Votre visite lui fait toujours chaud au cœur car Jean-Claude Agullo, un autodidacte de la sculpture sur bois et du vitrail, sait que la passion ça se partage. Jean-Claude est toujours motivé pour réaliser de nombreuses expériences et donc son amour pour le travail bien fait lui permet de s’épanouir dans sa passion. Et il expose ses œuvres jusqu’à dimanche soir à la salle Jean-Théron du Foyer socio culturel. Depuis près de 22 ans Jean-Claude réalise des objets pour le plaisir et souvent pour offrir à tous ceux qu’il aime. Heureux que d’autres s’intéressent à ce qu’il fait il a eu envie d’en faire profiter un maximum de personnes.
Il avait même proposé à des scolaires de lui rendre visite . Cette année cela n’a pu se réaliser. Jean-Claude était très heureux d’expliquer sa technique et de pouvoir initier enfants ou adultes à cet art du vitrail.
Entre soudure et maniement du verre, entre ombre et lumière, chacun a pu apprécier le travail de ce passionné qui c’est certain, n’est pas au bout de ses découvertes bien qu’il se lance dans des grandes dimensions avec des psychés et dans les 3 Dimensions avec son Iceberg .
Pour ceux qui ne pourraient se rendre à Poussan, sachez qu’il exposera ses œuvres près du Théâtre de verdure à Balaruc les Bains, du 13 au 16 juillet, au 12 Rue Maurice Clavel, avec tirage de la tombola le 16 à Balaruc Les Bains. Profitez-en.
Jean-Claude Agullo va exposer ses œuvres à la salle Jean-Théron du Foyer socio culturel.
(Rectificatif : 7, 8 et 9 juillet, tirage loterie, le 16 à Balaruc Les Bains)
Depuis près de 20 ans Jean-Claude réalise des objets pour le plaisir et souvent pour offrir à tous ceux qu’il aime. Heureux que d’autres s’intéressent à ce qu’il fait il a eu envie d’en faire profiter un maximum de personnes. Cette autodidacte de la sculpture se passionne maintenant pour les vitraux.
Vous profiterez de ces conseils très éclairés sur sa technique. Il en réalise régulièrement en fonction de son inspiration.
« Avec du plomb en U pour les bords et en H pour le reste, avec du verre coloré de 3 mm d’épaisseur, en utilisant quelques outils dont principalement un diamant en tungstène, il réalise de beaux vitraux grâce surtout à son talent et à son imagination débordante. »
Et pour souder, c’est à l’étain.
Il vous attendra du 7 au 9 juillet. Il vous expliquera avec beaucoup de gentillesse et de passion comment il procède, puis il vous montrera ses outils.
Profitez-en, c’est vraiment rafraichissant et lumineux.
Cette année marque les 30 ans des échanges scolaires entre les villes de Poussan et de Larciano en Toscane qui sont officiellement jumelées depuis 2013 et l’année 2017 marque également les 500 ans de l’arrivée de Léonard de Vinci en France.
La commune de Larciano étant limitrophe de celle de Vinci où est né Leonard de Vinci, Andréa Neri, architecte, membre de l’association italienne du comité de jumelage italien, un passionné qui a réalisé une cinquantaine de maquettes d’après les croquis du génial créateur de la renaissance, les a mis généreusement à la disposition du service culturel de la ville de Poussan. Mais il faut savoir qu’il en possède plus de 150 autres sans rapport avec Léonard de Vinci.
Diplômé en architecture à l’Université degli Studi di Firenze en 1980, sa thèse sur les « Interventions et restaurations sur les ouvrages en béton armé endommagés par des événements sismiques » reçoit la mention très bien et les félicitations du jury. Il devient ensuite un expert en études sismiques pour l’Italie. L’université de Florence l’a chargé d’étudier et de suivre différents événements telluriques survenus en Italie et à l’étranger. Durant toutes ses années son esprit aiguisé, son intérêt pour tout ce qui peut rentrer en mouvement, pour tout ce qui fonctionne et devient mobile seront mis au service de son métier qui du dessin à la conception, de plans à la réalisation de maquettes a un lien très étroit avec sa passion pour Léonard de Vinci et pour son œuvre extraordinaire.
