Désormais, un seul numéro pour signaler une panne sur l’éclairage public de Poussan.
Pour toute panne ou intervention urgente, vous devez contacter CITELUM au : 0 800 00 26 21 (Numéro vert, appel non facturé).
24 h sur 24 et 7 jours sur 7, une équipe interviendra pour assurer la remise en service de l’éclairage ou réaliser une mise en sécurité si besoin.
Pour avoir toutes les informations sur le club local de Football, le CAP, (évènements, matchs, convocations, résultats…), rendez-vous sur le site : (http:/capfoot.footeo.com) Tous les licenciés et parents de jeunes joueurs peuvent se connecter pour rester dans l’action.
http://capfoot.footeo.com/
Le Cercle d’Escrime Saint-Louis de Sète est affilié à la Ligue d’Escrime du Languedoc Roussillon qui comprend 26 clubs. On y enseigne le Fleuret pour les jeunes (Poussins à Juniors) et l’Épée pour les adultes.
Pour plus de renseignements, contacter le
06 14 08 34 45. ou le 04-67-74-54-97
Fax : 04-67-53-08-23
Salle d’Armes : 04 67 51 52 75
Depuis ce lundi 14 septembre, Gilles Daguzan, artiste peintre amateur, vous invite à partager quelques instants devant une partie de ses œuvres exposées dans la salle d’accueil de la MJC.
Il faut dire que Gilles n’est pas un inconnu puisque c’est le professeur de guitare de la MJC, et ce depuis plus de 12 ans. Mais sa passion pour la peinture ne date que de 4 ans et cette exposition qui est la troisième pour lui à la MJC nous permet encore d’évaluer une franche évolution et une création sans limites.
» Je n’avais jamais pris de cours, je n’avais pas été initié, pourtant je me suis mis à peindre à l’huile, à l’acrylique, au pinceau, au rouleau et même à la chaussette grâce à un cadeau. » Précisait Gilles dont le geste a pris de l’assurance.
Professeur de musique spécialisé en guitare moderne, comme il est en activité, c’est surtout la nuit que cet hyperactif peint et laisse aller son imagination au gré de ses humeurs en jouant avec les couleurs et les outils, et depuis quelques temps avec la taille de ses œuvres.
Et il rajoute : « Musicien, j’aime transcrire, dans cet art qu’est la peinture, le bonheur ressenti lors d’une improvisation musicale réussie. Dans ma peinture abstraite, je recherche une harmonie rythmée par mes différentes émotions. Les notes sont devenues des couleurs. Cette symphonie que je vous offre à regarder, à partager, est pour moi tout aussi importante que celle donnée par quelques notes de musique. »
Le personnel de la MJC vous invite à venir apprécier ce travail qui est le fruit d’un désir, d’ une passion et d’un sens esthétique certain pour Gilles
Exposition à la MJC, jusqu’au 25 septembre.
Le site de Gilles : www.123siteweb.fr/gillesdaguzan
Dès 8 h du matin, ce dimanche 9 août, ils se sont promenés sur les parking pour éviter que des voitures ne gênent la mise en place de leurs aînées du côté du complexe sportif.
Bénévoles et membres du Rétro Pouss’Auto devaient être prêts avant que tous les participants de la Fèsta de la Locomocion, 8ème édition, n’arrivent sur les lieux, tout autour du gymnase.
Depuis samedi, des barrières et des affiches allaient permettre aux hommes en tee-shirt rouge et aux « chapeaux » de guider tous les inscrits vers leurs emplacements respectifs.
Car ils étaient nombreux cette année encore. Plus de 300 inscrits et des arrivées de la dernière heure. En outre, pour cette édition, les utilitaires avaient été mis à l’honneur.
Alors que le Carré d’As avait déjà pris ses marques et était prêt pour assurer la buvette, alors que les derniers commerçants finissaient de s’installer, les véhicules attendus arrivaient formant une longue queue leu-leu.
