Honneur au Capitaine Guynemer

  Le dimanche 22 septembre 2013, l’association Nationale des Sous-Officiers de l’Armée de l’Air organisait un repas de convivialité au Mikenez  après avoir célébré à Loupian une messe et un dépôt de gerbe en l’honneur de la disparition du héros de l’armée de l’air : le Capitaine Guynemer. Des représentants de l’UNC participaient à ce repas placé sous le signe de l’ANS ORAA.

Georges Marie Ludovic Jules Guynemer, né le 24 décembre 1894 à Paris 16e1 et mort le 11 septembre 1917 à Poelkapelle (Belgique), est l’un des pilotes de guerre français les plus renommés de la Première Guerre mondiale.

Capitaine dans l’aviation française, il remporta 54 victoires homologuées, plus une trentaine de victoires probables en combat aérien. Volant sur différents types de Morane-Saulnier, de Nieuport et de SPAD VII, SPAD XII canon et sur SPAD XIII sur lequel il fut abattu (S504), il connut succès et défaites (il fut abattu sept fois), affecté durant toute sa carrière à l’escadrille N.3, dite « escadrille des Cigognes », l’unité de chasse la plus victorieuse des ailes françaises en 1914-1918. Ses avions étaient habituellement peints en jaune et baptisés « Vieux Charles ». Le général Franchet d’Espérey lui remet la croix d’officier de la Légion d’honneur en juillet 19179 : « Officier d’élite, pilote de combat aussi habile qu’audacieux. A rendu au pays d’éclatants services, tant par le nombre de ses victoires que par l’exemple quotidien de son ardeur toujours égale et de sa maîtrise toujours plus grande. Insouciant du danger, est devenu pour l’ennemi, par la sûreté de ses méthodes et la précision de ses manœuvres, l’adversaire redoutable entre tous. A accompli, le 25 mai 1917, un de ses plus brillants exploits en abattant en une seule minute deux avions ennemis et en remportant dans la même journée deux nouvelles victoires. Par tous ces exploits, contribue à exalter le courage et l’enthousiasme de ceux qui, des tranchées, sont les témoins de ses triomphes. Quarante-cinq avions abattus, vingt citations, deux blessures. »

Le 11 septembre 1917, Guynemer ne rentre pas d’une mission de combat. Ni l’épave de son avion, ni son corps, ni ses effets personnels ne furent retrouvés, mais les Allemands annoncèrent qu’il avait été abattu par le lieutenant Kurt Wissemann de la Jasta, qui sera tué au combat dix-sept jours plus tard. Pour expliquer sa disparition, on apprend alors aux écoliers français de l’époque que Guynemer avait volé si haut qu’il ne pouvait pas redescendre.

Une apprentie de Poussan à l’honneur

 

Ce 26 juin, Océane Martinez qui prépare son brevet de maîtrise en alternance dans le salon de coiffure de Nathalie Maurin, son maître d’apprentissage à Poussan, a reçu des mains de Pierre Pic, Vice-Président de la Société des Membres de la Légion d’Honneur 34  le diplôme du Prix de la Légion d’Honneur de l’Hérault consacrant des valeurs de mérite et d’excellence à cette apprentie lauréate.

Cette remise intervient après la nomination de cette dernière dans sa catégorie, en avril dernier, au Corum de Montpellier, par un jury de personnalités réuni sous l’égide Président du Conseil Economique Social et Environnemental du Languedoc-Roussillon. Aux côtés de Pierre Pic, le Président de la CCI, Olivier Oddi et Pierre Boutou, Président de la Commission Formation. Depuis 2011, la CCI de Sète est partenaire de la SMLH 34 dans des actions en faveur de la jeunesse, de l’apprentissage et des métiers manuels.

Le Kiosque a maintenant la Plume d’Or

   Le jeudi 23 Mai 2013, à Paris, lors de la cérémonie des 10èmes trophées des Diffuseurs, magasin de Presse Traditionnelle « Le Kiosque » situé Place de la Mairie à Poussan, s’est vu décerné le trophée de la « Plume d’or ».

C’est une manifestation organisée par le SNDP (Syndicat National des Dépositaires de Presse) pour valoriser le réseau de la vente au numéro.

Tous les dépositaires de France y présentent des candidatures de diffuseurs qui se sont illustrés en 2012/2013 par des initiatives, des réalisations ou plus globalement, un comportement commercial dynamique.

Ont été pris en considération également différents critères tels que le professionnalisme, le dynamisme commercial, la progression du chiffre d’affaires ou les opérations particulièrement réussies sur l’année (modernisation, informatisation, vitrines, animations, créations d’évènements).

