« L’usage des écrans », une protection des enfants s’impose dès le plus jeune âge

La Ville de Poussan proposait, le mardi 4 juin à 18 heures en mairie, une conférence sur « L’usage des écrans », animée par les gendarmes de la Maison de la Protection des Familles 34.
Cette conférence, qui vient en complément de la journée de sensibilisation sur l’utilisation des écrans du 4 mai dernier était réservée uniquement aux adultes.
Les écrans sont aujourd’hui incontournables dans nos quotidiens et leur utilisation peut avoir de nombreux avantages tels que l’accès à une information plurielle et large, l’accès à la culture ou encore le maintien des relations sociales.
0150Capture d’écran 2024-06-04 200734
L’usage de tous ces écrans devrait toutefois être conditionné à un usage raisonné par les utilisateurs et ce, dès le plus jeune âge. Les parents ont ainsi un rôle fondamental à jouer dans l’accompagnement de leurs enfants dans l’univers numérique.

L’on pourra retenir de cette conférence qu’il est nécessaire dès qu’un enfant a accès à internet chez lui, ou chez ses camarades, ou encore, peut communiquer par sms, de protéger les enfants dans leur usage des écrans

Conseils techniques sur les outils de contrôle parental, ressources pédagogiques pour initier le dialogue avec les enfants… La plateforme gratuite jeprotegemonenfant.gouv.fr s’adresse à tous les parents qui s’interrogent face à l’exposition de leurs enfants aux écrans.

Portail d’information unique sur la parentalité numérique, le site jeprotegemonenfant.gouv.fr s’adresse aux parents d’enfants et d’adolescents pour les accompagner dans les usages des outils numériques et l’exposition à du contenu choquant en ligne.

Ce site a pour vocation d’accompagner les parents : informer sur les risques encourus face à l’exposition aux écrans, proposer des solutions pour mieux protéger les enfants, accompagner les parents dans le dialogue avec leur enfant.

Vous pouvez retrouver sur le site un ensemble de conseils, parmi lesquels :

  • éviter d’exposer les enfants de moins de 3 ans aux écrans ;
  • utiliser les écrans dans un objectif pédagogique précis et limiter le temps d’utilisation lors des moments de loisirs ;
  • limiter l’usage des écrans avant l’endormissement pour améliorer la qualité du sommeil ;
  • maintenir des activités ne nécessitant pas d’écran et favoriser les activités extérieures.

Avec des outils pour protéger son enfant dans son usage du numérique ?

Le site jeprotegemonenfant.gouv.fr vous propose des outils permettant l’encadrement et la restriction de contenu accessible à votre enfant. Pour les mettre en place, il est important d’identifier les équipements que votre enfant utilise (smartphone, tablette, ordinateur, console de jeux…).

Vous pourrez ainsi retrouver sur la plateforme des tutoriels selon votre besoin afin de mettre en place certaines règles, par exemple :

  • un contrôle parental ;
  • un filtrage du contenu en fonction de l’âge de votre enfant ;
  • une limitation de temps de consultation ;
  • un plafond de dépense ou l’impossibilité de faire des achats en ligne.

Ces outils peuvent aider à prévenir les risques mais ne sont pas infaillibles et ne se substituent pas à la vigilance. Des ressources pour vous aider à initier un dialogue et sensibiliser votre enfant au risque sont également proposées.

À savoir

Le 3018 accompagne et prend en charge les parents et les jeunes sur l’usage des écrans et les violences numériques. Le numéro est joignable gratuitement 7 jours sur 7, de 9h à 23h.

 0150IMG_20240604_183204[1]

Car la prévention des risques et dangers d’Internet s’impose pour les enfants et les ados.

Les risques spécifiques à Internet.

En effet, Si Internet est un outil formidable, il est aussi à l’origine de nouvelles formes de violences et de risques.

