Tennis : coupe des jeunes Poussan-Balaruc

  Ce samedi matin à Balaruc les Bains :
Un fort vent attendait nos joueurs à Balaruc-les-bains. Vent qui heureusement avait séché les courts à temps suite à une forte pluie dans la nuit précédente.
C’est avec une victoire individuelle pour nos trois joueurs ainsi qu’une autre sur le double que nos champions quittèrent le club de Balaruc-les-bains avec un score de 4 à 0.


Coupe des jeunes
9/10 ans garçons – Division 2 – Poule E

Simple – DUFOUR Jean-Louis (POUSSAN) | GEYS Valentin (TC BALARUCOIS )       :  5/3   5/1
Simple – VELLAS Mérick  (POUSSAN)   | NAVARRO Thierry  (TC BALARUCOIS)      :  5/0   5/1
Simple – DAUMUR Guillaume (POUSSAN) | ABBOU  Sofian   (TC BALARUCOIS)   :  5/0   5/4

Double – DUFOUR Jean-Louis (POUSSAN) – DAUMUR Guillaume  (POUSSAN) |
CONTRE                                                                                                     |       5/3  5/1
ABBOU  Sofian (TC BALARUCOIS)  GEYS Valentin  (TC BALARUCOIS)  |

Le défibrillateur, c’est le « reset » pour un cœur malade

Pour les volontaires qui souhaitaient recevoir des informations et une formation concernant l’utilisation des défibrillateurs, 3 séances avaient été programmées par la Mairie en mars. Elles ont eu lieu à a salle sous la crèche et étaient animées par Jean-Christophe Pézerat. Les inscriptions préalables étaient obligatoires mais Jacques Bousquet, 1er Adjoint au Maire, tient a préciser que de nouvelles formations seront proposées bientôt. D’ores et déjà, les volontaires peuvent se faire inscrire en Mairie, aux heures d’ouverture.

Quelques communes du bassin de Thau sont équipées mais pas encore suffisamment. En France, il y a trop peu de défibrillateurs pour arriver à faire aussi bien qu’aux USA où l’on parvient à sauver 30% des malades en ayant eu besoin.

Nous en sommes très très loin.

A Poussan, un des défibrillateurs est dans le véhicule de la Police Municipale tandis que l’autre qui est actuellement chez le responsable du gymnase sera placé devant les vestiaires neufs. Prochainement, 2 autres appareils seront achetés : ils devraient être mis en place à la Mairie et à la MJC.

Pompier professionnel à Bouzigues, Jean-Christophe précisait que plus il y aurait de personnes formées, plus il y en aurait de sauvées. Ce jeudi 28 mars, nous vivions la dernière séance de la trilogie à laquelle participaient près de 25 personnes du milieu associatif, de l’Education Nationale ou encire des volontaires indépendants.

Après nous avoir présenté l’appareil qui coûte tout de même 2500€, Jean-Christophe expliquait que le défibrillateur nous indiquait la marche à suivre en nous la répétant tant que les actions n’étaient pas réalisées.

Pour mieux comprendre, il nous projetait des extraits d’un film de la fédération française de cardiologie intitulé : une vie égale 3 gestes (Vous pouvez l’obtenir gratuitement en recherchant sur internet). (www.dailymotion.com/video/x96w1n_1-vie-3-gestes_lifestyle)

Car si une personne est inconsciente, ne bouge pas, ne respire pas, il faut rapidement appeler le 15, le 18 ou le 112 et en attendant commencer un massage cardiaque puis utiliser le défibrillateur. La personne a alors un arrêt cardio respiratoire. » Pour la sauver il est nécessaire que son sang irrigue les organes « nobles ». Il faut d’abord commencer un massage cardiaque au niveau du sternum avec une compression de 40 kg en s’enfonçant de 3 à 4 cm pour un adulte en s’assurant que le malade n’a plus de souffle, que sa cage thoracique ne bouge pas et en le touchant (observer plusieurs secondes). Débutez en envoyant de l’air à la victime et si rien ne se passe, c’est parti : 30 pressions, bouche à bouche et on reprend avec 2 souffles. Si au bout de 2 mns, toujours rien, il faut utiliser le défibrillateur qui a toujours une option pour les enfants. (D’ailleurs pour un enfant, le massage consistera en 120 petites compressions par mn avec deux doigts, et du bouche à nez.)

Pour les ados, c’est comme les adultes.

Ayant pensé à donner l’alerte, si vous n’êtes pas mouillé ou près d’une pompe à essence, en s’étant assuré que la victime n’a pas de portable et n’est pas sur une plaque métallique, c’est bon pour défibriler.

L’appareil se manipule aisément, tout est expliqué, des pictos vous indiquent où placer les électrodes sur le malade allongé sur le dos. N’hésitez pas si vous pouvez, c’est mieux que rien et tous ceux qui sont formés donnent de plus en plus d’espoir pour sauver des vies sans que de grandes séquelles soient irrémédiables.

Si le choc électrique n’a pas relancé le cœur du malade, il faut reprendre le massage durant près de 3 mn et recommencer avec le défibrillateur.  Ne pas s’arrêter car les secours arriveront et prendront le relais.

Pour terminer la formation, Jean-Christophe  nous montrait comment placer un malade en PLS (position latérale de sécurité).

