Le programme « estival » des médiathèques de l’agglopôle !
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Le service culture de la Ville de Poussan vous convie au vernissage de l’exposition PIKTO
Nicolas Éon habite Montpellier, mais c’est un artiste universel. Sa capacité de
synthèse du trait et des couleurs rend son travail accessible à toutes les
cultures. C’est toujours un peu délicat d’affirmer de telles choses quand on
parle d’un peintre, pourtant en cherchant à parler aux autres à travers sa
peinture, avec Pikto, il a inventé un langage qui se passe de mots, qui fait
passer les idées avec un bonheur et une simplicité rares. On trouve dans son
travail toute la candeur de l’enfance et la réalité tragique de l’homme adulte
qui porte le monde sur ses épaules.
« Pikto c’est l’Essentielle Nature Humaine, la silhouette que tout cerveau perçoit instantanément comme sienne. L’image primordiale, l’identité profonde.
Pikto est symbole d’humanité dans ses qualités et ses travers, dans sa bonté
et sa cruauté, dans ses doutes et ses espoirs. »
Pikto c’est moi, c’est vous, c’est celui qui regarde, s’approprie le personnage, s’identifie. Pikto c’est des milliards d’êtres humains sur Terre qui pensent, aiment, détestent, sentent, ressentent, pleurent, chantent, jouent, souffrent, dansent, virevoltent au gréde nos imaginaires de toutes couleurs, de toutes tailles, de toutes formes…
« Je joue avec Pikto, avec son épaisseur graphique et symbolique, avec sa peau de caméléon arc-en-ciel. Pikto c’est un alphabet, mais en dessin. Un dessinsimple, épuré, économe pour aller à l’essentiel, à l’os, le rompre et s’y nourrir de la substantifique moelle en chacun de nous, pour toujours garder l’énergiedu prochain dessein, l’envie de faire et l’envie d’être… humain « .
Exposition à la MJC de Poussan, les plantes et leurs usages
La grande lessive à Poussan : « de la lumière, des pigments… »
Dès 9 h du matin, ce jeudi 28 mars des animateurs du Pôle Enfance Jeunesse, ont installé les œuvres des jeunes artistes (ainsi que celles d’autres enfants fréquentant les ALP des Baux et de Véronique Hébert, de l’ALAE et de l’ALSH) pour cette nouvelle édition de la Grande Lessive à Poussan qui se déroulait dans les Halles.
Après la fermeture des portails, à 9 h 15, certaines classes des écoles, avec leur enseignant, sont venues « étendre leur linge », au centre de Poussan, cette année, alors que pour d’autres classes il était prévu que des parents volontaires assurent l’accrochage, dans la matinée.
Car cette année encore, la Grande Lessive promettait un mélange d’œuvres éblouissant.
Avec « De la couleur ! »
Avec ou sans dessin, de la lumière, des pigments, du numérique…
Le principe de La Grande Lessive® est de tendre des fils pour y suspendre des réalisations (dessins, peintures, images et photographies numériques, collages, poésie visuelle, etc.) de format A4 à deux dimensions, faites par toutes et tous, sans qu’aucune ne soit semblable à une autre, bien que conçues à partir d’une même invitation : »
Une installation artistique éphémère s’est donc déployée dans les Halles et vous pouvez en profiter jusqu’à 17 h.
En effet, le projet est de concevoir, de manière collective, un dispositif inédit, intrigant, et artistique, pour faire de l’art participatif !
Les membres du Pôle Enfance Jeunesse sont venus très nombreux dans la matinée pour accrocher les œuvres des enfants dont ils s’occupent et d’autres artistes en herbe.
L’essentiel étant de participer.
Sont arrivés alors tous les autres participants inscrits, ou leurs représentants, ceux de la Maison de retraite La Mésange, du RAM, des petites Pousses et du Cocon, certaines classes avec des élèves motivés, ainsi que des volontaires bien épanouis. Et ce avec une lumière naturelle assez intense.
