Prévenir l’obésité infantile : découvrez le dispositif « Mission : retrouve ton cap »

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« Mission : retrouve ton cap » est un dispositif de prévention de l’obésité infantile, expérimenté depuis 3 ans sur certains territoires et déployé aujourd’hui dans tout l’hexagone. Son objectif : prévenir, grâce à une prise en charge pluridisciplinaire, le surpoids et l’obésité chez les enfants de 3 à 12 ans. Service-Public.fr vous explique de quoi il s’agit.

Un décret publié le 31 octobre 2022 au Journal officiel précise les conditions de mise en œuvre de ce parcours de prévention de l’obésité infantile destiné aux enfants de 3 à 12 ans.

Expérimenté dans trois territoires (l’ancienne région Nord-Pas-de-Calais, la Seine-Saint-Denis et La Réunion), il doit permettre à des enfants de cette tranche d’âge de bénéficier, sur prescription médicale, d’une prise en charge précoce et pluridisciplinaire (diététique, psychologique, physique) remboursée à 100 % par l’Assurance maladie sans avance de frais de la famille ni dépassement d’honoraires.

  À noter : Le dispositif a été évalué dans le cadre de l’article 51  de la loi de financement de la Sécurité sociale de 2018 qui vise à améliorer et transformer le système de santé.

Au total, près de 1 150 médecins ont prescrit le dispositif durant les 3 ans d’expérimentation. Dans 9 cas sur 10, cet accompagnement a permis à des enfants en situation de surpoids ou d’obésité d’accéder pour la première fois à une prise en charge de leur situation.

Qui peut prescrire le parcours de soins ?

Le médecin de l’enfant est le point d’entrée dans le dispositif. Il peut être médecin généraliste, pédiatre, médecin des services de la protection maternelle et infantile (PMI). Il identifie le facteur d’obésité en évaluant l’indice de masse corporelle (IMC) sur les courbes de corpulence. Il propose ensuite à la famille une prise en charge pluridisciplinaire selon les besoins de l’enfant et oriente vers l’une des structures référencées « Mission : retrouve ton cap » (le choix de la structure appartient à la famille).

Le praticien coordonne également le suivi à l’aide des comptes rendus adressés par les professionnels réalisant les séances et les bilans et il peut renouveler la prise en charge si besoin.

  À noter : Le médecin scolaire peut également prescrire la prise en charge. Il en informe en parallèle le médecin de l’enfant qui assurera le suivi du parcours.

En quoi consiste la prise en charge ?

Entre 3 et 12 ans, l’enfant peut bénéficier d’une prescription médicale des soins suivants, sur une période de 2 ans :

  • 3 bilans : bilan diététique, bilan d’activité physique et bilan psychologique. Le bilan diététique est systématique. Chaque bilan ne peut être réalisé qu’une fois par enfant ;
  • 6 séances de suivi nutritionnel et/ou psychologique renouvelables deux fois si besoin.

Où est réalisé le parcours ?

Le suivi de l’enfant est assuré par des professionnels de santé et des psychologues exerçant au sein de centres de santé et de maisons de santé pluriprofessionnelles. La structure doit être référencée au préalable auprès de la caisse d’assurance maladie de rattachement.

Le référencement des structures se fait progressivement et sera disponible prochainement sur ameli.fr.

Vous pouvez désormais faire réaliser tous vos vaccins en pharmacie !

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Si vous avez 16 ans et plus et que vous avez une prescription médicale, vous pouvez désormais faire réaliser vos vaccins ou rappels de vaccins dans une pharmacie sur présentation d’une ordonnance médicale. Quels sont les vaccins concernés et comment procéder ?

Les professionnels de santé étaient déjà habilités à administrer les vaccins contre la grippe saisonnière et la Covid-19.

Depuis le 7 novembre 2022, ils sont autorisés à administrer 14 autres vaccins ainsi que leurs rappels :

  • diphtérie ;
  • tétanos ;
  • poliomyélite ;
  • coqueluche ;
  • papillomavirus humains ;
  • infections invasives à pneumocoque ;
  • hépatite A et hépatite B ;
  • méningocoques de sérogroupes A, B, C, Y et W ;
  • rage.