A noter que les Trophées (Plume d’or, d’argent et de bronze) sont attribués dans 5 catégories de magasins : Maison de la Presse, magasin traditionnel, presse tabac, GMS (exclusivement intégré), saisonnier et que le jury était composé de dépositaires ayant présenté des diffuseurs récompensés en 2012 et des éditeurs partenaires.

L’on ne peut que féliciter Monsieur et Madame Limon pour cette distinction en saluant aussi leur souci d’animation et de promotion de la presse écrite.

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La voie verte relie officiellement Poussan à Montbazin

Ce mercredi après-midi, à partir de 16 h, la voie verte Poussan/Montbazin était un pôle important car de nombreux élus s’y étaient regroupés afin de l’inaugurer officiellement. Jacques Adgé, accompagné par plusieurs élus du Conseil Municipal, avait reçu plusieurs Maires des communes voisines, Pierre Bouldoire, Conseiller Général du Canton de Frontignan, venu en ami, et Christophe Morgo, Conseiller Général du Canton de Mèze, directement concerné.

Ils étaient réunis pour accueillir André Vézinhet, Président du Conseil Général de l’Hérault qui auparavant avait inauguré un rond-point à l’entrée de Bouzigues et un autre au niveau d’Issanka.

La cérémonie avait lieu au départ de la piste cyclable qui relie Poussan à Montbazin, au Lotissement de la Gare. Plusieurs Poussannais avaient tenu à être présents ainsi que quelques sportifs locaux qui empruntent cette voie depuis quelques temps.

Entouré par Laure Tondon, Maire de Montbazin et par Jacques Adgé, André Vézinhet se félicitait que dans le Département se développent ces voies douces qui permettent des styles de liaison sportives et citoyennes : « L’on peut imaginer que dans quelques temps la Méditerranée sera reliée à l’Océan et en partant vers le Nord que vous pourrez aisément rejoindre la Suisse en vélo. Les utilisateurs aiment partager, ces voies. Celle-ci a beaucoup de significations pour moi. Ce projet était inscrit dans un projet Départemental qui comme le covoiturage ou les transports en commun permet de proposer de nouvelles alternatives pour se déplacer.

A terme, ce seront 800 km de pistes. Actuellement, il y en a 550 sur le Département. Cette voie permettra quand d’autres tronçons seront terminés de relier Montpellier à l’Étang de Thau, puis à Agde et au-delà. L’on peut comptabiliser 60 000 utilisateurs côté Nord et 200 000, côté mer, par an. »

Faudra-t-il à long terme des doubles pistes cyclables ? Comme le précisait Jacques Adgé, cette réalisation s’avérait nécessaire avec de plus en plus de demandeurs. Et loin de dégrader la Nature, cette voie a été réalisée en prenant en compte différents facteurs comme le fait qu’il y ait non loin le Puech Gayès et la Voie Domitienne. Au niveau environnemental l’on a pris aussi en compte la protection de la pie grièche et question travaux, tout le ballast de l’ancienne voie de l’intérêt-local qui était en place a pu être réutilisé. Enfin, 4 ouvrages d’Art ont été repris.

Cela a représenté 6 mois de travail pour 800 000 euros de travaux totalement financés par le Département alors que la commune avait conservé le terrain depuis des décennies. Le gros œuvre a été réalisé par l’entreprise COLAS, de la région.

André Vézinhet revenait sur l’importance du Département dans les institutions françaises, car pour lui, la Région aurait une vue bien trop globale et les communes n’auraient pas les moyens de mener à bien de tels projets :  » Il faut se battre pour que la France vive avec ses Départements. »

Jacques Adgé et Laure Tondon précisaient que cette voie s’inscrit dans les Agendas 21 des 2 communes concernées en se félicitant qu’au-delà, des sportifs, les collégiens,  les piétons et les randonneurs puissent l’emprunter .  » A voir le succès de la piste qui est en bordure de l’étang de Thau, cette dernière a un bel avenir. Je souhaite que malgré des fortes contraintes l’on puisse relier rapidement les 2 tracés. Nous pouvons remercier le Conseil Général et vous remercier, Monsieur Vézinhet, pour votre engagement personnel.  » Précisait Jacques Adgé.

Et si Christophe Morgo , après avoir fait une synthèse des observations faisait remarquer aux Poussannais qu’ils n’avaient plus d’excuses pour ne pas faire de sport, il accompagnait les élus concernés pour ouvrir la voie verte qui relie les 2 cités.

Une fois le ruban coupé, il ne restait plus qu’à enfourcher les vélos pour utiliser la voie sur quelques kilomètres.

A l’ombre, quelques rafraîchissement attendaient les élus, le public et tous les intervenants qui ont permis la réalisation de ce projet.

