Vaccination contre la grippe : quand et pour qui ?

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Illustration 1 Personne en train de se faire vacciner

Personnes âgées de 65 ans et plus, personnes atteintes de certaines maladies chroniques, femmes enceintes, entourage familial des nourrissons à risque de grippe grave, personnes obèses… Savez-vous que la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière débute le 6 octobre 2017 ? L’Assurance maladie vous invite à vous faire vacciner, le vaccin étant pris en charge à 100 % pour les populations à risque.

Si vous faites partie de ces populations (à l’exception des femmes enceintes, de l’entourage des nourrissons à risque de grippe grave et des personnes obèses), un courrier vous est envoyé avec un bon de prise en charge permettant la délivrance gratuite du vaccin.

  • Si vous avez déjà bénéficié d’une vaccination au cours des dernières années, vous pouvez aller retirer le vaccin directement en pharmacie sur présentation du bon de prise en charge puis vous faire vacciner par un service infirmier de votre choix.
  • Si vous vous faites vacciner pour la première fois, vous devez d’abord consulter votre médecin (ou votre sage-femme) en lui apportant votre bon de prise en charge, le professionnel de santé pourra alors vous prescrire le vaccin s’il l’estime nécessaire.

Si vous pensez pouvoir être éligible à ce dispositif de prise en charge intégrale sans avoir été identifié par l’Assurance maladie, vous devez consulter votre médecin (ou sage-femme) qui pourra vous prescrire le vaccin antigrippal.

  À noter :

Dans deux régions (Auvergne – Rhône-Alpes et Nouvelle Aquitaine), une expérimentation est menée permettant aux pharmaciens de vacciner les adultes ayant déjà été vaccinés (à l’exception des femmes enceintes et des sujets immunodéprimés).

Au moins 6 défibrillateurs à Poussan

Si l’un d’entre eux circule dans un des véhicules de la Police Municipale, en plus du dispositif existant dans les locaux de l’hôtel de ville, au Foyer des Campagnes et au gymnase ( à l’extérieur), la MJC (extérieur) et la salle Jean-Théron ont des équipements fixes. Celui du gymnase est aussi à l’extérieur pour pouvoir être utilisé plus aisément si nécessaire.

C’est bon à savoir, d’autant que malgré le coût de chacun d’eux (2000€), la Mairie soucieuse de la santé des Poussannais et des visiteurs sait que ces défibrillateurs peuvent sauver des vies en urgence. Il ne faut pas oublier que le défibrillateur, c’est en quelque sorte le « reset » pour un cœur malade. En général il est simple à utiliser.

Pour mieux comprendre comment s’en servir, il faut visionner des extraits d’un film de la fédération française de cardiologie intitulé : une vie égale 3 gestes (Vous pouvez l’obtenir gratuitement en recherchant sur internet). (www.dailymotion.com/video/x96w1n_1-vie-3-gestes_lifestyle)

« Car si une personne est inconsciente, ne bouge pas, ne respire pas, il faut rapidement appeler le 15, le 18 ou le 112 et en attendant commencer un massage cardiaque puis utiliser le défibrillateur. La personne a alors un arrêt cardio respiratoire. » Pour la sauver il est nécessaire que son sang irrigue les organes « nobles ». Il faut d’abord commencer un massage cardiaque au niveau du sternum avec une compression de 40 kg en s’enfonçant de 3 à 4 cm pour un adulte en s’assurant que le malade n’a plus de souffle, que sa cage thoracique ne bouge pas et en le touchant (observer plusieurs secondes). Débutez en envoyant de l’air à la victime et si rien ne se passe, c’est parti : 30 pressions, bouche à bouche et on reprend avec 2 souffles. Si au bout de 2 mns, toujours rien, il faut utiliser le défibrillateur qui a toujours une option pour les enfants. (D’ailleurs pour un enfant, le massage consistera en 120 petites compressions par mn avec deux doigts, et du bouche à nez.)« 

Pour les ados, c’est comme les adultes.

Ayant pensé à donner l’alerte, si vous n’êtes pas mouillé ou près d’une pompe à essence, en s’étant assuré que la victime n’a pas de portable et n’est pas sur une plaque métallique, c’est bon pour défibriler.

L’appareil se manipule aisément, tout est expliqué, des pictos vous indiquent où placer les électrodes sur le malade allongé sur le dos. N’hésitez pas si vous pouvez, c’est mieux que rien et tous ceux qui sont formés donnent de plus en plus d’espoir pour sauver des vies sans que de grandes séquelles soient irrémédiables.

Si le choc électrique n’a pas relancé le cœur du malade, il faut reprendre le massage durant près de 3 mn et recommencer avec le défibrillateur.  Ne pas s’arrêter car les secours arriveront et prendront le relais.