Les responsables de l’accueil ont alors remis aux participants le programme de la journée, la plaque de rallye et leurs tickets-repas, ainsi que le règlement et le questionnaire relatif au 8ème tour Au Thau.
C’était parti pour une belle journée à la gloire des véhicules d’un autre temps. Il y en avait plus de 300 surtout sur le parking du collège mais d’autres avaient trouvé refuge un peu plus loin, sans compter les motos, les Solex ou encore d’autres moyens de locomotion comme les Mobylettes.
Les visiteurs, les amateurs ou encore les passionnés ont pu alors admirer toutes sortes d’engins motorisés, poser des questions et se renseigner auprès de leurs propriétaires, faire tourner les moteurs et se documenter sur chacun des modèles.
D’autres profitaient de cette occasion pour parcourir le broc’au Thau et essayer de trouver des pièces qui leur seront d’une grande utilité pour l’entretien ou la remise en forme de leurs bijoux. Mais ils pouvaient trouver d’autres produits pour se faire plaisir ou encore décorer leur véhicule ancien.
Avec des Matra, des Chevrolet, des Ferrari, des Maserati et des Alpines, avec dans un autre style des Mustang, des DS ou des 2CV, avec des véhicules modifiés pour les besoins de ceux qui les ont acquis, mais aussi avec des très anciennes, ou bien encore des plus somptueuses, chacun des visiteurs se voyait au volant, revivait des situations ou se les imaginait. Et que dire des véhicules modifiés pour s’adapter aux besoins de leurs propriétaires.
Car pour les passionnés il fallait ouvrir le capot avant et analyser les caractéristiques des moteurs.
Midi approchait et toujours sous un ciel couvert, alors que visiteurs, collectionneurs déambulaient encore sur la place en échangeant avis et conseils certains se rapprochaient des tables pour déguster un bon repas devenu une référence de par sa composition mais aussi par sa convivialité. Et en plus, les « Food trucks »permettaient aux affamés de déguster glaces et friandises.
A 14 h 00, c’était le départ du fameux « Tour au Thau », un rallye touristique qui emmène chaque année les véhicules pour une belle balade entre champs et vignes, entre étang de Thau et garrigues. Cette année, avec des questions pour faire réfléchir les équipages et surtout beaucoup de plaisir de participer à cette belle aventure avec la clef des rafraîchissements. Direction Saint Pargoire et le Pouget.
Pendant le rallye, ceux qui sont restés sur place pouvaient profiter de l’animation musicale.
Grâce à l’engagement de nombreux adhérents du Rétro Pouss’Auto, à la participation du Carré d’As et de la Mairie ainsi qu’à la participation de nombreux sponsors comme des commerçants poussannais ou d’autres entreprises du département, la 8ème Festa fut une belle réussite.
La journée se terminait vers 17 h avec une remise des prix par le président du Rétro Pouss’Auto, Pascal Giugleur, distinguant plusieurs modèles remarqués dans la journée, dans différentes catégories.
C’est en présence de Miss POUSSAN 2015 que la Citroën ROSALIE a décroché le prix du Président. Elle était venue par la route d’Avignon (comme quoi tout est possible en ancienne). Le public se rassemblait autour de la scène alors qu’il allait être remis à chacun des gagnants une coupe et un lot.
Très bonne ambiance tout au long de cette journée bien conviviale.
En 2012, le cadran scolaire d’azimut situé sur la place de la Mairie a eu droit à un beau lifting. Et son concepteur, Roger Tognetti s’en occupe du mieux possible afin de lui redonner son aspect originel.
Le cadran avait eu alors une restauration et le sol aussi. Et depuis, tous les ans, ceux qui souhaitent obtenir des informations ou comprendre son fonctionnement peuvent s’adresser à lui ou participer à des conférences de sa part. Les enfants et les scolaires en ont profité aussi.
