Archives pour la catégorie Santé
Très beau succès pour « De ferme en ferme » 2017
Ce week-end vous aviez l’occasion de partir à la rencontre des paysans avec « L’Hérault de ferme en ferme », deux journées durant lesquelles 35 producteurs du Département proposaient gratuitement des visites commentées de leur ferme accompagnées de démonstrations et de dégustations de produits fermiers. Visites des fermes, dégustation de produits, découverte de savoir-faire agricoles, repas à la ferme, ateliers pour les enfants, échanges sur l’avenir de l’agriculture étaient au rendez-vous. Et dès ce samedi, ce fut un énorme succès avec des fermes devenues des lieux de rassemblement et des routes sillonnées par de nombreux véhicules allant de ferme en ferme.
Viticulture, apiculture, élevage de chèvres, de vache, d’escargots, maraîchage, culture de spiruline… Vous aviez le choix. Autour du Bassin de Thau, ce 29 avril, dans ce cadre; le CPIE Bassin de Thau vous proposait un circuit spécial Paniers de Thau. Un moment convivial d’échange et de partage entre producteurs, consommateurs et consommateurs-relais et de plus vous pouviez rejoindre le circuit à tout moment de la journée.
Rendez-vous était donné vers 10 h chez Nelly et Christophe BRODU, éleveurs de chèvres Ferme des Saveurs, au Mas Saint Farriol, à Villeveyrac avec un atelier « Comment fait-on du fromage ? ». Une présentation du troupeau et des différentes opérations nécessaires pour obtenir de bons fromages : après la collecte, le lait de chèvre peut être utilisé cru ou pasteurisé, c’est-à-dire chauffé pendant 30 secondes à 74°C. Ramené à une température de 18-19°C, le lait est ensuite additionné de ferments lactiques, mis en œuvre depuis toujours pour fabriquer fromage et yaourt. Pour permettre la lente coagulation du lait, pendant un ou deux jours, on y ajoute également un peu de présure. Le plus souvent égoutté sur une toile, le caillé solide est constitué de caséines (grosses molécules de protéines de lait) et de matières grasses.Et si le e chèvre frais est souple et humide, à peine sorti du moule et déjà doté d’une saveur délicate, il s’accommode très bien d’un saupoudrage de fines herbes fraîches ou séchées, persil, ciboulette, coriandre…, voire du trait d’un bon poivre en moulin ou de fleur de sel. Pour le reste ce sera une question d’affinage.
Et Nelly précisait : « En mars, après une période de calme imposée par la nature, la fabrication du fromage de chèvres reprend. Le Pélardon est un fromage saisonnier et ce que l’on veut, c’est sauvegarder un produit de qualité fermière et ne pas tomber dans du standardisé». Dans la fromagerie ultra moderne, les fromages sont affinés jusqu’à l’obtention d’une pâte fine au grain parfait, apportant au fromage tout son fondant. Dans ce laboratoire point de mécanisation, tout ici est fait manuellement.
Pour en savoir plus : https://www.bio34.com/chevrerie_la_ferme_des_saveurs_p77.php
Des premiers contacts qui en appelaient d’autres avec vers midi, la visite de l’élevage en plein air de Luc MARTIN, éleveur de cochons rouges à la Ferme de Mérifons Les porcs fermiers élevés en plein air ou en liberté (Label Rouge) ou les porcs biologiques ont un accès au plein air. Dans les meilleurs systèmes d’élevage, les truies comme les porcs à l’engraissement sont élevés à l’extérieur ou sur paille et certains passent toute leur vie au pré. Ils ont plus d’opportunités d’exprimer leurs comportements naturels. A Mérifons ce sont des cochons Duroc. Le duroc est une race porcine originaire des États-Unis, où il est apparu au cours du XIXe siècle à la suite de divers croisements opérés entre des cochons à la robe rouge, vraisemblablement importés par divers navigateurs auparavant.Le Duroc doit essentiellement son succès à ses fortes performances de croissance, et à la qualité de sa viande, plus richement pourvue en gras intramusculaire que celle des autres races, sans que sa carcasse soit trop grasse.
Et de plus ce sera un gage de qualité pour la viande porcine car pour avoir un label il faut suivre des mesures bien précises surtout au niveau de l’alimentation. Du naissage à l’engraissement vous pouviez en apprendre beaucoup sur le développement des porcs et vous aviez en plus l’occasion de vous restaurer sur place avant de poursuivre votre circuit.
