Contrat rempli pour la DHR du CAP

Ce dimanche après-midi, la DHR du CAP se déplaçait au Grau du Roi, en championnat pour  une rencontre où seule la victoire comptait, le but étant d’engranger le maximum de points afin d’essayer de titiller ou de dépasser Lunel, le 1er du classement. Le Grau du Roi étant 7ème tout était possible, encore fallait-il rester concentré et jouer au mieux.

Le CAP attaquait la rencontre avec l’envie de vaincre. En première partie de jeu les locaux offrirent une belle résistance. Pourtant Poussan multipliait les occasions devant les buts adverses. Avec un but refusé par l’arbitre et un validé de Doménech, à la pause les bleus se permettaient d’espérer.

En seconde mi-temps, si le Grau du Roi parvenait à inscrire un seul but, ce fut une belle démonstration pour le CAP qui en mit quatre dans les cages : Un de Tchicha Barello, un de Barek et deux du talentueux Joris Ahullo toujours aussi vif.

Le contrat était rempli. La DHR avait fait le maximum. Pour le coach, Jean-Bernard Reboul , 3 mots suffisaient : « C’est très bien. »

Dimanche prochain, Poussan recevra Montpellier Atlas et essayera certainement d’en faire autant.

Fest’ud fait une belle place aux jeunes

Dans le cadre du FEST’UD 34,  le 3ème  festival de théâtre amateur des MJC de l’Hérault se déroule à Poussan du 22 au 24 novembre 2013 à la salle de spectacle Paul Vilalte Ce samedi après-midi, quoi de plus naturel pour des Maisons de jeunes que de recevoir une jeune troupe, une troupe d’ados, celle de Jacou.

Les Clandestins interprétaient en effet une de leur création, une comédie : « En fin d’histoire »

On y découvrait deux éminents astronomes Mayas, qui avaient créé en 2600 avant JC plusieurs calendriers. Grâce à eux, Ils allaient montrer avec humour quelques dates qui ont marqué l’Histoire jusqu’à leur ultime prédiction, le 21.12.2012.

Et dans leur calendrier les siècles vont se mélanger pour le plus grand plaisir des spectateurs. Car l’histoire revue par des Ados est beaucoup plus amusante que celle que l’on apprend et même la fin du monde qui était prévue pour l’an dernier y prend de « drôles d’air ».

A 18 h, la soirée débutait toujours par une comédie, de Sylviane Jaoui, interprétée par les meneurs de jeu en coulisses, venus de Mauguio. L’on y retrouvait aussi un esprit « jeunes » avec Théo, un scientifique de 8 ans qui se posait bien des questions sur la vie des femmes qui l’entourent. Avec « Elles sont toutes folles »  vous pouviez vous les poser aussi sur celles que vous côtoyez et obtenir certaines réponses avec la pièce ou auprès des acteurs, si nécessaire.

Et pour rester dans la jeunesse, quoi de plus naturel que de terminer la soirée par « Ces chers z’oiseaux », la dernière pièce du Strapontin mise en scène par Marie-Anne Mouraret. Elle connaît un énorme succès auprès des Poussannais et dans la région. Avec une famille nombreuse et odieuse, une satire sur les différentes générations qui la composent, le chef, déjà grand-père, avait de quoi faire.  Son métier d’écrivain ne lui laissait aucun répit, il devait la nourrir..

« Les oiseaux font caca partout ». Tel était le titre de son nouveau polar qui n’était autre qu’une caricature de ce qu’il observait chez lui. Et avec un éditeur sicilien qui voulait venger l’honneur de sa fille, déflorée par le gendre, commençait un huis clos où chacun montrait la noirceur de son âme … Drôle d’ambiance jusqu’à l’explosion finale !

Ce samedi, le festival a donc fait la part belle aux jeunes et à la famille ce qui pour Pierre Robert est tout à fait normal dans des MJC. Rien de plus beau que de voir de nouveaux acteurs se produire sur scène. Ils enrichissent les échanges et apportent un surplus d’ énergie en la mettant au service de la culture.

Le théâtre amateur a un bel avenir, c’est donc vrai. Le festival allait se poursuivre le dimanche avec une comédie policière et une tragi-comédie. Des catégories différentes qui  elles-aussi savent captiver bon nombre de spectateurs.

 

Des Poussannais s’illustrent en escrime

   Le Cercle d’Escrime Saint-Louis a présenté samedi dernier neuf tireurs à la première compétition départementale à Montpellier. Tous se sont vraiment bien défendus car pour certains c’était la toute première compétition.

Comme c’était une compétition de masse, il y avait un grand nombre de tireurs ce qui était vraiment impressionnant. C’est avec deux entraînements par semaine, rendus possibles grâce à la municipalité, et au talent du Maître d’armes Grégory Aycart, que les escrimeurs ont beaucoup progressé.