C’est en effet un des plus précis et des plus perfectionnés de France. Roger est toujours prêt à le démontrer aux visiteurs. Ce gnomoniste passionné en a créé de toutes sortes mais pour celui-ci, la science exacte a parlé particulièrement. Si voilà plus de 15 ans, avec l’aide des services techniques et des enfants du centre aéré il avait déjà réalisé un cadran sur un mur de la MJC, il souhaitait encore s’approcher de l’idéal avec un cadran horizontal. Il avait donc réalisé les plans, réalisé de savants calculs, puis présenté son projet à la mairie qui permit alors sa réalisation avec l’aide des tailleurs de pierre de Vincent Gascon.
Avec des pierres venues de Bolivie, des Pyrénées ou de Jérusalem des compagnons ont réalisé ce cadran selon les mesures, les plans et les données de Roger.
Avec ce cadran, c’est l’homme lui même qui est le style ou la tige qui grâce à son ombre va indiquer l’heure. L’ombre projetée indiquera l’heure exacte à laquelle il faudra apporter une correction en fonction de la période précisée sur le tableau devant le cadran. (Equation du temps) (http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89quation_du_temps), une autre de 3/4 h en fonction de notre position par rapport au méridien de Greenwich (http://fr.wikipedia.org/wiki/Temps_moyen_de_Greenwich) et une dernière selon l’heure d’été ou d’hiver. Ça fonctionne très bien et de plus ce cadran ana-lemmatique est utilisable comme une boussole : un chef d’œuvre en quelque sorte auquel l’on doit un grand respect.
Ce vendredi 10 août, Roger avait invité les Poussannais et les visiteurs à venir se placer autour du cadran solaire, sous le soleil exactement pour écouter ses explications et assister à une démonstration du fonctionnement du cadran. Mais toujours le même problème avec la température sur la place de la Mairie très élevée à 16 h.
Toutefois, Roger précisait aux quelques participants qu’il avait toujours eu un grand intérêt pour ce qui se passait dans le ciel, ce qui l’avait mené en tant qu’amateur à réaliser des cadrans solaires.
C’est un des plus beaux cadrans solaires de France, qui donne l’heure à 1 minute 1/2 près. Il est en cours d’homologation. Il suffit de se placer au bon endroit en fonction de la saison, du mois et de la date, de lire l’heure sur le cadran et d’apporter la correction nécessaire indiquée par le tableau prévu à cet effet (Attention à l’heure d’été et d’hiver). Sans celui-ci, il faudrait se baser sur plus 45 minutes. Pour être précis, il faudra toujours en fonction du mois, enlever ou rajouter des minutes à ces 45 qui sont une moyenne. »
Et ça fonctionne, Roger en faisait la démonstration. Pour vous faciliter les choses, il a tout prévu et il est possible de scanner le flash code placé sur le panneau à l’aide de votre smartphone. Vous serez dirigé ver le site cadranpoussan.perso.sfr.fr où vous aurez de nombreuses précisions complémentaires.
C’est vraiment une belle réalisation de part sa précision, sa taille et par les matériaux qui le composent ».
Son rêve serait que chacun d’entre nous le découvre et l’utilise.
Un beau vide grenier ce samedi 18 juin à la Maison de retraite La Mésange, pour préparer les pensionnaires à l’arrivée de l’été, synonyme d’animations en extérieur.
Car les résidents vont devoir tenir le rythme. Outre les animations habituelles, les résidents poussannais qui le souhaitent peuvent participer à différentes sorties.
Entre livres et bibelots, avec des bouteilles de vin, des confitures et des fruits, des olives et des jus de fruits ainsi que de nombreux éléments offerts à la Mésange ou réalisés par certains résidents, le bénéfice de ce vide grenier permettra à la Maison de retraite d’embellir la vie des retraités.
Ce vendredi 15 mai, en soirée, au foyer des campagnes, avait lieu le vernissage de l’exposition d’Anne de Chabaneix : « Les Migrants ».
1ère exposition d’art contemporain pour la saison 2015.
