Vacances à l’étranger : pensez à votre carte européenne d’assurance maladie !

Architecture, Neuschwanstein, Château

Vous partez en vacances en Europe ? Savez-vous que la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) permet de bénéficier d’une prise en charge sur place de vos soins médicaux ? Service-Public.fr vous indique comment la commander.

Cet été, vous partez en vacances dans un État de l’Union européenne (UE) ou de l’Espace économique européen (EEE), en Suisse ou au Royaume-Uni ?

Pensez à vous procurer la carte européenne d’assurance maladie (CEAM) !

La carte est individuelle et nominative, chaque membre de la famille doit avoir la sienne, y compris les enfants de moins de 16 ans. Sa validité est de 2 ans.

Elle vous permettra d’attester de vos droits à l’Assurance Maladie et de bénéficier d’une prise en charge de vos soins médicaux durant vos vacances, selon la législation et les formalités en vigueur dans le pays de séjour. Mais attention, seuls les soins devenus nécessaires en cours de séjour (urgents, inopinés) peuvent être pris en charge au moyen de la CEAM.

La CEAM est essentiellement acceptée dans les hôpitaux publics en Europe.

  À noter : si vous vous rendez dans votre pays d’origine, certaines dispositions prévues par des conventions (ou accords de Sécurité sociale) peuvent prévoir une prise en charge sur place de vos soins médicaux. Contactez votre caisse d’Assurance Maladie : elle vous indiquera si vous entrez dans le champ d’application de ces dispositions et, le cas échéant, les formalités à accomplir avant votre départ pour en bénéficier.

Comment commander votre carte ?

Pour commander votre carte, il vous suffit de vous connecter à votre compte Ameli, rubrique « Mes démarches ». La CEAM vous est ensuite adressée par courrier postal sous quelques jours.

Vous partez dans moins de 15 jours ? Il peut être plus prudent de demander un certificat provisoire de remplacement, utilisable dans les mêmes conditions que la CEAM et valable 3 mois.

  À savoir : vous avez l’application Ameli ? Dans ce cas, une version numérique de votre carte s’affiche immédiatement sur votre smartphone.

S’inscrire à l’opération tranquillité vacances (OTV) (Démarche en ligne)

Pendant toute absence prolongée de votre domicile, vous pouvez vous inscrire à l’opération tranquillité vacances. Les services de police ou de gendarmerie se chargent alors de surveiller votre logement. Des patrouilles sont organisées pour passer aux abords de votre domicile. Vous serez prévenu en cas d’anomalies (dégradations, cambriolage …).

 Surveiller, Mur De Moniteur, Grand Écran

 Pour toute explication, consulter les fiches pratiques :

Dossier de Pacs ou de mariage : vérifier si vous devez fournir un acte de naissance

Vous souhaitez vous marier ou vous pacser.Puzzle, Cœur, Amour, Pièces De Puzzle

Vous n’avez pas à fournir d’acte de naissance si votre commune de Pacs ou de mariage peut accéder à vos données d’état civil auprès de votre mairie de naissance.

Ce simulateur vous permet de savoir si vous aurez besoin de joindre à votre dossier un extrait d’acte de naissance, pour chaque personne.

En fin de simulation, vous disposerez d’un justificatif à télécharger.

Aller sur : https://www.service-public.fr/simulateur/calcul/ActeNaissance

Un nouveau service aux usagers à Poussan : délivrance des cartes d’identité et des passeports

La candidature de Poussan a été retenue pour faire partie des communes habilitées à délivrer les cartes d’identité et passeports biométriques !
Un dispositif qui permettra d’affirmer la centralité de Poussan en matière de service public local.
Plus besoin de vous déplacer sur une autre commune, prenez rendez-vous en mairie :
Pré-demande à effectuer en ligne sur le site ANTS htts://ants.gouv.fr et plus d’informations sur https://www.ville-poussan.fr/…/carte-d-identite-et…Peut être une image de drapeau et texte

Assurance et catastrophe naturelle (ou technologique)

Vous pouvez être indemnisé pour un sinistre dû à une catastrophe naturelle ou technologique si vous êtes assuré pour ces risques.