Dès l’âge de 14 ans, en effet, dans l’usine de menuiserie de son père, il réalise des maquettes statiques et dynamiques en bois et se découvre une passion pour le modélisme. Tout y passera, les avions, les automobiles, les maisons, les voiliers et les paquebots comme le Titanic. Mais emporté par le sport (Basketteur de très haut niveau) et par sa profession, il ne s’y remettra qu’après sa retraite sportive. Parallèlement il participera avec quelques amis à la construction de différentes machines de siège, armes et équipements militaires pour la promotion du château médiéval de Larciano, son village.
« Tout m’intéresse dans la réalisation des maquettes. Le dessin, la conception, le montage. J’ai été fasciné par Léonard de Vinci qui habitait jadis à 10 kms de chez moi. J’ai rapidement eu envie de réaliser moi-même des maquettes en rapport avec le métier de mon père, le côté médiéval de Larciano et ma passion pour le dessin. Le lien était logique avec Léonard de Vinci qui dans ce domaine a surtout réalisé des plans ou des dessins d’observation touchant même à l’anatomie, des travaux qu’il faut interpréter en se replongeant dans son époque. Il dessinait tout et comprenait tout rapidement et souvent d’une façon obsessionnelle. »
Andréa s’est laissé prendre par cette belle passion pour Léonard il y a plus de 15 ans . Après quelques réalisations, il est allé à la rencontre de Carlo Pedretti pour avoir son avis.
Carlo Pedretti est professeur émérite d’histoire de l’art italien et titulaire de la chaire d’études léonardiennes de l’Université de Californie à Los Angeles, un professeur avec qui il a toujours des échanges très enrichissants… C’est l’opportunité pour lui de réaliser des maquettes des « Machines de Leonardo. » en s’approchant le plus possible des dessins de l’époque. Ayant construit aujourd’hui plus d’une cinquantaine d’entre-elles, le dernier modèle réalisé à la demande du professeur Pedretti est le « Compteur d’eau » étudié par Léonard de Vinci en 1510 pour Bernardo Rucellai.
Stimulé par ce spécialiste devenu son ami, Andréa ne s’arrête plus et travaille déjà sur de nouvelles maquettes pour toujours et toujours explorer l’univers de Léonard de Vinci, cet homme né le 15 avril 1452, un peintre florentin et un homme d’esprit universel, à la fois artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain… Et quel plaisir pour Andréa de voir ses maquettes exposées à Poussan, une seconde naissance pour elles…
Exposition de maquettes d’après des dessins originaux du génie italien par Andrea Neri.
Jusqu’au 30 juillet
L’entrée est libre.
Le Samedi et Dimanche de 10 h à 12 h et de 15 h à 19 h, du Lundi au Vendredi de 15 h à 19 h
Ce dimanche 21 mai de 9 h 30 à 12 h 30, c’est Blandine Rouger qui était accueillie au Kiosque de Poussan pour une dédicace de son livre « Tu aimeras ton Prochain comme Toi-Même », le titre de son dernier roman ».
Ce livre raconte l’évolution qui permettra à Mr Pills de se transformer : « ce très bel homme de trente-neuf ans, français aux yeux clairs, au visage fin, de haute taille, à l’élégance sophistiquée et à l’allure athlétique, remarquablement intelligent…mais misogyne, vaniteux, exécrable avec tout le monde, va contribuer, pourtant, à de bonnes choses. Rencontres et relations lui feront lâcher prise. Et retrouver l’essentiel. »
Les visiteurs étaient nombreux au Kiosque ce dimanche matin, un centre Presse qui devient alors un lieu d’échange autour de l’écrit. Pour assurer la promotion de son dernier roman rien de tel qu’un bain dans des lieux dédiés à l’écriture.
Il faut savoir que le Kiosque reçoit régulièrement des auteurs pour des séances de dédicaces qui permettent aux lecteurs d’établir des échanges avec ceux qui les font rêver, ou se détendre.
Ce 21 mai c’était une bonne occasion. Les lecteurs et les acheteurs sont venus à sa rencontre et reviendront pour le prochain livre qui saura certainement les emporter dans un tourbillon de vie, toujours une aventure.