Jeannot Battesti s’en est allé

Il est parti lundi matin.  Il était né le 30 novembre 1919 à la Porta, en Corse. Après 20 ans passés en Algérie il avait « atterri » à Poussan. Sa passion pour les boules facilite alors son accueil mais comme le club de l’époque a besoin de se structurer, « Avec une douzaine de boulistes nous avons créé « Pétanque Poussan « , un club homologué  » précisait Jeannot qui en sera longtemps le trésorier.

Depuis, il était resté fidèle au club qui est devenu depuis celui de la Boule poussanaise.

En décembre 2009, la mairie et les amis de Jeannot avaient décidé de s’associer au club pour lui rendre honneur, à l’occasion de ses 90 ans. C’est donc un « personnage » de Poussan qui s’est éteint et qui se sera battu jusqu’au bout. Battu, il l’a fait toute sa vie, à sa façon, en défendant toujours et du mieux possible, tous les travailleurs et surtout les plus faibles.

 

Si les Poussannais qui le connaissaient peuvent, comme pour tous ceux et celles qui sont partis, avoir une pensée pour Jeannot et sa famille, ceux qui le désirent peuvent s’associer à l’hommage du parti communiste français et du front de gauche qui sera rendu au centre funéraire de Thau, le jeudi 21 mars à 15 h, suivi de la crémation.  

Mélanie Labat vous remercie pour votre soutien

     La poussannaise, Mélanie  Labat, Miss Hérault Méditerranée 2012/2013 qui a suivi un très beau chemin depuis quelques mois, était candidate pour Mademoiselle France 2013.

 

« Mademoiselle France » c’était aussi l’association organisatrice de la manifestation :

 

 

 

 

 

 

 

Déjà, en octobre, Mélanie avait été retenue pour faire partie du jury de l’élection Graine de Miss Languedoc-Roussillon, au Cabaret de Sète. Le 22 décembre, Mélanie était élue 1ère Demoiselle « Bassin de Thau » à  Montbazin et enfin, le Samedi 23 Février, Mélanie devenait Mademoiselle Languedoc-Roussillon 2013, en Agde.

Ce samedi 1er mars, Mélanie n’a pas été élue mais s’est enrichie d’une expérience supplémentaire qui lui laissera aussi de très bons souvenirs. C’est Lucie Janiga, 16 ans, qui a été élue Mademoiselle France 2013. Cette jeune fille qui vient de Chassieu (Rhône Alpes) succède à Miléna Jence.

Mélanie a été extrêmement touchée par le soutien sans failles qu’elle a reçu : « Voir tout ces messages d’encouragement et tous ces votes pour le sondage m’ont vraiment mis les larmes aux yeux. C’était une expérience super. J’ai passé 4 jours géniaux… Visite de l’usine Haribo, défilé dans un super marché, sortie shopping et de nombreuses répétitions, c’était super et bien organisé. J’en garderai de merveilleux souvenirs … Grâce a vous tous j’étais super motivée et samedi soir j’ai donné tout ce que j’avais. Je suis restée moi-même du début à la fin et je n’ai aucun regret. Tout ce que je peux dire c’est un grand Merci, même si mes mots ne sont pas assez forts pour exprimer ce que j’ai ressenti tout les soirs en voyant le sondage et les messages que j’avais reçus. … merci ! »

Aujourd’hui, soutenez Mélanie Labat candidate à Mademoiselle France

 Votez, si vous désirez soutenir la poussannaise, Mélanie  Labat, Miss Hérault Méditerranée 2012/2013 qui est candidate pour Mademoiselle France 2013. Cliquez sur le lien, allez tout en bas de la page, il y aura un rectangle bleu « SONDAGE » puis votez pour le numéro 14, Mélanie Labat. Vous pouvez voter, elle le mérite !!!!

Ce samedi, à 6 h,  elle était la seconde du sondage après avoir été la première durant quelques heures, grâce à vous.

Il ne faut  pas hésiter.

http://www.mademoisellefrance.fr/candidates/index.html

Le bataillon de Joinville à Poussan, ce dimanche matin

  Le Bataillon de Joinville a été le nom donné à une unité militaire de l’armée française accueillant des appelés sportifs. Il a pris place dans les établissements de formation à la pratique sportive constitués au sein des armées depuis 1852 avec l’École normale militaire de gymnastique de Joinville. Il a été dissous en juin 2002. 

Ce dimanche matin, alors que pour la plupart des Poussannais l’esprit était au carnaval, une cérémonie a eu lieu devant le monument aux morts en présence de Jacques Adgé, d’une délégation d’anciens combattants dont les porte-drapeaux. Il s’agissait d’un dépôt de gerbe par les Anciens du Bataillon de Joinville qui auparavant, s’étaient réunis en assemblée générale à la MJC.

Après la cérémonie, le verre de l’amitié a été partagé en Mairie, entre tous les participants.