Pour en savoir plus : http://www.defermeenferme.com/participant-1549-ferme-de-merifons
A 15 h, visite du moulin et de l’oliveraie chez Muriel DELATORRE, oléicultrice au Moulin de la Dentelle, Villeveyrac. Le moulin de la dentelle premier moulin privé de Villeveyrac depuis la fin des années 50 est une entreprise familiale crée en 2009. Muriel,(la moulinière) s’emploie a fabriquer dans les meilleures conditions l’huile de sa production avec le souci d’une agriculture raisonnée. Et aussi celle des petits apportant des villages environnants. Muriel produit des huiles issues de variétés ancestrales du Languedoc, la lucque, la picholine L’olivière, la bouteillan.
Et elle précisait : « L’huile mono variétale est élaborée dans le respect le plus total de la qualité depuis la cueillette manuelle à la mise en bouteille : nous travaillons en famille sur une propriété de 5 hectares d’oliviers, regroupant l’ensemble des variétés proposées à notre clientèle. La zone de réception permet le vidage de deux véhicules en simultané et de procéder à la pesée et à l’enregistrement des lots ; Les lots sont placés dans des contenants ajourés de 200 kg de capacité qui peuvent être triturés dans la foulée. L’effeuillage et le lavage sont les premières étapes puis intervient le broyage cette phase tout comme la suivante sont déterminantes pour la réussite d’une huile de qualité. La dernière opération consiste à extraire l’huile de la pâte d’olive par centrifugation, l’huile sera stockée directement dans nos cuves en inox, l’autre sera l’évacuation du mélange de margines et de grignons vers l’extérieur puis répandus sur nos oliveraies servant ainsi de fertilisant naturel.«
Mais elle ne s’arrête pas là en proposant une gamme de produits issus de son savoir-faire, gage de qualité et de respect de la nature. Et que dire d’une belle démonstration de taille des oliviers par Pépito, un grand spécialiste, qui donnait des conseils : « Éviter janvier et février, préférer le printemps, et quelquefois ne as avoir peur d’arroser ».
Pour en savoir plus : http://www.moulindeladentelle.com/
Direction la safranière de Jorge FERNANDES, producteur de safran au Clos de la libellule, toujours à Villeveyrac. Son choix de vie est né avec une conviction : l’agriculture doit rester humaine, en symbiose avec la nature. Il travaille avec son épouse.

Mais, saviez-vous qu’il en existe différentes qualités de safran ?
On ne coupe que le haut du pistil, avant l’union des stigmates et sans le style (partie basse blanche). Appelé aussi « All Red ».

« Nous avons donc choisi de récolter et d’émonder notre safran avec la méthode « Sargol » ou « all red ». Toutes les qualités organoleptiques du safran se trouvent dans la partie rouge du pistil. Il sert à parfumer et colorer tous les plats ! Il sert aussi pour réaliser de nombreux dérivés comme l’élixir de safran, du miel au safran, des confitures… »
Et un travail de longue haleine pour ce safranier car la culture du safran dont le parfum comme celui du miel possède de subtiles consonances métalliques qui suit un cycle bien précis. Pour en savoir plus : http://www.myhomefarmer.com/
Et alors que des visiteurs avaient visité la Ferme des saveurs de Nelly et Christophe BRODU toute la journée en posant de nombreuses questions, en découvrant le troupeau et les produits réalisés, le groupe CPIE pouvait profiter d »une initiation à la traite des chèvres et des brebis vers 17 h 30 avant de clôturer la journée par un apéritif convivial offert par le CPIE Bassin de Thau.Un beau week-end pour valoriser l’Agriculture et le Milieu rural et un samedi très instructif qui pouvait se poursuivre le dimanche sur d’autres sites. Que du bonheur avec un respect de la nature par chacun des fermiers, qui doivent aussi s’occuper de la commercialisation de leurs produits, souvent en circuits-courts, sur les marchés et d’autres façons pour pouvoir maintenir leurs exploitations et en vivre en s’épanouissant.
Le calendrier vaccinal 2017 : le point sur les nouveautés
BCG, méningocoque C, papillomavirus humains, infections à pneumocoque… Sur la base des recommandations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP), le ministère des Affaires sociales et de la Santé vient de publier le calendrier des vaccinations et des recommandations vaccinales pour 2017.
