Rhume : rappel des règles de bon usage des anti-inflammatoires



Éternuement, nez qui coule, maux de tête… vous avez un rhume et l’un des premiers réflexes est souvent de prendre des anti-inflammatoires, comme de l’ibuprofène. L’agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) vous donne quelques conseils pratiques et précautions à respecter en cas de rhume. Elle met également en garde contre l’utilisation de plusieurs médicaments appelés aussi vasoconstricteurs qui peuvent présenter des risques graves et des effets indésirables.

Quels sont les conseils d’usage en cas de rhume

  • se laver le nez avec du sérum physiologique ou des sprays d’eau thermale ou de mer ;
  • boire suffisamment ;
  • dormir la tête surélevée ;
  • veiller à maintenir une atmosphère fraîche (18-20°C) et aérez régulièrement les pièces.

Le rhume guérit spontanément en 7 à 10 jours sans traitement.

Le traitement par un vasoconstricteur est à réserver en seconde intention en cas de non soulagement des symptômes.

  À savoir : Il est conseillé :

  • de ne pas utiliser les climatiseurs qui déshumidifient l’air et assèchent les muqueuses nasales ;
  • d’éviter de fumer et respirer la fumée des autres.

Les précautions à respecter

Les patients qui souhaitent recourir à un médicament vasoconstricteur, en cas de rhume, se verront remettre par leur pharmacien une fiche d’information sur les risques associés à ces traitements et les précautions à suivre lors de leur utilisation :

  • respecter la posologie de votre médicament ;
  • ne pas prendre votre médicament pendant plus de 5 jours ;
  • ne pas utiliser chez l’enfant de moins de 15 ans ;
  • ne pas utiliser chez la femme enceinte ou au cours de l’allaitement ;
  • ne pas associer avec un autre médicament contenant un autre vasoconstricteur (par voie orale ou nasale) ;
  • ne pas associer avec un autre médicament contenant du paracétamol, de l’ibuprofène ou de la cétirizine.

En cas de doute, consultez la notice du médicament. Si les symptômes persistent ou en cas d’absence d’amélioration au bout de 5 jours, consultez un médecin.

 

Quels sont les risques ?

L’ANSM pointe sur les risques graves que peuvent occasionner des médicaments décongestionnants en vente libre contre le rhume.

Parmi les risques associés :

  • accident vasculaire cérébral (AVC) : déformation de la bouche, faiblesse d’un côté du corps, bras ou jambe, troubles de la parole, troubles de l’équilibre, maux de tête intenses ou baisse de la vision ;
  • troubles cardiaques tels qu’infarctus du myocarde : douleur thoracique comme un étau qui peut s’étendre dans les mâchoires, le bras gauche ou les 2 bras et le dos, pâleur, malaise, sueurs, essoufflement, nausées, angoisse, fatigue inexpliquée ;
  • tension artérielle élevée ;
  • convulsions ;
  • troubles psychiatriques : anxiété, agitation, troubles du comportement, hallucinations, insomnie, symptômes maniaques ;
  • inflammation du côlon pouvant causer des selles sanglantes (colite ischémique) ;
  • réactions cutanées graves : rougeur de la peau se généralisant à tout le corps, associée à des pustules et pouvant être accompagnée de fièvre ;
  • altération soudaine de la vue due à une diminution du flux sanguin au niveau des yeux (neuropathie optique ischémique).

Ces effets indésirables peuvent survenir quelles que soient la dose et la durée du traitement.

Il convient d’arrêter le traitement et de consulter si les symptômes persistent ou s’aggravent.

La recherche de virus Covid-19 et grippal peut aussi s’imposer selon les cas.

  Attention : Une vigilance particulière pour les femmes enceintes et les femmes qui allaitent est recommandée. Toute prise de médicaments doit être au préalable soumise à un avis médical lors d’une grossesse. Ces médicaments sont également interdits pendant l’allaitement.

Quels sont les médicaments concernés ?

