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Une journée « Vivre ensemble la transition » à Frescaly
Journée conviviale au jardin de la grotte ce 22 juin 2024
Comme l’an dernier le comité kermesse de la Paroisse du Bon Pasteur organisait la kermesse paroissiale des 3 villages, Montbazin, Gigean et Poussan, au jardin de la Grotte de poussan. Cette fois encore, c’était le samedi, le 22 juin et Pour la messe en plein air, ce devait être à 18 h, pour que les fidèles soient réunis dans ce cadre enchanteur.
C’était une journée un peu agitée avec du vent, un pâle soleil souvent voilé et donc, nul besoin de l’ombre offerte par les arbres du Jardin des Frères.
Le Père Bogdan Lesko avait souhaité que ce soit une journée de partage et de joie. Pour lui : » L’on doit si l’on a la foi rester fidèle à certaines valeurs et avec un certain charisme faire le bien autour de soi et aider son prochain. «
Vers 15 h les premiers visiteurs sont arrivés, car la chaleur aurait pu être là! Tout avait été programmé à des horaires plus adaptés à des activités extérieures, mais cette année l’instabilité est de rigueur.
c’était l’heure de découvrir le jardin et d’effectuer quelques achats devant des stands bien achalandés. Tandis que les petits découvraient quelques jeux , tandis que des gâteaux, des livres, des bibelots et des plantes étaient proposés, l’on découvrait le stand rafraîchissant du petit jardin de la Paroisse.
Dès que possible, les adultes entamèrent une bonne partie de loto . Et celle-ci dura avec en plus la surprise de Mr le Curé. la messe venait après.
Place alors au recueillement avec l’office durant lequel les pensées et le cœur des participants étaient en communion..
Si une partie des mets pour le dîner était prête, il était temps de partager entre amis et connaissances un bon apéritif.Les participants n’allaient pas uniquement déguster un repas mais ils allaient savourer le bonheur d’être réunis pour ce jour de fête.. La bonne humeur était aussi au menu et l’on profitait de cette soirée un peu fraîche.
Conviviale et festive, cette journée restera un souvenir bien ancré dans le cœur des croyants.
Le vide-grenier avec la PNE-PNE de Poussan annulé
Les vertus des feux de la Saint Jean
Les feux de la Saint Jean : encore aujourd’hui les traditionnels feux de la Saint-Jean marquent pour certains le vrai début de l’été. A Poussan, ils devraient avoir lieu le lundi 24 juin 2024, au Jardin Public.
Mais autrefois, ils avaient lieu dans la nuit du 23 au 24 juin ou du 24 au 25 juin selon les régions, le 24 juin étant le jour de la Saint-Jean, donc en léger décalage avec le solstice d’été. Maintenus jusqu’à la Première Guerre mondiale, la Seconde leur a donné un coup d’arrêt définitif.
La règle générale était la réalisation d’un grand feu de joie commun qui devait se voir le plus loin possible.
Dans les villages, la veille ou le jour de la Saint-Jean, tous les gens de la commune apportaient le soir venu, à l’endroit désigné, des combustibles divers que l’on empilait en tas, dans l’euphorie générale.
Malgré le regard mitigé de l’Église sur ces feux, ils datent de la nuit des temps. Tantôt elle s’en est servie pour organiser des processions et christianiser cette fête à travers le culte de Jean-le-Baptiste, tantôt elle a tenté de les interdire comme “entachés de superstitions”.
Dans certains lieux, c’était donc le curé qui allumait le bûcher. Dans d’autres en revanche, c’était celui qui l’avait construit, ou bien le maire, le syndic, la personne la plus âgée du village, une jeune fille. Cette fête était d’abord l’occasion pour la jeunesse du pays, garçons et filles, de se retrouver et de se plaire… Mais tourner autour du bûcher avait un sens quasi magique, variable selon les régions.
