La passion de la boule

Ce vendredi matin, sur le carré d’honneur du jardin public, plus que 8  équipes pour s’adonner au jeu provençal, la passion de  ces boulistes. Car ce jeu a quelques particularités qui remontent à 1850. Il faut savoir que la boule lyonnaise a en effet vu le jour au XVIIIe siècle dans la région de Lyon, d’où son nom. Élevé au rang de sport, avec la création de la première société officielle : « le Clos Jouve », la Fédération française de boules fut longtemps dominée par la boule lyonnaise.
Au cours du XIXe siècle, la section Provençale de la FFB codifie le jeu dit « à la longue » qui est un jumeau très prisé par les méridionaux de la boule lyonnaise. Il exige les mêmes qualités sportives que celle-ci, mais peut contrairement à elle se jouer sur un terrain irrégulier, avec des boules plus petites. Avec des parties très longues, le spectacle était total. Quelques Poussannais en ont profité pour apprécier la qualité du jeu.

                                                            

Le spectacle fut de qualité et de haut niveau. L’on peut féliciter le club local et tous les participants qui durant deux jours ont montré que le jeu provençal était un sport qui demande de l’endurance et de la précision.

Un grand merci de la part du club, aux sponsors et à tous les bénévoles sans qui rien ne serait possible.

Quand le tennis se met au football

Ce samedi 30 août 2014 à Poussan :

Pour le Tennis Club Poussannais les hostilités avaient lieu sur le terrain de football synthétique de 9 h 30 à 12 h entre jeunes et moins jeunes du club afin de se remettre en jambes avant les premiers matches de septembre. Ambiance bien conviviale mais motivation tout de même pour remporter cette rencontre de football.

 

Les jeunes

Les moins jeunes

Même si pour certains se fut difficile à accepter, l’âge faisait référence. Mais de toute façon, pas d’équipes au moment de l’apéritif de clôture qui fut très convivial..

La Vène à contre courant

Georges Cantin, de Balaruc le Vieux, est parti un matin de ce mois d’août  avec son canoë pour remonter la Vène, petite rivière se jetant dans l’étang de Thau pour nous raconter (photos à l’appui) ses impressions.

Au départ de Balaruc-le-vieux

Je vous rassure, ce n’est pas l’Orénoque, et encore moins l’Amazone, mais il y a un petit « je ne sais quoi » qui fait rêver. En effet, partant de Balaruc le Vieux dès que l’on atteint l’intérieur de la rivière son lit est encombré de bois flottés, de troncs obstruant presque le passage, d’herbes hautes sur les berges, de lianes tombantes, de pierres, qui vous font penser à un territoire vierge. On pourrait même trouver une petite ressemblance si le trajet n’était pas si court, à la « descente de la Leyre » dans le bassin d’Arcachon (pour ceux qui connaissent l’endroit).

Un calme surprenant sur cette rivière, on y trouve des Martins pêcheurs, des tourterelles, des pigeons ramiers et bien d’autres oiseaux. Des nids dans les berges, ou accrochés sur un rocher ou du vieux bois en plein milieu de la rivière (probablement des Colverts) Nombreuses sont aussi les libellules de toutes couleurs. Et des poissons par bancs entier, petits ou gros principalement des « Chelon labrosus » ou pour parler plus local, des « muges »… Aventure disais-je ! Oui, car tout en pagayant sur la rivière,  voilà qu’un de ces monstres a eu l’idée saugrenue de sauter dans mon canoë tel un poisson volant ! Evidement, il a terminé au barbecue moins de deux heures après. Il pesait quand même 975 gr !

Dans les abords bien que ne les ayant pas vus, les rats musqués ne font pas le bonheur des riverains car ils creusent les berges.  Quelques petits « veinards » sont propriétaires de petits Masets au bord de l’eau, pour vivre heureux vivons caché dit le proverbe…

Récemment un article dénonçait une pollution de la Vène en amont de la source d’Issanka. Je ne suis pas allé vérifier. Mais j’ai remonté cette rivière depuis l’embouchure sur environ 3 km en un peu plus de 30 minutes, et je peux dire qu’à part 2 vieux pneus rencontrés et 2 ou trois bouteilles plastique, cette partie de la Vène est propre et sans pollution, la preuve ? Ce sont ces quelques photos prises et les petits poissons par bancs dans une eau claire permettant de voir le fond avec en prime, au moins 4 ou 5 martins pêcheurs, (Cet oiseau est un bon indicateur naturel de la qualité d’un milieu aquatique) Mais restons prudent, je n’ai pas analysé l’eau, et surtout utilisons les déchetteries de l’agglo, c’est facile, gratuit et surtout plus responsable…

La Vène est une rivière qui prend sa source à Cournonsec à 35 m d’altitude, sa longueur est de 12 km environ et elle se jette dans l’étang de Thau à Balaruc le Vieux. Son faible débit (25 m3/h) peut, atteindre 1500 m3/h lorsqu’elle est en crue.Selon les périodes et suivant les documents, la rivière a porté différents noms : l’Avène, Aveyne, Vaine, Veine, Vesne ou encore Dizama. Pendant longtemps la Vène a participé à la vie économique des villages traversés, on pouvait alors compter six moulins répertoriés, dont  3 à Montbazin. En 1687 il y avait cinq ponts sur la Vène à Montbazin : au moulin de Vielhe, au moulin de Fabre, le pont Gavel, le pont de la Porte et le pont Mage.La Vène à 2 affluents qui sont  les ruisseaux de la Lauze et celui des Oulettes. La source d’Issanka vient augmenter en aval le débit de la rivière et lui sert de « trop plein ». Par ailleurs la Vène est un point de captage possible pour la consommation (actuellement perdu en grande partie), sauf en cas de pollution bien évidemment… Sources :
http://www.memoiredemontbazin.fr/des-lieux/la-vene/
http://infoterre.brgm.fr/rapports/71-SGN-317-LRO.pdf

Deux Poussannais en Equipe de France de Sambo

Stage de sélection pour le championnat du monde master de sambo à l’INSEP

Fabrice Barbe et Didier Serrano, après avoir participé au stage de sélection à l’INSEP, à Paris, les 29 et 30 juin 2014, ont décroché leur sélection en équipe de France pour partir combattre au championnat du Monde de sambo qui aura lieu à partir du 25 octobre en Grèce.
Le JAP est fier d’eux et les encourage sincèrement.