Les produits listés pour les formes orales sont les suivants :

  • Actifed Lp Rhinite Allergique ;
  • Actifed Rhume ;
  • Actifed Rhume jour et nuit ;
  • Dolirhume Paracétamol et Pseudoéphédrine ;
  • Dolirhumepro Paracétamol Pseudoéphédrine et Doxylamine ;
  • Humex Rhume ;
  • Nurofen Rhume ;
  • Rhinadvil Rhume Ibuprofène/Pseudoéphédrine ;
  • Rhinadvilcaps Rhume Ibuprofène/Pseudoéphédrine ;
  • Rhinureflex ;
  • Rhumagrip.

  À noter : En six ans (2012–2018) 307 cas graves (dont 25 AVC) ont été signalés dont 5 décès, selon la pharmacovigilance qui assure la surveillance des médicaments auprès de l’ANSM.

Durant 1 mois la ville de Poussan s’est habillée de rose

Toute l’équipe municipale, tient à adresser ses sincères remerciements aux commerçants, aux associations et à tous les Poussannais qui ont relayé, animé ou initié des actions pour que pendant 1 mois la ville de Poussan s’habille de rose.

« Merci pour votre générosité et votre mobilisation.

Nous vous donnons rendez-vous en 2021 pour que Thau se colore en rose. »

Vous pouvez retrouver la vidéo « Clip de fin pour Octobre rose » sur la chaîne Youtube en cliquant ci-dessous :

Chaine YouTube Ville de Poussan
Chaine YouTube Ville de Poussan

Hôpitaux du Bassin de Thau : l’activité COVID progresse encore

Information coronavirus : suivi hebdomadaire de l’activité COVID qui progresse encore :
 Ce jeudi 5 novembre, 113 patients patients sont hospitalisés aux Hôpitaux du Bassin de Thau dont 7 en réanimation, 37 en médecine, 13 en SSR, 55 en USLD-EHPAD et 1 en HAD.
 Depuis le début de la 2ème vague, ce sont 260 patients Covid qui ont été pris en charge (+ 60 en une semaine) soit plus du double de la 1ière vague (116 patients au total).
 A noter que sur ces 113 patients, la moitié sont des résidents d’USLD et d’EHPAD
 Les Hôpitaux du Bassin de Thau déplorent 40 décès (+ 4 depuis la semaine dernière). À noter que la moyenne d’âge de ces patients décédés est passée de 88 ans en septembre à 82,4 ans
 Pour prendre en charge ces patients, l’hôpital St Clair a dû transformer un service de chirurgie en service de médecine. La conséquence est le report de certaines activités programmées chirurgicales et médicales. Chaque déprogrammation fait l’objet d’une analyse bénéfice/risque par le chirurgien ou le médecin. Toutes les interventions seront reprogrammées dès que possible.
 Tous les remerciements aux professionnels mobilisés qui acceptent de changer de service et d’activité pour assurer la prise en charge des patients Covid et non Covid
 Merci de respecter strictement le confinement et les gestes barrières…

 

« TousAntiCovid ». Quel est l’objectif de cette application ? Est-elle obligatoire ? Comment fonctionne-t-elle ?

L’application visant à briser les chaînes de contamination du Covid19 « StopCovid » a été mise à jour et change de nom pour devenir « TousAntiCovid ». Quel est l’objectif de cette application ? Est-elle obligatoire ? Comment fonctionne-t-elle ? Quelles données seront transmises ? Les nouveautés de cette version enrichie ici > https://bit.ly/34sdNYv

À partir du 22 octobre 2020 au soir, l’application pour smartphone visant à briser les chaînes de contamination du Covid-19 « StopCovid » est mise à jour et change de nom pour devenir « TousAntiCovid ». Quelles sont les nouveautés ? Quel est l’objectif de cette application ? Est-elle obligatoire ? Comment fonctionne-t-elle ? Quelles données seront transmises ? Que faire en cas de contact avec une personne testée positive ? Service-public.fr fait le point.