D’après Marie-Odile Mergnac, des superstitions et croyances magiques étaient liées à ces feux de joie. Dans la Creuse et le Poitou par exemple, on jetait des pierres dans le brasier pour les récupérer ensuite et les placer dans les champs : plus grosses étaient les pierres, plus grosse serait la récolte.
Sauter par-dessus le feu de la Saint-Jean était aussi un rite très fréquent. On disait tantôt que le saut permettrait de se marier dans l’année, tantôt qu’il préservait des furoncles ou des sortilèges, tantôt encore qu’il portait bonheur ou qu’il “donnait force aux os et préservait des rhumatismes”… Les vieillards qui ne pouvaient plus sauter par-dessus le feu se contentaient alors d’enjamber une braise.
Une fois le feu éteint, chacun rentrait chez soi avec un tison. La tradition populaire affirme qu’on pouvait le saisir sans risque car “le feu de Saint-Jean ne brûle pas”. Enfermé dans une armoire, il devait préserver la maison de l’incendie, de la foudre et de certaines maladies. On pouvait aussi en placer un morceau dans son terrain pour protéger ses récoltes de la grêle, parfois aussi des chenilles et des limaçons. On utilisait jusqu’aux cendres de ce feu de joie auxquelles on attribuait des vertus bienfaisantes.
L’origine de ces feux de Saint-Jean reste aussi inconnue que le caractère magique de ses cendres puisque, selon le grand folkloriste français Arnold Van Gennep, il ne peut s’agir ni d’une résurgence celtique, ni d’un culte romain ou germanique christianisé… Le mystère reste entier. A Poussan, tournera-t-on autour du bûcher? Va-t-on le sauter? Il faudra attendre le lundi 24 au soir pour en savoir plus.
Un bel exemple : les feux dans le Vaucluse : www.ribelly84.fr/feux_st_jean/manteneire.html
La chanson et la musique pour fêter l’arrivée de l’été et le jour le plus long
La fête de la musique à Poussan organisée par l’association « Plateforme » en partenariat avec la Mairie de Poussan se déroulait cette année sur la place de l’Hôtel de ville, et l’on pouvait au gré d’une petite balade trouver d’autres sites sur lesquels les musiciens et les chanteurs se produisaient. L’on retiendra la Place du Marché et celle de la République, certainement parmi d’autres. Ce 21 juin, si toutes sortes de musiques étaient jouées aux 4 coins de la France, pour vivre la musique et la fêter à Poussan et en public, il fallait attendre environ 19 h pour réaliser que l’été était bien arrivé avec toutes les musiques qui vont l’accompagner.
Pour rester dans l’esprit originel certains musiciens profitaient de la soirée pour animer musicalement leur place ou leur quartier.
Pour tous, de la petite cave au centre ancien du village ce ne fut que du plaisir, avec des styles différents qui ont su contenter les uns les autres durant une soirée dédiée à la Musique et à la chanson .
De bien nombreux participants dès 18 h 40 et ils restèrent fidèles jusqu’à plus de 23 h 30 tant ils avaient envie de se laisser porter par des notes qui s’envolaient pour que tout Poussan soit baigné par des mélodies, douces ou moins douces, tendres ou bien plus rugueuses…
Avec des groupes tournés vers le rock, comme Guest et PARC, mais avec d’autres tendances comme la chanson française ou la chanson poétique, la soirée s’annonçait rythmée et devait être éclectique entre solos, duos, formations. Chacun pouvait en apprécier le contenu selon ses goûts musicaux mais comme pour le sport, le principal n’était-il pas de participer ?
C’était d’ailleurs la Devise pour l’association Plateforme qui proposait une programmation assez classique. Pourtant elle montrait son efficacité.