Belle soirée Zumba avec l’association zmbtt34

La soirée découverte Zumba à Poussan, avec l’association zmbtt34, a été une belle
réussite.

Plus d’une soixantaine de personnes, des petits et des grands, est venue
partager des rythmes endiablés durant cette belle soirée.

Une belle ambiance animée par Sonia.

Tous se sont bien amusés et pour les récompenser de leurs efforts, afin de clôturer cette 1ère soirée en beauté, la municipalité a offert un apéritif très convivial.
Rendez-vous au forum des associations( 6 septembre, au foyer des campagnes) pour le début de la vraie aventure.

Du jeu provençal durant deux jours

      Le jeu provençal (en provençal : « Jo de boulo ») est aussi appelé « les trois pas » ou « la longue ». C’est un jeu de boules au cours duquel les parties se déroulent de manière mobile sur un terrain de quinze à vingt mètres, soit deux fois plus long que celui de la pétanque, dont il est l’ancêtre. On a dit du jeu provençal qu’il était la « formule 1 » des jeux de boules.   

Les parties sont beaucoup plus longues qu’à la pétanque (2 à 3 heures) et se jouent en poules à 11 points et en championnat à 13. Pour pointer le joueur doit faire un pas en avançant et lancer sur un pied, pour tirer, il en fait trois.

Ce jeudi, à Poussan, avait lieu, au complexe des Baux, sur le terrain de tambourin, puis ce vendredi se déroule au jardin public, le troisième challenge Claude Tourrier de jeu provençal, organisé par la Boule Poussannaise. Près de trente équipes  ont pris le départ. Ce vendredi, les 1/4 et les 1/2 finales puis la finale se dérouleront  à partir de 9 heures . Profitez-en pour découvrir cette variante de la pétanque.


 

La reprise aux Vignes de Thau

Et oui c’est bientôt la reprise !

REPRISE DES ENTRAINEMENTS à partir du Mercredi 3 septembre
CATEGORIES LUTTINS ( – 6 ANS ) : 15H /16H15
CATEGORIE MINI POUSS ( – 8 ANS ) : 15H /16H30
CATEGORIE POUSSIN ( – 10 ANS ) : 15H /17H00
CATEGORIE BENJAMINS ( -12 ANS) : 14H30 /17H00
CATEGORIES MINIMES ( – 14 ANS ) : 17H30 /19H00

Une association poussannaise : Génération SED

GENERATION-SED ou comment rompre la solitude

GENERATION-SED ou  comment rompre la solitude

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Le Syndrome (ou maladie) d’Ehlers-Danlos est l’expression clinique d’une atteinte du tissu conjonctif (80% environ des constituants d’un corps humain), d’origine génétique, touchant la quasi-totalité des organes, ce qui explique la richesse de sa symptomatologie qui surprend les médecins alors qu’elle constitue, en soi, un argument diagnostic très fort, témoignant du caractère diffus des lésions.

La description initiale est le fait de deux dermatologues : Edvard Ehlers à Copenhague, en 1900, et Alexandre Danlos, à Paris, en 1908. De ces premières descriptions, initialement dominées par les signes cutanées, les médecins ont retenu, la présence d’une peau fragile, hémorragique et étirable (cutis laxa) d’une part et d’une mobilité articulaire excessive d’autre part. C’est à ces deux éléments cliniques que l’on a longtemps réduit la description. Leur absence, fréquente pour l’étirabilité, plus rare pour l’hypermobilité, conduit encore très souvent des médecins, mal informés, à éliminer un diagnostic, pourtant évident par ailleurs. Dans la symptomatologie très diversifiée et variable de cette maladie l’absence d’un signe ne permet pas d’éliminer le diagnostic.

A Poussan, comment rompre la solitude malgré un Syndrome d’Ehlers-Danlos ? (SED) ®

Génération SED

Contact / Mélanie Cousinier

21 bis B, avenue de la gare

34560 POUSSAN

Tél : 06.75.58.35.63 (en fin d’après midi de préférence)

Email : generation.sed@orange.fr

 

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CETTE ASSOCIATION A POUR OBJET :

    • Entraide psychologique, financière et administratives des personnes atteintes de la maladie génétique appelée « Syndrome d’Ehlers-Danlos dit SED »
    • Acquisition de matériel médical non pris en charge par les organismes légaux, pour les personnes, atteintes de ladite maladie,
    • Réalisation de manifestations afin d’une part de faire connaitre la maladie, et d’autre part de sortir les malades « SED » de l’isolement.
    • Recherche de sponsors et autres parrainages.
    • Organiser des journées associatives afin de regrouper les personnes atteintes, toujours dans le but de les sortir de cette solitude.
    • Créer un groupe d’écoute téléphonique pour les personnes ayant besoin de réconfort psychologique ou d’aide pour remplir les documents administratifs, qui peut être ressenti comme un parcours du combattant, ou encore les aider et les mettre en relation avec les bonnes personnes tant dans le milieu médical que scolaire,
    • Et bien d’autres choses encore… 

Pour en savoir plus : http://www.generation-sed.com/