  • Les contenus non adaptés 

Vidéos et photos pornographiques, contenus ou propos ultra violents, ventes de drogues ou d’armes, sites proposant du téléchargement illégal, paris en ligne, etc.  Beaucoup de contenus et de sites ne sont pas faits pour les enfants. Pour plus d’informations sur les jeux d’argent en ligne et les moyens de protéger son mineur : pasdujeu.fr

Un seul chiffre : plus de 82% des mineurs ont déjà été exposés à du contenu pornographique en ligne…

  • La surexposition aux écrans

Elle peut entraîner des séquelles physiques et psychologiques, comme des troubles du sommeil, une prise de poids due à la sédentarité, des épisodes d’agressivité ou encore du décrochage scolaire.

  • Les mauvaises rencontres en ligne

E-mails, messagerie instantanée, réseaux sociaux sont des moyens de communications extrêmement pratiques pour échanger avec ses amis ou sa famille. Mais c’est aussi une porte ouverte aux personnes aux intentions dangereuses. Un jeune avec un compte Skype renseigné ou un profil Facebook public s’expose à des contacts avec des personnes inconnues, qui ne pourraient pas l’approcher autrement dans la vie courante.

Les méthodes employées par des pédophiles montrent souvent des approches insidieuses, avec de longues périodes de dialogue via les messageries instantanées afin de créer un climat de confiance (on parle alors de la mise en confiance, ou de grooming).

  • Les vidéos ou blogs en ligne

Bien souvent on peut trouver sur la toile des vidéos en ligne destinées aux adolescents mettant en avant des prouesses physiques dangereuses. Ou des conseils sur les régimes potentiellement dangereux dans des blogs tendance ou encore des incitations à publier des photos de soi compromettantes… Un jeune sans le recul nécessaire peut prendre au premier degré une vidéo d’insultes entre rappeurs célèbres et chercher à les imiter, ou bien s’affamer pour suivre une tendance de beauté irréaliste. Il faut garder de la distance et ne pas toujours s’inspirer de ce qui est souvent « un mauvais exemple ».

  • La propagande sur Internet 

Internet est devenu l’outil de communication par excellence partout dans le monde, et cette portée internationale, combinée à l’impossibilité de surveiller toutes les communications, en a fait un outil de prédilection pour les extrémistes cherchant à recruter des membres.

Il n’est pas toujours facile de discerner quand un contenu haineux publié sur Internet passe d’offensant à carrément illégal. De même la frontière est souvent mince entre liberté d’expression et le propos haineux. Et un commentaire haineux affiché légalement dans un pays peut être considéré illégal dans des pays où les critères sont plus rigoureux.

Les principaux dangers d’internet :
– Cyberharcèlement
– Cyberprédateur
– Cybercriminalité
– Cyberdépendance
– Exposition à des sites inappropriés
– Désinformation ou fake news
– Exposition à des contenus violents ou haineux
– Tentatives d’escroquerie

Comment prévenir les risques sur Internet : 14 bonnes pratiques

Pour protéger au mieux votre enfant, le meilleur moyen reste de discuter avec lui des risques que présente Internet afin de le sensibiliser. L’idée n’est pas de lui faire peur, mais de lui donner les clés pour qu’il puisse utiliser les outils numériques de la manière la plus sécurisée et responsable possible.

Au-delà de ces échanges avec votre enfant, vous pouvez adopter les bons réflexes pour prévenir les risques sur Internet comme :

  • L’accompagner dans sa navigation sur Internet ;
  • Stimuler sa créativité en l’orientant sur les bons sites à consulter ;
  • Activer le contrôle parental sur les différents appareils ;
  • Etablir ensemble les règles et les limites d’utilisation ;
  • Eviter d’installer un ordinateur dans sa chambre ;
  • Le sensibiliser au poids de ses mots et de ses actions sur Internet. Il ne doit pas participer au harcèlement d’autrui ;
  • L’inciter à rester méfiant, car on ne sait jamais qui peut se cacher derrière un pseudonyme.

Ce sont les principaux conseils donnés par INSAFE.

Et de manière plus générale, toute la famille devrait :

  • Limiter la communication des informations personnelles au strict nécessaire ;
  • Choisir des identifiants qui ne comportent ni les prénoms, ni les noms ;
  • Créer des mots de passe complexes et ne pas utiliser le même sur tous les sites ;
  • Changer régulièrement de mots de passe. Certaines applications permettent de les gérer facilement ;
  • Configurer les paramètres de confidentialité ;
  • Installer des logiciels antivirus et pare-feu ;
  • Ne pas télécharger sur des sites illégaux.

