEST’UD 34, le 4ème festival de théâtre amateur des MJC de l’Hérault se déroulait à Poussan du 28 au 30 novembre 2014 à la salle de spectacle Paul VILALTE dans les locaux de la MJC. Ce festival était organisé par l’UD MJC 34 , en partenariat avec la MJC de Poussan et avec le soutien de la fncta 34 et de la Ville de Poussan. Il a accueilli 5 spectacles et s’est terminé ce dimanche .

   Ce 30 novembre, à 15 h, place à la décontraction avec une comédie un peu légère pour se décontracter : « TETES A CLAQUES » de René Bruneau (COMEDIE ), une pièce jouée par les Meneurs de jeu en coulisse  de la MJC de Mauguio dans laquelle Une demoiselle de province héritait, à Paris, d’un orphelinat pour jeunes filles : En réalité, l’orphelinat était une maison… de passe.

   Les demoiselles de petite vertu contraintes pour conserver leur maison de jouer des pathétiques orphelines, ça virait rapidement à la plus joyeuse pagaille… » La propriétaire de la maison annonçait sa venue pour un soir de Noël qui devait être l’occasion de faire la fête.

  Mais à 18 h, pour le dernier spectacle, c’était du sérieux avec des variations énigmatiques et une réflexion : « Qui aime-t-on quand on aime ? Sait-on jamais qui est l’être aimé ?

   Cette comédie d’Eric Emmanuel Schmitt interprétée par la Compagnie du Triangle de la MJC de Castelnau le Lez vous invitait durant 1 h 15, à observer et à analyser comment autour de ces éternels mystères du sentiment amoureux, deux hommes s’affrontent : Abel Znorko, Prix Nobel de Littérature, misanthrope patenté, et Erik Larsen, journaliste énigmatique. L’entrevue se transformait vite en un jeu de la vérité cruel et sinueux, rythmé par un suspense savamment distillé… Mais pour quel motif inavoué ? »

  Un nombreux public très attentif et concentré assistait à cette représentation de très haut niveau dans laquelle les deux hommes essayaient d’aller au-delà des pulsions qui les animent en analysant les comportements des humains et les leurs. Mais pour Abel Znorko, il est plus facile d’écrire que de communiquer. Et plonger dans son moi intérieur et s’auto-analyser devient vite un exercice difficile. Erik Larsen va l’aider, motivé par un besoin, celui de savoir …

  Et pour terminer, avant que Pierre Robert puisse se relâcher, avait lieu le tirage de la tombola organisée durant ce festival ainsi que la remise des prix : Celui du public et celui de la meilleure fréquentation.

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  Après un apéritif convivial partagé entre organisateurs, spectateurs et acteurs l’on se donnait rendez-vous en 2015 toujours avec des amateurs vraiment très « professionnels ».

Les anciens combattants fêtaient la fin de l’année

Le dernier repas de l’année de L’Union Nationale des combattants de Poussan, Bouzigues, Loupian c’est déroulée ce week-end dans la bonne humeur.

 De nombreux adhérents avaient répondu présents à l’invitation.

  Monsieur Jacques Adgé, maire de Poussan et Madame, ont honorés les participants de leur présence : Après un apéritif convivial le repas était servi par des charmantes Dames : Josette, Roselyne, Gilberte, Marie-Claire aidées par Michel, Jean, Antoine. L’ambiance était chaleureuse et le menu apprécié de tous. A l’issue de cette belle journée rendez-vous était pris pour la galette des Rois janvier 2015.

Arrivée en juin, Delphine Mourray se sent déjà chez elle à Poussan

  Installée à Poussan depuis début juillet dans le salon de coiffure « Coupes & styles », Delphine Mourray apprécie sa nouvelle vie.

  « Poussan est un village dynamique et accueillant. Nous sommes arrivés fin juin dans l’Hérault mais c’est comme si on avait toujours habité là. J’aime tellement mon métier que je n’ai pas l’impression de travailler mais d’être tout le temps en vacances. » Cette coiffeuse originaire de Seine-et-Marne a découvert la région en venant ici en vacances. Il lui était de plus en plus difficile de remonter, ce qui lui a donné l’envie de rester. « Ce n’était pas forcément évident car mon mari et moi avions une situation établie là-bas mais c’est un projet de vie en famille. Heureusement je suis très épaulée par mon mari. »

Un coup de cœur pour Poussan

Lorsqu’elle a pris contact avec la CCI de Montpellier, elle a eu un coup de cœur pour Poussan qui représente l’avantage de la proximité avec trois grandes villes. « C’est très important pour ma fille de 18 ans qui poursuit sa scolarité. » En dehors de ses heures de travail, elle aime pratiquer la Zumba et profiter du soleil en famille. Dans son salon, cette maître artisan qui a obtenu le 1er prix de la meilleure apprentie de la région Ile de France continue à se former. « Ce qui prime c’est le bien-être du client, donc je prends mon temps. Je souhaite que mon salon soit un endroit privilégié et cocooning, d’autant que j’aime faire des massages. »

  Des conditions de travail parfaites

  Si sa clientèle est aujourd’hui majoritairement composée de client de l’ancienne propriétaire, elle se réjouit de constater que le bouche-à-oreille fonctionne très bien. « La transition avec l’ancienne propriétaire s’est très bien passée. J’ai commencé à travailler avec elle les trois jours qui précédaient la passation de pouvoir mais elle avait commencé à parler de moi et me présenter depuis quelques mois déjà !« 

  Elle exerce ce métier avec passion dans une ambiance privilégiée. « En étant la seule coiffeuse, je n’ai qu’un client à la fois donc c’est un peu comme s’il s’agissait d’un salon VIP ! Comment ne pas aimer ce que je fais, je rends les gens beaux et heureux toute la journée ! « 

Le grand Large a tenté un bon public

  Ce samedi soir, il suffisait d’aller à la MJC, au 4ème Fest’UD, pour pouvoir prendre le large. En effet, un grand voyage vous était offert, à 21 h, avec « Au grand large » de Sutton Vaneune pièce jouée par la Vène en scène ( invitée MJC Montbazin).

   Un voyage, oui, mais surtout beaucoup de questions car embarqués à bord d’un bateau de croisière, les personnages venus d’un milieu différent ne savaient pas ce qu’ils faisaient là, ni comment ils étaient arrivés là.

  Qui étaient-ils ? Pourquoi étaient-ils sur ce drôle de bateau ? Interrogateurs, les acteurs comme les spectateurs le seront jusqu’à la question finale qui leur apportera la réponse qu’ils auraient préféré ignorer...

  Et le public nombreux avait rempli le bateau, la salle Paul Vilalte, car il se souvenait  que la troupe de la Vène en scène avait remporté le trophée de la pièce préférée par le public, en 2013. Mais lui savait ce qu’il venait y faire.