Pour ceux qui désirent rencontrer Blandine Rouger, ce sera bientôt possible à :
- L’Echappée Belle 7 rue Gambetta 34200 Sète
- La Librairie Gavaudan 1 rue Gambetta 34200 Sète
- Au Bar à Lire 28 gd rue Mario Roustan 34200 Sète
- A la Maison de la Presse Maître Diffusion Avenue des Thermes Romains 34540 Balaruc-les-Bains
- Aux Délices du Languedoc Passage des Bains 34540 Balaruc-les-Bains
- Chez Amandine Boutique 32 rue Maurice Clavel 34540 Balaruc-les-Bains
- A la Librairie Cherblanc 22 avenue de Montpellier 34140 Mèze
Dans le cadre de l’exposition de maquettes d’après des dessins originaux du génie italien par Andrea Neri, architecte toscan de Larciano, ville jumelée à Poussan, il était proposé aux enfants ce samedi après-midi un atelier de construction de maquettes.
Très peu de candidats pour profiter des conseils d’Andrea, le Maître en la matière.
Pas de soucis car jusqu’au 18 juin, les enfants auront le temps de s’approprier dessins et idées de… 1517 !
Dans le cadre plus général du 30ème anniversaire des échanges des Collèges de Poussan et Larciano, les élèves des écoles, les collégiens et même des lycéens aborderont l’étude de la Renaissance, en histoire, en éducation musicale, en arts plastiques et en technologie. Et si des échanges spécifiques sont également prévus pour les plus grands avec travail commun sur les maquettes et visite du musée Vinci, toutes les classes pourront se rendre au Foyer des Campagnes pour observer, analyser et exploiter le formidable travail d’Andrea qui ainsi transmettra une partie de ses connaissances.
Et pour les maquettistes en herbe, il y a la possibilité d’acheter certaines maquettes à réaliser chez soi à partir u travail d’Andréa. Le soulève-colonnes, le soulève-pierres, la catapulte et même l’hélicoptère de Léonard de Vinci sont disponibles pour les amateurs.
Dans le cadre de la nuit européenne des musées, pierresvives décline le chiffre 36 en énigmes, enquêtes, courts-métrages, matchs d’impro, pauses musicales ou visites insolites…
PS : faute de 36 chandelles, prévoir lampes torches ou frontales.
Le service Culture, le Conseil Municipal de Poussan et le Comité de jumelage Poussan – Larciano vous accueillait ce vendredi 5 mai en soirée au vernissage de l’exposition des maquettes d’Andréa Neri d’après les dessins de Léonard de Vinci, au foyer des campagnes de Poussan en présence de l’artiste. Avec 57 maquettes le visiteur avait de quoi visualiser pour son grand plaisir.
Le foyer des campagnes était devenu un écrin Avec un grand nombre de visiteurs le vernissage de l’exposition avait pris des allures de fête : celle des échanges entre les 2 communes grâce au jumelage, celle de Léonard de Vinci et bien-sûr l’accueil convivial et officiel d’Andréa Neri qui présentait ses réalisations.
Autant dire que ce fut un point d’orgue pour marquer les 30 ans des échanges scolaires entre les villes de Poussan et de Larciano en Toscane qui sont officiellement jumelées depuis 2013. En trente ans, les relations continues entre les collèges de Poussan et de Larciano ont permis l’échange d’environ 2000 collégiens.
L’année 2017 marque également les 500 ans de l’arrivée de Léonard de Vinci en France. La commune de Larciano est limitrophe de celle de Vinci ; où est né Leonard de Vinci. Andréa Neri, architecte, membre de l’association italienne a réalisé ses maquettes d’après les croquis du génial créateur de la renaissance et les a mis généreusement à la disposition du service culturel de la ville de Poussan.
Andréa Néri, diplômé en architecture à l’Université degli Studi di Firenze, dès 14 ans, dans l’usine de menuiserie de son père, réalisait des maquettes statiques et dynamiques en bois et s’est alors découvert une passion pour le modélisme. Il y a plus de 15 ans après avoir rejoint sa première passion mise en parenthèse, il se lançait sur les traces de Léonard de Vinci avec quelques réalisations, avant d’ aller à la rencontre de Carlo Pedretti pour avoir son avis.