Comment agir si votre enfant a été exposé à un risque sur Internet ?

Il est possible que malgré tous vos efforts, votre enfant ait été victime de harcèlement, d’une arnaque ou qu’il ait été exposé à un contenu inapproprié. Il est alors important de lui rappeler qu’il peut vous en parler, à vous ou à un autre adulte de confiance. L’important est de l’écouter pour qu’il puisse exprimer ses émotions. Il ne faut surtout pas le culpabiliser.

Ensuite, en fonction de la situation, vous pouvez porter plainte ou faire un signalement des comptes sur les réseaux sociaux. Une question ? Besoin d’un conseil ou d’aide pour agir ? N’hésitez pas à contacter le 3018.

Le 3018

Le 3018 est le numéro dédié aux jeunes victimes et aux témoins de harcèlement et de violences numériques

Logo 3018

Le 3018 est accessible 7 jours sur 7, de 9h à 23h par téléphone et par Tchat sur 3018.fr et via Messenger.

Signaleur de confiance auprès des réseaux sociaux, le 3018 dispose d’une capacité d’intervention unique en France via une procédure de signalement accélérée pour obtenir la suppression de contenus ou comptes préjudiciables en quelques heures.

Conventionné avec la plateforme Pharos (internet-signalement.gouv.fr), le Ministère de l’Education nationale et le 119-Enfance en danger, le 3018 est au cœur du dispositif de la protection de l’Enfance.

Que se passe-t-il quand on contacte le 3018 ?

Comment le joindre ?

Le 3018 est gratuit, anonyme, confidentiel – 7j/7 de 9h à 23h

Une conférence sur « L’usage des écrans », animée par les gendarmes de la Maison de la Protection des Familles 34

La Ville propose, le mardi 4 juin à 18 heures en mairie, une conférence sur « L’usage des écrans », animée par les gendarmes de la Maison de la Protection des Familles 34.
Cette conférence, qui vient en complément de la journée de sensibilisation sur l’utilisation des écrans du 4 mai dernier est réservée uniquement aux adultes.
0228
Les écrans sont aujourd’hui incontournables dans nos quotidiens et leur utilisation peut avoir de nombreux avantages tels que l’accès à une information plurielle et large, l’accès à la culture ou encore le maintien des relations sociales.
L’usage de tous ces écrans devrait toutefois être conditionné à un usage raisonné par les utilisateurs et ce, dès le plus jeune âge. Les parents ont ainsi un rôle fondamental à jouer dans l’accompagnement de leurs enfants dans l’univers numérique.

 

Une journée ludique et instructive pour échanger et s’informer sur le numérique

Le numérique est un outil de communication formidable mais son temps d’utilisation et son usage restent une préoccupation importante pour de nombreux parents.

 0648IMG_20240504_104036
Les vidéos :
Ainsi, la ville de Poussan, en partenariat avec l’Union Départementale des Associations Familiales de l’Hérault (UDAF 34) et l’antenne départementale de la Maison de Protection des Familles de la Gendarmerie, a organisé, le samedi 4 mai, une journée d’échanges sur la thématique du numérique et de ses usages.
rbt
De nombreux acteurs se sont mobilisés pour que cet événement soit des plus ludiques et instructifs. Ce fut une très belle journée au jardin des Frères de Poussan avec une très belle participation, placée sous le signe de la prévention et venant en complément d’actions menées en amont dans les écoles élémentaires de Poussan. D’ailleurs, les élèves présents se sont vus remettre un permis internet.
 0648IMG_20240504_104359
Si se sont succédées, conférences de la Gendarmerie et projection d’un film des enfants de l’ALP des Baux, en fil rouge, enfants et parents ont aussi pu participer à des activités autour de stands ainsi qu’à des animations.Peut être une image de 6 personnes et texte
À noter la présence de nombreuses structures et associations dont le Service Enfance Jeunesse de Poussan, l’Ecole des Parents et des Educateurs de l’Hérault (EPE34), Les écoles de Poussan, l’Association de parents d’élèves de l’école Véronique Hébert, l’association de parents d’élèves PNE-PNE, la Médiathèque de Balaruc, la crèche « les petites pousses », la crèche « 4 pattes et petits pas », le relais Petite Enfance de Poussan.
Pour contacter l’UDAF 34 : https://www.udaf34.fr/
Si les parents et les grands-parents se sont informés, une conférence réservée uniquement à ceux-ci est programmée pour le mardi 4 juin, en Mairie, de 18h à 20h.
rbt

