Romans et Cie

Les Belges reconnaissants
Roman policier de Martine Nougué, Editions Romans et Cie

L’histoire
Castellac était un village apparemment tranquille jusqu’au jour où son maire est retrouvé raide mort dans la garrigue. Pénélope Cissé, officier de police du commissariat de Sète, va devoir fouiller dans le passé du village pour retrouver l’assassin de Monsieur le Maire. Elle va être confrontée à quelques habitants pittoresques mais pas toujours très coopérants, protégeant leurs petits secrets et peu amènes à l’égard de ces « étrangers », les nouveaux habitants venus du nord, ou cette flic Africaine qui fouine dans leurs histoires.
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L’auteur
Martine Nougué est née en 1957 à Bordeaux et a longtemps exercé dans les métiers du marketing et de la communication. Elle vit aujourd’hui entre Paris et son village de Montbazin d’où elle anime son « site-bibliothèque » www.romans-et-cie.com.

« Les Belges reconnaissants » est le premier livre de Martine Nougué. Mais ce premier roman est déjà  un petit chef d’œuvre.  Dès les premières pages Martine Nougué réussit à nous piéger et à nous plonger dans un suspens captivant où les acteurs fleurent bon le pays. Les Belges reconnaissants est  un livre qu’il faut lire. » – Jacques Carles

La première pour une grande famille qui assure

  

Cette année, avec le Strapontin, c’est certain, c’est du Anouilh. La troupe poussannaise nous présentait les vendredi 15 et samedi 16 novembre, « Chers Zoiseaux », une comédie  escathologiquement correcte mais bien débridée.  Aidée par des bénévoles pour l’accueil et l’organisation, l’équipe au grand complet a concocté un spectacle de plus de deux heures. Au son et à la lumière : Norbert Benezech et Sylvain Perrin avec à la réalisation vidéo Benoit Oudar.

Pour les comédiens (par ordre d’apparition) : Jean Artières, Richard Montchatre, Carole Martinez, Laetitia Fortune, Serge Cuculière, Josette Bard, Séverine Campagna, Didier Lecroisey, Pierre Robert, Henri Larger, Gabriel Petolla.

Mise en scène par Marie-Anne Mouraret cette pièce nous permet de découvrir une famille recomposée dont les membres sont aveugles d’égoïsme et pétris de lâcheté, une famille éprise d’idéaux par orgueil ou vanité et dégringolant inexorablement. Et l’on peut en avoir la description dans le polar de gare qu’écrit le « chef » pour nourrir sa chère nichée.

« Les oiseaux font caca partout », tel est le titre du nouveau bouquin qu’il écrit, cet homme du passé, qui doit nourrir sa nombreuse et odieuse famille. Mais voici qu’un éditeur sicilien qui veut venger l’honneur de sa fille, déflorée par le gendre du Chef, fait le siège de la maison, avec mitraillette et plastic. Commencera alors un huis clos où chacun montrera la noirceur de son âme … … Jusqu’à l’explosion finale…

Vraiment une pièce où l’on ne se fait pas de cadeaux, où c’est chacun pour soi pour ces drôles d’oiseaux. Entre sexe, intrigue, politique, et orgueil cette famille se laisse guider par son désir d’être satisfaite.

Marie-Anne Mouraret a su trouver  une mise en scène où le spectateur devient un membre de ce panier de crabes, tandis que tous les acteurs qui occupent la scène durant le spectacle maintiennent une intensité en variant les styles et en utilisant toutes leurs compétences au maximum.

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Bravo, le Strapontin, pas de fausses notes et un énorme travail qui devrait porter ses fruits bien au-delà du Bassin de Thau. Les spectateurs étaient au rendez-vous. Chapeau bas.

 

Les petits footballeurs sont passés entre les gouttes

 Ce samedi matin, sur le terrain synthétique du complexe sportif des Baux, le CAP football et sa commission des jeunes organisait son plateau en catégorie U6 et U7 (enfants nés en 2007 et 2008). Sous la responsabilité du Julien Vellas, le responsable de l’école de foot, le plateau accueillait une vingtaine d’équipes venues de Sète (Football Club, Dockers et Pointe Courte), Agde, Montbazin, La Peyrade, Marseillan, Gigean, Frontignan, Montpellier Hérault et Poussan.

Malgré les quelques gouttes de pluie, les organisateurs décidaient de faire joueur les matches, chaque équipe jouant 3 matches de 13 minutes pendant que les parents se réchauffaient avec un café servi à la buvette.

Le plateau se terminait par un petit goûter apprécié de tous. Julien Vellas résumait la matinée : « Les matches se sont parfaitement déroulés. A ce niveau-là, les résultats importent peu et le plaisir du jeu est primordial ».