Il faut savoir en effet qu’en principe « La musique adoucit les mœurs… » L’adage n’a jamais été aussi vrai et l’on peut confirmer que cette forme d’expression reste depuis belle lurette un des réseaux sociaux les plus pacifiques et les plus ouverts à notre diversité d’action et de pensée…
Célébrée dans plus d’une centaine de pays, elle fut imaginée en 1976 par le musicien américain Joël Cohen, réalisée à Toulouse et dans l’ouest parisien. En 1982, Jack Lang, ministre d’alors de la culture et Maurice Fleuret, directeur de la musique et de la danse de ce même ministère donnent l’impulsion définitive à l’évènement… (source Wikipédia)
Avec Léna Garcia, derrière les Halles, c’était parti pour quelques très belles interprétations et des magnifiques solos. On se laissait emporter par de très beaux morceaux joués d’une main de Maître.
Sur la place de la République très animée, c’est un collectif de voisins qui avait décidé de mettre le feu et c’était le cas avec les « MS Sons » qui interprétaient un répertoire très éclectique allant de Creedence Clearwater Revival à la chanson Française. Que du bonheur pour un public bien en forme.
Sur la place de la Mairie, c’était plutôt par les voix que l’on se laissait porter . Sachant qu’avant de déambuler dans le village, la Pena « Los Amigos » assurait les transitions et avait fait chauffer les moteurs.
De bonnes surprises avec des amateurs tout de même confirmés qui donnaient le meilleur en se faisant plaisir. On retiendra entre-autres les voix et les interprétations d’Eva et de Sara qui ont su nous enchanter, tout comme celle de Jésus Valtierra qui s’est lancé en solo il y a quelques temps.. Les duos ne tardaient pas à venir tandis que le public pouvait se désaltérer auprès de la buvette du Carré d’As ou encore se restaurer auprès des foodtruck (s).
Vidéos : https://youtu.be/UlqdL2AaW40
https://youtu.be/kucFNkE8Ch8?t=6
https://youtu.be/NwxWcVY7eiU?t=3
On était dans l’esprit de la fête, on savourait, une musique jouée par des amateurs à différents niveaux. L’on appréciait une belle soirée.
Et voici quelques vidéos :
https://youtu.be/-ljuWvGhYzw?t=9
https://youtu.be/VHpZPPN1GMU?t=116
https://youtu.be/ly-inBNmX2g?t=10
La Chorale participative de Poussan avait fait preuve d’une belle maîtrise en interprétant plusieurs chansons entre celles de Pierre Péret et d’Henri Salvador, tout en rendant hommage à Françoise Hardy.
Entre temps, le « Grandes Maïsses Band » nous emportait vers d’autres univers, avec quelques beaux morceaux choisis de la chanson française. Les Grandes Maïsses, des passionnés qui mettent en valeur de beaux textes et des mélodies qui savent presque faire l’unanimité.
Le public participait, reprenait en chœur les airs et les chansons entre celles de Joe Dassin et de bien d’autres interprètes.
Et le tout avec des guitares pour de bonnes musiques qui annonçaient une belle soirée bien rythmée car l’on allait passer a du plus lourd, en son, mais sans trop… Tout comme celles des Edlers toujours aussi efficaces pour animer une soirée festive et ludique.
L’on savourait l’instant présent, enfin c’était l’été. ……
Face à la Petite Cave, Léna Garcia en Solo attaquait fort, très très fort, dans le Rock et le Hard, avec des morceaux de légende parmi bien d’autres faisant une démonstration vraiment impressionnante de ses compétences et de sa technicité.
Et petit à petit, l’on avançait dans la nuit. Place de l’Hôtel de ville Guest puis PARC avaient pris les choses en main en se faisant plaisir autour de chansons soutenues par des rythmes POP-rock, puis d’autres plus « durs », que les groupes apprécient particulièrement
Que du bonheur pour un public qui se laissait porter . Et d’ailleurs jusqu’au moment d’éteindre les lumières entre rock And Roll Français ou international, entre mélodies et rifts, chacun parvenait à trouver son bonheur et se laisser porter par la nuit et…la musique bien sur….