Antonin Blachère, un opticien mobile à domicile

optiCaptureAntonin Blachère est opticien lunetier de formation. Après avoir fait ses études à Montpellier il a toujours travaillé dans l’Hérault:

Antonin a donc travaillé à Montpellier, Sète, Mèze et enfin Balaruc où il a été responsable d’un magasin de grande enseigne pendant 2 ans.

Après cette dizaine d’années d’expérience en magasin il a connaît très bien les points essentiels qui lui tiennent toujours à cœur dans son métier et désire les mettre en pratique : « l’utilité première de mon métier et le fait de fournir un vrai savoir faire à des gens qui en ont besoin; mais ce sont aussi, l’aspect technique qu’exige le métier d’opticien tant sur le plan manuel que concernant les examens de vue, le côté humain car j’aime le contact avec les gens, l’aspect esthétique lorsque l’on doit découvrir et s’adapter à chaque personne et personnalité pour répondre à sa demande.« 
Il a quitté le travail en magasin car le volume des ventes au quotidien l’éloignait de plus en plus avec l’essence même de son métier qui est un service personnalisé très particulier, et il a découvert le métier d’opticien à domicile s’avérait être bien plus en harmonie avec ses principes et sa vision du métier.
En effet, précise-t-il : « Mon objectif est de pouvoir répondre au mieux aux personnes qui n’ont plus accès à la santé visuelle par manque de mobilité et d’apporter un service à taille humaine de qualité au meilleur prix et en toute transparence.« 
« J’ai donc décidé de me lancer dans cette aventure pour répondre à la demande des gens qui n’ont plus accès à ce type de soin, qui sont les personnes à mobilité réduite, personnes âgées en perte d’autonomie, les actifs qui n’ont plus le temps de se rendre en magasin ou qui souhaite tout simplement être pris en charge de manière plus confortable et personnalisée qu’en se déplaçant en boutique. »
Il a créé son entreprise en mai 2017 et a choisi de travailler en partenariat avec le premier réseau collaboratif d’opticiens mobiles en France : les Opticiens Mobiles, qui lui permettent de fournir des verres haut de gamme bénéficiant des dernières technologies au meilleur prix (jusqu’à deux fois moins cher qu’en magasin).
C’est un réseau sérieux en terme de qualité de produit (norme ISO 9001) et dont l’esprit est vraiment porté sur l’éthique, la transparence et le professionnalisme dans le service à la personne. Ils sont d’ailleurs normés NF en Service à le Personne à Domicile par l’AFNOR.opti1Capture
« Nous sommes maintenant une centaine d’opticiens à offrir nos services sur toute la France. Je suis donc indépendant, je n’ai pas de boutique, mais bénéficie pleinement du soutien de ce réseau dans la mise en œuvre de mon métier. J’ai donc trouvé au sein de mon métier une manière de travailler qui réunit toutes les qualités essentielles à mes yeux, j’apporte un service de qualité à des gens qui ont un réel besoin de lunettes, je fournis des produits de qualité, le tout au meilleur prix et en toute transparence. » Rajoute-t-il.
 Il n’est plus seulement opticien mais il fait de la coordination auprès des intervenants qui s’occupent d’une personne en Ehpad par exemple ou en résidence senior.
« Mon fonctionnement: je me déplace avec une centaine de montures de tous les styles, du matériel pour les dépistages visuels et prises de mesures. Une fois l’équipement soigneusement choisi et les mesures prises, je reçois les lunettes sous 10 jours et retourne les livrer à mon client afin de vérifier les acuités visuelles et d’ajuster précisément l’équipement. »opti3Capture
Les lunettes sont bien-sûr remboursées par la sécurité sociale et la mutuelle car ils sont agréés avec leurs services. Il fait également des actions de dépistages visuels ou de sensibilisation sur la santé visuelle en établissement spécialisé, association de service à la personne, EHPAD, résidences sénior, etc
Habitant à Poussan il travaille beaucoup en local donc sur le bassin de Thau, côté Sète; et il se déplace  jusqu’à Montpellier pour servir toutes les communes qui s’étendent sur le large littoral.
« Mon objectif est de pouvoir répondre au mieux aux personnes qui n’ont plus accès à la santé visuelle par manque de mobilité et d’apporter un service à taille humaine de qualité au meilleur prix et en toute transparence. »
Antonin Blachère
Tel: 06 89 85 51 71
Mail: ablachere@lesopticiensmobiles.com

Pratique de certains sports : quel examen médical ?

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Illustration 1 Boxeurs

Les modalités de l’examen médical établissant l’absence de contre-indication à la pratique de certains sports sont modifiées. Tel est l’objet d’un arrêté publié au Journal officiel du 15 août 2017.

