200 clichés pour l’eau de Thau

 

 

 Deux semaines après le lancement du concours-photo Explorath’eau, cliché après cliché, l’eau se décline en une palette de couleurs étourdissante. Succès pour ce 3ème rendez-vous photo organisé par le Syndicat mixte du bassin de Thau jusqu’au 2 novembre. En ligne, l’eau s’affiche à l’image d’une muse : tantôt romantique, version coucher de soleil, tantôt impétueuse. Dans la catégorie L’eau et les hommes, des pêcheurs fantômes croisent « l’aquari-homme ».

Plus loin, c’est l’effet papillon qui fait écho à Lumière de lune. Dans l’objectif, l’homme et l’élément se lient, comme pour montrer ce qui fait l’essence de la vie sur Thau. Et au fil des photos c’est le story-board d’un destin commun, celui de l’eau et de Thau, qui s’écrit. A mi-parcours, pas de doute, l’inspiration est bien au rendez-vous de ce concours-photo consacré à l’eau.
Les votes sont ouverts Sur la page Facebook du Syndicat mixte, les votes sont ouverts pendant toute la durée du concours. Les internautes sont invités à sélectionner leurs clichés favoris. Et le lauréat du prix des internautes sera récompensé lors des 1ères Assises du territoire de Thau qui auront lieu les 28 et 29 novembre prochains.
Pour découvrir l’album photo et participer : www.concours-explorathausmbt.fr

Attention, samedi, stationnement alternée

Jean Martin, chauffeur de taxi de profession, est un homme comme tout le monde.  Sauf qu’il est marié à deux femmes….Et qu’il a deux foyers :

l’un à Ivry, l’autre à Montreuil. 
Chacun étant dans l’ignorance de l’autre évidemment !
Entre déplacements et horaires variables, il jongle parfaitement avec son emploi du temps surchargé, jusqu’au jour où, à la faveur d’un accident de la route, son mécanisme de « stationnement alterné » est en passe d’être découvert par deux inspecteurs de police un peu tatillons.
Il s’emploie alors à tout faire pour ne pas dévoiler le pot aux roses, aidé dans son effort par son voisin, complice malgré lui des événements et quiproquos rocambolesques qui s’enchaînent en cascade.

Au final, un édifice de fantaisie construit une fois encore avec une véritable précision d’horloger par Ray Cooney, le « Feydeau anglais

Jean-Pierre Dacher, un artiste artisan de la technologie

Jean-Pierre Dacher est un pur bourguignon qui apprécie beaucoup les rapports naturels et particulièrement ceux qu’il a développés jeune avec les viticulteurs de sa région. Ils sont chaleureux, ils aiment faire goûter et à Mâcon Jean-Pierre a suivi le même chemin en organisant des expositions dès 16 ans, en recevant des artistes comme Brel, les Frères Jacques et Fernand Raynaud, en étant un jeune dessinateur humoristique pour un journal,  ou encore en étant inscrit à plusieurs associations.

Après les Beaux Arts de Mâcon, c’est l’ENS de Cachan, puis, en 69,  la coopération en Algérie avec Irène devenue son épouse. Ses expositions y feront un tabac mais il reviendra vite en France et grâce au développement de la Culture lancé par Jack Lang, il obtiendra avec son épouse un poste double à Strasbourg comme professeur. Durant 32 ans ils enseignera les Arts sans trop avoir le temps de pratiquer lui-même.

Mais une fois à la retraite, « Après avoir poussé, il s’est poussé lui-même ».

Il trouvera un prétexte avec le corps de la femme qu’il tenait à valoriser et s’orientera vers celles  qui ont été oubliées ou qui sont restées méconnues malgré leur engagement. Il retiendra Louise Michel (institutrice, militante anarchiste, franc-maçonne, aux idées féministes et l’une des figures majeures de la Commune de Paris), Anna Lopizo ( connue lors de la manifestation des ouvriers textiles de Lawrence, Massachusetts en janvier-mars 1912 ou encore Marie de Gournay (née le 6 octobre 1565 à Paris et morte le 13 juillet 1645 à Paris,  femme de lettres française des XVIe et XVIIe siècles et « fille d’alliance » de Michel de Montaigne), des femmes exceptionnelles parmi une multitude d’entre-elles.

A partir de ces faux prétextes qu’il oublie un peu durant son travail, il prend des photos, il reformate sur son PC, il bidouille utilise son rétro ou son vidéo projecteur.Il met alors en place les éléments, , travaille la structure, réalise des tirages vidéo un peu comme Degas qui se servaient de photographies. Mais le travail de  peinture se fait à tout moment grâce aux pochoirs, aux brosses, aux rouleaux et aux tissus avec très rarement les pinceaux.

