Mars bleu : La ville de Poussan se mobilise

.Tous les soirs du mois de mars, la mairie sera éclairée aux couleurs de la campagne de prévention du cancer colorectal.
Le dépistage organisé du cancer colorectal, un test simple tous les 2 ans qui peut vous sauver la vie.
Vous avez plus de 50 ans ? Vous pouvez demandez-le test à votre médecin.
A l’occasion de la campagne annuelle de sensibilisation « Mars bleu », le CRCDC Occitanie rappelle l’importance du dépistage du cancer colorectal dans la lutte contre le deuxième cancer le plus meurtrier en France. Pour rappel, dépisté à temps, ce cancer peut être guéri dans 9 cas sur 10.Peut être une image de plein air
Le CRCDC Occitanie invite par courrier les personnes âgées de 50 à 74 ans, à consulter leur médecin traitant afin qu’il leur remette un test de dépistage du cancer colorectal après avoir évalué leur niveau de risque.
Ce test de dépistage est gratuit, simple, indolore et efficace. Il est à faire tous les deux ans. Il consiste à rechercher de sang occulte (invisible à l’œil nu) dans les selles. Ce 0prélèvement est à faire chez soi puis à envoyer au laboratoire pour analyse. Tout est prévu dans le kit: Mode d’emploi, dispositif de prélèvement, enveloppe préaffranchie pour l’envoi du prélèvement.
L’intérêt du diagnostic précoce est ainsi de mieux soigner, mais aussi de limiter les séquelles liées à certains traitements.
Contact: CRCDC-Occitanie: 0800 801 301 (appel gratuit depuis un poste fixe)

Hôpitaux du Bassin de Thau : la politique vaccinale contre la covid19 évolue pour le grand public

Mais pour qui ? Où ? Quel vaccin ?
Pour vous aider à vous y retrouver pour vous et vos proches, nous partageons un tableau de synthèse.
Cliquez sur l’image pour l’agrandir, merci.aCapture
Les Hôpitaux du Bassin de Thau précisent :
 « Suite aux derniers résultats des études en Angleterre et en Ecosse, il est établit que les vaccins Astra Zeneca et Pfizer-BioNTech sont équivalents en terme d’efficacité et de tolérance
Le syndrome pseudo grippal post vaccinal est attendu (réaction naturelle de l’organisme) et peut être prévenu avec la prise de paracétamol
 Si vous êtes d’ores et déjà éligible, rapprochez-vous de votre médecin traitant, de votre pharmacien ou du centre de vaccination dont dépend votre commune
 Le Centre de vaccination des hôpitaux du Bassin de Thau vaccine les professionnels de santé hospitaliers. À ce jour, 40% des professionnels sont vaccinés avec l’un ou l’autre des 2 vaccins ».

 

Ouverture exceptionnelle du centre de vaccination Covid de Sète tout le week-end : Inscrivez-vous

Ouverture exceptionnelle du centre de vaccination Covid de Sète tout le week-end : Inscrivez-vous

Le centre de vaccination Covid de Sète qui couvre le bassin de Thau vient de recevoir de l’ARS 400 doses supplémentaires de vaccins AstraZeneca.

Le centre de vaccination sera donc ouvert exceptionnellement samedi 6 et dimanche 7 mars 2021 de 10 h à 16h.

Sont concernés :

  • Les personnes de + de 75 ans
  • Les personnes de 50 à 74 ans atteintes de comorbidités

Rendez-vous sur le site Doctolib (sur la page d’accueil saisir : centre de vaccination du bassin de Thau)

Les vaccinations du week-end sont organisées conjointement par le CPTS et le SDIS

Les personnes de 50 à 64 ans avec comorbidités peuvent être vaccinées par les médecins du travail

Depuis le 25 février 2021, les médecins du travail ont la possibilité de vacciner les salariés de 50 à 64 ans volontaires atteints de comorbidités. Suite à l’avis de la HAS du 2 février 2021, la Direction générale du Travail a communiqué le 16 février dernier un protocole pour la vaccination par les médecins du travail au moyen du vaccin AstraZeneca (AZ), également décliné pour les services de médecine de prévention de la fonction publique de l’État. Les services de santé au travail s’inscrivent ainsi dans la campagne de vaccination définie par les autorités sanitaires, notamment celle des publics prioritaires. Comment ça se passe ?

Un protocole de la Direction Générale du Travail (DGT) précisant les modalités de leur intervention a été adressé aux services de santé au travail. Comme les médecins de ville, les médecins du travail doivent se rapprocher de la pharmacie d’officine de leur choix, pour s’identifier et se procurer des doses du vaccin AstraZeneca, sous le même régime de contingentement. Les médecins du travail doivent respecter la priorisation des publics cibles ainsi que les règles déontologiques s’appliquant à tout acte de vaccination (respect du consentement de la personne, du secret médical, etc.).