Dans le cadre de la protection et de la lutte contre les violences intra-familiales, à Poussan

Ce vendredi 29 mars 2024, les gendarmes de la Maison de Protection des Familles 34 de Lunel, unité départementale spécialisée dans la protection et la lutte contre les violences intra-familiales sont intervenus à Poussan, lors d’une conférence qui réunissait un public assez nombreux, des jeunes adultes aux seniors.
1016Capture d'écran 2024-04-02 174402
La mise en place des Maisons de protection des familles (MPF) a fait suite au Grenelle des violences conjugales, en septembre 2019. Elles renforcent l’engagement de la gendarmerie dans le suivi et l’accompagnement des victimes de violences conjugales
Les MPF sont non seulement un point d’entrée unique pour l’ensemble des partenaires du département (associatifs, institutions ou autre), mais aussi un appui pour les unités, y compris sur le volet judiciaire. Elles coordonnent et mettent en cohérence la prévention avec l’ensemble de ces partenaires et élus. Le but de ces Maisons de protection des familles est de répondre présent auprès d’un public cible : les victimes et co-victimes de violences intrafamiliales (dont la jeunesse, les personnes en situation de handicap, les seniors). Les Maisons de protection des familles sont mises en places au sein de chaque Groupement de gendarmerie départementale (GGD). Elles travaillent en partenariat avec des associations et fédérations de victimes.
1546IMG_20240329_182457
Touchant principalement des femmes, mais aussi des hommes, ainsi que directement ou indirectement les enfants des familles concernées, les violences conjugales et intrafamiliales traduisent des agressions qui peuvent être verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, administratives et/ou économiques. Les violences conjugales et intrafamiliales se distinguent de simples disputes de couple ou conflits familiaux dans lesquels deux points de vue s’opposent dans un rapport d’égalité et sans violence. Elles peuvent également s’exercer via les techniques d’information et de communication (téléphone, mail, réseaux sociaux, etc.).
Vidéos :

Cette conférence avait pour objectif de sensibiliser et informer les personnes présentes par le biais d’une présentation claire et percutante.

Madame le Maire et plusieurs élues de Poussan dont Madame Michel, Adjointe au Maire de Poussan déléguée au ressources humaines et aux festivités , Madame Letort Lacanal, Adjointe au Maire déléguée au affaires sociales et à la santé,  ainsi que Madame Péréa, Conseillère municipale référente pour l’Egalité Femmes/Hommes , déléguée à la lutte contre les discriminations et les violences intrafamiliales avaient organisé cette 1ère partie de soirée.
1546IMG_20240329_185821

Après un temps de présentation, l’interaction s’est très vite établie entre les 2 gendarmes de la Maison de Protection des Familles 34 de Lunel et les participants, en présence de plusieurs élus, Madame le Maire étant excusée. Mais Florence Sanchez avait tenu à nous communiquer un message :

 
« Les violences intrafamiliales touchent les femmes de façon disproportionnée, mais elles font aussi d’autres victimes : les enfants, les personnes âgées, les hommes. En France un enfant meurt tous les 5 jours sous les coups de ses parents et une femme meurt tous 3 jours sous les coups d’un homme. Face à ce fléau qui a pris encore plus d’ampleur depuis quelques années, nous nous devons d’être mobilisés. 