Il fallait tout de même retrouver un certain silence pour ceux qui en avaient besoin et pour ceux qui devaient travailler le lendemain. Mais le silence fait partie intégrante de la musique et l’on allait donc accepter d’essayer de l’entendre !.
Chacun avait pu apprécier les styles proposés d’autres la spontanéité des musiciens qui s’étaient produits pour égayer cette belle soirée …
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Kermesse paroissiale à Poussan, le 22 juin
Une belle cérémonie pour commémorer l’appel du Général de Gaulle, en 1940…
A 11 h, ce 18 juin, s’est déroulée la cérémonie commémorant l’appel du Général De Gaulle.
Florence Sanchez, Maire de Poussan présidait la cérémonie accompagnée par Michel Bernabeu, Adjoint au Maire de Poussan, délégué aux Anciens Combattants et par de nombreux adjoints et élus du Conseil Municipal.
Vu le fait que ce soit en semaine, le public était restreint et l’on notait la présence des représentants d’anciens combattants, des membres de l’UNC Poussan-Bouzigues et d’un porte-drapeau, d’un sapeur-pompier, mais aussi d’anciens combattants résidant à l’Ehpad la Mésange …
Pas de déplacement vers le cimetière de Poussan car les poussannais étaient conviés à la cérémonie commémorant l’Appel du 18 juin face à la stèle en mémoire du discours du Général de Gaulle, sur la place de la Mairie.
Vous la retrouverez sur la gauche de l’Hôtel de ville quand on le regarde de la place de la Marie…
Michel Bernabeu nous avait précisé lors de son inauguration » l’appel du Général de Gaulle reste toujours vivant et le 18 juin a déjà pris toute sa place dans l’histoire de France. L’emplacement de cette stèle dans un lieu fréquenté rappellera à tous combien il est important pour chaque individu, peuple, et pays de continuer à faire vivre ses valeurs. C’est la leçon de courage et de détermination que les Français libres et les combattants de la seconde guerre mondiale nous ont léguée. Qu’ils en soient remerciés. »
La cérémonie débutait par des lectures faites par un représentant de l’UNC Poussan-Bouzigues, et par Madame le Maire, le premier faisant lecture du message de l’UNC et Florence Sanchez, faisant lecture du message de Madame Patricia Miralles, secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire..
Il fut précisé : « Le général inconnu ne l’était plus. Il était devenu le chef d’une France en exil, mais combattante et libre. Reconnu par ses alliés anglophones, fédérant derrière lui les troupes de l’empire, celles qui s’illustreront plus tard à Bir Hakeim et dans les sables de Koufra, à Oyonnax et dans les maquis, autour du commandant Kieffer et dans les montagnes de Monte Cassino, à bord du Surcouf ou du cuirassé Richelieu, dans l’escadrille de Normandie-Niémen. Il y a 84 ans, en jetant sur le papier son discours avec ardeur dans l’anonymat d’un après-midi d’été, le général de Gaulle a aussi écrit notre destin, et notre histoire.
En ce jour, alors que la Nation reconnaissante commémore les 80 ans des Débarquements et de la Libération, notre gratitude s’exprime envers lui, envers ses compagnons et toutes celles et ceux qui l’ont rejoint et suivi. Ensemble, ils exprimèrent une idée simple, mais conforme à ce qu’est la France : que rien ne pouvait exister ni demeurer sans liberté. Vive la République ! Vive la France !«
Télécharger le message de Madame Patricia Miralles, secrétaire d’État auprès du ministre des Armées, chargée des Anciens combattants et de la Mémoire : retrouver l’intégralité du message urlr.me/GJrTP
En vidéo : https://youtu.be/VOmIGIaONlw?t=5
Et pour l’UNC, il était rajouté : « 84 ans après son appel depuis Londres, saluons l’engagement du général de Gaulle, sa fidélité à la République et à ses valeurs. Pour lui, elle n’avait jamais cessé d’exister. Saluons ses qualités de rassembleur et de combattant autour d’un idéal, rendre à la France son rayonnement et sa place au sein des natons. Saluons toutes celles et ceux qui l’ont suivi pour que vive la France. Saluons leur engagement, leur sacrifice sur tous les champs de bataille, ainsi que dans les combats de la Résistance.En cette période troublée, prenons exemple sur le général de Gaulle et sur celles et ceux qui ont contribué au sursaut nécessaire pour sauver notre patrie.Nous nous devons, comme eux, de contribuer à développer et à entretenir, chez nos concitoyens, chez nos jeunes, un esprit de défense indomptable. Restons fidèles, comme nos anciens, aux idéaux qui ont fait de la France une grande nation. Soyons plus que jamais les héritiers de l’appel du 18 juin Soutenons nos forces armées qui sont la garantie de nos idéaux.« .