En effet, pour certaines disciplines sportives présentant des contraintes particulières, la délivrance ou le renouvellement de la licence et la participation à des compétitions sont soumis à la fourniture d’un certificat médical de moins d’un an de non-contre-indication à la pratique du sport concerné.

Les contraintes particulières consistent :

  • soit en des contraintes liées à l’environnement spécifique dans lequel les disciplines se déroulent, impliquant le respect de mesures de sécurité particulières ;
  • soit en des contraintes liées à la sécurité ou la santé des pratiquants.

Pour chaque discipline sportive concernée, l’arrêté précise les points sur lesquels tout docteur en médecine qui réalise l’examen doit porter une attention particulière et les cas dans lesquels une consultation spécifique complémentaire est justifiée.

Les disciplines sportives concernées sont les suivantes :

  • l’alpinisme ;
  • la plongée sous-marine ;
  • la spéléologie ;
  • les disciplines sportives, pratiquées en compétition, pour lesquelles le combat peut prendre fin, notamment ou exclusivement lorsqu’à la suite d’un coup porté l’un des adversaires se trouve dans un état le rendant incapable de se défendre et pouvant aller jusqu’à l’inconscience ;
  • les disciplines sportives comportant l’utilisation d’armes à feu ou à air comprimé ;
  • les disciplines sportives, pratiquées en compétition, comportant l’utilisation de véhicules terrestres à moteur à l’exception du modélisme automobile radioguidé ;
  • les disciplines sportives aéronautiques pratiquées en compétition à l’exception de l’aéromodélisme ;
  • le parachutisme ;
  • le rugby à XV, à XIII et à VII.

Ainsi, par exemple, pour les sports de combat, l’examen médical doit comporter :

  • un examen neurologique et de la santé mentale ;
  • un examen ophtalmologique : acuité visuelle, champ visuel, et selon le sport pratiqué, tonus oculaire et fond d’œil.

En boxe anglaise, les boxeurs professionnels et les boxeurs amateurs de plus de 40 ans doivent également se soumettre, tous les 3 ans, à une remnographie des artères cervico-céphaliques et à un test d’effort sans mesure des échanges gazeux.

Les Paniers de Thau avec le CPIE

  Sur Paniers de Thau : produits locaux et de saison, sans engagement d’achat ni adhésion.

 Le projet Panier Poissons Coquillages, initié par le CPIE Bassin de Thau, est aujourd’hui fonctionnel dans plusieurs villages du Bassin de Thau (Montbazin, Marseillan, Poussan et Villeveyrac…).

Initié pour la vente directe des produits de la lagune, le projet s’est rapidement élargi à d’autres produits afin de satisfaire les nombreux « consom’acteurs » en attente de ce type de circuit court. Il y a aujourd’hui 37 producteurs impliqués dans le projet, nommé Paniers de Thau !

 Venez passer votre commande sur Paniers de Thau.

 Je m’inscris sur le site Paniers de Thau ; je choisis le groupement d’achat le plus proche de chez moi ; je sais chaque semaine les produits disponibles ; je commande en ligne ce dont j’ai besoin ; je récupère ma commande aux lieux et horaires de livraison indiqués ; je paie directement le producteur à ce moment là.

Le projet Paniers de Thau a reçu le label du Ministère de l’Agriculture de l’Agroalimentaire et de la Forêt « Plan National pour l’Alimentation »

Prévention des cancers : comment agir au quotidien ?

Illustration 1Crédits : © Institut national contre le cancer

Illustration 1 Logo prévention cancer

Ne pas fumer, éviter l’alcool, manger mieux, bouger plus. Le ministère des Solidarités et de la Santé et l’Institut national contre le cancer (INCa) rappellent qu’en modifiant certains de nos modes de vie et de nos comportements, 40 % des cancers pourraient être évités.

Les principaux facteurs de risque sont :

  • le tabac responsable de 80 % des cancers du poumon mais qui est aussi un facteur favorisant d’autres types de cancers notamment des voies aérodigestives supérieures (bouche, larynx, pharynx, œsophage) ;
  • l’alcool qui augmente les risques de développer des cancers des voies aérodigestives supérieures mais aussi du côlon-rectum, du sein et du foie ;
  • une alimentation déséquilibrée, les aliments favorisant les risques de cancer étant principalement liés à l’excès de viandes rouges, de charcuteries, d’aliments gras, salés ou très sucrés (c’est pourquoi les fruits et les légumes qui jouent un rôle protecteur grâce à leur richesse en fibres, en vitamines et en minéraux antioxydants sont recommandés tout comme les céréales complètes et les légumes secs) ;
  • le manque d’activité physique, une activité physique régulière d’au moins 30 minutes par jour (monter des escaliers, marcher, faire du vélo, nager) permettant de diminuer le risque de cancer.

