Mystère à Poussan

Venez découvrir ou redécouvrir Poussan à travers une visite théâtralisée originale.
Jeudi 8 août à 21h, la Compagnie du Strapontin Poussan, en partenariat avec le service culturel de la Ville de Poussan vous emmène dans les rues du centre historique.
Son histoire vous y sera présentée sur fond d’enquête pour élucider le Mystère à Poussan.
Départ devant les Halles – Visite gratuite et ouverte à tous
Visite suivante : Dimanche 22 septembre à 17h

« Le Café des Sports » était ouvert ces 14 et 15 juin

« Le Café des Sports » par les Z’adultes du Strapontin avait ouvert ses portes ces 14 et 15 juin salle de spectacle à la MJC de Poussan.
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 Nous y retrouvions des acteurs passionnés de théâtre mais qui n’ont pas intégré la troupe du Strapontin soit par choix soit parce qu’ils font leurs classes chez les Z’adultes du Strap. Coachés par Amélie Zaroukian ils avaient travaillé particulièrement, cette année, les dialogues.
Car au Café des Sports les occasions ne manquaient pas pour multiplier les échanges de tous styles.
Vous aviez donc l’occasion de rencontrer le petit monde de Mme Ginette et son café pas comme les autres…
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Félicitations au Z’adultes du Strap qui ont permis à un bon public de vivre une soirée animée en appréciant les compétences des acteurs capables de le projeter dans une ambiance des plus décalée.

 

L’ « ART » par la Cie de la Clémentine, un investissement pas sans risque

   0270IMG_20240524_211804L’ « ART » par la Cie de la Clémentine c’était ce vendredi 24 mai à la salle de spectacle, à la MJC
Salle presque comble  pour apprécier cette pièce sur l’amitié, sur les mécanismes complexes des relations qui lient les êtres. À partir d’un évènement qui pourrait rester anodin et sans conséquences, l’achat d’une œuvre à un prix bien élevé, tout bascule et les non-dits, rancœurs et déceptions amènent les membres d’un trio d’amis à règlement de compte sans concessions.
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« ART » de Yasmina Reza, est une comédie grinçante entre snobisme et intolérance, qui va mettre en exergue de vieilles rancœurs jusqu’à ce que les échanges ne deviennent délétères.
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Heureusement que l’humour est omniprésent, que le rire se mélange à l’amertume des propos, car peu à peu les masques tombent, les attaques se font plus acerbes, la tension monte, tandis que les coups bas ne sont pas loin

La Compagnie du Strapontin remporte le prix du jury au Festival de Théâtre de la ville de Sète

La Compagnie du Strapontin a joué « DU VENT DANS LES BRANCHES DE SASSAFRAS » mise en scène par Amelie Zaroukian en clôture du Festival de théâtre de la Ville de Sète.

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Lors de la remise des prix elle a reçu celui du Jury remis par Claude Gendreau Muslin, Adjointe déléguée au Théâtre et Sandrine Mini Présidente du Jury.

En plus de la statuette, ce prix permettra à la troupe d’être programmée en Octobre sur la scène du Théâtre Molière Sète.

La troupe du Strapontin  remercie la compagnie des Balufff’s, celle des Passants, et celle des Sauveuses du théâtre « Ah bon » d’avoir joué le jeu de la compétition amicale durant ces 3 jours de festival du théâtre amateur de Sète.

« Elles ont donné le meilleur et montré que, guidées par la passion, ici théâtrale, elles se sont toutes surpassées !
A noter que c’est la Compagnie des Sauveuses du Théâtre Ah Bon qui remporte le prix d’interprétation. » 0620Capture d'écran 2024-05-06 213908
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Avec « Du vent dans les branches de Sassafras » le public est transporté au Kentucky, au début du XIXe siècle. Dans ce huis clos, John Emery Rockfeller est le patriarche au sang chaud d’une famille de colons misérables. Sur ces terres, Il tente de protéger les siens des incessantes attaques d’Indiens en quête de richesses. Rockefeller doit également arbitrer les in26trigues sentimentales qui se nouent et se dénouent sous son toit. De son fils en quête d’identité à sa fille en quête d’émancipation, en passant par son fidèle ami docteur déchu. D’une fille de joie qui est bien plus que ça, à sa femme au solide bon sens, et la rencontre avec Carlos, shérif justicier… ce huis clos est le terrain de joutes humanistes où chacun se bat pour se relever grandi.

 

Le premier spectacle théâtral de l’atelier du Strapontin dédié aux adultes en situation de handicap

La fébrilité était perceptible, vendredi dernier, à la salle de spectacle de POUSSAN !

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En effet, c’était le jour du tout premier spectacle théâtral de l’atelier  dédié aux adultes en situation de handicap du Centre Jean PIAGET (Frontignan). Cet atelier, créé en 2022 par une convention tripartite entre la Mairie de POUSSAN, la Cie du STRAPONTIN et le centre Jean PIAGET, réunit une dizaine de résidents du centre frontignanais, désireux de découvrir le monde du théâtre.