Et si la formation permet d’accéder à la possibilité de sauver des vies, il ne faut pas oublier que comme l’appareil, nous avons besoin de mises à jour. Chaque année des formations complémentaires devraient être proposées pour ne pas oublier et rester opérationnels.

Le changement d’heure : c’était cette nuit

 

Changement d’heure hiver-été

On avance les pendules, montres, réveils et horloges d’une heure : à 2 heures du matin, il était 3 heures. Par conséquent il a fait nuit plus tard.

Année Passage à l’heure d’été
2013 dimanche 31 mars

Nous avons changé d’heure dans la nuit de samedi à dimanche :

Pour ne pas se tromper, il suffit de se souvenir qu’en avril, un mot qu commence par AV, nous devons avancer d’une heure, et qu’en octobre, un mot qui se termine par RE, nous devons « reculer d’une heure ».

Un succès pour le Thé-Conférence sur la langue Japonaise

Après la projection du documentaire « Sur la route d’Okinawa » et la dégustation de produits Japonais du vendredi 22 Mars, la MJC proposait, pour poursuivre son hommage au Japon, un thé conférence , ce mardi 26, dont le thème promettait déjà de riches échanges:
« Écriture, langue, et style Japonais, reflets d’une civilisation », que Jacques Cassagne, spécialiste en la matière, nous faisait l’honneur d’animer.

Jacques Cassagne, né le 07 Mars 1933, enseigna d’abord le japonais au GRETA puis, continua durant trente ans, tout en se formant en faculté.

C’est là qu’il perçut un manque en ouvrages français de qualité, pour ses cours, et qu’il décida d’écrire une méthode de grammaire de 550 pages qu’il mit à jour tout au long de sa carrière. Une grammaire assez complexe de type agglutinant, avec un alignement nominatif-accusatif, et dont l’ordre des constituants est dépendant-tête et SOV (Sujet-objet-verbe). Le marquage des relations entre constituants se fait sur les dépendants, et les rôles syntaxiques des noms dans la phrase sont marqués par des particules s’attachant après eux. Il n’y a pas d’accord en genre, en nombre ou en personne.

Ce fut donc avec beaucoup d’humilité que l’équipe de la MJC et les fidèles spectateurs qui s’étaient déplacés pour l’occasion, le recevaient dans le Hall, autour d’un thé Japonais accompagné de friandises locales.

La conférence débutait alors en entrant dans le vif du sujet avec méthode et précision, comme il est coutume dans cette civilisation.
Jacques Cassagne nous retraçait brièvement l’origine et l’histoire de ces signes qui composent l’écriture Japonaise : les idéogrammes qui sont des symboles graphiques représentant des mots ou des idées utilisées dans certaines langues vivantes.

Il fallait effectivement autant d’années de carrière pour nous rendre accessible, à nous Européens, cette langue complexe et nous résumer en quelques heures seulement son origine, sa composition et ses diverses formes.
Quelques pointes d’humour ponctuaient cette conférence, à la grande satisfaction des auditeurs à la fois fascinés et concentrés sur les écrits et illustrations qui accompagnaient les explications.

Le thé et quelques douceurs aux saveurs exotiques venaient alléger finement le contexte, et le temps passa si vite qu’il était déjà l’heure de se quitter après quelques minute d’échanges, et de se donner rendez-vous très bientôt pour les prochains événements organisés par la MJC.

Pour en savoir plus : www.guidetojapanese.org/french/

Le beau succès des paniers à Poussan

La salle sous la crèche était pleine, ce mardi soir, pour la 1ère livraison des paniers, organisée par le groupement d’achat des Pouss’en Faim via le site Internet www.paniersdethau.fr.
Accompagné par le CPIE Bassin de Thau dans le cadre du projet « Panier Poissons
Coquillages » 1, les consommateurs-relais bénévoles de ce groupement d’achat ont réuni 10 producteurs locaux, qui viendront désormais chaque mardi, de 18 h 45 à 19 h 15, livrer leurs produits.

                45 consommateurs avaient déjà passé commande hier et de nombreuses personnes sont venues se renseigner sur le fonctionnement de ce circuit court. L’occasion de déguster des
huîtres, du vin, de la tapenade, du pain, des légumes, du miel, des sirops, des confitures et même des raviolis au chocolat, qui ont séduit petits et grands…

Viendront s’ajouter, dès la reprise de la saison, fromage de chèvre et poisson de la lagune.
Pour commander, rien de plus simple : s’inscrire sur le site www.paniersdethau.fr ; choisir le
groupement d’achat de son choix ; commander en ligne en fonction des produits disponibles, sans engagement d’achat ; récupérer la commande aux lieux de livraison
indiqués et payer les producteurs directement à ce moment là.

Démolition du silo sur le port de Sète

Ce 27 mars ce n’était pas le 14 juillet mais il y avait presque autant de monde sur le port de Sète que pour le feu d’artifice de la fête nationale. Le spectacle fut au rendez-vous, avec la 1/2 heure de retard qui fait souvent la spécificité des manifestations sétoises. Ce fut bref (7 secondes) et intense… les étourneaux de l’esplanade on du s’enfuir d’un seul coup d’aile vers Frontignan.