Carlo Pedretti est professeur émérite d’histoire de l’art italien et titulaire de la chaire d’études léonardiennes de l’Université de Californie à Los Angeles, un professeur avec qui il a toujours des échanges très enrichissants… C’est l’opportunité pour lui de réaliser des maquettes des « Machines de Leonardo. » en s’approchant le plus possible des dessins de l’époque.
Il faut savoir que Léonard de Vinci , né à Vinci (Toscane) le et mort à Amboise (Touraine) le , est un peintre florentin et un homme d’esprit universel, à la fois artiste, organisateur de spectacles et de fêtes, scientifique, ingénieur, inventeur, anatomiste, peintre, sculpteur, architecte, urbaniste, botaniste, musicien, poète, philosophe et écrivain.
Après son enfance à Vinci, Léonard est élève auprès du célèbre peintre et sculpteur florentin Andrea del Verrocchio. Ses premiers travaux importants sont réalisés au service du duc Ludovic Sforza à Milan. Il œuvre ensuite à Rome, Bologne et Venise et passe les dernières années de sa vie en France, à l’invitation du roi François Ier.
Léonard de Vinci est souvent décrit comme l’archétype et le symbole de l’homme de la Renaissance, un génie universel, un philosophe humaniste, observateur et expérimentateur, avec un « rare don de l’intuition de l’espace », et dont la curiosité infinie est seulement égalée par la force d’invention. Nombre d’auteurs et d’historiens le considèrent comme l’un des plus grands peintres de tous les temps et certains comme la personne la plus talentueuse dans le plus grand nombre de domaines différents ayant jamais vécu.
C’est d’abord comme peintre que Léonard de Vinci est reconnu. Deux de ses œuvres, La Joconde et La Cène, sont des peintures mondialement célèbres, souvent copiées et parodiées, et son dessin de l’Homme de Vitruve est également repris dans de nombreux travaux dérivés. Seule une quinzaine d’œuvres est parvenue jusqu’à nous; ce petit nombre est dû à ses expérimentations constantes et parfois désastreuses de nouvelles techniques et à sa procrastination chronique.
Néanmoins, ces quelques œuvres, jointes à ses carnets contenant dessins, diagrammes scientifiques et réflexions sur la nature de la peinture, sont un legs aux générations suivantes d’artistes ; nombre de ces derniers le considérant comme seulement égalé par Michel-Ange.
Comme ingénieur et inventeur, Léonard développe des idées très en avance sur son temps, comme l’avion, l’hélicoptère, le sous-marin et même jusqu’à l’automobile. Très peu de ses projets sont réalisés ou même seulement réalisables de son vivant, mais certaines de ses plus petites inventions comme une machine pour mesurer la limite élastique d’un câble entrent dans le monde de la manufacture. En tant que scientifique, Léonard de Vinci a beaucoup fait progresser la connaissance dans les domaines de l’anatomie, du génie civil, de l’optique et de l’hydrodynamique.Léonard vivra ses dernières années italiennes à Rome, au service des Médicis, qui dirigent quasiment le pays et protègent l’artiste depuis longtemps. Mais la concurrence de Raphaël et de Michel-Ange, étoiles montantes de la peinture et de la sculpture, sera rude…
En 1515, la bataille de Marignan donne le pays milanais à François 1er, qui convie Léonard en France. L’année suivante, l’artiste s’installe au Clos-Lucé, dans un manoir situé à quelques centaines de mètres du château d’Amboise. Il suscite l’admiration du roi, qui lui achète La Joconde, et le laisse libre de « faire ce qu’il veut ». Mais Léonard est malade et meurt en 1519.Les dizaines de milliers de documents, notes manuscrites, études, dessins, sont assez rapidement disséminés et ne seront récupérés qu’en partie au fil des siècles, car l’héritage scientifique de Léonard da Vinci est très impressionnant.
Son hélicoptère ne pouvait pas voler, son scaphandre aurait noyé son utilisateur, son parachute était trop lourd, son char d’assaut restait mal pratique… Que n’a-t-on dit sur les inventions impossibles de Léonard de Vinci.