Le calendrier 2017 recommande le BCG dès le 2e mois (sauf en Guyane et Mayotte où la vaccination est recommandée avant la sortie de la maternité).
Par ailleurs, l’âge de la première vaccination contre le méningocoque C est abaissée de façon transitoire à l’âge de 5 mois avec une deuxième injection à l’âge de 12 mois.
Autre nouveauté, la vaccination contre les papillomavirus humains est proposée jusqu’à l’âge de 26 ans pour les hommes ayant des relations homosexuelles. Pour les jeunes filles et les jeunes femmes non vaccinées auparavant, il est recommandé de commencer cette vaccination par le vaccin nonavalent qui protège contre 9 souches de papillomavirus (disponible prochainement).
Enfin, le calendrier 2017 simplifie les recommandations vaccinales contre les infections à pneumocoque pour les 5 ans et plus.
Attention :
Suite à des difficultés d’approvisionnement rencontrées pour certains vaccins (BCG, hépatites A et B notamment), le calendrier vaccinal 2017 propose des schémas de vaccinations alternatifs.
Le prochain passage du mammobile
Passage du mammobile pour le dépistage du cancer du sein des femmes de 40 à 75 ans de la commune :
Pour les femmes de 40 à 49 ans :
Mercredi 17 mai 2017 de 9 h à 19 h sans interruption
et jeudi 18 mai 2017 de 9 h à 18 h sans interruption
Pour les femmes de 50 à 75 ans :
jeudi 18 mai 2017 de 9 h à 18 h sans interruption
Pour les cyclistes en herbe
À vélo, le casque devient obligatoire
pour les enfants de moins de 12 ans, qu’ils soient conducteurs ou passagers |
Encourager l’apprentissage du vélo comme activité physique – excellente pour la santé comme pour la qualité de l’air – nécessite, dès le plus jeune âge, d’adopter les bonnes habitudes de sécurité. Protéger les plus vulnérables fait partie des priorités du Gouvernement. Ainsi, en application de la mesure n°16 du Comité interministériel de la sécurité routière du 2 octobre 2015 visant à réduire la gravité des blessures au visage et les risques de traumatismes crâniens des enfants pratiquant le vélo, le port du casque à vélo devient obligatoire pour les enfants (conducteurs ou passagers) de moins de 12 ans. L’entrée en vigueur de cette obligation sera donc effective à compter du 22 mars 2017. Le port du casque à vélo sera obligatoire pour les enfants de moins de 12 ans aussi bien au guidon de leur vélo qu’en tant que passagers. Adultes, si vous encouragez vos enfants à pratiquer du vélo, montrez l’exemple ! S’équiper et choisir des équipements de sécurité individuels adaptés, dont le casque à vélo, doit s’apprendre dès le plus jeune âge. Et c’est bien souvent au travers de l’exemple de leurs parents que les enfants apprennent ou non à s’équiper. À cet égard, il a été constaté que les parents d’enfant équipé de casque sont enclins à en porter déjà un eux-mêmes. Les enfants à vélo doivent donc porter un casque, à plus forte raison parce qu’ils sont inexpérimentés. Le casque : une protection des risques de blessure à la tête en cas de chute Les chocs à la tête chez les jeunes enfants peuvent causer des traumatismes plus graves que chez les adultes ou adolescents. Le casque diminue le risque de blessure sérieuse à la tête de 70%, le risque de blessure mineure de 31% et le risque de blessure au visage de 28%. Une étude récente confirme et quantifie le risque de lésions neurologiques dans la tête d’enfant de 6 ans casquée et non casquée. Le port du casque diminue drastiquement le risque de perte de connaissance : à plus de 10 km/h, il passe de 98% dans le cas d’une tête non casquée à 0,1% pour une tête casquée. La responsabilité de l’adulte est engagée Si un adulte transporte à vélo un enfant passager non casqué ou accompagne un groupe d’enfants non protégés, il risque une amende de quatrième classe (90 euros). L’accidentalité des enfants cyclistes :
|
L’artiste, le clinicien et le corps poétique,
La librairie Sauramps vous invite à une Rencontre au Musée Fabre, le 24 Mars à 18h30 : “MONIQUE FRYDMAN et JEAN REBOUL : L’ARTISTE, LE CLINICIEN ET LE CORPS POÉTIQUE”
Les échanges d’un clinicien, médecin et psychanalyste et d’une femme peintre, témoignent d’une résonance profonde. Car l’un comme l’autre, dans leur quête, respectent l’énigme et l’inachevé pour rencontrer la vie. Tous les deux sont des passeurs de vie et leur interrogation est toujours permanente.