Une idée de balade

    Le mont Aigoual, roi des belvédères

Avant que la neige ne l’interdise, parce que les routes ne sont pas encore trop encombrées par les skieurs, nous vous donnons rendez-vous au sommet du Mont-Aigoual.

L’ACCES

De Sète, direction Montpellier et par la déviation de Juvignac prenez la route de Ganges. Par St Matin de Londres, Saint Bauzille de Putois, en remontant l’Hérault, vous arrivez au bout de 100 km à Valleraugue, porte de l’Aigoual.

 

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Au retour, passez par l’Espérou qui vous ramènera au Vigan par le Col du Minier puis vers Lodève d’où vous rejoignez Sète en quittant la nationale à Gignac pour aller vers Plaissan et Villeveyrac.

A partir de Valleraugue, vous continuez à suivre le ruisseau qu’est encore l’Hérault. La D269 vous amène au Col de la Serreyrède à 1290 m d’altitude. Du col, en vingt minutes, un sentier balisé mène en vingt minutes à la Cascade de l’Hérault.
300 mètres plus haut, vous êtes enfin au sommet de l’ Aigoual où, d’une table d’orientation, vous découvrez le plus spectaculaire panorama de la région : des Pyrénées aux Alpes, de la chaine des Puys au Ventoux et à la mer qui, à vol d’oiseau, n’est qu’à 70 km !
Si l’hiver, l’Aigoual est carrément inhospitalier, l’été, c’est une oasis de fraicheur malgré l’absence de végétation à son sommet. Mais comme à l’aller et au retour vous traverserez de magnifiques forets…

L’OBSERVATOIRE

Il serait dommage d’être monté si haut et de ne pas visiter l’Observatoire de Météo France installé là depuis plus d’un siècle. Il est le dernier observatoire d’altitude en service en France. Dans les locaux, une exposition rassemble 800 photos de la vie sur l’Aigoual durant les quatre saisons. Un personnel chaleureux vous initiera même, si vous le souhaitez, à la météorologie de notre région. Il vous présentera les appareils de mesure les plus modernes mais aussi ceux de l’ancien temps, conservés dans un Musée sur 350 m2 d’exposition. Si vous aimez marcher, des sentiers balisés partent du sommet.

 

La Compagnie du Kiosque propose des ateliers

Jusqu’à à Juin 2014 « La Compagnie du Kiosque », compagnie professionnelle de théâtre, propose un programme d’ateliers en direction des collégiens et des lycéens.

Dès aujourd’hui les inscriptions sont prises en appelant « La Compagnie du Kiosque » au 04.67.78.23.11 ou 06.78.72.80.06 ou par Email lacompagniedukiosque@wanadoo.fr


Le parcours de « La Compagnie du Kiosque » ainsi que le contenu des ateliers sont visible le sur le site de « La compagnie du Kiosque ».

Film sétois

 

 « Chaque jour est une petite vie » est un court-métrage réalisé par Albane Fioretti et Lou-Brice Léonard (France, 2013, 27’) qui a été tourné à Sète. Il sera projeté samedi 16 novembre à 18h Cinéma le Palace à Sète
Séance organisée en partenariat avec la Mairie de Sète

 

Synopsis

Quatre êtres échoués dans une cité dans le sud. Dans sa petite caravane survivant entre les tours, Rachel sent son dernier jour venir et tente de renouer les liens qui se sont brisés :  Son fils et sa petite-fille, l’Histoire, les blessures, et de l’autre côté de la mer ,l’Algérie. Ce film a été tourné à Sète (Ile de Thau) et Bastia.

Le film a bénéficié du soutien de la Région Languedoc-Roussillon en partenariat avec le CNC et aussi du  soutien de La Collectivité territorial de Corse en partenariat avec le CNC, de L’Agence National pour la cohésion social et l’égalité des chances – ASCE – Fonds image et diversité,  de L’Adami et de L’Angora – Procirep.

Cette année avec le Strap, c’est Anouilh

Cette année, avec le Strapontin, c’est Anouilh. La troupe vous présente ce samedi 16 novembre, « Chers Zoiseaux », une comédie grinçante de la fin du XXème siècle. Elle est escathologiquement correcte !

Et c’est peut-être du Maya dans le texte, dans le polar de gare qu’écrit « chef » pour nourrir sa chère nichée.

 Aveugle d’égoïsme et pétrie de lâchetée, éprise d’idéaux par orgueil ou vanité et dégringolant inexorablement.

Bref, ça va pêter dans le gentilhommière.

Et le drame intime est cruel et drôle sous la plume satirique d’un auteur français de génie qui fit à la fin de sa vie cette pièce explosive sur une famille européenne encore pire que la vôtre !