L’objectif de cette nouvelle mesure, validée par la Convention nationale des pharmaciens titulaires d’officine, est de faciliter l’accès aux vaccins et d’améliorer la couverture vaccinale des personnes de 16 ans et plus, selon le calendrier vaccinal en vigueur. Elle vise également à désengorger les cabinets médicaux.

  À noter : L’acte ne peut être réalisé que par un pharmacien et doit avoir lieu dans un espace de confidentialité.

Vous devez impérativement être muni d’une ordonnance de médecin, mais les personnes éligibles aux vaccinations contre la grippe et la Covid-19 n’ont pas besoin de prescription.

Comment vous faire vacciner en pharmacie ?

Vous devez vous renseigner auprès de votre officine pour savoir si elle pratique les vaccins et si un rendez-vous est nécessaire, chaque établissement étant libre de s’organiser comme il lui convient. Vous devrez vous munir de l’ordonnance vous prescrivant le vaccin.

La seule condition à remplir pour les officines est d’être formées et de déclarer l’activité de vaccination auprès de l’Agence régionale de santé.

  Attention : La vaccination sur les enfants de moins de 16 ans ou sur des personnes immunodéprimées ne peut pas être effectuée en pharmacie.

Combien ça coûte  ?

Se faire vacciner en pharmacie coûte 7,50 €. L’achat du produit est pris en charge pas l’Assurance maladie à hauteur de 65 % pour les vaccins obligatoires, le reste pouvant être pris en charge par une complémentaire santé. L’acte d’injection devrait être pris en charge à hauteur de 70 %, comme c’est le cas pour la grippe saisonnière, cette disposition doit être confirmée.

  À savoir : Le prix du vaccin en pharmacie doit augmenter de 2 € en janvier 2023 pour passer à 9,50 €, comme le prévoit le projet de loi de financement de la Sécurité sociale 2023.

Le programme national de dépistage néonatal est élargi à partir du 1er janvier 2023



Bébé, Fille, Nouveau Née, Nouveau-Né

Le dépistage à la naissance chez tous les nouveau-nés, qui permettait de dépister 6 maladies rares ainsi que la surdité permanente, sera étendu à 7 maladies supplémentaires à partir du 1er janvier 2023, a annoncé le ministre de la Santé et de la Prévention.

À la suite des recommandations de la Haute Autorité de santé en 2020, le dépistage de 7 nouvelles maladies va être intégré au programme national de dépistage néonatal à partir du 1er janvier 2023.

Qu’est-ce que le dépistage néonatal ?

Le programme national de dépistage néonatal concerne tous les nouveau-nés qui naissent en France. Il vise à détecter et à prendre en charge de manière précoce des maladies rares mais graves, d’origine génétique pour la plupart, afin de permettre un bon développement du bébé puis de l’enfant. L’Assurance maladie prend en charge à 100 % le dépistage néonatal de votre enfant.

Jusqu’à présent, six maladies rares peuvent être recherchées, par des tests biologiques en prélevant des gouttes de sang sur un buvard, après une petite piqûre au talon du nouveau-né. Ces tests sont systématiquement proposés mais l’accord des parents est obligatoire. Réalisé gratuitement, le prélèvement est fait le plus souvent en maternité – parfois au domicile – au plus tôt 48 heures après la naissance, au mieux à 72 heures. Les résultats ne sont communiqués aux parents qu’en cas de problème.

Dans un délai très court, il est possible de confirmer le diagnostic définitif et de mettre en place, très tôt après la naissance, le traitement adapté en cas de dépistage anormal. Par exemple, le dépistage de la phénylcétonurie à la naissance permet, grâce à un régime et à un suivi, d’éviter la survenue d’un handicap.