Mais pour que l’assureur puisse vous indemniser, il faut qu’un arrêté interministériel reconnaisse l’état de catastrophe naturelle ou technologique.

Une fois l’arrêté interministériel publié au Journal officiel, vous devez déclarer le sinistre à votre assureur le plus rapidement possible.

Nous vous présentons les informations à connaître.aaaabiCapture d’écran 2023-07-01 094346 

L’assurance catastrophe naturelle est une assurance qui vous permet d’être indemnisé pour les dégâts causés par les catastrophes naturelles (tremblement de terre, inondations, sécheresse, glissement de terrain, action mécanique des vagues…).

Elle ne fait pas partie des assurances obligatoires et n’est donc pas incluse dans les contrats assurance de base.

En revanche, elle est incluse dans l’assurance « multirisques habitation« .

Un assureur n’a pas le droit de vous refuser de souscrire la garantie « catastrophes naturelles ».

Si tel était le cas, lors de la souscription de votre contrat ou à l’occasion de son renouvellement, vous pouvez saisir le Bureau Central de Tarification (BCT) dans les 15 jours suivant la notification du refus par l’assurance. Vous devez le faire par lettre recommandée avec accusé de réception.

Le BCT pourra obliger l’assureur à vous couvrir contre les effets des catastrophes naturelles.

Si le risque est important ou s’il présente des caractéristiques particulières, le BCT peut vous demander de lui présenter une ou plusieurs compagnies d’assurance dans l’objectif de répartir le risque entre elles.

La garantie pourra jouer seulement si vous avez souscrit un contrat d’assurance catastrophe naturelle et qu’un arrêté de catastrophe naturelle a été publié au Journal officiel.

Assurance catastrophe naturelle

La première condition pour être indemnisé en cas de dégâts du aux catastrophes naturelles est d’être assuré contre ce risque. Soit par une souscription spéciale, soit par l’adhésion à un contrat qui l’inclut automatiquement, comme l’assurance « multirisques habitation« .

Arrêté de catastrophe naturelle

Le fait d’être assuré contre les catastrophes naturelles ne suffit pas pour être indemnisé.

Il faut en plus qu’un arrêté interministériel de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle soit publié au Journal officiel.

L’arrêté permet de savoir si votre logement fait partie des logements touchés par la catastrophe naturelle.

En effet, il précise les communes reconnues en état de catastrophe naturelle, les périodes pendant lesquelles les faits se sont produits et la nature des dommages causés par la catastrophe naturelle.

Procédure

L’arrêté interministériel de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle est pris par plusieurs ministres, à la suite des demandes formulées par les maires des communes concernées.

Les décisions de reconnaissance ou de non-reconnaissance des communes en état de catastrophe naturelle prises par les ministres peuvent faire l’objet de recours administratifs)

Si vous êtes victime de catastrophe naturelle, vous devez donc faire une déclaration de sinistre auprès de votre assureur et demander parallèlement à votre mairie de solliciter le classement de la commune en zone de catastrophe naturelle.

Les maires des communes touchées par la catastrophe naturelle doivent adresser leurs dossiers de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle auprès des préfets de département dans un délai maximum de 24 mois après les évènements.

Chaque préfet doit mettre à la disposition des communes un référent Catastrophe naturelle chargé de la gestion des conséquences des catastrophes naturelles et de leur indemnisation.

Le référent Catastrophe naturelle a aussi pour mission de faciliter les échanges entre les collectivités locales, les services de l’État et les assureurs.

Il doit par ailleurs informer les communes, les habitants et les associations de sinistrés du département sur la prévention et la gestion des conséquences des catastrophes naturelles et sur les dispositifs d’aide.aaaabiCapture d’écran 2023-07-01 094427

Publication

L’arrêté de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle doit être publié au Journal officiel dans un délai de 2 mois à compter de la date de dépôt de la demande par la commune.

Il doit présenter les motifs sur lesquels les autorités se sont fondées pour arrêter leur décision, et mentionner tous les recours possibles ainsi que les délais dans lesquels ils doivent être exercés.

L’arrêté doit également présenter les voies et moyens de demander la communication des documents administratifs sur lesquels les ministres se sont appuyés pour prendre la décision, notamment les rapports d’expertise.