Car, que serait la couleur sans la lumière ? Et nous, que deviendrions-nous sans l’une et l’autre ? Nous ne pourrions rien voir ! Un monde sans couleur ne serait plus celui que nous connaissons et qui nous fait rêver. Il perdrait sa saveur comme les aliments que nous mangeons quand nous sommes privés de la vue. Tout donnerait le sentiment de se ressembler, en soulignant − trop tard − le prix que nous accordons aux différences. En somme, nous aurions l’impression de perdre notre identité et de vivre dans un univers étranger.
Et que deviendraient les peintres et la peinture qui, depuis les premiers temps de l’Humanité, ont permis de manifester l’existence de celle-ci comme celle d’une pensée qui ne cesse de cheminer ? Qu’en serait-il, par exemple, de la photographie, du cinéma et de la vidéo : l’image retrouverait-elle ses apparences premières ?
Explorer, chercher, (ré)inventer…
Toute pratique artistique s’empare d’une question pour la mettre à distance et l’étudier afin d’en tirer un bénéfice créatif. La couleur est l’une des composantes qui étaye, autant notre perception, que nos pratiques plastiques. Travailler la couleur revient ainsi à s’interroger sur les relations qu’elle entretient à la forme et à la texture, appelée parfois « matière ». Faut-il les distinguer, les abandonner, les associer ou les combiner ? Que de décisions à prendre et d’expériences à tenter !
C’est dans la perspective d’une recherche menée grâce à la coopération que La Grande Lessive® du 28 mars 2019 adressait à toutes et à tous une invitation à utiliser la couleur, avec ou sans dessin, à partir de pigments naturels ou chimiques, du numérique et, bien sûr, en utilisant la lumière. « De la couleur ! » ouvre ainsi un champ créatif infini.
« De la couleur ! Vous n’y pensez pas ! »
Inviter à travailler la couleur n’est toutefois pas simple à formuler, dans un contexte où la couleur ne se réduit pas à un élément décoratif destiné à repeindre un mur.
Depuis longtemps, la couleur a été l’objet de débats artistiques opposant ses tenants et à ceux qui privilégiaient le dessin. Fallait-il utiliser l’un plus que l’autre ? Le dessin devait-il être réalisé avant la peinture afin d’en conditionner l’usage ? Ou bien, la couleur serait-elle supérieure au dessin au point de s’en dispenser ou de le remplacer pour tracer, détourer, représenter..?
Chacun des participants individuellement ou en groupe a pu répondre à ces questions, en se les posant ou simplement en laissant aller son imagination sur le thème de cette édition.
Cette exposition éphémère ravit chaque année les enfants et les seniors qui comme toujours ont beaucoup d’imagination individuellement ou collectivement. Ce n’est que du plaisir pour ceux qui participent avec une belle excitation, celle de la création, celle de la découverte, celle que l’on éprouve quand l’on partage. »
En peinture, Claire Aton, aime relever des défis
Claire Aton et la Mairie de Poussan vous proposent une exposition au foyer des campagnes de Poussan. L’exposition est ouverte du 23 mai au 1er juin, du mardi au dimanche, de 17h à 20h. Entrée libre.
Le vernissage de l’exposition de Claire Aton avait lieu ce vendredi 23 mai en présence de l’artiste, Claire Aton, qui est une spécialiste des peintures murales et des tableaux.
Elle partage son temps entre ces deux styles. Un jour en haut d’un échafaudage, l’autre dans le calme de son atelier, elle précisait qu’elle était passionnée par son travail, de la réalisation de petites toiles ou de maquettes à la réalisation d’œuvres pouvant aller jusqu’à plus de mille m2.Travailler dans le vent, le froid ou par grande chaleur, s’attaquer à une immense surface ou se concentrer sur un plus petit format… rien ne l’effraie. L’amour de son travail décuple les forces.
