
Cette année encore, Sète agglopôle méditerranée est partenaire du Prix de la TPE (Très Petites Entreprises)

Traversant une crise énergétique sans précédent, les artisans boulangers-pâtissiers sont particulièrement fragilisés et impactés de par leur activité très consommatrice en énergie. Par conséquent, dans le cadre de sa politique locale de commerce, Sète agglopôle méditerranée soutient dans l’urgence les artisans boulangers les plus fragiles par la mise en place avec la Région Occitanie, d’un dispositif de soutien exceptionnel. L’enjeu est de maintenir le développement économique, l’activité et l’emploi sur notre territoire.
Pour rappel, les demandes d’aide doivent être déposées par les boulangers et pâtissiers avant le 30 juin 2023 auprès de la Région (lien ci-dessous). https://www.laregion.fr/Artisans-boulangers-et-patissiers-La-Region-Occitanie-annonce-la-reactivation-du
À l’occasion de la cavalcade du Carnaval de Poussan, le Kosi sera ouvert ce dimanche 14 Mai à midi. 304 67 74 51 35
Après deux ans d’une relative stabilité, le prix du tabac connaît une hausse significative au 1er mai 2023. L’arrêté du 30 mars 2023 paru au Journal officiel du 12 avril porte homologation des prix de vente au détail, en France métropolitaine, des tabacs manufacturés.
Depuis le 1er mai, le prix de nombreux paquets de cigarettes de 20 unités ont connu une augmentation pouvant aller de 20 à 90 centimes.
Les cigarettes, mais aussi les cigares, les cigarillos et les paquets de tabac à rouler sont concernés.
De nombreuses marques atteignent le prix de 11 € pour un paquet de 20 unités, contre 10,60 € ou 10,80 € précédemment. En 2024, la barre des 11 € devrait être atteinte sur toutes les marques. Le prix du tabac à rouler augmente quant à lui de 20 centimes à 1,20 € selon les marques.
Cette augmentation, basée sur une indexation des tarifs du tabac sur l’inflation, était prévue dans la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2023 qui modifie le mode de calcul. Les tarifs prennent désormais en compte la hausse générale des prix de l’année précédente, et non plus celle de N – 2.
Pour connaître les prix du tabac applicables depuis le 1er mai 2023, consultez la nomenclature des prix de vente au détail des tabacs manufacturés publiée par la Direction générale des douanes et droits indirects.
Pour l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), « l’augmentation des taxes sur le tabac est la solution la plus efficace et la plus rentable pour réduire le tabagisme ».
Rappel : La douane supervise la règlementation du commerce du tabac en France. Seuls les fournisseurs agréés de tabac peuvent livrer des produits du tabac aux débitants de tabac. Ceux-ci sont les seuls à pouvoir vendre au détail ces produits.
Outre le bouclier tarifaire, l’amortisseur électricité ou le guichet d’aide au paiement des factures de gaz et d’électricité, les TPE et PME peuvent bénéficier d’autres dispositifs permettant d’alléger les factures d’énergie.
Les TPE qui bénéficient du bouclier tarifaire et de l’amortisseur électricité ne paieront pas plus de 280 €/MWh en moyenne d’électricité sur l’année 2023. Cela correspond à 230 €/MWh hors taxe et hors tarif d’utilisation du réseau public d’électricité (TURPE).
Pour pouvoir bénéficier de ce tarif, vous devez transmettre à votre fournisseur d’électricité cette attestation d’éligibilité.
À noter
Sont seuls éligibles les TPE ayant signé entre le 1er janvier et le 31 décembre 2022 un contrat de fourniture d’électricité pour l’année 2023.
Il est possible pour les TPE et PME de demander le report du paiement de leurs impôts et de leurs cotisations sociales afin de soulager leur trésorerie. Vous pouvez ainsi demander à l’Urssaf un délai de paiement de vos cotisations. Cette demande peut porter sur les cotisations courantes ou sur un rééchelonnement du plan d’apurement Covid.
À noter
Ce report ne concerne pas la TVA, les taxes annexes et le reversement de prélèvement à la source.
Au moins jusqu’à l’été 2023, un étalement des factures d’énergie peut vous être proposé par votre fournisseur d’énergie. Cet étalement sur plusieurs mois serait relatif aux factures des premiers mois de l’année. Rapprochez-vous de votre fournisseur d’énergie pour en bénéficier.
En cas de litige avec votre fournisseur d’énergie, il est possible pour les TPE (entreprises de moins de 10 salariés avec un chiffre d’affaires annuel inférieur à 2 millions d’euros) de saisir le médiateur national de l’énergie. Il est, de plus, possible pour l’ensemble des entreprises d’avoir recours au Médiateur des entreprises.