Quelles sont les 6 maladies graves de l’enfant actuellement dépistées :

  • la phénylcétonurie : maladie génétique due au déficit d’une enzyme qui transforme la phénylalanine présente dans l’alimentation. En l’absence de traitement, elle peut entraîner un retard mental sévère et des complications neuropsychiatriques ;
  • l’hypothyroïdie congénitale : maladie qui se traduit par une sécrétion insuffisante des hormones thyroïdiennes par la glande thyroïde. En l’absence de traitement, son dysfonctionnement retentit sur les grandes fonctions de l’organisme et peut avoir notamment pour conséquence un retard mental sévère ;
  • l’hyperplasie congénitale des surrénales : défaut génétique du fonctionnement des glandes surrénales. En l’absence de traitement, elle peut être à l’origine de déshydratations aiguës sévères, parfois mortelles, et de troubles du développement des organes sexuels ;
  • la mucoviscidose : maladie génétique qui entraîne des infections respiratoires sévères et répétées ainsi que des complications digestives ;
  • et éventuellement la drépanocytose, si votre enfant fait partie des populations exposées à cette maladie : maladie génétique liée à la présence d’une hémoglobine anormale dans le sang qui peut se traduire par une anémie persistante, des complications vasculaires, des crises douloureuses et des infections répétées.

Le programme est complété par le dépistage de la surdité permanente néonatale.

  À savoir : La Haute Autorité de santé (HAS) a publié le 10 novembre 2022 un avis recommandant la généralisation du dépistage de la drépanocytose, jusqu’alors ciblé en priorité sur les populations les plus à risque (originaires des Antilles, d’Afrique, du pourtour de la Méditerranée et de l’océan Indien).

  À noter : Les surdités congénitales concernent 0,5 à 1,3 pour mille nouveau-nés. Leur dépistage permet une prise en charge rééducative précoce.

Quelles sont les 7 nouvelles maladies ajoutées au dépistage néonatal ?

Ces 7  nouvelles maladies sont intégrées au programme national de dépistage néonatal à partir du 1er janvier 2023 :

  • l’homocystinurie : anomalie concernant la vitamine B12 caractérisée par une anémie, une atteinte neurologique cérébrale et parfois un retard de développement ;
  • la leucinose : maladie se caractérisant par des difficultés pour s’alimenter, un temps de sommeil trop prolongé, des vomissements puis des troubles neurologiques cérébraux et une insuffisance respiratoire en l’absence de traitement ;
  • la tyrosinémie de type 1 qui atteint les reins et le foie ;
  • l’acidurie isovalérique, responsable de troubles aigus à la naissance (vomissements, convulsions) ou de troubles plus tardifs (retard de croissance et/ou de développement) ;
  • l’acidurie glutarique de type 1 qui entraîne des troubles neurologiques aigus chez les nourrissons ;
  • le déficit en 3-hydroxyacyl-coenzyme A déshydrogénase des acides gras à chaîne longue, caractérisé par la survenue dans la petite enfance d’une hypoglycémie pouvant provoquer une atteinte au foie et une atteinte au cœur ;
  • le déficit en captation de carnitine entraînant une atteinte cardiaque au début de l’enfance, souvent associée à une hypotonie, un retard de croissance, des crises hypoglycémiques récurrentes et/ou un coma.

Ces 7 maladies rares viendront s’ajouter aux pathologies déjà dépistées.

Vaccination contre la grippe saisonnière : la campagne est ouverte à tous depuis le 16 novembre

Vaccination contre la grippe saisonnière : la campagne est ouverte à tous depuis le 16 novembre

Vaccin Contre La Grippe, Aiguille, AieLa campagne 2022-2023 de vaccination contre la grippe saisonnière a débuté le 18 octobre 2022. Jusqu’au 15 novembre, la vaccination contre la grippe était réservée en priorité aux personnes à risque de faire une forme grave de la maladie. Elle est désormais ouverte à toutes les personnes qui souhaitent se faire vacciner.

Les campagnes de vaccination contre la grippe et la campagne de rappel de vaccination contre la Covid-19 se déroulent pendant la même période. Les personnes éligibles vont recevoir, dans le même temps, le vaccin anti-Covid et celui contre la grippe (une injection dans chaque bras). Pour rappel, la précédente campagne de vaccination avait été prolongée jusqu’au 28 février 2022, dans un contexte encore très marqué par l’épidémie de Covid-19.

La campagne de vaccination contre la grippe se déroule du 18 octobre 2022 au 31 janvier 2023.