Les outils que sont le dessin, la peinture, la couleur, la perspective sont mixés différemment. La concentration, la rigueur sont là. Dans une décor mural, souvent , même si ce n’est pas une règle absolue après tout, le contexte est essentiel; le lieu, l’utilisation de celui-ci, son histoire, la personnalité des »clients », aussi, leurs goûts et leurs désirs sont primordiaux dans la réflexion et la création d’une maquette qui servira de trait d’union entre l’imagination du peintre et leurs souhaits. Cette maquette est une projection de ce décor qui, très bientôt, apparaîtra. Car Claire peint là où on le lui demande : A Poussan, à Gigean comme à Lyon ou à Annecy et sur tous les supports, le papier, les murs, les toiles , les bordures de piscine… Elle a d’énormes ressources.
En la recevant au Foyer ce vendredi soir, Florence Sanchez, Adjointe au Maire de Poussan, déléguée à la Culture précisait qu’elle nous faisait le plaisir de présenter certaines de ses œuvres qui témoignent de toutes ses possibilités.
Pour Claire la peinture c’est une espèce de chimie, de magie que de voir se matérialiser tout un processus de lâcher-prise et de maîtrise mélangés. C’est une bataille féroce avec, parfois des instants de grâce, lorsque le cerveau et le pinceau se font alliés. Coule alors une écriture claire et limpide, aussi bien dans le tourment que le calme… et la toile apparaît.
Et Michel Bernabeu rajoutait : « Vous pouvez profitez d’Aton dedans et d’Aton dehors car si cette exposition présente d’une part des toiles et des maquettes de peintures murales, d’autre part, vous pouvez découvrir la Fresque des enfants en cours de réalisation : « Garrigue et étang de Thau«
Pour habiller le mur qui jouxte l’entrée du foyer des campagnes et le jardin
d’enfant, la commune de Poussan a sollicité Claire afin de réaliser une
fresque avec les élèves des écoles élémentaires de Poussan.
Ce projet impulsé par le service culture fait partie du programme d’initiation à l’art proposé aux enfants de la ville. Une exposition des études, maquettes, dessins des œuvres murales de Mme Aton est donc présentée en même temps que la réalisation de la fresque au foyer des campagnes :
« La Mairie de POUSSAN m’a demandé de réfléchir à la réalisation d’une peinture murale avec les enfants des écoles. Le lieu choisi est Le mur jouxtant le Foyer des Campagnes. Le thème de « la garrigue et de l’étang de Thau » a été rapidement choisi. Il fallait en effet un thème où les enfants pourraient se projeter et s’investir. Leurs repères quotidiens facilitent l’approche.
Le mur est tout en longueur (environ 16 m sur 2 m de hauteur) et il est intéressant de pouvoir y dérouler un décor : d’un côté la terre ferme et ses collines, de l’autre l’étang de Thau et ses parcs à huîtres.
Enfants, instituteur (trice) et moi-même, nous sommes rencontrés plusieurs fois.
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J’ai demandé aux enfants de créer le plus possible de dessins, croquis, peintures… sur le thème choisi, en particulier sur la faune et la flore. Ce qu’ils ont fait avec beaucoup de spontanéité, de sensibilité.
A partir de ces trésors, j’ai pu élaborer une trame, un cadre, des rythmes dans lesquels la fraîcheur de leurs créations pourraient s’épanouir. Leurs dessins ont servi également à la composition d’un lettrage animalier dans lequel un « g » apparaît sous la forme d’un flamand rose, un « a » sous celle d’une avocette, par exemple.
Le résultat devrait être vivant et ludique, avec une pointe de poésie je l’espère. » Précise Madame Aton qui ne tarit pas d’éloges sur les élèves qui ont peint avec elle : « J’ai apprécié leur contact. Peindre à l’extérieur développe les échanges tandis que dans mon atelier le dialogue est plutôt intérieur. Les deux styles m’apportent beaucoup de bonheur. »
Contact :
Mairie de Poussan
Service culture : 06 81 31 48 24 – culture@ville-poussan.fr
Service communication : 04 67 78 99 56 – communication@ville-poussan.fr
www.ville-poussan.fr et blog.ville-poussan.fr
Le 28 mars profitez de la Grande Lessive de 10 h à 17 h
Déjà des participants pour cette nouvelle édition de la Grande Lessive, le 28 mars 2019.