Mise en place dans le cadre du plan de déconfinement, l’application était disponible depuis le 2 juin 2020 sous le nom de StopCovid.

Les nouveautés de la mise à jour

« TousAntiCovid » est une version enrichie et interactive de la première application « StopCovid ». Elle apporte les évolutions suivantes :

  • un environnement visuel et une ergonomie optimisés avec un accès instantané à toutes les fonctionnalités de l’application ;
  • un centre d’informations, qui vous propose des indicateurs sur la situation épidémiologique en France ainsi que des actualités en lien avec la lutte contre l’épidémie (par exemple, les mesures mises en place par les autorités nationales et locales) ;
  • une plus grande transparence avec la publication automatique et régulière des chiffres sur l’utilisation de l’application ;
  • l’accès à « DépistageCovid », la carte des centres de dépistages actualisée avec des informations sur les temps d’attente remontées par les utilisateurs ;
  • l’accès à « MesConseilsCovid » pour avoir des conseils personnalisés ;
  • l’accès facilité à l’attestation dérogatoire de déplacement pour les zones concernées par le couvre-feu.

De nouvelles fonctionnalités devraient être disponibles prochainement.

  À noter : Si vous avez déjà « Stop-Covid », ne désinstallez par l’application de votre téléphone. La mise à jour se fera automatiquement dès le 22 octobre 2020.

Quel est l’objectif de TousAntiCovid ?

Dépister et isoler les personnes infectées par le Covid-19, alerter les personnes ayant été en contact avec des malades est un enjeu majeur pour stopper la propagation du virus. L’application initialement nommée StopCovid a été développée dans ce but : prévenir, tout en garantissant l’anonymat, les personnes qui ont été à proximité d’une personne testée positive au Covid-19 afin qu’elles puissent se faire tester à leur tour et se confiner si besoin est.

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a rendu le 26 mai dernier un avis favorable au lancement de l’application StopCovid. La CNIL estime que l’application est utile sanitairement et proportionnée, au regard de la protection de nos libertés et nos données personnelles.

Comment fonctionne l’application ?

Le téléchargement de l’application « TousAntiCovid » sur son smartphone ainsi que son utilisation se fait sur la base du volontariat. L’installation n’est donc pas obligatoire et elle est gratuite.

Une fois installée et activée (fonction Bluetooth activée et notifications acceptées), l’application envoie une alerte aux utilisateurs ayant été récemment en contact « prolongé », à moins d’un mètre de distance et durant au moins 15 minutes, avec une personne ayant volontairement déclaré avoir été testée positive au coronavirus.

La personne alertée pourra alors consulter son médecin pour se faire dépister rapidement, se confiner en attendant les résultats et s’isoler si le test s’avérait positif afin de briser les chaînes de transmission du virus. En cas de résultat positif , la prise en charge et la conduite à tenir lui sont expliquées.

Afin de protéger les personnes inconnues qu’il aurait côtoyées, un utilisateur de « TousAntiCovid » venant d’être testé positif au Covid-19 peut volontairement le déclarer dans l’application en saisissant un code transmis par son médecin ou le laboratoire. Une alerte sera alors envoyée à l’ensemble des utilisateurs ayant été en contact rapproché avec lui les jours précédents.

Données transmises et respect de la vie privée

L’application « TousAntiCovid » utilise le signal Bluetooth pour détecter un smartphone à proximité et n’utilise pas la localisation des personnes par les données GPS. Elle ne pourra pas permettre de savoir où une personne s’est rendue.

Les données transmises sont complètement anonymes. Il n’est pas possible de connaître l’identité de l’utilisateur de l’application. Elle ne comporte pas de système d’authentification au moment de l’installation. L’application « TousAntiCovid » génère seulement des pseudonymes qui ne sont pas associés à une personne identifiée. Ils sont stockés temporairement (15 jours) sur le smartphone et transmis à d’autres smartphones à proximité immédiate.