Pour répondre aux demandes de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle transmis par les préfets, les ministres s’appuient essentiellement sur les avis de la commission interministérielle de reconnaissance de l’état de catastrophe naturelle.

Commission nationale consultative des catastrophes naturelles

La commission nationale consultative des catastrophes naturelles a pour mission d’examiner la pertinence des critères retenus pour prononcer l’état de catastrophe naturelle.

Elle doit aussi rendre un avis sur les conditions d’indemnisation des sinistrés.

Des élus locaux et des représentants d’associations de sinistrés siègent dans cette commission, et ses débats doivent donner lieu à des comptes rendus publics.

Cette commission a l’obligation de publier chaque année un rapport qui présente un bilan synthétique des avis qu’elle a rendus, et un état des critères qu’elle retient pour apprécier l’intensité anormale des phénomènes naturels.

Vous devez vous envoyer la demande d’indemnisation à votre compagnie d’assurance ou au courtier d’assurance qui gère vos contrats au plus tard 30 jours ouvrés après la publication de l’arrêté au Journal officiel.

Les coordonnées de l’assurance sont rappelées sur les quittances ou dans le contrat.

La déclaration doit être envoyée par lettre recommandée, de préférence avec accusé de réception. Il faut prévoir si nécessaire une copie de ce courrier à votre agent d’assurances ou votre courtier.

Vous devez Indiquer dans la lettre les éléments suivants :

  • Nom, prénom et adresse
  • Numéro de contrat d’assurance
  • Description du sinistre (nature, date, heure, lieu)
  • Liste chiffrée de tous les objets perdus ou endommagés, accompagnée des documents permettant de prouver l’existence et la valeur des biens (factures, photographies par exemple)
  • Dégâts causés à des tiers (par exemple si un arbre de votre propriété est tombé et a occasionné des dégâts chez un voisin)
  • Coordonnées des victimes s’il y en a

À savoir

si vous prenez en charge la réparation (partielle ou totale) de vos biens, il faut conserver les factures d’achat de matériaux pour qu’elles soient prises en compte par l’assureur.

Conservez les objets endommagés, car ils seront peut-être examinés par l’assureur ou l’expert désigné pendant l’expertise.

Limitations de l’indemnisation

Vous êtes indemnisé uniquement pour les biens couverts par votre contrat, et dans la limite des plafonds de garantie.

Ainsi par exemple, vous ne pourrez pas faire jouer votre multirisque habitation si c’est votre véhicule qui a été endommagé, car cette assurance ne couvre pas le véhicule.

Vous serez indemnisé seulement que pour frais directs (par exemple le prix de la voiture détruite). Les frais indirects seront à votre charge (immobilisation du véhicule et absence de jouissance).

Franchises

Lors de la mise en jeu de la garantie catastrophe naturelle, une franchise : Somme qui reste à la charge de l’assuré à la suite d’un sinistre et qui ne sera donc pas remboursée par l’assureur s’applique.

Cette franchise légale est modulée selon la nature des biens endommagés.

Pour les biens personnels, les franchises sont les suivantes  :

  • 380 € pour les habitations ou tout autre bien à usage non professionnel
  • 1 520 € si le dommage est imputable à un mouvement de terrain consécutif à la sécheresse ou à une réhydratation du sol

    L’assurance doit vous verser une provision sur vos indemnités dans les 2 mois qui suivent la date de remise de l’état estimatif des biens endommagés ou des pertes subies.

    Si la publication de l’arrêté de catastrophe naturelle est postérieure à la remise de l’état estimatif des biens endommagés, la provision doit être versée dans les 2 mois qui suivent la date de publication de l’arrêté.

    L’assurance doit verser l’indemnisation dans les 3 mois qui suivent la date de remise effective de l’état estimatif des biens endommagés ou des pertes subies.

    Si la publication de l’arrêté de catastrophe naturelle est postérieure à la remise de l’état estimatif des biens endommagés, l’indemnisation doit être versée dans les 3 mois qui suivent la date de publication de l’arrêté.