- La Maison de retraite La Mésange
- LES ALP
- L’école des Baux élémentaire
- L’école Véronique Hébert maternelle et élémentaire
- Le RAM
- Les petites pousses
- Le cocon
Seniors, enfants petits et grands, de différents établissements participent à nouveau cette année. Le thème de 2019, c’est celui « De la Couleur ! »
Ça promet un mélange d’œuvres éblouissant.
Tout le monde peux venir déposer son œuvre, il faut juste se munir de deux épingles à linge.
L’exposition se fera aux Halles de Poussan de 10 h 00 à 17 h le jeudi 28 Mars ( sous réserves).
« De la couleur ! »
Avec ou sans dessin,
de la lumière, des pigments, du numérique…
Le principe de La Grande Lessive® est de tendre des fils pour y suspendre des réalisations (dessins, peintures, images et photographies numériques, collages, poésie visuelle, etc.) de format A4 à deux dimensions, faites par toutes et tous, sans qu’aucune ne soit semblable à une autre, bien que conçues à partir d’une même invitation : » De la couleur ! » Avec ou sans dessin, de la lumière, des pigments, du numérique…
Une installation artistique éphémère se déploie ainsi in situ, c’est-à-dire là où un collectif décide de la faire exister : rue, place, cour, espaces privés ou publics… L’étendage a lieu en plein air, qu’il pleuve ou qu’il vente ! Le projet est de concevoir, de manière collective, un dispositif inédit, intrigant, et pourquoi pas artistique, pour faire de l’art participatif !
Une exposition sur le Linceul de Turin
Le suaire de Turin, ou linceul de Turin, est un drap de lin jauni de 4,42 mètres de long sur 1,13 mètre de large montrant l’image floue (de face et de dos) d’un homme présentant les traces de blessures compatibles avec un crucifiement. La représentation figurant certains détails de la Crucifixion de Jésus de Nazareth décrite dans les évangiles canoniques est l’objet de piété populaire et est considérée par l’Église catholique comme une icône. Certains croyants la vénèrent comme une relique insigne, le « Saint-Suaire ».
Les premières mentions documentées et non contestées de ce drap proviennent de Lirey, en Champagne, dans la seconde moitié du XIVe siècle : Jeanne de Vergy, qui tenait le suaire de ses ancêtres, y organise des expositions du suaire. Les ostensions de l’objet aux fidèles sont interdites à deux reprises par les évêques de Troyes, qui affirment avoir découvert le faussaire responsable de la supercherie. En 1390, le pape Clément VII publie une bulle autorisant l’ostension du linge, mais il défend que soient faites « les solennités en usage lorsqu’on montre une relique » et exige que la foule soit avertie qu’on ne montre pas l’objet en tant que relique, mais en tant que « figure ou représentation du suaire du Christ ». Après diverses pérégrinations, l’objet devient en 1453 la propriété du duc de Savoie Louis Ier ; à partir de la seconde moitié du XVe siècle, il est vénéré comme une relique de la Passion. Il est conservé depuis 1578 dans la chapelle de Guarini de la cathédrale Saint-Jean-Baptiste de Turin.
En savoir plus sur : https://fr.wikipedia.org/wiki/Suaire_de_Turin
« Les Femmes dans la société », une exposition à la MJC de Poussan
La prochaine exposition de la MJC de Poussan, « Les Femmes dans la société » aura lieu du 11 au 29 mars 2019, de 14h30 à 19h30, dans le Hall de la MJC.
Entrée GRATUITE.
