Ce dimanche, portes ouvertes des ateliers d’Artistes : Le parc d’Issanka vous attend à Poussan

contacts : 06 25 16 03 96 et : 06 84 85 55 08
contacts : 06 25 16 03 96 et : 06 84 85 55 08
Ce spectacle est un bonbon.
Cet acteur est un acteur qu’il faut connaître dans le paysage culturel.
Il est un monstre de d’humour, d’improvisation et de génie.
En Poussan ta Porte souhaite depuis très longtemps vous le présenter, ce sera chose faite, pour cette 5ème saison d’En Poussan ta porte !
Vendredi 11 octobre 2019 de 19 h 00 à 23 h 30
|
|
Billets
www.helloasso.com
Trouver des billets
|
https://www.helloasso.com/associations/compagnie-surprise/evenements/
Paco, chanteur pour la paix, guatemaltèque, fait le tour du monde pour sauver la Paix, par l’arme de l’amour.
« Né en 1971, au Guatemala d’une mère bègue et d’un père décédé, Paco a très tôt voulu convaincre son entourage de l’importance de l’amour dans la vie quotidienne.
Une adolescence difficile dans les bas-fond due à une famille disloquée par la guerre et les épidémies, une sensibilité à fleur de peau, et le voilà expulsé de son pays par une trop grande foi en l’amour, qui dérangea les instances politiques de l’époque.
Et c’est depuis ce jour qu’il arpente ciel et terre afin de disperser l’amour comme un semeur de blé sur l’humanité toute entière. De gala en gala, des Galápagos aux Malouines, comme un surgénérateur à fission d’amour, Paco convainc tous les jours les Hommes de s’aimer d’amour. «
|
|
Certains parmi vous ont pu le découvrir sur scène lors de la dernière soirée « Un combat, une vie » à Bouzigues durant la quelle il a interprété 3 chansons de son premier CD qu’il vient de réaliser.
Emmanuel Rousières, Poussannais, est en effet un musicien, compositeur interprète qui s’est découvert petit à petit porté par sa passion et par des rencontres.
Si Emmanuel est mal voyant cela ne l’a pas empêché de s’épanouir dans le domaine musical pour lequel il a une grande affection depuis son plus jeune âge.
En effet, tout commencé à 7 ans dans une MJC de Sète, à la Corniche, avec des cours de violon. Mais pour lui, le piano et l’orgue permettaient grâce à l’électronique d’aller plus loin et de reproduire les sons de tous les instruments d’un orchestre. Nouvelle découverte…
Il est donc rentré au Conservatoire de Sète durant quelque temps, mais en se retrouvant à Marseille, il sera scolarisé dans une école pour mal-voyants, toute proche de Notre Dame de la Garde. Il y rencontrera une des organistes titulaires dont il profitera de leçons.
Direction le Conservatoire National de Région de Marseille dans lequel il se perfectionnera durant deux ans.
S’il obtint un BEP/CAP en communication, c’est surtout la musique qui sera son domaine d’action, il s’y investira, dans des groupes et des orchestres… Et c’est là qu’il se mettra à chanter d’abord comme choriste puis il sera propulsé en tant que leader pour quelques chants.
A partir de 2010 il se mettra à la composition, à l’écriture et il se perfectionnera dans les arrangements.
« En m’inspirant de mélodies composées par un ami qui me les avait offertes j’ai commencé à écrire les textes et les paroles, je les ai arrangées, l’inspiration venant au gré de mes rencontres ou à partir de sujets et d’ambiances que j’apprécie ».
C’était parti, pour réaliser son premier album : « Premier Bilan », dans lequel il a recherché la qualité poétique, la qualité littéraire, ce qui lui a demandé un très long travail. En février 2019, il rentrait en studio pour les enregistrements.
Et Maintenant, si on le lui demande, il chante en public ses propres chansons. Faire et se faire plaisir est le plus important pour Emmanuel qui ne souhaite pas devenir « une star ». Il cultive sa passion qui lui demande pourtant beaucoup d’efforts. Il se laisse donc porter par le vent, heureux en s’épanouissant .
Emmanuel nous enchante par ce premier CD dans lequel l’on ressent son bonheur : des chansons dans lesquelles vous retrouverez une partie de sa « vie », de ses sentiments, de ses pensées. Elles ne vous laisseront pas insensible.