    Par ailleurs, lorsque la tempête a rendu la maison inhabitable, l’assureur peut prendre en charge les frais de relogement lorsque le contrat d’assurance prévoit une garantie frais de relogement ou de gardiennage (frais de garantie assistance).

    À savoir

    des dispositions plus avantageuses peuvent être prévues dans votre contrat.

    Pour signaler un problème à la Mairie de Poussan

    mairie@ville-poussan.fr / 04 67 78 20 03

Avant de partir en vacances, demandez la Carte Jeune pour bénéficier de toutes les aides

Avant de partir en vacances, demandez la Carte Jeune pour bénéficier de toutes les aides : Ordinateur portable, manuels scolaires, équipements professionnels, formation aux 1ers secours, bons plans…

 

Les inscriptions au Conservatoire à Rayonnement Intercommunal (CRI) Manitas de Plata

Les inscriptions au Conservatoire à Rayonnement Intercommunal (CRI) Manitas de Plata, pour l’année scolaire 2023/2024, se font EXCLUSIVEMENT EN LIGNE à partir de ce lundi 19 juin et jusqu’au lundi 17 juillet inclus.
Trois sites au choix :
Permanence téléphonique du lundi au vendredi de 9h à 16h au 04.99.04.76.30 ou par mail  conservatoire@agglopole.fr
+ d’info sur www.agglopole.frPeut être une image de 1 personne, instrument de musique, affiche et texte qui dit ’Sète AGGL PÃLE .méo .méaorrane rrane CONSERVATOIRE MANITAS DE PLATA 02 PORTES OUVERTES SAMEDI 1 JUILLET DE 10H À 18H SUR LES TROIS SITES: SÈTE FRONTIGNAN MÈZE NOUVELLES INSCRIPTIONS DU 19 JUIN AU 17 JUILLET 2023’

 

Une aide financière pour payer les factures d’énergie

Chaque année, entre avril et mai, un foyer sur six reçoit une aide financière pour payer ses factures d’énergie. Les foyers qui y sont éligibles doivent notamment avoir un revenu fiscal de référence inférieur à 10 800 € pour une personne seule et 16 200 € pour un couple, 3 240 € s’ajoutant à ces plafonds pour chaque personne supplémentaire à charge.

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Le chèque peut servir à payer des factures d’électricité, de gaz, de propane, de fioul domestique, de bois de chauffage, ou encore de granulés et pellets (combustibles à base de bois utilisés pour certains types de chauffage). Les locataires de logements conventionnés, comme les HLM et EHPAD, peuvent également l’utiliser pour payer les appels de charges de chauffage collectif.

L’aide à l’énergie peut être utilisée en ligne ou envoyée par courrier à son fournisseur. Les démarches en ligne peuvent s’effectuer assez simplement depuis l’espace personnel des bénéficiaires de l’aide, sur le site dédié.

Déclaration des biens immobiliers : la date limite est décalée au 31 juillet

Cuisine, Design D'Intérieur, Immobilier

Vous êtes propriétaire d’un bien immobilier ? La date limite pour effectuer votre déclaration, initialement prévue le 30 juin, vient d’être reportée au 31 juillet. Vous avez l’obligation, pour la première fois cette année, de déclarer le statut d’occupation de ce bien. Cette démarche est distincte de la déclaration de revenus. Service-Public.fr vous rappelle toutes les informations utiles.

Depuis le 1er janvier 2023, vous êtes soumis à une nouvelle obligation déclarative de vos biens immobiliers à usage d’habitation, inscrite dans la loi de finances pour 2020.

Alors que la taxe d’habitation a été supprimée pour les résidences principales à partir de 2023, la Direction générale des finances publiques (DGFiP) demande à tous les propriétaires d’une résidence principale, secondaire ou d’un logement loué, d’effectuer une déclaration supplémentaire à l’administration fiscale. L’objectif est de déterminer précisément les propriétaires encore redevables de la taxe d’habitation sur les résidences secondaires ou de la taxe sur les logements vacants.

Le ministère de l’Économie a annoncé le 23 juin que, « compte tenu de l’afflux des déclarations », la date limite de déclaration initialement prévue au 30 juin était reportée au 31 juillet 2023 inclus.