L’initiative en revient à Julie LESIGNE, qui est à la fois comédienne au sein de la Cie théâtrale poussannaise et monitrice éducatrice au centre Frontignanais. Encouragée pour ce projet par sa direction et la municipalité poussannaise, elle a réussi à mettre sur pieds (avec l’aide de quelques comédiennes du « Strap ») un spectacle qui a séduit les quelques 80 spectateurs qui avaient été invités à cette manifestation (familles des résidents-comédiens, les autres résidents venus encourager – chaleureusement – leurs camarades, les élus de la ville de POUSSAN , la Direction du centre Piaget, et – bien sûr – les membres du Conseil d’Administration du STRAPONTIN … qui secondaient Julie et ses collègues pour assurer la bonne tenue de la manifestation … Et qui n’étaient pas les moins fébriles !

De l’avis de tous, ce fut un moment magique, un spectacle à travers lequel passaient des messages sociétaux, un spectacle plein de poésie, de rire … Et d’émotion, si l’on en juge par les yeux humides des spectateurs à la sortie du spectacle ! Et tous se sont promis de poursuivre cette belle aventure l’an prochain !

« 7 Minutes » jouée par la Compagnie Eight O Clock, c’était à Poussan ce 27 avril.

Le Strapontin accueillait  « 7 Minutes » jouée par la Compagnie Eight O Clock ce 27 avril à la salle de spectacle, à la MJC.

On y découvrait les 7 membres du comité d’usine Picard et Roche qui se battent pour conserver leurs droits.

Vaut-il mieux accepter les compromis avec les nouveaux patrons ou ne pas transiger sur les acquis sociaux ? Les avis divergent. Or le vote est imminent.0796IMG_20240427_212721

C’est à elles de décider pour les deux cents ouvrières de l’usine. Pour Blanche, leur porte-parole, la proposition figurant sur la circulaire transmise à chacune d’entre elles, est inacceptable.

D’autres ne sont pas d’accord et seraient prêtes à l’accepter. Blanche parviendra-t-elle à faire comprendre aux six autres membres du comité que ce marché est illusoire ? « Une seule condition… le destin de toutes. »0796IMG_20240427_211634

Une pièce dans laquelle on aborde la  politique en se retrouvant dans une fabrique de tissu au moment de son rachat. Les 7 minutes, sont au centre de la proposition patronale contestée par des salariées, ouvrières et employées,  des jeunes et des moins jeunes,  venues de différents horizons,  qui devraient accepter de réduire leur  temps de pause quotidienne pour sauver leur emploi. Devant cette situation, il semble qu’un soulèvement soit le bienvenu pour toutes…

 

« Et si Zoon n’avait jamais rencontré Jacques Higelin » qui serait-il ?

 Dans le cadre de sa convention avec le Théâtre Molière de Sète, la ville de Poussan accueillait le Théâtre Molière pour un rendez-vous à Poussan le jeudi 25 avril pour  avec « Et si je n’avais jamais rencontré Jacques Higelin » de  Zoon Besse & Guillaume Barbot.
Ou plutôt un rendez-vous avec Zoon Besse un des plus grands fans d’Higelin.
Mais Nul besoin d’être un fan d’Higelin pour apprécier le récit touchant, composé par Zoon Besse et Guillaume Barbot, le portrait d’une génération désenchantée, un moment de bonheur avec ce petit bijou tombé du ciel qui  nous cueille avec pudeur et insolence.
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Car c’est certain, il y a des rencontres qui changent une vie.et pour l’artiste Zoon Besse, l’existence bascule le jour où il a découvert Jacques Higelin.
Nous sommes en 1976, il a quinze ans, vit dans un petit bled paumé, Giscard joue de l’accordéon dans les campagnes françaises et lui fait la rencontre du chanteur dans la chambre d’une fille… Dès le premier morceau sur le tourne-disque, c’est une déflagration, il veut faire Jacques Higelin comme métier.
Jusque-là, personne ne lui avait dit qu’on pouvait vivre comme ça, aimer comme ça, rêver comme ça. Alors il quitte tout, s’entoure d’une nouvelle bande d’amis avec qui, pendant près de dix ans, il va assister à plus de 300 concerts du grand Jacques.
Entre les portraits de Zoon et de Jacques, c’est aussi celui d’une génération – punk, révoltée et insouciante qui ne l’est plus aujourd’hui. Zoon nous ramène dans 30 ans de nuits folles d’amitié avec sa « bande à Higelin ». Un récit empli de pudeur qui  se veut aussi insolent, qui touche à l’universel, et qui nous permet d’être nous-mêmes si les chansons du grand Jacques tournent en boucle dans nos têtes.
A la salle de spectacle de la MJC, Le public a apprécié ce récit, ce portrait de toute une génération désenchantée mais tellement insouciante et portée par l’amour.

« Du vent dans les branches de Sassafras » de René de Obaldia, pour la bonne cause

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« Calamity Jane », le tragi-comique de l’Ouest américain sur scène

Le Strapontin accueillait « Calamity Jane » par la compagnie « Côté cour côté jardin » ce samedi 9 mars 2024 à la salle de spectacle à la MJC.

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Bien que l’on ait tous entendu parler de Calamity Jane, personne ne connaît vraiment sa vie. Avec la Compagnie « Côté cour côté jardin » et ses nombreux acteurs, entre cow-boys et indiens, entre chants et musiques de l’Ouest, son histoire était contée, sur un ton épique et flamboyant, aussi émouvant que drolatique, telle une bande dessinée avec ses héros Buffalo Bill, son fossoyeur, son épicier, son saloon.
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L’on était donc plongé dans l’Ouest américain visuellement mais aussi musicalement et l’on se laissait porter par la folle aventure de Calamity.
Un western tragi-comique qui permettait de passer une bonne soirée récréative.
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