Le jugement est nécessairement injuste s’il ne prend pas en compte le contexte. A l’orée du seizième siècle, la seule force motrice connue était la puissance animale ou humaine et la science est balbutiante. Les inventions de Léonard, qu’elles soient véritablement nouvelles (comme les engins volants) ou inspirées de travaux antérieurs (comme nombre de ses machines hydrauliques), reposent néanmoins sur des concepts novateurs pour l’époque..
Pour en savoir plus : http://www.futura-sciences.com/tech/personnalites/tech-leonard-vinci-210/Ce vendredi, Andréa Neri, était heureux de partager son plaisir avec son frère qui assure son soutien mais aussi avec ceux qui avaient permis la réalisation de cette exposition, des amis et les membres des associations de jumelage italienne et française, les municipalités, sans oublier tous ceux qui ont œuvré dans l’ombre, tout les services de la Mairie de Poussan, Ivan Rousset et bien d’autres comme les Fées Clochettes. Une oeuvre collective.
D’ailleurs, Nicole Zanetti, Présidente du Comité de Jumelage, Larciano-Poussan, revenait sur les liens qui unissent depuis longtemps les 2 communes et principalement sur les 18 derniers mois de préparation nécessaires à la conception de cette exposition unique : « Une idée qui est partie lors d’un bon repas et un projet qui s’est réalisé, fruit de la convivialité, de la communion entre « Léonardistes » avec des partenaires et des sponsors, avec l’engagement indéfectible de la Mairie de Poussan et la participation énergique de plusieurs élus. »
Florence Sanchez, Adjointe au Maire déléguée à la communication, culture et patrimoine, Michel Bernabeu, Con,seiller municipal, délégué à la culture, et Jacques Adgé, étaient heureux de voir que dans cette salle modulable, une des plus belles du secteur, cette exposition trouvait sa place d’une bien belle façon. Tandis que l’on revenait sur la vie de Léonard de Vinci et sur celle d’Andréa Neri, il était mis en avant pour chacun d’eux les capacités à observer, à représenter, à comprendre. D’ailleurs, Andréa, ému par l’intérêt porté à son travail, après avoir remercié à son tour tous les acteurs de cet événement, revenait sur sa passion et sur son envie de communiquer à son niveau, par ses maquettes, les idées de génie du Maître « Léonardo da Vinci ».
François Commeinhes, Président de la CABT, Frédéric Roig, Député de la Circonscription, et Jacques Adgé, revenaient sur l’extraordinaire travail de Léonard de Vinci, sur ce qui était alors impensable et qui grâce à des musées et des expositions est toujours d’actualité aujourd’hui : » Grâce à l’engagement des mairies, aux Comités de jumelage, grâce à des énergies porteuses, la Culture à Poussan est bien représentée et cette volonté ne peut que s’enrichir. « Léonard a crée des ponts si solides que nous pouvons les franchir encore aujourd’hui. Culture, arts, techniques …. Des piliers qui lient les pays au-delà de leur population. »Tandis que les maquettes retrouvaient l’attention des visiteurs, il était temps de fêter cet événement tout d’abord avec les hymnes nationaux suivi d’un concert donné par les choristes des « Chants de Thau » qui de Brassens à Funiculi funicula, avaient pris l’accent italien.
Une très belle soirée qui allait se poursuivre tout d’abord par un apéritif dînatoire puis par des échanges entre les organisateurs.
L’exposition retrouvait sa sérénité : dès ce samedi avec un atelier réalisation de maquettes, avec une conférence puis en semaine avec la venue de nombreux scolaires elle allait être l’objet de toutes les attentions.
Et pour les autres visiteurs : elle sera ouverte du 5 mai au 18 juin (le samedi et le dimanche : 10h/12h et 15h/19h – Foyer des campagnes à Poussan (Visite possible) pour les groupes en semaine sur inscription au 04 67 78 99 56).