 A l’épée : Ylan Chauvet, Benjamin 1 a terminé 10e
Au fleuret : Manon Cossard, Benjamin 2 a terminé 5e

Et les deux autres Poussannais qui ont intégré le cercle d’escrime, ont eu la joie de participer.

Félicitations à Marie Laurent, fleurettiste en benjamine 2, 12 ans, qui a remporté la compétition dans sa catégorie. Elle est montée sur la première marche du podium avec la médaille d’or.
Le CESL accueille les enfants à partir de 6 ans et les adultes tous les mercredis après-midi et les vendredi soir. Le club a vu le nombre de ses adhérents doubler depuis un an.

L’on peut venir faire un essai le mercredi.

Pour plus de renseignements : www.cesl-escrime-sete.fr

 

 

Une vie de chien ou une vie d’homme ?

Pour cette première pièce du festival Fest’UD de Poussan, la compagnie Midi Pétant proposait « Dialogue d’un chien avec son maître sur la nécessité de mordre ses amis » » de Jean Marie Piemme, une œuvre « hautement philosophique » sur le sens de la vie.

  « Facétieux, rusé et hâbleur, il a des manières d’homme… Même langue pendante, même appétit de paroles, même soif décalée de justice , même quête surréaliste du bonheur , même envie de mordre dans la bêtise, même vision loufoque, amère et poétique de la vie, nos deux lascars s’interpellent sur le mode. « 

Avec son nouveau maître qui crève de solitude ils vont refaire le monde. l’homme éructe, invective, aboie et grogne face à la bête qui elle, s’installe, raisonne et déraisonne.

Ils sont tellement proches qu’ils trouveront bien un compromis. Et si l’un s’amuse à mordre ou à provoquer des carambolages pour le plaisir, l’autre Roger, avec son caractère de chien, ne comprend plus et peste après la société. Il s’est créé la sienne..

Entre philosophie et satire, nos deux protagonistes invitaient le public à réfléchir sur le sens de la vie et à se remettre en question si besoin était.

VINCI Autoroutes déploie son dispositif hivernal

Pour prévoir la dégradation des conditions climatiques (neige, verglas) sur son réseau, VINCI Autoroutes met en place un dispositif spécifique pour anticiper les besoins et permettre à l’ensemble de ses clients de circuler dans les meilleures conditions possibles sur les 4 363 km d’autoroutes qui composent ses réseaux.

 Près de 2000 collaborateurs spécifiquement formés à la viabilité hivernale

Pour assurer la pleine exécution du dispositif, près de 2 000 salariés issus des principaux corps de métiers de VINCI Autoroutes seront mobilisés tout l’hiver : patrouilleurs, conducteurs d’engins, conducteurs de travaux, chef de district, responsable de péages, etc.

Ces salariés forment des équipes expérimentées, qui ont pu bénéficier en amont de plus de 9 080 heures de formation pour assurer le bon déroulement du dispositif.

 Des relais d’informations multiples pour assurer une communication en temps réel des équipes comme des clients

Avec plus de 1 800 caméras de surveillance et 266 stations météo, les équipes disposeront d’un dispositif complet pour informer et prévenir les clients via les 909 panneaux lumineux disposés en entrée et sur les réseaux. En cas de besoin, des bornes d’appel d’urgence sont disposés tous les 2 km au maximum. Ces relais d’informations s’ajoutent aux outils déjà existants pour accompagner les automobilistes durant leur parcours : numéro de téléphone unique, l’application VINCI Autoroutes pour smartphones, la radio VINCI Autoroutes et le site Internet.

 Une assistance matérielle exceptionnelle qui s’adapte aux besoins de chaque zone d’intervention

Sur les routes, près de 400 engins d’interventions – camions de salage et de déneigement, soit 1 camion tous les 10 km en moyenne, sont mobilisables 7j/7 et 24h/24 pour sécuriser les voies de circulation tout au long du réseau de VINCI Autoroutes. En cas de risques de verglas, les équipes de VINCI Autoroutes pourront assurer le salage des routes grâce aux 25 180 tonnes de sel cumulées et réparties sur les 62 sites de stockage de VINCI Autoroutes.

 Une coordination étroite avec les pouvoirs publics

La mise en place des « plans Intempéries » par les pouvoirs publics déclenche l’intervention coordonnée de l’ensemble des acteurs impliqués : forces de l’ordre, préfectures, centres régionaux d’information et de circulation routière (CRICR), sociétés d’autoroutes ainsi que les autres gestionnaires de voiries. A son niveau, VINCI Autoroutes met tout en œuvre pour faciliter la gestion du trafic, les opérations de déneigement et l’assistance aux clients.

Dans le cadre de partenariats initiés avec la Protection civile et la Croix-Rouge, VINCI Autoroutes peut également mobiliser ses partenaires pour apporter à ses clients toute l’assistance nécessaire en cas de difficultés importantes, notamment en cas de blocage de la circulation ou auprès des poids lourds maintenus à l’arrêt par décision préfectorale.