Comme le précise Jean Reboul : « L’Art s’impose quand le médecin et le psychanalyste défaille. Dans le cadre de l’infertilité, cette rencontre de l’invraisemblable de la Vie est vraiment nécessaire. A partir du cheminement de mon travail sur l’infertilité l’être humain semble pouvoir prendre en main son destin en faisant surgir des élans de vie… Dans le silence et la solitude, comme chez l’artiste, avec son souffle, avec une trace, la vie va venir. »
Et la démarche de Monique Frydman va à la rencontre d’une manière intime de la dimension clinique. En corrélation avec ce qu’il advient chez une femme fertile, qu’advient-il quand l’artiste pose le pinceau sur la toile ? « La vie aussi va venir… »
Ce thème sur la question du “corps parlant” est une variation de notre travail au Diplôme Universitaire de cette année…
Participeront aux échanges : Augustin Menard, Michel Voisin, Jacques Touchon, Etienne Cuenant, Marc Lévy, Jacques Faidherbe, Gérard Mallassagne, Florence Favier, Jean-Marie Sevestre et chacun d’entre vous, bien sûr, si vous le souhaitez.
La rencontre est ouverte à tous. Il serait souhaitable que vous informiez de votre présence, et de celle de vos accompagnants s’il y a lieu, afin de réserver vos places : reboulj@wanadoo.fr
Une nouvelle association intercommunale pour le « Don du sang »
Paren’Thau et Nicolas réunis pour un bon printemps
Mardi soir, à la salle Jean Théron, se tenait la 3ème réunion d’informations sur les huiles essentielles du cycle pour lequel l’association Paren’thau et la boutique Odlys s’associent depuis septembre.
C’est Nicolas Bastide d’Izard qui officiait ce 7 mars et qui prodiguait, comme à son habitude, des conseils précieux afin d’aborder le printemps avec sérénité.
Avant de débuter son exposé, Nicolas se faisait excellent ambassadeur de l’association qui le recevait, avec une sympathique présentation des objectifs et des activités qu’elle propose, à savoir des échanges basés sur les questions de parentalité, des groupe d’entraide axés sur l’éducation bienveillante, des activités avec les enfants (sorties, balades en famille, loisirs créatifs…) et également des moments entre parents (journée détente, repas…).
Il rappelait également que l’association était dernièrement présente au carnaval de Poussan avec un char représentant son logo, un évènement très apprécié des participants. puis c’est devant une vingtaine de personnes, connaisseuses ou débutantes sur le sujet, qu’il commençait à distiller ses conseils avisés en toute convivialité.
A chaque saison ses huiles essentielles, et surtout au Printemps !Le corps possède des organes émonctoires, tels que les reins, l’intestin, les poumons, la peau ou encore le foie. Leur rôle est de nettoyer au maximum les déchets que le corps reçoit ou produit.
A la sortie de l’Hiver, après de bons repas, des maladies de saison, de la médicamentation, notre foie se trouve « engorgé ».
Il convient donc de bien le drainer et détoxifer pour éviter, par exemple, bon nombre d’allergies.
La première essence à utiliser est celle de Citron, qui peut être utilisée par les enfants (>6ans), elle nettoie le foie et le protège.
Elle permet de faire passer au mieux un repas un peu trop gras ou un mal des transports !
L’huile essentielle de Romarin à Verbénone, le romarin Corse, draine, nettoie et régénère les cellules du foie. Il représente l’énergie du Printemps car il draine aussi les poumons, les reins, la peau !
A bonne dilution et en massage, il redonne de la vitalité à la peau, c’est pour ça qu’il est indiqué pour l’acné.
La distillation de la semence de carotte cultivée draine et protège le foie, mais sert aussi à améliorer la vue dans la pénombre. Première huile à essayer pour les « tâches de vieillesse ».
C’est l’huile essentielle contre la peur des orages chez les enfants !