L’application « TousAntiCovid » est temporaire, elle n’a pas vocation à perdurer après la crise sanitaire.

Certains professionnels de la santé font actuellement face à une rupture des stocks des vaccins contre la grippe.

Infirmière, Vaccination, Garçon, Hôpital

Certains professionnels de la santé font actuellement face à une rupture des stocks des vaccins contre la grippe. Certaines commandes tardives n’ont pas pu aboutir. L’OFSP vient d’annoncer que l’approvisionnement des doses de vaccins n’a actuellement pas d’imprévus en cours, seulement la demande est plus grande cette année. Elle invite les professionnels à « commander directement auprès des grossistes » afin d’avoir une livraison dans un second temps « probablement entre fin novembre et début décembre ».

Les personnes impactées pourront encore se faire vacciner jusqu’au début de l’épidémie de grippe qui n’arrive généralement pas avant décembre-janvier en Suisse.

Plus d’information :

Dans le cadre du Mois Sans Tabac un dispositif particulier est déployé durant le mois de novembre en France

Dans le cadre du Mois Sans Tabac un dispositif particulier est déployé durant le mois de novembre, afin d’encourager et accompagner les fumeurs qui souhaitent arrêter le tabac ! Retrouvez toutes les aides et informations : 

Vous avez envie d’arrêter de fumer mais vous manquez de motivation. Savez-vous que le dispositif MoisSansTabac déployé durant le mois de novembre peut vous y aider gratuitement ? Kit d’aide à l’arrêt, encouragements, application personnalisée, groupes de soutien, consultations téléphoniques gratuites avec des tabacologues… Pendant un mois, Tabac Info Service vous accompagne pour que votre tentative d’abandon de la cigarette soit un succès.

Le ministère des Solidarités et de la Santé, en partenariat avec l’Assurance maladie et Santé publique France, poursuivent le challenge collectif national MoisSansTabac lancé en 2016 qui invite tous ceux qui le souhaitent à relever le défi d’arrêter la cigarette pendant un mois.L’image contient peut-être : texte qui dit ’Mois sans tabac’

Comment ça marche ?

  • Vous commandez gratuitement dès maintenant votre nouveau Kit d’aide à l’arrêt en créant un compte sur Tabac Info service ou auprès d’une pharmacie. Il comprend notamment une brochure de préparation, un agenda de 30  jours avec des conseils pratiques, un disque permettant de calculer les économies réalisées… Ce kit vous propose un programme de 40 jours (10 jours fin octobre pour préparer l’arrêt et 30 jours en novembre pour le maintenir) qui vous accompagne au quotidien et entretient votre motivation.
  • Des tabacologues experts sont à votre écoute au 39 89 (service gratuit + coût de l’appel, du lundi au samedi de 8h à 20h) pour répondre à toutes vos interrogations pendant le sevrage.
  • Une application mobile est téléchargeable gratuitement. Elle propose : un programme d’e-coaching personnalisé, des conseils de tabacologues, des astuces et des mini-jeux, des vidéos de soutien, un suivi des bénéfices de l’arrêt au quotidien (économies et santé).
  • Vous pouvez rejoindre l’équipe MoisSansTabac de votre région pour bénéficier d’un soutien pour ne pas craquer.
  • Vous retrouvez chaque jour sur la page Facebook de MoisSansTabac les conseils, les astuces et les témoignages de la communauté des participants et des supporters.

  À savoir : Arrêter pendant 30 jours, c’est avoir 5 fois plus de chances d’arrêter de fumer pour de bon. À la fin du défi, vous avez moins envie de fumer, et même si vous recommencez, vous saurez que vous êtes capable de vivre sans cigarette et cela vous aidera pour vos tentatives futures.

Champignons : cueillette et consommation, soyez prudents !

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Comme chaque année en France, on dénombre un millier de cas d’intoxications dues aux champignons (troubles digestifs, complications rénales ou encore atteintes graves du foie). Certaines intoxications peuvent nécessiter une hospitalisation et conduire à un décès.