Pixabay

La direction générale de l’administration et de la fonction publique (DGAFP) a décliné ce protocole dans le secteur public en actualisant le 26 février 2021 sa foire aux questions sur la prise en compte de l’épidémie dans le secteur public.

Qui est concerné ?

Sont concernées les personnes de 50 à 64 ans inclus atteintes de comorbidités avec le Covid-19, c’est-à-dire :

  • pathologies cardio-vasculaires [hypertension artérielle (HTA) compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), antécédent d’accident vasculaire cérébral, antécédent de coronaropathie, antécédent de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV] ;
  • diabète non équilibré ou compliqué ;
  • pathologies respiratoires chroniques susceptibles de décompenser lors d’une infection virale (broncho pneumopathie obstructive, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d’apnées du sommeil, mucoviscidose notamment) ;
  • obésité (avec indice de masse corporelle (IMC) ≥ 30) ;
  • cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;
  • cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
  • immunodépression congénitale ou acquise ;
  • syndrome drépanocytaire majeur ou antécédent de splénectomie ;
  • maladies du motoneurone, myasthénie grave, sclérose en plaques, maladie de Parkinson, paralysie cérébrale, quadriplégie ou hémiplégie, tumeur maligne primitive cérébrale, maladie cérébelleuse progressive ;
  • cancers et maladies hématologiques malignes en cours de traitement par chimiothérapie ;
  • maladies rénales chroniques sévères, dont les patients dialysés ;
  • personnes transplantées d’organes solides ;
  • personnes transplantées par allogreffe de cellules souches hématopoïétiques ;
  • poly-pathologies chroniques et présentant au moins deux insuffisances d’organes ;
  • certaines maladies rares et particulièrement à risque en cas d’infection ;
  • trisomie 21.

  A noter : Les agents publics âgés de 50 à 64 ans présentant des comorbidités peuvent également bénéficier de la vaccination par les médecins du travail des services de médecine de prévention de la fonction publique de l’État.

Dans quelles conditions ?

  • L’employeur ou le service de santé au travail informent l’ensemble des salariés (y compris ceux placés en activité partielle) de la possibilité d’être vaccinés par le service de santé au travail de l’entreprise lorsque cette possibilité existe.
  • Les salariés volontaires contactent le service de santé. En règle générale, le médecin du travail connaît l’état de santé du salarié. Si ce n’est pas le cas, il est souhaitable que le salarié amène les documents justifiant de sa pathologie.
  • Le médecin du travail peut éventuellement contacter directement les salariés qu’il a identifiés comme souffrant d’une pathologie ciblée lors d’une précédente visite pour leur proposer la vaccination. Cependant, les salariés gardent le choix absolu d’être vaccinés ou pas, et le cas échéant, du médecin auquel ils s’adressent. Les salariés peuvent préférer s’adresser à leur médecin traitant.
  • L’employeur ne peut pas exiger d’un salarié qu’il soit couvert par cette vaccination. Celle-ci n’est en effet pas obligatoire mais recommandée. Elle nécessite le consentement éclairé préalable du travailleur volontaire pour se faire vacciner.
  • Le médecin n’a pas le droit d’informer l’employeur des salariés vaccinés, ni de leur acceptation ou leur refus de la vaccination. Aucune décision d’inaptitude ne peut être ainsi tirée du seul refus du salarié de se faire vacciner.
  • La vaccination a lieu de préférence dans les locaux du service de santé au travail et non dans des locaux installés au sein des entreprises.
  • À l’issue de l’injection, il faut rester environ 15 minutes sur place par mesure de sécurité.
  • Le rappel de vaccination (2e dose) a lieu entre 9 et 12 semaines après la 1re dose.
  • Les vaccins sont fournis gratuitement par l’État. Ils ne coûtent rien à l’employeur ou au salarié.

Dispositif « cancer » dans l’Hérault : #AvecVousContreLaMaladie

L’Assurance Maladie de l’Hérault a mis en place un parcours personnalisé pour diminuer l’impact du cancer sur la vie personnelle.

Tout au long du parcours de soins, ce dispositif permet un accompagnement attentionné des patients atteints d’un cancer et de leur entourage.  La caisse de l’Hérault aide et facilite ainsi les démarches médico-administratives pour permettre aux patients de se concentrer uniquement sur leurs parcours de soins.

  • Le service dédié de la caisse s’assure tout d’abord que leurs droits soient bien ouverts (carte Vitale à jour, médecin traitant désigné, maladie prise en charge à 100 %, assurance complémentaire existante).
  • Le service vérifie également que les arrêts de travail et les demandes de transport soient correctement renseignés et les soins remboursés.

Selon l’évolution de la maladie, une mise en relation ou une orientation vers des partenaires comme la MDPH (Maison Départementale Personnes Handicapées) ou la Ligue contre le Cancer peut également être établie.

Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

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Pour bénéficier de cet accompagnement, les patients atteints d’un cancer peuvent contacter le service dédié de l’Assurance Maladie de l’Hérault par mail : pl34.cpam-herault@assurance-maladie.fr floy55Capture

Par la suite, un conseiller de l’Assurance Maladie proposera un accompagnement personnalisé.

floy88Capture Pour connaître « L’ESSENTIEL » du parcours, consultez le flyer.

Information coronavirus des Hôpitaux du Bassin de Thau : suivi hebdomadaire

Ce  jeudi 25 février, 28 patients COVID étaient pris en charge aux Hôpitaux du Bassin de Thau dont 2 en réanimation (-2), 8 en en médecine, 8 en SSR (-3) et 10 en EHPAD (-2)
En 1 semaine, 9 nouveaux patients et résidents ont été pris en charge
 À retenir cette semaine :
 Une situation stable en médecine
 Une amélioration en Réanimation (2 patients hier et 3 aujourd’hui) et en SSR (8 patients hier et 5 aujourd’hui)
 Une amélioration très significative dans les EHPAD avec tous les résidents des EHPAD de Marseillan et de Laurent Antoine négatifs et toujours 10 positifs à Vias.
 La poursuite de la campagne de vaccination des résidents, de certains patients à haut risque et des professionnels (plus de 100 vaccinations cette semaine) .
Depuis le début de la 2ème vague :
 647 patients Covid ont été pris en charge
 125 sont décédés (+ 5 dans la semaine) avec une moyenne d’âge des décès stable à 84 ans. Sur ces 125 décès, 39 concernent des résidents des EHPAD et USLD de Sète, Agde et Marseillan.
 Cette semaine, remerciements aux équipes du laboratoire qui prennent en charge tous les prélèvements PCR Covid pour envoi au CHU de Montpellier et qui ont dans le même temps préparé et réussi la visite d’accréditation COFRAC.
Peut être une image de texte

 

Un nouveau service pour l’Hôpital De Jour Médical (HDJM) aux Hôpitaux du Bassin de Thau

Un nouveau service pour l’Hôpital De Jour Médical (HDJM) qui déménage du 1er au 3ieme étage de l’Hôpital Saint Clair.Peut être une image de une personne ou plus et personnes debout
 Depuis ce lundi 22 au matin, les patients pris en charge en hôpital de jour médical pour des chimiothérapies, des bilans ou des explorations sont accueillis au 3ieme étage dans des locaux rénovés et adaptés à la spécificité des cette prise en charge courte (de quelques heures à une journée)
 L’HDJM est doté de 7 chambres permettant d’accueillir 13 patients et de moduler sa capacité jusqu’à 16 places. Cette augmentation capacitaire, associée à un important travail de réorganisation, permettra d’accueillir de nouveaux patients en chimiothérapie, bilans rhumatologiques, transfusions, bilans nutritionnels, gastro-entérologie, bilans de chutes, soins palliatifs, et d’autres activités d’explorations et de soins de courte durée
La coordination est assurée par le Dr GRISSA, médecin Chef de Service et par Mme CABAU, cadre de santé…Peut être une image de intérieur

 

Création d’un registre nominatif des personnes isolées et handicapées

Création d’un registre nominatif des personnes isolées et handicapées

Lorsqu’on est un peu âgé et isolé, de santé fragile ou encore handicapé, on peut se sentir inquiet et démuni en cas d’événements exceptionnels : le coronavirus et le confinement qu’il entraîne, mais aussi les canicules qui reviennent plus fréquemment, en sont des exemples récents.

Aff registre CCAS 21

Il est alors légitime de se demander à qui faire appel en cas de besoin : voisins, famille, ne sont pas toujours immédiatement disponibles, et on peut aussi hésiter à les déranger.

C’est pour cette raison que le Centre Communal d’Actions Sociales de Poussan, sous l’impulsion de Géraldine Lacanal, Adjointe au social et à la santé, constitue un registre des personnes vulnérables afin de recenser les plus fragiles que ce soit par leur âge, leur handicap ou leur isolement.

Le but de l’élaboration de ce registre est exclusivement de permettre une intervention ciblée en cas de déclenchement du plan d’alerte et d’urgence pour risques exceptionnels (canicules, épidémies, catastrophes naturelles, etc…).

Il donne également la possibilité au maire, aux élus municipaux ainsi qu’aux agents de vous appeler pour prendre de vos nouvelles en cas de problème signalé.

L’inscription sur ce registre est facultative, et n’est possible que sur demande expresse :

  • de vous-même, si vous désirez figurer sur cette liste
  • vous pouvez aussi inscrire sur sa demande (qu’il devra confirmer) un parent, un voisin, que vous estimez vulnérable (Toute personne inscrite par un tiers peut demander une modification de son inscription ou sa radiation du registre).

Pensez à en parler à vos voisins qui seraient concernés ! C’est aussi une question de solidarité.

Les formulaires sont à télécharger ci-dessous ou à retirer en mairie

Renseignements : 04 67 18 35 91 / 06 80 63 55 14 – ccas@ville-poussan.fr