Depuis le 16 novembre 2022, la vaccination est ouverte à toutes les personnes qui souhaitent se faire vacciner.

Vaccination contre la grippe pour les personnes qui le souhaitent

Si vous n’avez pas reçu de bon de prise en charge de l’Assurance maladie, vous pouvez vous faire vacciner contre la grippe si vous le souhaitez. Toutefois, le vaccin et l’injection ne sont pas pris en charge par l’Assurance Maladie.

Si vous êtes majeur, vous pouvez acheter votre vaccin à la pharmacie sans prescription médicale et vous faire vacciner par le professionnel de santé de votre choix : médecin, sage-femme, infirmier, pharmacien.

Si vous êtes mineur, une prescription médicale est nécessaire. Vous pouvez vous faire vacciner par un médecin, une sage-femme ou par un infirmier (sur prescription médicale de l’injection). Vous ne pouvez pas être vacciné par un pharmacien.

Les personnes présentant des antécédents de réaction allergique sévère à l’ovalbumine ou à une vaccination antérieure doivent consulter leur médecin.

Public prioritaire : qui est concerné ?

La grippe touche chaque hiver entre 2 et 6 millions de personnes. Elle est responsable de nombreuses hospitalisations et décès, en particulier chez les personnes fragiles. Une campagne de vaccination est organisée chaque année par le ministère de la Santé et la HAS qui en définissent les dates. Du 18 octobre au 15 novembre 2022, la vaccination était réservée aux personnes à risques, comme le recommande la Haute autorité de santé :

  • les personnes âgées de 65 ans et plus ;
  • les personnes de moins de 65 ans atteintes de certaines maladies chroniques ;
  • les femmes enceintes ;
  • les personnes souffrant d’obésité (IMC égal ou supérieur à 40 kg/m2) ;
  • l’entourage des nourrissons de moins de 6 mois à risque (qui ne peuvent pas être vaccinés) et des personnes immunodéprimées ;
  • les professionnels de santé et professionnels des établissements médico-sociaux au contact de patients à risques ;
  • les aides à domicile des particuliers employeurs vulnérables ;
  • les professionnels exposés aux virus influenza porcins et aviaires. Ils sont pour la première fois ciblés dans le cadre de la campagne 2022-2023.

  À noter : Il faut compter une quinzaine de jours pour bénéficier de la protection accordée par le vaccin.

Qui peut bénéficier de la gratuité du vaccin ?

Le vaccin antigrippal est entièrement remboursé par l’Assurance maladie pour les personnes à risques.

Si vous êtes concerné, vous recevez de votre caisse une invitation et un bon de prise en charge afin de retirer gratuitement le vaccin chez le pharmacien sur présentation de ce bon, et vous faire vacciner par le professionnel de votre choix. Les personnes de moins de 18 ans doivent bénéficier d’une prescription médicale préalable à la vaccination.

Si vous êtes éligible mais que vous n’avez pu être identifié et invité par l’Assurance Maladie, parlez-en à votre médecin, à votre sage-femme ou à votre pharmacien, qui pourront vous délivrer un bon de prise en charge vous permettant d’obtenir gratuitement le vaccin.

En revanche, le vaccin n’est pas pris en charge par l’Assurance Maladie pour les autres assurés. Le prix du vaccin oscille entre 6 et 10 € en pharmacie.

Qui peut vous vacciner contre la grippe ?

  • les médecins ;
  • les infirmier(e)s ;
  • les sages-femmes (pour les femmes enceintes et l’entourage des nourrissons à risque) ;
  • les pharmaciens volontaires, pour les personnes majeures (depuis octobre 2019, tous les pharmaciens peuvent pratiquer la vaccination contre la grippe).

  Rappel : Il est conseillé, dès que les virus grippaux circulent, d’appliquer une série de gestes simples destinés à limiter la transmission :

  • se laver les mains régulièrement, avec de l’eau et du savon ou avec une solution hydroalcoolique ;
  • tousser ou éternuer dans son coude ;
  • utiliser un mouchoir en papier à usage unique ;
  • porter un masque ;
  • limiter les contacts avec des personnes fragiles ou malades.