À noter
Ces deux services de médiation sont gratuits.
Les entreprises rencontrant des difficultés peuvent également être accompagnées par un conseiller départemental à la sortie de crise. Son rôle est de vous proposer une solution adaptée et opérationnelle (ménagement des dettes sociales et fiscales, prêt de l’État…). Il existe à cet effet une liste des conseillers départementaux à la sortie de crise.
Un numéro unique (0806 000 245) a été mis en place pour renseigner les entreprises en difficulté financière sur les aides à leur disposition et les orienter vers un conseiller départemental à la sortie de crise.
Initialement prévue au 1er janvier 2023, la fin de l’impression automatique du ticket de caisse s’appliquera en France au 1er avril 2023. Ce changement se fait dans le cadre de la lutte contre le gaspillage et les substances dangereuses pour la santé. Il reste néanmoins possible de demander l’impression du ticket de caisse. Face à cette évolution majeure pour les commerçants et les consommateurs, de nouveaux éléments sont à prendre en compte.
En application de la loi n°2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire, les tickets de caisse ne seront plus automatiquement imprimés par le commerçant à partir du 1er avril 2023. Ce changement est motivé par la lutte contre les substances dangereuses présentes dans les tickets de caisse et pour remédier au gaspillage important que représente ces tickets (30 milliards de tickets de caisse imprimés chaque année).
Sont concernés :
Pour obtenir un ticket de caisse imprimé, le consommateur devra désormais le demander expressément au commerçant. Ce dernier est d’ailleurs tenu d’en informer le consommateur de manière lisible et compréhensible par voie d’affichage à l’endroit où s’effectue le paiement.
Certains tickets de caisse seront toujours imprimés automatiquement au 1er avril 2023. Sont concernés :
Déjà disponibles, ces solutions se substituent au ticket de caisse papier.
Ces e-tickets seront envoyés à l’acheteur :
Conformément au Règlement général sur la protection des données (RGPD), la collecte de données auprès de l’acheteur est subordonnée à son consentement explicite.
À noter
En cas d’absence de consentement du consommateur et de non-impression du ticket de caisse, la seule trace de l’achat sera l’affichage en caisse du montant de la transaction.
Vous voulez retourner un article acheté en soldes car il n’est pas à la bonne taille et vous ne savez pas si c’est possible ? Vous vous êtes aperçu qu’il présentait un vice caché ? Les soldes ne sont pas toujours synonymes de bonnes affaires mais les consommateurs ont des droits. Les conseils de l’Institut national de la consommation (INC) et du ministère des Finances avec Service-public.fr.
Les commerçants peuvent solder uniquement des articles payés et proposés à la vente depuis au moins un mois à la date de début de la période des soldes.
Dans le magasin ou sur le site internet, la distinction entre les articles soldés et non soldés doit clairement apparaître (rubrique spéciale sur le site, étiquette de couleur spécifique en magasin…).
Pour chaque produit soldé, le prix avant les soldes et le nouveau prix réduit doivent apparaître clairement. Le prix antérieur indiqué doit correspondre au prix le plus bas pratiqué par le vendeur au cours des 30 derniers jours précédant la réduction. Pour les cas de réductions de prix successives, le prix antérieur affiché devra être celui appliqué avant l’application de la première réduction. Cette mesure concerne toutes les annonces de réduction de prix, qu’elles soient pratiquées en ligne ou dans des magasins.
Il est interdit d’augmenter le prix d’un produit avant la période des soldes afin de faire croire au consommateur qu’il bénéficie d’une offre promotionnelle plus importante qu’elle ne l’est vraiment. Il est également interdit de ne pas appliquer les réductions de prix qui sont affichées en vitrine.
À savoir : en dehors des périodes légales de soldes, les commerçants peuvent organiser des opérations commerciales comme des promotions ou des réductions sur les prix mais ils ne peuvent pas employer le mot « soldes » en dehors des périodes de soldes et ils ne peuvent pas vendre leurs produits à perte.
Un article soldé bénéficie des mêmes garanties que tout autre article non soldé en matière de défauts de fabrication non apparents ou de service après-vente.
En cas de vice caché identifié, vous pouvez demander au vendeur la réparation, le remplacement ou le remboursement du produit acheté.
Si vous avez fait votre achat en magasin et en l’absence de vice caché, le vendeur n’est pas juridiquement tenu de rembourser ou d’échanger un article soldé (même si vous n’avez pas eu la possibilité de l’essayer lorsqu’il s’agit d’un vêtement), à moins qu’il ne s’y soit engagé dans sa garantie commerciale , ses annonces en magasin ou sur le ticket de caisse. Il peut néanmoins vous proposer un échange ou un remboursement à titre commercial ou exceptionnel : pensez à vérifier ce point avant votre passage en caisse.