« L’informatique me permet de prendre des raccourcis techniques car de nos jours, j’estime qu’il n’est pas nécessaire de souffrir pour réaliser des tableaux ou des œuvres. J’aime les chemins faciles qui permettent de ne pas se mettre la pression. Je suis un artisan de la technologie. D’ailleurs pour rester dans la lignée de ce que j’ai enseigné je travaille actuellement à partir de cartons d’emballages qui m’invitent à la création. » Précise Jean-Pierre.

Que du bonheur pour cet artiste qui souhaite faire partager son plaisir aux visiteurs de son exposition.

Irène et Jean-Pierre Dacher exposent leurs œuvres du 25 avril au 11 mai, du mardi au dimanche, de 17h à 20h au foyer des Campanes. Entrée libre.

 

Le Prez’ sera de la partie, à Millau

Fabien CHAVES, dit « Le Prez’ », Poussannais de 32 ans participe lui aussi aux 100 km de Millau

                                      ———————————

2nde participation (41ème 9h22 en 2012)

Suiveur : Patrick FORES

https://www.leetchi.com/c/millau100km-associationgenerationsed

Points forts : les montées, un suiveur hors pair, le mental, membre d’une équipe de costauds.

Points faibles : physique fragile, ne se repose jamais, se perd en garrigue.

Fabien, pourquoi les 100 km de Millau ?

C’est la faute de mon frère notre capitaine de route, il a fait un « mauvais » pari et comme il en faut pas trop pour me « chauffer », j’ai accepté de l’accompagner dans son périple. Puis, ce sont les anciens de l’Entente Poussan Balaruc-Le-Vieux comme Dédé Loubière, Joaquin Martinez, Dominique Bordenave, Michel Salabert ou encore Christophe Morgo qui m’ont transmis cette passion qu’ils ont pour les 100 bornes de Millau.

Ton rôle dans l’équipe ?

En tant que Prez’, ma mission est de coordonner le projet porté par l’Entente (sous contrôle d’Aline Loubière, notre trésorière ). Puis, ma modeste expérience de Millau et ma connaissance de la course à pied me donnent un peu de crédit vis-à-vis de mes 4 coéquipiers, notamment dans la gestion de l’effort.

Point important, notre équipe est très « équilibrée » : avec Lolo tout va toujours bien, Christian il n’a jamais mal même blessé, Jérôme il fait que monter et descendre la Taillade, Calou malgré le capitanat n’est jamais sérieux plus de 30 secondes (enfin, au bout de 20 bornes on l’entend moins…) et moi, je me perds en garrigue… La partie est loin d’être gagnée 

Ta préparation ?

J’ai souvent été top 10 sur les courses hors stade de la région cette année. Les compétitions de l’été m’ont permis de me rassurer après une blessure au tendon du pied en août : 4ème à Espezel (14 km) dans la Haute Vallée de l’Aude et 4ème au Trail de St-Bauzille-De-La-Sylve début septembre.

Sinon, ce fut une préparation partagée et collective et, quel que soit le résultat de samedi, j’en devrai une bonne partie à chacun des membres de l’équipe : seul je n’aurais jamais autant borné.

Plus sérieusement, je remercie Laurent (vainqueur des 2 derniers apéros) qui a joué avec moi toute l’année à l’entrainement, notamment dans le coupe-feu qu’on a quasiment toujours monté à bloc…

Et L’association Génération SED ?

C’est ce qui nous porte tous aujourd’hui. Je crois que l’association a pris le pas sur la compétition. On doit d’abord assurer par rapport au contrat moral qu’on a passé avec Philippe Cousinier et Génération SED. L’Entente Poussan Balaruc-Le-Vieux a plusieurs fois par le passé aidé des associations caritatives et je suis très heureux et fier que cela perdure avec la nouvelle génération de coureurs. La cagnotte est encore ouverte jusqu’au 30 septembre, il est encore possible de faire un don pour Génération SED.

Tes objectifs sur ce 100 km ?

D’abord, il faut qu’à travers notre course, on ait contribué à faire mieux connaître Generation SED et que des personnes atteintes de la maladie de SED rejoignent ou prennent contact avec l’association.

Sur le plan sportif, là à J-1, je commence à avoir un peu la pression. J’aimerais d’abord ne pas passer pour un charlot et finir. Puis si les jambes sont là, faire mieux qu’en 2012, mais sur cette distance, les aléas sont nombreux. Je sais qu’avec mon complice et ami suiveur Patrick Fores, je pars avec un gros avantage sur la concurrence. On se connait par cœur, il ne me laissera pas m’endormir. Je vais peut-être écouter Christian et prendre des risques samedi.