L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) fait le point sur la question en publiant une liste de recommandations :

  • ne pas ramasser un champignon en cas de doute sur son état ou son identification ;
  • éviter les sites pollués (bords de routes, aires industrielles, décharges), les champignons concentrant les polluants ;
  • déposer les champignons dans une caisse ou un carton, les sacs plastiques accélérant le pourrissement ;
  • séparer les champignons récoltés par espèce, un champignon vénéneux pouvant contaminer les autres ;
  • ne pas consommer les récoltes avant de les avoir fait contrôler par un spécialiste, les pharmaciens ou les associations et sociétés de mycologie pouvant être consultés ;
  • les conserver au réfrigérateur et les manger 2 jours au maximum après la cueillette ;
  • les consommer en quantité raisonnable et après une cuisson suffisante.

  À savoir :

En cas d’apparition d’un ou de plusieurs symptômes (tremblements, vertiges, nausées, vomissements, diarrhées ou douleurs abdominales…), il convient de contacter le 15 ou le centre antipoison le plus proche. En règle générale, les symptômes apparaissent dans les 12 heures après leur consommation.

Protégeons-nous, vaccinons-nous !

Dans le contexte de l’épidémie de Covid-19, la vaccination des plus fragiles doit absolument être poursuivie.

A cause de la crise sanitaire liée au Covid-19, la Protection Maternelle et Infantile (PMI) du Département observe une baisse des vaccinations des jeunes enfants. Attention : méningite, rougeole, oreillons, coqueluche… peuvent avoir des conséquences gravissimes chez les enfants de cet âge ! La vaccination constitue un moyen essentiel pour protéger votre enfant contre la survenue de maladies infectieuses, et éviter leur propagation à des personnes fragiles.
Pour assurer la meilleure protection des plus jeunes enfants, il est important de respecter le calendrier habituel, et le nombre d’injections requis, à 2, 4, 5, 11, 12 et 16-18 mois.

Quand consulter ?

Florence Nemorin est médecin de PMI sur le Biterrois. Pour éviter toute résurgence de foyer épidémique, elle invite les parents à consulter le plus régulièrement possible les professionnels de santé :

« Jusqu’à l’âge de 6 ans, les enfants bénéficient de 20 examens médicaux obligatoires, pris en charge à 100% par l’assurance maladie. Ces examens permettent de faire le point sur le développement et la santé de votre enfant et sur sa vaccination. Vous pouvez les faire pratiquer par le médecin de votre choix, pédiatre, généraliste ou en consultation de PMI, si votre enfant n’est pas malade. »

Que faire si les vaccins de votre enfant ne sont pas « à jour » ?

Bonne nouvelle :

« En cas de retard, il n’est pas nécessaire de tout recommencer. Il suffit de reprendre la vaccination au stade où elle a été interrompue et de compléter la vaccination en tenant compte du nombre de doses manquantes et de l’âge de votre enfant. »

En cas de doute, parlez-en à votre médecin.

Et pour les adultes ?

A l’âge adulte, les rappels vaccinaux ne sont que tous les 20 ans, en dehors de la vaccination antigrippale qui est annuelle. Plus que jamais avec le Covid-19, il est important que les personnes à risques, comme les femmes enceintes, se protègent efficacement de la grippe.

En savoir plus

Le calendrier vaccinal 2020 de votre enfant

Tous les enfants nés depuis le 1er janvier 2018 doivent obligatoirement être vaccinés selon le calendrier vaccinal en vigueur, démarrer les vaccins à l’âge de 2 mois, pour avoir à 18 mois une protection efficace contre la diphtérie, le tétanos, la poliomyélite, la coqueluche, l’haemophilus influenzae b, l’hépatite B, le pneumocoque, la rougeole, les oreillons, la rubéole et le méningocoque C.

Pas facile de se souvenir des dates de tous les vaccins à effectuer…Pour vous aider, voici un petit tableau récapitulatif à imprimer et à accrocher sur le frigo.