En aromathérapie, le Céleri nettoie et draine le foie, mais aussi les reins, tout indiqué pour cette période de l’année.
Le Printemps est aussi synonyme d’allergie pour certains.
L’huile essentielle d’Estragon est une anti-allergique et anti-histaminique royale !
En cure ou ponctuellement, elle permet de faire passer ces symptômes bien connus : nez qui coule, éternuements, yeux qui brulent, gorge qui racle… etc.
Pour les allergies cutanées ou les urticaires, il existe l’huile de Matricaire ou de camomille allemande.
Sa couleur bleue, donné par le chamazulène, permet de soulager le prurit et calmer les poussées de boutons d’allergie.
Le soleil et la chaleur seront bientôt là, mais pas encore et de temps en temps le moral n’est pas au rendez-vous.
Heureusement, il existe l’essence d’orange qui calme et apaise les petites angoisses, pour les enfants l’essence de mandarine rouge est toute indiquée.
L’huile essentielle de petitgrain bigaradier est l’huile du stress des businessmen ! Pour les personnes qui ont des journées à 100km/h et n’ont pas le temps de souffler.
Pour la première fois, Nicolas nous faisait sentir la fragrance du Néroli.
Conseillée pour les angoisses, les peurs, les dépressions, le stress, le manque de confiance en soi, elle redonne vitalité psychique et physique.
Les problèmes de sommeil sont courants de nos jours, mais personne ne parle de l’huile essentielle de Lantana Camara véritable calmant du système nerveux, il est tout indiqué pour les personnes qui ont des troubles passagers du sommeil.
A la fin de cette heure riche en enseignements, Nicolas, avec la disponibilité qui le caractérise, prenait encore un instant pour répondre, en aparté, aux questionnements des unes et des autres. l’association Paren’Thau tient à remercier chaleureusement Nicolas pour le temps qu’il offre, et pour sa gentillesse, qui contribuent amplement à la réussite de ces rendez-vous.
La prochaine réunion abordera les petits tracas de l’été, et se tiendra le 30 mai même lieu, même heure.
Si vous souhaitez en savoir plus sur l’association Paren’Thau, rendez-vous sur la page facebook www.facebook.com/AssoParenThau ou par mail parenthau@hotmail.com.
Pas d’alcool au volant
AOC, Label rouge, AB…
Quels sont les signes officiels de qualité et d’origine garantis ?
Appellation d’origine contrôlée (AOC), Label rouge, Agriculture biologique (AB)… Quels sont les signes officiels d’origine et de qualité pouvant vous aider à mieux choisir vos produits alimentaires ?
L’Appellation d’origine contrôlée
L’Appellation d’origine contrôlée (AOC) est la dénomination d’un pays, d’une région ou d’une localité servant à désigner un produit qui en est originaire et dont la qualité ou les caractères sont dus au milieu géographique (Chablis, Roquefort, poulet de Bresse…). La production, la transformation et l’élaboration doivent avoir lieu dans une aire géographique déterminée et selon un savoir-faire reconnu. La reconnaissance d’une AOC est entérinée par un décret qui porte homologation du cahier des charges de l’appellation.
L’Appellation d’origine protégée
L’Appellation d’origine protégée (AOP) constitue l’équivalent européen de l’AOC.
L’Indication géographique protégée
L’Indication géographique protégée (IGP) établit un lien géographique entre un produit et une région moins fort que pour l’AOP. C’est un label européen concernant un produit dont les spécificités sont liées à un lieu géographique mais le lien avec le terroir peut se limiter à la production ou à la transformation (raviole du Dauphiné par exemple).
Le Label rouge
Le Label rouge est un label français correspondant aux produits dont les conditions de production ou de fabrication sont d’un niveau de qualité supérieure à celles d’autres produits similaires (saumon fumé, œufs, charcuterie…).
La Spécialité traditionnelle garantie
La Spécialité traditionnelle garantie (STG) est issue de la réglementation européenne : elle protège les recettes traditionnelles (moules de bouchot, mozzarella, jambon Serrano…).
L’Agriculture biologique
L’Agriculture biologique (AB) garantit un mode de production respectueux de l’environnement et du bien-être animal, les règles encadrant ce mode de production étant identiques au niveau européen (les produits importés restent soumis aux mêmes exigences).