Cette année marque les 30 ans des échanges scolaires entre les villes de Poussan et de Larciano en Toscane qui sont officiellement jumelées depuis 2013. L’année 2017 marque également les 500 ans de l’arrivée de Léonard de Vinci en France. La commune de Larciano est limitrophe de celle de Vinci où est né Leonard de Vinci. Andréa Neri, architecte, membre de l’association italienne a réalisé une cinquantaine de maquettes d’après les croquis du génial créateur de la renaissance et les a mis généreusement à la disposition du service culturel de la ville de Poussan.
Dans le cadre de cette exposition, le 6 mai à 21 h, à la salle de spectacle de la MJC, aura lieu une conférence animée par Armando Bartolini, « L’expérience de la beauté nous interroge entre Art et poésie : Léonard de Vinci. »
Pour Armando, l’expérience de la beauté nous interroge d’une façon philosophique sur l’Art. Très lié à Poussan et au collège Via Domitia grâce à des projets Coménius, il a développé un projet sur l’éducation à la beauté en lien avec la poésie : « Pour Léonard de Vinci la poésie est une peinture que l’on ne voit pas. Ma conférence portera d’une part sur l’Art de Léonard à établir des liens entre la Culture, les Arts, la Poésie et l’Éducation avec certains textes mis en relation avec des poèmes de Baudelaire. Une belle aventure à suivre ce samedi soir, sachant que toute connaissance se communique d’abord par le sentiment. »
Le service culturel de la Ville de Poussan et le Comité de jumelage Poussan – Larciano seront heureux de vous accueillir au vernissage de l’exposition des maquettes d’Andréa Neri d’après Léonard de Vinci, le vendredi 5 mai 2017 à 18h30 au foyer des campagnes de Poussan, en présence de l’artiste. L’exposition sera ouverte du 5 mai au 18 juin 2017. Cette année marque les 30 ans des échanges scolaires entre les villes de Poussan et de Larciano en Toscane qui sont officiellement jumelées depuis 2013. L’année 2017 marque également les 500 ans de l’arrivée de Léonard de Vinci en France. La commune de Larciano est limitrophe de celle de Vinci ; où est né Leonard de Vinci. Andréa Neri, architecte, membre de l’association italienne a réalisé une cinquantaine de maquettes d’après les croquis du génial créateur de la renaissance et les a mis généreusement à la disposition du service culturel de la ville de Poussan.
Depuis 1987, des relations continues entre les collèges de Poussan et de Larciano ont permis l’échange d’environ 2000 collégiens. En février 2013 l’association de jumelage a vu le jour, à l’initiative de citoyens des deux pays, suivie de la signature officielle d’une convention de jumelage en mars 2013. Depuis, des activités se sont développées de part et d’autre dans le but de renforcer les liens entre les deux villes : échanges culturels, linguistiques, gastronomiques et festifs : fête médiévale de Larciano, foire de la Sainte Catherine à Poussan…
C’est dans cette perspective que sera organisée l’exposition de maquettes créées à partir de dessins de Léonard de Vinci, réalisées et prêtées par Andréa Neri, architecte à Larciano.
Andréa Néri est diplômé en architecture à l’Université degli Studi di Firenze en 1980, et sa thèse sur les « Interventions et restaurations sur les ouvrages en béton armé endommagés par des événements sismiques» reçoit la mention très bien et les félicitations du jury.Il devient l’un des meilleurs experts en études sismiques d’Italie. L’université de Florence l’a chargé d’étudier et de suivre différents événements telluriques survenus en Italie et à l’étranger. Dès l’âge de 14 ans, dans l’usine de menuiserie de son père, il réalise des maquettes statiques et dynamiques en bois et se découvre une passion pour le modélisme. Il participe avec quelques amis à la construction de différentes machines de siège, armes et équipements militaires pour la promotion du château médiéval de Larciano.
La rencontre professionnelle avec le professeur Carlo Pedretti, grand expert au niveau mondial de Léonard de Vinci, dont il est le technicien de confiance en architecture, l’a amené à travailler sur des copies de dessins originaux. C’est l’opportunité pour lui de réaliser des maquettes des « Machines de Leonardo.». Il en a construites aujourd’hui plus d’une cinquantaine. Le dernier modèle, réalisé à la demande du professeur Pedretti est le « Compteur d’eau» étudié par Leonard de Vinci en 1510 pour Bernardo Rucella