Les entreprises de vente en ligne sur Internet sont soumises à la même réglementation que les magasins physiques en matière de soldes. Les dates des soldes sur Internet sont les mêmes que les dates nationales, quel que soit le lieu du siège de l’entreprise.
Si vous avez fait votre achat sur Internet, qu’il soit soldé ou non, vous bénéficiez d’un droit de rétractation. Vous pouvez retourner le produit, pour échange ou remboursement, sans aucune pénalité, dans un délai de 14 jours à compter de la livraison. Un formulaire de rétractation est remis avec votre commande ou disponible sur le site Internet du vendeur.
Vous devez payer les frais de retour sauf si le commerçant les prend en charge à titre commercial ou s’il a manqué de vous informer que ces frais étaient à votre charge.
À savoir : il existe toutefois des exceptions au droit de rétractation, par exemple concernant les biens susceptibles de se détériorer ou de se périmer rapidement, les articles descellés après la livraison ou qui ne peuvent être renvoyés pour des raisons d’hygiène ou de protection de la santé.
Les limitations de garanties sur les soldes sont illégales. Un article soldé bénéficie des mêmes garanties en matière de défauts de fabrication non apparents, de défauts de conformité ou de service après-vente que tout autre article. Le vendeur doit appliquer les garanties légales de conformité et celle des vices cachés, que vous ayez fait votre achat sur internet ou en magasin. La mention « Pendant les soldes, ni repris, ni échangé » est donc abusive.
Si vous avez acheté un article qui ne fonctionne pas ou tombe en panne, vous pouvez demander, en fonction de la situation, la réparation, l’échange, la diminution du prix ou le remboursement.
À noter : un défaut apparent, telle une rayure sur l’écran, ne sera pas couvert par ces garanties.
Si vos droits n’ont pas été respectés, vous pouvez vous adresser à une association de consommateurs ou contacter la Direction Générale de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF) du département dans lequel se situe le siège social du professionnel. Vous pouvez aussi faire un signalement à la DGCCRF via la plateforme SignalConso.fr .
Claire Dubois, 27 ans, a été élue Présidente par les membres de la Jeune Chambre Économique de Sète et Bassin de Thau qui rassemble des leaders citoyens de 18 à 40 ans.
C’est une tradition à la Jeune Chambre Économique (JCE) : chaque année un nouveau membre préside l’association locale ! La transmission et le collectif font partie de l’ADN de la Jeune Chambre Économique qui parmi ses nombreuses missions sur le territoire permet à ses membres de se former à la prise de responsabilité et à l’engagement citoyen.
En 2023, c’est Claire Dubois qui a été élue présidente. La fonctionnaire territoriale de 27 ans a déjà pris des responsabilités au sein de cette communauté de jeunes acteurs citoyens entant que membre des deux précédents bureaux de cette association, elle a également participé à plusieurs actions mises en places par la jeune chambre économique locale.
Claire sera épaulée cette année par 4 autres membres de son bureau Solène Maillot (secrétaire), Pauline Aquila (trésorière), Manon Tisseur (Vice-Présidente à la communication) et Ludivine Abela (Immédiate Past-Présidente).
Outre la mise en place de projets d’intérêt général pour impacter positivement le territoire Sète agglopôle méditerranée, la JCE de Sète et Bassin de Thau proposera également tout au long de l’année à ses membres des formations pour acquérir de nouvelles compétences et leur permettre de devenir des acteurs du changement. « Nous sommes ouverts à tous les jeunes de 18 à 40 ans, quelle que soit leur situation professionnelle. Nous nous positionnons comme un révélateur de leaders citoyens, avec l’objectif de proposer un parcours bénévole, tourné vers l’apprentissage de la citoyenneté active et visant à déclencher de futures prises de responsabilités, qu’elles soient professionnelles, politiques ou associatives, conscientes des enjeux sociétaux » détaille Claire Dubois.
A propos de la Jeune Chambre Économique Française :
Depuis 70 ans, la Jeune Chambre Économique Française rassemble une communauté de citoyens de 18 à 40 ans. Ensemble, ils relèvent les défis sociaux et environnementaux d’aujourd’hui et de demain et portent des projets d’intérêt général sur le territoire français. En construisant ces projets de façon collective et structurée et en recherchant des solutions aux problématiques rencontrées par les territoires, les membres se forment à la prise de responsabilités afin de révéler leur leadership. En 2022, la JCEF rassemble près de 2000 bénévoles engagés en France dans 135 Jeunes Chambres économiques locales. Elle est affiliée à JCI (Junior Chamber International) qui compte 200 000 leaders citoyens dans plus de 100 pays et agit en lien avec les Global Goals de l’ONU.
Pour en savoir plus : www.jcef.asso.fr