Les Ateliers et Balades « Mémoire Gourmande »

 
Après le succès des ATELIERS Mémoire et Patrimoine le CCAS de la ville de Poussan poursuit son action en faveur des + 60 ans en proposant des Ateliers Mémoire Gourmande gratuits en partenariat avec l’association Sud Loisirs.
Ce projet vise à offrir aux retraités, la possibilité de rencontrer et d’échanger avec les producteurs locaux.balodCapture d’écran 2022-11-02 185021
Pour se faire seront proposées des balades de découverte chez plusieurs producteurs qui présenteront leur environnement naturel de travail tout en partageant leur savoir-faire et leurs connaissances.
Ces rencontres ont pour but de créer un échange basé sur la convivialité durant lequel les participants seront amenés à proposer des idées culinaires en relation avec les produits du site visité.
Ces sorties seront précédées d’’ateliers sensoriels visant à éveiller leurs capacités olfactives et gustatives, et seront conclues par la réalisation d’un livret de recettes. Celui-ci sera présenté lors d’une petite exposition au sein du village visant à valoriser les connaissances des aînés et créer un échange intergénérationnel.
Les Objectifs principaux sont de : favoriser le lien social, Redonner confiance aux seniors en leurs capacités sensorielles, et leur pouvoir de transmission.
Valoriser la participation des aînés, favoriser et développer les échanges et le partage entre générations
Mais aussi d’initier un travail de mémoire par la transmission aux générations suivantes,
S’approprier la richesse de son territoire de vie et redonner le plaisir de bien se nourrir en utilisant les produits locaux.
Renseignements et Inscription : avant le 8 novembre 2022 auprès de Madame Dartigues intervenante au 06 64 09 27 60

Mon espace santé disponible depuis janvier 2022 s’enrichit d’un catalogue de services

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Disponible depuis janvier 2022, l’espace numérique de santé Mon espace santé s’enrichit d’un catalogue de services et d’applications pour prendre des rendez-vous médicaux, mesurer sa tension ou se faire livrer des médicaments à domicile. Destiné à simplifier le parcours santé des usagers et les échanges avec les professionnels de santé pour une meilleure prise en charge, Mon espace santé a remplacé le Dossier médical partagé (DMP).

Si vous êtes bénéficiaire d’un régime d’assurance maladie français, vous recevez un courrier ou un courriel vous proposant d’activer votre profil Mon espace santé. Vous disposez alors d’un délai de 6 semaines après la réception du courrier ou du courriel pour l’activer ou vous opposer à sa création. Sans réponse de votre part dans le délai de 6 semaines, votre profil Mon espace santé est automatiquement créé.

Tous les usagers qui disposaient déjà d’un Dossier médical partagé (DMP) avant le 1er juillet 2021 retrouvent automatiquement leur dossier et leurs données de santé qui y sont stockées dès l’activation de Mon espace santé.

Depuis début novembre, Mon espace santé propose un catalogue de services permettant aux utilisateurs de trouver des services de qualité et des applications certifiées dédiés à la santé. Ce sont des sites internet et des applications qui vous permettent de prendre des rendez-vous médicaux, de mesurer quotidiennement votre tension ou votre poids, de suivre les indicateurs de votre maladie chronique, d’organiser la livraison de vos médicaments à domicile, ou encore d’accéder à des conseils et des actualités recommandés par des patients ayant la même pathologie que vous.

12 services de confiance sont référencés dans ce catalogue. D’autres services numériques seront progressivement ajoutés dans le catalogue les prochaines semaines, plus de 250 applications en phase d’instruction.

En 2023, les données stockées sur les services numériques référencés pourront être partagées, de manière facile et sécurisée, avec Mon espacesanté. Le consentement de l’usager sera toujours demandé, il choisira lui-même les applications avec lesquelles il veut synchroniser son espace.

Que contient désormais « Mon espace santé » ?

L’espace numérique de santé numérique intitulé « Mon espace santé » comprend déjà :

  • un « coffre-fort » sécurisé pour stocker et partager tous les documents de santé : ordonnances, résultats de biologie, dossier d’hospitalisation, vaccination… ;
  • un profil médical que l’usager peut remplir avec ses informations personnelles : allergies et antécédents familiaux par exemple ;
  • une messagerie sécurisée pour les échanges entre patients et professionnels de santé ;
  • un catalogue d’applications référencées par l’État pour être mieux guidé dans le choix des outils numériques utilisés pour le suivi de votre santé.