Anne de Chabaneix accueillait chacun des visiteurs avec gentillesse et disponibilité les associant à son voyage dans la vie des Migrants faite de douleurs, d’héroïsme et d’espoir, des Migrants qui côtoient la mort à chaque instant.
Rien ne prédisposait Anne à la réalisation de telles œuvres. Un parcours de 30 ans dans la mode : Styliste, ayant travaillé dans l’Art Déco, elle s’engagera dans un magazine « Cent Idées » en mai 68 et deviendra le bras droit de Kenzo dont elle sera durant 10 ans la directrice de création. Anne partira vivre à New York où elle se dirigera vers les arts plastiques, accueillie en résidence dans un lieu d’art-thérapie à Harlem où elle y représentera les patients durant plusieurs années. Elle étudiera au New York Studio School of Painting, Drawing and Sculpture puis migrera à Sète en 2002 où elle continue à peindre dans son atelier au 65 rue des Fauvettes au Barrou.
Elle va devoir déménager et migrer vers un autre atelier. Et si elle peint depuis 15 ans elle n’hésite pas à utiliser tous les outils dont elle dispose. »La peinture, c’est de la cuisine » Précise Anne qui travaille sur du TYVEK et sur des toiles.
Elle tenait à nous préciser à propos des œuvres exposées :
Le visiteur était plongé dans un autre monde, celui de l’héroïsme et de la souffrance des migrants : « J’ai été très touchée par le développement des grandes migrations vers l’Europe avec tout ce que cela engendre. La Méditerranée est devenu un vrai cimetière. Nous ne pouvons rester indifférents. »
Grâce à 11 grands formats, avec même des messages sculpturaux qui nous interpellent, Anne, qui a choisi d’utiliser la technique du goudron, sait attirer le visiteur pour qu’au plus profond de lui même il soit touché dans sa sensibilité.
C’est ce que précisait Florence Sanchez, Adjoint au Maire délégué à la Culture, en la présentant au public : C’est un grand plaisir pour nous et c’est un grand honneur de débuter cette saison 2015 en recevant Madame Anne de Chabaneix que nous avions rencontrée à Sète, il y a quelques mois, à la Chapelle du quartier haut, avec le service culture de la ville de Poussan.
Elle a peint des gens qui l’ont touchée, des prophètes majeurs, puis a abandonné la couleur pour le noir et blanc. Sa peinture actuelle sombre, à base de pétrole, en grand format, dépeignant ces figures de fuite, ces visages d’effroi et de courage guidés par l’espoir nous a beaucoup impressionnés. »
Et Michel Bernabeu, très touché par l’exposition de Sète rajoutait : « Là, j’avoue que cela a été pour moi un choc, j’ai reçu un coup de poing au creux de l’estomac, j’ai été impressionné par le travail d’Anne de Chabaneix, par la taille de ses toiles, par la matière qu’elle utilise et, bien évidemment, par le sujet qu’elle traite. Le rôle de l’artiste est aussi de nous montrer ce que nous n’avons pas envie de voir : ces drames humains. Les conditions d’accueil des étrangers en Europe sont déplorables, et constituent une grave atteinte à leur dignité et à la nôtre. Cette réalité nous dérange, nous souhaiterions ne pas la connaître, ne pas y être confrontés. Nous savons très bien qu’il n’y a pas de solution facile, que la tâche est également pénible voire insurmontable pour ceux qui sont obligés d’intervenir (je pense aux forces de l’ordre), le problème n’est pas prêt d’être résolu… »
« Si les frontières européennes doivent être sécurisées et protégées, nul ne le conteste, personne ne doit oublier les raisons qui poussent ces êtres humains, confrontés à des conditions de vie insupportables, à risquer leur vie pour échapper à l’enfer.