Nous ne devons pas rester muets car souvent les victimes, elles prise dans cette spirale infernale, n’osent pas parler, n’osent pas porter plainte… subissent et meurent sous les coups. 
Détecter les signes, voir les petits gestes, comprendre certains mots (mots) qui cachent certains maux (maux), de grandes souffrances qu’elles soient physiques ou psychologique est d’une importance cruciale pour tendre la main aux victimes, leur venir en aide et ne plus laisser faire.
C’est l’affaire de tous !
Alors merci à la Gendarmerie d’être à nos côtés ce soir. 

Elles s’appelaient Lisa, Fiona, Hélène, Flora, Judith, Marie, Anaïs, Diane, Odette et Aurélie…
Elles avaient entre 3 et 90 ans. 
Ces femmes et ses enfants ont tous un point commun : celui d’être morts sous les coups de leurs parents, de leur mari, de leur conjoint. »

Le moment d’échange qui suivait la conférence, que beaucoup ont estimé trop court, fut riche d’enseignement et de bienveillance. Cette unité spécialisée peut aussi intervenir sur le thème du harcèlement.

Sachez que si nécessaire, sur la commune, le CCAS et la Police Municipale restent à votre écoute en cas de besoin.
Et la soirée allait se poursuivre en musique, animée par DJ Mellanie aux platines.
rbt
En effet, en lien avec la conférence dont la date n’avait pas été choisie au hasard, avait lieu une soirée hommage à Aurélie Vaquier, disparue voilà trois ans et retrouvée ensevelie en avril 2021 sous une dalle de béton au domicile où elle vivait avec son compagnon.
Elle aurait été victime de violences conjugales et l’auteur présumé, son compagnon, a été condamné mardi 16 janvier 2024 à Montpellier à trente années de réclusion criminelle pour l’avoir tué
Or Aurélie a passé une partie de sa jeunesse à Poussan où elle a grandi et où vivait une partie de sa famille. Elle aurait eu 42 ans le 28 mars. A l’occasion de son anniversaire, ses amies et ses connaissances ont tenu à lui rendre hommage d’une part avec la conférence sur les violences intrafamiliales et d’autre-part avec une soirée plus conviviale durant laquelle toutes les pensées convergeaient vers Aurélie.

Grande chasse aux œufs dans le cadre magnifique du Jardin des Sœurs

Dimanche 31 mars de 10h à 11h30, le Comité des fêtes, le Carré d’As, en partenariat avec la Ville, vous donne rendez-vous pour sa grande chasse aux œufs dans le cadre magnifique du Jardin des Sœurs (situé à côté du cimetière).
 Peut être une image de texte
Entrée gratuite – Tombola : 1€

Une cérémonie des nouveau-nés touchante et réconfortante

108 ! C’est le nombre d’enfants nés entre le 1er janvier et le 15 décembre 2023, dont les parents sont domiciliés à Poussan.
Un nombre record, semble-t-il mais rassurant, qui montre que la ville de Poussan accueille de très nombreux couples assez jeunes. Près de cinquante parmi eux ont répondu à l’appel de la Mairie de la Ville qui les invitait à une cérémonie des nouveau-nés ce samedi 27 janvier 2024 au Foyer des Campagnes à 10h30.
4980jkl
Une fin de matinée conviviale, ludique  et toute en douceur pour des bébés et des petits enfants bien épanouis qui accompagnés de leurs parents et quelquefois des grands-parents, se sont fait un plaisir de partager un moment d’échanges.
Après un accueil individualisé, durant lequel les enfants ont pu profiter de Mickey et d’un lapin, Florence Sanchez, Maire de Poussan,  Lydie Lambert, Conseillère municipale représentant Géraldine Lacanal-Letort, Adjointe au Maire Déléguée au social et à la santé, et Pierre Mariez, Conseiller Municipal, délégué à l’environnement, accompagnés de plusieurs élus du Conseil Municipal, ont tenu à adresser quelques mots aux parents en précisant le sens de cette cérémonie.
4980Capture d'écran 2024-01-27 165450
Il s’agissait d’accueillir les nouvelles et nouveaux Poussannais dans la commune et de marquer leur arrivée dans une cité où certainement, de l’école maternelle au collège et peut-être de la crèche au centre de loisirs ainsi qu’au Club Ados, ils grandiront et s’épanouiront pour devenir des adultes.
Pour chacun d’entre eux, un arbre sera planté et une seconde cérémonie sur le site « La forêt des naissances », en mai 2024, permettra de valoriser cette première année. Et à long terme, ils pourront voir grandir leur arbre, comme un symbole de vie en s’inscrivant dans celle de Poussan.
Des instants conviviaux et des échanges ont agrémenté la fin de cette belle cérémonie.

Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes. Comment réagir ?

Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes
Comment réagir ? appeler le 3919.
Les violences faites aux femmes sont multiples : violences conjugales, violences sexuelles, mariage forcé, prostitution, mutilations génitales. Elles ne sont pas seulement physiques, mais peuvent être aussi morales, psychologiques, sexuelles et économiques. Aucun milieu, aucun territoire, aucune génération, n’est épargné. Une femme meurt en moyenne tous les deux jours sous les coups de son conjoint ou ex-conjoint.Peut être une image de texte qui dit ’Vous êtes victime OU témoin de violences faites aux femmes? Des solutions existent: C3919 Appeler 3919 Numéro d'aide td'écoute, anonyme gratuit. ARRETONS LES VIOLENCES .GOUV.FR endre site ArretonsLesViolences.gouv.fr Plateforme signalement igne, anonyme gratuite. C17 SMS 114 Encas d'urgence appeler 7Police Secours oU envoyer SMS Ces outils sont disponibles 24h/24 7j/7. Pour plus d'informations, rendez-vous sur ArretonsLesViolences.gouv.fr’

Plutôt Rugby ? Peinture ou Pétanque ?

Plutôt Rugby ? Peinture ou Pétanque ?
Madame Arrigo, Adjointe à la Vie Associative, et les élus de la commission, vous donnent rendez-vous au Forum des Associations samedi 2 septembre de 9h à 17h au complexe sportif.
Venez découvrir notre riche tissus associatif !
 Démonstrations, restauration et buvette sur place.Peut être une image de vélo, affiche, magazine et texte
.

 

Congés maternité et paternité : la durée d’affiliation nécessaire à l’obtention d’indemnités baisse

Père, Bébé, Portrait, Paternité, ParentLa durée d’affiliation à la Sécurité sociale requise pour bénéficier des indemnités journalières liées à un congé de maternité, de paternité et d’accueil de l’enfant ainsi que d’adoption est désormais de 6 mois, contre 10 précédemment. Cela fait suite à un décret publié au Journal officiel le 19 août 2023.

Le décret n° 2023-790 diminue le temps d’immatriculation requis en tant qu’assuré social afin d’harmoniser cette durée avec ce que prévoit l’article 8 de la directive 2019/1158 du Parlement européen et du Conseil concernant l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée des parents et des aidants.

Cette modification signifie que la période minimale d’emploi demandée passe de 10 à 6 mois.

Sont concernés par ce nouveau délai nécessaire à l’obtention d’indemnités journalières de la Sécurité sociale (IJSS) :

  • les assurés dont la date de début du congé de maternité, de paternité et d’accueil de l’enfant ou d’adoption est postérieure au 20 août 2023 ;
  • les femmes pour lesquelles le congé de maternité, en raison d’un état pathologique résultant de la grossesse ou de l’accouchement, a été augmenté de la durée d’un état pathologique et a débuté de ce seul fait avant le 19 août 2023.

La nouvelle durée de 6 mois s’applique aux salariés, aux intermittents du spectacle, aux non-salariés agricoles et aux travailleurs indépendants.

  Rappel : les salariés peuvent bénéficier d’indemnités journalières de la Sécurité sociale pendant leur congé de maternité, de paternité ou d’adoption sous réserve de remplir différentes conditions (durée d’affiliation minimale à respecter mais aussi nombre d’heures de travail effectuées, montant des cotisations payées…).

Les personnes au chômage ont également droit à ces indemnités journalières si elles remplissent certains critères (percevoir une allocation chômage ou avoir cessé leur activité salariée depuis moins de 12 mois…).