Concernant l’équipe de comiques dont je fais partie, il faut que tous bouclent le parcours sinon la fête sera gâchée. Et, bien que mon plan d’entraînement ait été suivi à la lettre, je crains que les suiveurs n’aient du pain sur la planche…

Supportez les coureurs et soutenez l’Association Génération SED grâce à votre don à partir du lien https://www.leetchi.com/c/millau100km-associationgenerationsed

L’Entente Poussan Balaruc-Le-Vieux remercie José Café Beauséjour Poussan, Ruiz Industrie Poussan, Planet’Indigo, Rexel France, Bizline, Oncodoc Béziers pour leur participation au projet et leur soutien, ainsi que tous ceux qui ont participé à la « Cagnotte » (près de 120 foyers).

Il faut soutenir Didier Serrano et Fabrice Barbe

En partenariat avec PASSION SPORT, les membres du club de judo et de Sambo voudraient envoyer en Grèce leurs 2 sélectionnés au CHAMPIONNAT DU MONDE .

Aidez-les en venant passer un moment de convivialité au Dojo le 27 septembre à partir de 19h30.

Au programme : démonstration de Sambo et de Zumba ( Zmbtt 34 ) Paella party ( fromage, dessert,café) et verre de l’ amitié.

Adulte 10 euros

enfant (- 10 ans ) 7 euros

 ——————————————————————————————————————————————–

Nom

Prénom

Nb d’adulte(s) Nb d’enfant( s)

Coupon et règlement à remettre à Fabrice ou à Didier aux heures d’entraînements

( lundi, mardi, jeudi vendredi de 17h30 à 20h ) avant le 20/09/2014.

Les coupons sont imprimables à partir du blog.

Une sortie instructive pour les enfants de l’ALSH

Ce mercredi les enfants de l’ALSH Élémentaire sont allés visiter l’usine « Georges Debaille » (Potabilisation d’eau) de Fabrègues pendant 1h environ en compagnie de Mr RIVE et de Mr CUCULIERE.

Une usine pour quoi faire?

Le Maillon Sud répond à la demande du Syndicat du Bas Languedoc (SBL), qui doit sécuriser l’alimentation en eau potable des 25 communes (1) qu’il dessert.

Son territoire, situé entre Montpellier et Agde, regroupe plus de 175 000 personnes en hiver et plus 500 000 en plein été (zone littorale entre Sète et le Cap d’Agde et pourtour de l’étang de Thau).

La production d’eau potable du SBL provient, pour l’essentiel, de la nappe d’accompagnement de l’Hérault, pour laquelle de nouvelles autorisations de prélèvement sont exclues. Cette ressource est en limite d’utilisation et elle n’est pas sécurisée en cas de pollution.

Compte tenu de la fréquentation touristique de la zone, le bilan « besoins ressources » est déjà très tendu en période de pointe estivale. Or la population desservie devrait s’accroître de 90 000 personnes supplémentaires d’ici 2030.

Le SBL s’est donc tourné vers une nouvelle ressource, l’eau du Rhône, pour répondre à ses besoins actuels (tension en période estivale de pointe et besoin de sécurisation) et futurs (augmentation de la population de la zone).

L’apport d’une nouvelle ressource permet par ailleurs d’alléger la pression sur les milieux aquatiques, contribuant ainsi à garantir un bon état écologique de systèmes complexes comme le Bassin de Thau et le fleuve Hérault. En se substituant de l’eau du Rhône à certains prélèvements actuels, le Maillon Sud s’inscrit dans la logique du diagnostic du SAGE Lez Mosson Etangs Palavasiens.

(1) Communes desservies en AEP par le Syndicat du Bas Languedoc : St George d’Orques, Murveil les Béziers, Lavérune, St Jean de Védas, Pignan, Cournonterral, Saussan, Fabrègues, Mireval, Vic la Gardiole, Frontignan, Balaruc les Bains, Balaruc le Vieux, Bouzigues, Gigean, Cournonsec, Monbazin, Poussan, Villeveyrac, Loupian,Mèze, Sète, Pinet, Marseillan, Agde


Enquête publique

 

vene

Une enquête publique a lieu du 1er septembre au 1er octobre concernant un « programme de restauration et d’entretien de la  végétation des rivières du bassin versant de Thau ». Ce projet est  présenté par la Communauté de Communes Nord du Bassin de Thau (CCNBT), maitre d’ouvrage, et réalisé par le Syndicat Mixte du Bassin de Thau (SMBT).

Il comprend les communes de Bouzigues, Loupian, Mèze, Montbazin, Poussan et Villeveyrac. Un dossier d’enquête et un registre d’enquête seront déposés à la mairie de Poussan. Ceci afin  que toutes les personnes intéressées puissent prendre connaissance du  dossier aux jours et heures habituels d’ouverture de la mairie et  consigner leurs observations sur les registres d’enquête ouverts à cet  effet. Les permanences sont indiquées dans l’avis.

A Poussan, le commissaire enquêteur sera présent le 23 septembre de 14h à 17h.