Et la question qui nous hante est alors la suivante: que ferions-nous à leur place ? Que ferions-nous si nous étions un de ces jeunes, un de ces pères ou une de ces mères espérant un monde meilleur pour nous-mêmes ou pour nos enfants ? »
« Je sais, ce sont de jolies phrases et de jolis mots mais qui se heurtent malheureusement à une réalité cruelle où nous nous sentons tellement impuissants. Alors, Madame de Chabaneix, merci, merci de bousculer nos consciences, merci de nous forcer à regarder plus longuement et plus intensément ces drames que la télévision nous relate, certes, mais qui, les noyant dans le flot des autres informations, nous évite de trop y réfléchir. »
« Votre œuvre dérange, agace peut-être ou nous glace d’effroi… En tout cas, elle ne nous laisse pas indifférents. »
Après avoir remercié tous ceux, comme Ivan, qui ont permis la réalisation de cette très belle exposition, Anne et Florence invitaient les participants à se désaltérer tout en poursuivant leur visite.
Visite de l’exposition du 15 au 31 mai 2015, du mardi au dimanche, de 17h à 20h. entrée libre
Renseignements
Son site : http://www.annedechabaneix.com/
Service culture : 04 67 18 35 94
06 81 31 48 24
culture@ville-poussan.fr
Service communication :
04 67 78 99 56
communication@ville-poussan.fr
En début d’année, au niveau des Cataux , accompagné par des amis, il avait passé pas mal de temps derrière un tracteur qui défonçait le sol de son terrain, pour le nettoyer afin de pouvoir y planter. Préalablement, il l’avait laissé se reposer depuis deux ans. Puis ce fut un bon labour profond.
Lionel a senti que les beaux jours n’étaient plus loin, que la nature se réveillait, aussi a-t-il décidé de planter ses plants de Cinsault sur sa parcelle de 1 Ha 1/2, dès ce mardi matin. La semaine dernière, le terrain avait été préparé avec un passage du « cultivateur », puis un autre avec le Rotovator.
Mais il fallait aussi assurer la réussite de la plantation : » la préparation du terrain est primordiale et la précision du rectangle d’alignement doit être rigoureuse : les plants ont été plantés à 2m25 x 1m. On se repère avec des câbles tendus et des » mouches » de couleurs sur ceux-ci. » Aussi, pour ces plants venus du Vaucluse, au bas du Mont Ventoux, c’est une équipe de spécialistes gardoise qui a opéré en un jour et demi. Des professionnels de Génerac.
D’un autre côté, avant de mettre les petits ceps en terre, leurs racines ont été habillées : on a alors coupé le bout généralement sec et abîmé par les diverses manipulations depuis l’arrachage en pépinière, où ils ont été élevés, des planteurs chevronnés qui sont allés jusqu’au bout.
Mais Lionel devra encore porter une attention particulière à ce plantier en lui assurant un arrosage régulier, si nécessaire. Dès mercredi, à raison de un litre 1/2 d’eau par cep, tout a été arrosé afin de ne pas laisser d’air autour des racines et pour stabiliser les plants. Puis ce sera un peu de désherbant pour les protéger des mauvaises herbes.
Suivant la météo des prochaines semaines, il faudra peut-être recommencer. Du travail, mais aussi du bonheur pour lui et tous ceux qui aiment la nature et particulièrement, la vigne.
Et si tout va bien, après la sortie de « la 3ème feuille » Lionel et ses amis pourront déguster un bon rosé (2ans 1/2).
Le Club de Judo local, le JAP, organisait ce vendredi 3, un loto au Foyer des Campagnes avec plus de 21 quines et 4 cartons pleins plus une consolante.
Les joueurs du Foyer des Campagnes n’étaient pas très nombreux mais qu’importe c’était pour le jeu et pour lez JAP.
Mis en place par des bénévoles, cette soirée récréative rassemblait ceux qui avaient envie d’aider le JAP, ses amis, ses adhérents et licenciés mais aussi tous les amateurs de loto qui apprécient toujours autant ces parties animées durant lesquelles la chance peut sourire. On ne sait jamais !
En espérant repartir chez eux avec les bras bien chargés, avec des filets garnis ou des casiers bien remplis, les participants savaient de toute façon que le bénéfice de leur investissement serait utile au JAP.