Depuis la fin de la Seconde guerre mondiale, les Françaises ont gagné progressivement le droit de maîtriser leur vie : droit de vote (1944), droit à la contraception (1967) et l’interruption volontaire de grossesse (1975) ou possibilité d’exercer un emploi sans l’autorisation de leur mari (1965). Il reste toutefois un domaine où il n’y a eu guère de changement …
Bientôt la fête du timbre à Poussan
A Poussan ce seront les 9 et 10 mars 2019 avec la participation du Rétro Pouss’Auto en partenariat avec le service culturel de la ville de Poussan.
Réseau des musées de Sète Agglopôle, programme du mois de février
Emporter ses racines, pour s’enraciner à nouveau…
C’est la réflexion que suscite ce travail, qui se présente sous forme d’installation.
Tissées de draps de coton et de fils de nylon, des racines à l’aspect organique s’échappent de la coque d’une barque ou se retrouvent en empreintes sur de grandes toiles peintes. Cet ensemble témoigne du déplacement permanent des êtres vivants et des traces qu’ils laissent ou emportent tout au long de leurs vies. Le poids et l’enchevêtrement des racines assemblées, qui mesurent entre 2 et 3 mètres, soulignent la difficulté qu’engendre le déracinement.
ATELIER JEUNE PUBLIC (Vacances scolaires)ATELIER BRACELET MARIN
Avec perles et coquillages, fabrique un bracelet original aux couleurs de l’étang et apprends à faire un noeud marin!
> Mardi 26 février de 14h30 à 16h30
Dés 6 ans – Tarif 2 €- Renseignement et inscription au 04.67.78.33.57
Musée ethnographique de l’Etang de Thau – Quai du port de pêche – BOUZIGUES
DEVIENS APPRENTI MOSAISTE
Comme les artisans de l’Antiquité, réalise une mosaïque inspiré des décors de la villa gallo-romaine de Loupian
> Jeudi 28 février de 10h à 12h15
Dés 6 ans – Tarif 2 €- Renseignement et inscription au 04.67.18.68.18
Musée gallo-romain Villa-Loupian- RD 158 E4 – LOUPIAN
MASQUES DE NATURE
Déguisons-nous avec des feuilles, des fleurs et des plumes trouvés dans la nature !
> Mercredi 06 Mars de 10h à 12h
Dés 6 ans – Tarif 2 €- Renseignement et inscription au 04.67.46.47.92
Jardin antique méditerranéen – Rue des Pioch -BALARUC-LES-BAINS
Nouvelle édition du cycle de conférences Archéologie!
LE LANGUEDOC MÉDIÉVAL, DE L’AN MIL A LA GUERRE DE CENT ANS
C’est à partir de l’an mil, que se constitue ce paysage d’agglomérations et de monuments qui va marquer d’une empreinte forte le Languedoc méditerranéen. Avec l’émergence de l’aristocratie féodale, le regroupement des hommes va donner naissance à un maillage serré de villages qui est encore celui qui nous connaissons. Avec les vicissitudes du temps, marquées par la croisade des Albigeois et la guerre de Cent ans, des remparts, qui sont aussi des manifestations de prestige, vont abriter un tissu de constructions et de rues de plus en plus resserré. Au cours de cette période de renouveau, le vieux réseau des villes hérité de l’Antiquité va être enrichi par des créations de premier plan. Montpellier en est le meilleur exemple. Une architecture civile de très grande qualité va aller de pair avec l’affirmation d’une élite urbaine engagée dans le grand commerce méditerranéen. Les cathédrales, les fondations monastiques et comme les plus modestes prieurés ruraux témoignent si besoin était de l’enracinement de la religion chrétienne. Ce cycle de conférences va permettre d’aborder grâce aux recherches archéologiques les plus récentes de multiples aspects OKd’une période privilégiée pour l’histoire du Languedoc.
Conférence inaugurale de Laurent Schneider, directeur de recherches CNRS-Laboratoire d’archéologie médiévale
> Jeudi 28 février à 18h30
Entrée libre, dans la limite des places disponibles – Renseignement au 04.67.18.68.18
Musée gallo-romain Villa-Loupian- RD 158 E4 – LOUPIAN
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