Courant 2022, cet espace numérique personnel sera complété d’un agenda santé pour centraliser les rendez-vous médicaux et recevoir des rappels pour les dates clés des examens de contrôle (bilans, mammographie, vaccination…).

Les données de santé peuvent être ajoutées par les professionnels de santé mais également par vous-même.

  À savoir : Vous pouvez télécharger l’application mobile Mon espace santé sur l’App Store ou le Google Play store et retrouver toutes les fonctionnalités, dont le nouveau catalogue de services. Si vous l’avez déjà téléchargée, il peut être nécessaire de mettre à jour l’application pour accéder aux nouvelles fonctionnalités.

  À noter : L’espace numérique de santé numérique intitulé « Mon espace santé » a été construit en concertation avec les usagers et associations de patients, les professionnels de santé et les institutions.

Comment activer mon Mon espace santé ?

Vous pouvez activer Mon espace santé avec votre carte Vitale et le code provisoire reçu dans le courriel ou le courrier envoyé par l’Assurance maladie, le ministère de la Santé et de la Prévention ou la Mutualité sociale agricole.

Le code provisoire d’un enfant est envoyé par courrier ou par courriel au parent auquel il est rattaché auprès de la Caisse d’assurance maladie.

Si le code provisoire a expiré, vous pouvez en générer un nouveau en ligne sur monespacesante.fr en cliquant sur le bouton « Générer un nouveau code provisoire » puis compléter le formulaire avec les informations de votre carte Vitale. Vous recevrez ensuite par SMS ou par courriel un code vous permettant d’accéder à la page d’identification.

Il est possible d’activer votre profil Mon espace santé en quelques clics depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone.

Si vous le souhaitez, vous pouvez clôturer votre profil à tout moment.

  À noter : Le site propose un guide thématique pour vous aider.

Pour le Mois Sans Tabac, la bonne idée, c’est d’avoir le kit

Pour le Mois Sans Tabac, la bonne idée, c’est d’avoir le kit d’accompagnement pour tenir bon jour après jour !babacCapture d’écran 2022-11-04 105834
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Monoxyde de carbone : attention aux intoxications !

Le monoxyde de carbone est un gaz toxique qui touche chaque année plus d’un millier de foyers, causant une centaine de décès par an. Il peut être émis par tous les appareils à combustion (chaudière, chauffage d’appoint, poêle, groupe électrogène, cheminée…).Sponsored image
Pour éviter les intoxications, des gestes simples existent :
- Veillez toute l’année à une bonne aération et ventilation de votre logement, tout particulièrement pendant la période de chauffage : aérer au moins 10 minutes par jour et n’obstruez jamais les entrées et sorties d’air de votre logement.
- N’utilisez jamais pour vous chauffer des appareils non destinés à cet usage : cuisinière, brasero…

Levée de toutes les restrictions de récolte, de commercialisation et de consommation de tous les coquillages de l’étang de THAU

Levée de toutes les restrictions de récolte, de commercialisation et de consommation de tous les coquillages pour l’étang de Thau…

 Moules, Fruits De Mer, Le Noir

 Montpellier, le 10 novembre 2022

SANITAIRE Levée de toutes les restrictions de récolte, de commercialisation et de consommation de tous lescoquillages de l’étang de THAU

Compte tenu des résultats parus ce jour des recherches de toxines lipophiles effectuées dans le cadre du réseau REPHYTOX sur les moules de l’étang de Thau, le Préfet de l’Hérault a décidé ce jour de lever l’interdiction de la pêche, du ramassage, du transport, de la purification, de l’expédition, de la distribution et de la commercialisation en vue de la consommation humaine des coquillages des zones de l’étang de THAU.

La carte actualisée des interdictions sanitaires de récolte de coquillages se trouve sur le site internet de l’OIEAU:http://www.atlas-sanitaire-coquillages.fr/statutsou sur l’application QualitéCoq.lages de l’étang de THAU