Les autres facteurs de risque sont ceux liés à une exposition excessive aux rayonnements UV, à certains virus ou bactéries, au contact avec certains produits chimiques (amiante, solvants…) ou encore à une exposition à certains polluants (particules fines, résidus d’hydrocarbure…) ou aux rayonnements (radon, rayons X).

Les risques de l’été : mieux les connaître pour mieux les gérer

Illustration 1Crédits : © Ministère des Solidarités et de la Santé

Illustration 1 visuel du ministère - Un été sans souci - se prémunir face aux risques de l'été

Exposition aux UV, piqûre de méduse ou de guêpe, morsure de vipère, signes d’un coup de chaleur chez un enfant, bonne conservation des aliments en vue d’un pique-nique, consommation excessive d’alcool… En bord de mer ou en balade en forêt, quels sont les bons gestes à adopter cet été ? Le ministère des Solidarités et de la Santé vous donne toute une série de réponses pratiques pour profiter au mieux d’un été sans souci.

Le ministère revient sur ce qu’il faut savoir quand vous êtes :

  • au bord de l’eau (se protéger du soleil en évitant de s’exposer entre 12h et 16h, se baigner dans les zones surveillées, pêcher à pied là où c’est autorisé et conserver dans de bonnes conditions les coquillages sans risquer une intoxication alimentaire, connaître la qualité des eaux de baignade, savoir réagir à une piqûre de méduse…) ;
  • en forêt ou tout simplement dans votre jardin (se protéger en portant des chaussures et des vêtements couvrants les jambes et les bras, connaître les bons gestes en cas de piqûre de guêpes, d’abeilles, de bourdons, de frelons ou encore de tiques et de moustique voire en cas de morsure de vipère) ;
  • en soirée (limiter la consommation d’alcool, ne pas consommer de substances psychoactives – cannabis, ecstasy…-, se protéger des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées) ;
  • à la préparation d’un repas (hygiène des mains, et des ustensiles de cuisine, fraîcheur des aliments, respect de la chaîne du froid avec par exemple l’utilisation d’une glacière lors de toute sortie en pique-nique, cuisson à cœur des viandes et des poissons).

Le ministère revient aussi sur un certain nombre de conseils à l’adresse des parents pour protéger les enfants contre le soleil et pour savoir reconnaître tous les signes d’un coup de chaleur chez l’enfant (forte fièvre, somnolence, forte agitation, nausées…).

Baignades : comment prévenir les risques de noyades ?

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Mer, rivière, lac, piscine… Pour se baigner en toute sécurité, l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) propose de retrouver en ligne sa brochure intitulée  « Se baigner sans danger » .

L’Inpes recommande notamment de :

• s’assurer de son niveau de la pratique de la natation ainsi que de celui de ses proches (enfants notamment) en apprenant à nager avec un maître-nageur ;

• choisir des zones de baignade surveillées, où l’intervention des équipes de secours est plus rapide ;

• respecter les consignes de sécurité signalées par les drapeaux de baignade (drapeau vert, orange, rouge) ;

• surveiller ses enfants en permanence, rester toujours avec eux quand ils jouent au bord de l’eau ou lorsqu’ils sont dans l’eau (ou à défaut désigner un adulte responsable de leur surveillance) ;

• tenir compte de sa forme physique : ne pas se baigner si l’on ressent un trouble physique (fatigue, problèmes de santé, frissons) ;

• prévenir un proche avant de se baigner ;

• ne pas s’exposer longtemps au soleil et rentrer dans l’eau progressivement ;

• ne pas boire d’alcool avant la baignade.

Dans le cas des piscines, l’Inpes rappelle l’importance d’une surveillance active et permanente des enfants par un adulte mais aussi l’obligation faite aux particuliers d’équiper les piscines enterrées ou semi-enterrées de dispositifs de sécurité :

• barrières, abris ou couvertures qui empêchent l’accès au bassin ;

• alarmes sonores qui peuvent alerter de la chute d’un enfant dans l’eau ou de son approche du bassin.

Enfin, l’Inpes réitère ses recommandations concernant les bonnes pratiques à respecter en matière de loisirs nautiques :

• faire reconnaître par un maître-nageur sauveteur la capacité de ses enfants à savoir nager ;

• pratiquer son activité dans les zones autorisées ;

• ne pas consommer d’alcool avant et pendant l’activité ;

• tenir compte de sa forme physique ;

• s’informer sur les conditions météo ;

• ne jamais partir seul et informer ses proches de sa destination ;

• respecter les consignes de sécurité et s’équiper de bouées, gilets de sauvetage, casques…

La noyade est la première cause de mortalité par accident de la vie courante chez les moins de 15 ans en France. Les enfants de moins de 6 ans représentent 15 % des décès par noyade accidentelle chaque année.

Le numéro d’appel d’urgence, le 112, est également rappelé par l’Inpes.