Ni Une, Ni Deux d’Eugène Durif et de Jacques Allaire avec Stéphanie Marc, Vanessa Liautey, Cyril Amiot est né d’un chantier mené en 1997 au Festival Théâtre de Signal (Aude) et s’intitulait à l’époque Il faut que l’une ait raison pour que l’autre ait tort.
Production : Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau

En partenariat avec les villes de Sète, Mireval, Marseillan, Mèze, Vic-la-Gardiole, Poussan, Balaruc-le-Vieux, Balaruc-les-Bains, Montbazin, Gigean, Frontignan la Peyrade et la Compagnie Le Strapontin, la Scène Nationale de Sète et du Bassin de Thau a décidé de produire ce spectacle et de le présenter dans les communes du Bassin de Thau.

Avec Ni Une, Ni Deux, Jacques Allaire proposait une comédie burlesque, une pochade hilarante, une sorte de variation à la Marx Brothers sur un texte qui rappelle les jongleries verbales des tenants du théâtre de l’absurde et de Samuel Beckett.

L’histoire est celle de deux jeunes femmes, Ni Une, Ni Deux, qui débarquent sur la scène du théâtre comme projetées sur le plateau. Elles découvrent qu’il y a un public qui visiblement les attendait… Tétanisé de peur, il y a là, présent à observer le public et elles-mêmes, un homme, nommé Tiers, dont la présence n’était visiblement pas prévue. Elles ne sont pas non plus celles que lui, de son côté, attendait…

Nous étions dans le domaine de la pure clownerie avec une situation de base exploitée jusqu’à l’absurde et d’une manière burlesque. Pas d’histoire ni de psychologie personnelle. Seul importait le moment de l’action, de la situation. Dans la précision du geste nourri par un jeu entier et direct, Ni Une et Ni Deux étaient des clowns femmes dans l’esprit des comédies américaines, des Chaplin, Laurel et Hardy ou bien encore Larry Semon…

S’il fallait réserver directement à la scène Nationale, le spectacle avait bien lieu ce samedi,  à la salle Pauil Vilalte de la MJC. La salle était bien remplie.  Et pour les collégiens, grâce au Conseil Général, le spectacle était à  1€. Un beau succès et une expérience à renouveler.

Le CPIE Bassin de Thau coordonne un programme d’animations en Languedoc – Roussillon, avec les CPIE des Causses Méridionaux, et l’APIEU.

Jusqu’au 18 juin 2015, différentes activités vous sont proposées sur le thème de l’eau dans le cadre de la consultation du public, organisée dans toute la France par les pouvoirs publics, sur les futures orientations du SDAGE* 2016- 2021.

Du 4 mars au 3 avril

ADENA- Réserve nationale du Bagnas

Horaires ouverture : lundi au vendredi 9 h -12 h  et 14 h- 17 h

04 67 01 60 23

Dans le cadre de ce programme ; l’ADENA, membre du CPIE Bassin de Thau, présente l’exposition Eau vue d’en Haut, crée par le CPIE BT en 2013.

Venez découvrir la lagune de Thau comme vous ne l’avez jamais vue avec l’exposition photos « Eau vue d’en Haut » crée par le CPIE Bassin de Thau. Ces images insolites réalisées à l’aide d’un cerf volant,  vous permettront de survoler  les paysages lagunaires et littoraux du Bassin de Thau et des étangs palavasiens et y découvrir les grands enjeux autour de l’eau.

Dimanche 22 mars 2015 – 15H00

Tous l’attendait de puis 21 jours. Madame Colell et ses élèves de petite/moyenne section sont heureux de vous annoncer que le premier d’entre-eux est apparu ce mercredi matin.

En effet, dans le cadre d’activités scientifiques en Découverte du Monde,les élèves avaient  mis en place, dans leur classe, une couveuse électrique prêtée par une maman, Madame Bosc.

Celle-ci avait aussi fourni des œufs tandis que trois autres avaient été donnés par Madame Arlette Fabre.

12 œufs de poule en tout. Et après un temps d’incubation bien respecté le premier poussin a enchanté adultes et enfants.

Sous la surveillance de tout le personnel de l’école, après cette première, les autres naissances devraient se produire avec de nombreuses éclosions qui peuvent prendre jusqu’à 24 heures. Il est alors primordial de laisser les poussins se débrouiller seuls, il ne faut pas tenter de les aider. Une fois sortis, il faudra les laisser un jour dans la couveuse sans eau ni nourriture à une température de 35° C…

A suivre…

Et pour s’adapter :

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