Dépôts de gerbe, temps de silence et Marseillaise se sont succédés lors de cette cérémonie qui s’est terminée par un moment de convivialité.
Il fut aussi écouté l’appel du Général de Gaulle… Dont voici le texte…https://youtu.be/fczEgdp8-hs?t=14
« Le 18 juin 1940, le Général de Gaulle appelait les Français à refuser la défaite et à poursuivre la guerre par tous les moyens disponibles, partout dans le Monde.«
Le mardi 18 juin 1940, vers 18 heures, dans les studios de la BBC, à Londres, le général Charles de Gaulle, en uniforme, enregistre un message en français à l’adresse de ses compatriotes « présents sur le territoire britannique ou qui viendraient à s’y trouver ».
Il fait part de sa conviction en la défaite finale de l’Allemagne et invite les officiers et les soldats, les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d’armement à se mettre en rapport avec lui. Pour la première fois, avant même que le gouvernement français ait signé l’armistice avec l’envahisseur allemand, il évoque la « flamme de la résistance française ».
Quatre jours plus tard, le 22 juin 1940, jour de la signature de l’armistice par le gouvernement Pétain, il renouvelle son appel et précise sa volonté de poursuivre le combat. L’enregistrement de cet appel a été conservé à la différence du premier, dont ne reste qu’un brouillon manuscrit et quelques extraits dans les journaux.
Un appel entendu
Deux jours plus tôt, le 16 juin 1940, constatant que le gouvernement dont il faisait partie était déterminé à conclure un armistice, Charles de Gaulle avait quitté Bordeaux dans l’avion du général Spears. Il s’était installé au 7-8 Seamore Grove, près de Hyde Park, dans l’appartement d’un collaborateur, puis avait demandé à Churchill de pouvoir diffuser son appel. Malheureusement, le maréchal Pétain s’étant lui-même exprimé sur les ondes françaises le 17 juin, il avait dû patienter jusqu’au lendemain, anniversaire de Waterloo !
L’Appel est enfin diffusé vers 22 heures, et rediffusé le lendemain 19 juin vers 16 heures.
Une version presque intégrale du texte est communiquée par la BBC à la presse française et publiée dans la presse encore libre du sud de la France. La Dépêche de Toulouse, par exemple, publie un article à ce propos, avec la photo du général, dans son exemplaire du mercredi 19 juin. Aucun Français, dans ces conditions, ne peut prétendre avoir été tenu dans l’ignorance de l’Appel…
Le résistant et député gaulliste Lucien Neuwirth se souvient encore avec émotion des yeux brillants de sa mère à l’écoute de la radio anglaise. Lui-même répond à l’Appel et se rend en Angleterre pour s’engager comme Français Libre.
Quelques personnalités font de même dans les semaines qui suivent l’invasion : les généraux Catroux et Legentilhomme, l’amiral Muselier (qui introduira la croix de Lorraine et d’Anjou comme symbole du mouvement), des officiers… Parmi les pionniers figurent également des rescapés de l’expédition de Narvik (Norvège) et des marins.