La PMI à votre service

Tout au long de l’année, une quarantaine de médecins et une soixantaine de puéricultrices et une vingtaine de sages-femmes du Département vous accueillent sur 22 sites, répartis dans tous les territoires de l’Hérault, notamment ceux touchés par la désertification médicale. Les femmes enceintes peuvent être vaccinées. Plus de 5 000 enfants sont suivis et 16 000 examens réalisés tous les ans par des équipes de professionnels pluridisciplinaires. Sans compter les 13 000 vaccinations entièrement gratuites pour les tout-petits.

Attention : Ces consultations ne sont pas destinées à remplacer celles des médecins traitants. En cas de maladie, consultez votre pédiatre ou votre médecin généraliste.

Retrouvez le service de PMI le plus proche de chez vous ici

Vaccination contre la grippe 2020-2021 : une priorité pour les personnes à risques

Alors que la co-circulation du virus grippal et du Covid-19 est attendue, le ministère des Solidarités et de la Santé souligne l’importance d’une couverture vaccinale antigrippale élevée chez les personnes à risques et les professionnels de santé*. Cette année, deux vaccins grippaux tétravalents ont été commandés en grande quantité : InfluvacTetra®, VaxigripTetra®. Objectif : atteindre les 75% de couverture vaccinale chez les personnes ciblées par les recommandations. Si vous n’avez pas reçu de bon de prise en charge automatique par l’assurance maladie, et que vous pensez être dans une situation à risques, rapprochez-vous de votre médecin au plus vite.

* Avis n°2020.0034/AC/SEESP du 20 mai 2020 du collège de la Haute Autorité de santé relatif au maintien de la campagne de vaccination contre la grippe saisonnière 2020/2021 dans le contexte de l’épidémie de COVID-19 en France

La Ville de Poussan vous donne rendez-vous, aujourd’hui samedi 17 octobre à 10h devant les Halles

La Ville de Poussan vous donne rendez-vous, aujourd’hui samedi 17 octobre à 10h devant les Halles pour le départ de la marche « rose » autour de la circulade, arrivée place de la Mairie (stands de prévention, photos …) organisé dans le cadre de la 27ème campagne d’Octobre Rose.
Venez habillés de rose
Cette journée sera organisée en tenant compte des conditions sanitaires / port du masque obligatoire, gel sur les stands, distance physique de sécurité…

Le CA Poussan Foot soutient Octobre Rose en offrant des maillots roses à son équipe féminines séniors

Chaque année, en octobre, la lutte contre le cancer du sein est mise en lumière. Une campagne nationale est organisée par l’association Ruban Rose. La population est informée, sensibilisée et mobilisée.L’image contient peut-être : 13 personnes, personnes debout, herbe, ciel, enfant, plein air et nature
Pour cette 27e campagne d’Octobre rose, la Ville de Poussan s’est associée au mouvement. Elle a lieu du jeudi 1er au samedi 31 octobre,
Le CA Poussan Foot, qui développe et promeut le football féminin depuis maintenant trois saisons, possède une équipe U18F évoluant en championnat de district (a remporté son premier match de championnat 7-0 face à l’AS Gignac le week-end dernier) et vient de créer une équipe féminine seniors loisirs en septembre dernier.
Le club se sent plus que concerné par ce mouvement d’Octobre Rose et a décidé de lui apporter tout son soutien.
Fidèle à sa réputation comme pour le Carnaval ou le Téléthon, le CAP a donc répondu favorablement à l’appel du service communication de la commune de Poussan. En effet, le groupe des seniors féminines participera à la marche rose prévue samedi 17 octobre dans la circulade.
Pour l’occasion, le comité directeur du CA Poussan Foot a décidé d’offrir un cadeau à cette nouvelle équipe. Par l’intermédiaire de son Président Guy-Louis ADGE, des maillots roses ont été remis lundi soir au début de l’entraînement. Les féminines pourront circuler tout de rose vêtu pour cet événement.