  Attention : en cas de non-déclaration, d’erreur, d’omission ou de déclaration incomplète, une amende d’un montant forfaitaire de 150 € par bien pourra être appliquée. La déclaration d’occupation et de loyer est une nouvelle obligation prévue par l’article 1418 du Code général des impôts (CGI), entrée en vigueur en 2023.

Les sanctions ne devraient être mises en place qu’à partir du 1er janvier 2024, après des rappels aux propriétaires qui n’auraient pas effectué leur déclaration.

En quoi consiste cette déclaration et comment y procéder ?

Cette obligation déclarative concerne tous les propriétaires, particuliers et entreprises, de biens immobiliers à usage d’habitation, et notamment :

  • les propriétaires indivis ;
  • les usufruitiers ;
  • les sociétés civiles immobilières (SCI).

La déclaration est ouverte et accessible depuis le service en ligne « Gérer mes biens immobiliers » (GMBI) du site impots.gouv.fr. Vous devez au préalable vous connecter à « Votre espace particulier », muni de votre numéro fiscal et de votre mot de passe. L’usager dispose dans son espace d’une vision de l’ensemble de ses biens bâtis ainsi que de leurs caractéristiques (surface, nombre de pièces, nature du local, numéro de lot…), sur l’ensemble du territoire. Pour faciliter cette nouvelle démarche déclarative, les données d’occupation connues des services des impôts sont pré-affichées. Par la suite, seul un changement de situation nécessitera une déclaration.

Pour chacun de ses logements, le propriétaire doit indiquer à quel titre il les occupe. S’il n’occupe pas lui-même le bien, il est tenu de renseigner l’identité des occupants et la période d’occupation (situation au 1er janvier 2023).

Une fois la déclaration validée, un document PDF récapitulatif est mis à la disposition du déclarant, qui peut ainsi s’assurer que sa déclaration d’occupation a bien été prise en compte.

  À savoir : si vous n’étiez pas encore propriétaire du bien au 1er janvier 2023, c’est à l’ancien propriétaire de réaliser la déclaration d’occupation avant le 31 juillet 2023.

Quelle assistance en cas de difficulté pour remplir cette nouvelle déclaration ?

Vous êtes propriétaires mais votre espace particulier est vide ?

Si l’onglet « Gérer mes biens immobiliers » est vide alors que vous détenez des biens, vous devez le signaler rapidement aux services des impôts via la messagerie sécurisée en indiquant les éléments nécessaires de localisation afin que le bien soit retrouvé sur le cadastre.

Il y a une erreur sur la surface enregistrée pour votre bien ?

Vous devez également le signaler aux services des impôts. Attention : la surface affichée est la surface au sol et non la surface loi Carrez, ce qui peut expliquer le différentiel constaté. Les dépendances doivent également être déclarées (cave, parking, garage, etc.).

Une assistance proposée par l’administration fiscale pour toute difficulté rencontrée

La démarche étant totalement dématérialisée, vous ne pouvez pas faire de déclaration papier de vos biens immobiliers. L’administration fiscale a mis en place divers canaux d’informations pour vous renseigner : qui doit déclarer le bien d’une personne résidant en Ehpad, en cas de sous-location par une société de gestion immobilière, en cas de bien occupé sans titre ou illégalement… Retrouvez toutes les réponses aux questions que vous vous posez sur le site www.impots.gouv.fr avec une Foire aux questions et un Pas-à-pas pour réaliser votre déclaration en ligne.

En cas de difficulté dans l’utilisation du service, vous pouvez contacter l’assistance usagers du service des impôts (de 8h30 à 19h00 du lundi au vendredi) :

  • par téléphone au 08 09 401 401 (service gratuit + prix d’un appel local) ;
  • via votre messagerie sécurisée (depuis votre espace sécurisé, dans la rubrique « J’ai une question sur ma déclaration d’occupation et de loyer de mon bien immobilier »). Cette démarche permet de laisser une trace écrite qui prouvera votre bonne foi en cas de transmission hors délais de la déclaration.

  À noter : si vous vous apercevez que vous avez commis des erreurs en remplissant votre déclaration, vous pouvez facilement la modifier d’ici le 30 juin en vous reconnectant à votre espace.