

La visite a concerné l’entreprise SEG Diélectriques (unique fabricant français de produits diélectriques avec fabrication de plaques feuilles tubes et profilés en matière plastique).
Florence Sanchez, maire de Poussan accompagnait François Commeinhes, président de SAM ; Jean-Guy Majourel, 1er vice-président ; Benoît De Besses, directeur de Cabinet SAM ; Christophe Clair, directeur général SPL BT ; Sandrine Solé, directrice Attractivité et Innovation ; Pierre Gallizia, directeur Aménagement ; Nicolas Pavan, chargé de mission Stratégie Développement Économique et Damien Gertsch, DGD Maîtrise d’ouvrage, ingénierie et services techniques. Ils ont été accueillis par M. Alexandre MATEU, président de l’entreprise pour une présentation et une visite de celle-ci
La société créée en 1946 conçoit, développe et produit une gamme complète d’isolants électriques. Située à la ZAE POUSSAN, les Trouyaux, elle compte 48 salariés et fournit Renault, Bosch, Candy, etc..En mars 2021, elle a bénéficié de fonds de modernisation et de diversification dans le cadre du Plan Relance (Modernisation et diversification filière automobile) et reçu 800 000€ pour un projet d’investissement global de 1,1M€ en 2023.
Concernant la ZAE des travaux sont en cours et devraient être terminés fin juillet avec reprise des réseaux, création de cheminements doux et renforcement des structures ainsi que reprofilage et reprise de la voirie dans son ensemble…
Arts plastiques, musique, lecture, écriture, théâtre, danse, cirque,… l’éducation artistique et culturelle favorise l’accès à de nombreux domaines pour les jeunes du territoire (3 à 18 ans) qui peuvent ainsi s’approprier des connaissances en se rendant dans des lieux qu’ils n’ont pas l’habitude de fréquenter pour y découvrir des œuvres. Mais aussi échanger avec des artistes et pratiquer à leurs côtés.
Sète agglopôle méditerranée assurera dès 2022 une nouvelle compétence : la coordination de la Convention de Généralisation de l’Education Artistique et Culturelle. Cette convention sera signée en novembre 2021 avec les Ministères de la Culture, de l’Education nationale et des Affaires Sociales et de la Santé. Objectif : construire un projet participatif et partagé, assurant cohérence dans l’action, des acteurs du territoire
Dans ce cadre, un appel à projets pour 2022 a été lancé le 1er juin dernier. Il a pour objectif d’accompagner l’émergence de projets novateurs portés par les associations culturelles et les artistes du territoire.
L’appel à projets CGEAC 2022 La fiche action CGEAC 2022 Le calendrier et les modalités de dépôt du dossier
La réponse pourra se faire de différentes façons, au plus tard le 15 octobre 2021 :
Pour plus de renseignements, n’hésitez pas à contacter le 04 67 46 22 11.
Le Syndicat Mixte du Bassin de Thau qui encourage la transition écologique, mène actuellement un projet innovant en partenariat avec l’entreprise Géocorail, qui consiste à créer des récifs artificiels 100% naturels avec les coquilles d’huîtres du bassin de Thau.
Le 6 mai dernier, des prototypes ont été immergés, sur le site pilote du Mourre Blanc à Mèze, adossé à l’usine qui traite 4 000 tonnes de déchets coquilliers par an, servant déjà à l’aménagement paysager, à l’amendement des sols agricoles ou au rechargement des sites de nidification pour oiseaux. Ces « casiers » mettront un an pour se transformer sous l’effet d’un faible courant électrique continu, en un agglomérat solide et adhésif, le géocorail. Ce biomatériau prometteur va permettre de construire à partir de 350 tonnes de débris, plus de 300 structures pour stabiliser des berges, construire des digues, des abris à poissons….
Mais son intérêt ne s’arrête pas là et semble pouvoir aussi répondre à des enjeux communautaires. Géocorail expérimente actuellement sa solution sur les boudins atténuateurs de houles (grosses chaussettes géosynthétiques remplies de sable) immergées au large du Lido de Sète à Marseillan sur plus de 2 km et dont la fonction est de lutter contre l’érosion de la côte. L’objectif est d’obtenir des coques de protection naturelles qui renforceraient la résistance aux dégradations causées par les bateaux et qui en assureraient la pérennité. Le tout en accroissant la biodiversité de la zone traitée (déploiement d’herbiers et de corps-morts artificiels).
Des déchets conchylicoles valorisés, c’est de l’économie circulaire en circuit court. Une nouvelle étape franchie vers plus de « croissance bleue » pour notre territoire qui a pour ambition de devenir une référence en la matière.
@ Photo : Claude Cruells