Pour découvrir son album :
S’adresser sur Messenger à Valérie Maltese rousières.
Et demander par mail : valerie.maltese1@bbox.fr (La marche à suivre vous sera précisée en réponse.)
Prix : 15€
Le Strapontin accueille :
« ETAT CRITIQUE »
de Michel Lengliney
« ETAT CRITIQUE » par LA COMPAGNIE LA CLEMENTINE
SAMEDI 12 OCTOBRE à 21 H
SALLE DE SPECTACLE ( Bâtiment MJC POUSSAN)
1 RUE DES HORTS
POUSSAN
Tarifs : 8 € (normal) / 5 € (adhérent)
Réservations :
Par téléphone 06 42 13 54 88 (laisser un message au répondeur)…
Par mail : contact@compagniedustrapontin.fr
IL EST DESORMAIS NECESSAIRE DE RÉSERVER !!!!
« Sainte-Beuve, écrivain et critique est l’ami de Victor Hugo. Il est aussi éperdument amoureux d’ Adèle la femme de Victor
Comment peut-on séduire la femme d’un génie qu’on admire
quand on n’a ni son talent ni charme personnel ? »
La sensation du goût et l’origine des aliments cités.
exposition en 12 panneaux, et à découvrir :
Né à Poussan où il a passé sa jeunesse, Louis Esparza publie ses mémoires dans lesquelles il consacre plus de 80 pages à Poussan et ses environs, Frescaly, Issanka…
Livre en auto-édition, dont il donne les raisons de ce choix : « si vous êtes une personnalité connue, vous pouvez écrire n’importe quoi, vous intéresserez les éditeurs car ils savent que votre bouquin se vendra. Mais si vous n’avez pas de notoriété, vous pouvez avoir écrit ’’Le Petit Prince’’, aucun éditeur ne vous le prendra…d’où l’auto-édition ».
Admirateur de Chateaubriand dont il reprend des citations à plusieurs reprises…il a commencé à écrire pour répondre aux questions des nouvelles générations dans les réunions de famille, et il a continué en réalisant qu’écrire des mémoires devait largement valoir une psychanalyse réussie : « Et j’en suis sorti avec une vision plus claire sur bien des événements que je n’avais pas bien compris jusque-là…».
Et il ajoute : « sachant qu’aujourd’hui on twitte plus qu’on ne lit, chaque chapitre est assez indépendant du reste pour que les nouvelles générations qui ont une propension à lire en diagonale, puissent avoir une idée de ce que furent et comment vécurent leurs anciens dans le contexte de leur temps ».
Situant sa démarche à l’opposé d’une biographie, il reprend ses souvenirs pour en tirer des réflexions singulières sur le dessous des cartes de pratiquement tous les événements et les sujets qui ont marqué le siècle et l’actualité : la décolonisation, Mai 68, la démographie, le précepte de Colbert, l’écologie, la décroissance… Ancien du nucléaire et féru de politique, il a le sens de la formule : « Anne Lauvergeon étant entrée chez Areva à l’âge où Macron est entré à l’Elysée, espérons qu’il ne laissera pas la France dans l’état où elle a laissé Areva… ». Poussan, un village qui se suffisait à lui-même.
Chapitre de plus de 80 pages qu’il commence par la citation de René Tulet gravée sur la façade de sa maison : « Nous sommes Français c’est vrai, mais avant tout nous plaçons l’amour de notre langue et de notre Poussan ». Montrant ainsi que cette réflexion «nous éclaire d’emblée sur la spécificité du village et sa vocation à une sorte d’autonomie tant culturelle qu’économique ». Et il développe le contexte économique fondée sur la viticulture…la façon de vivre des gens du village, les festivités dont le fameux carnaval, la jeunesse qui se réunissait dans les cambuses… avec quelques portraits de figures locales dont les musiciens qui animaient les bals de l’après-guerre au Café de la Paix… et Mr Larose qui jouait du hautbois sur une barque de joutes à Sète pour la Saint-Louis : « comme on peut le voir quelques secondes filmé par Claude Sautet dans César et Rosalie (Yves Montand, Romy Schneider…accessible sur Internet, voir vers la 73ième minute du film) ».
Décrivant son enfance à Frescaly à partir d’une anecdote où se mêlent la mer que l’on aperçoit de la terrasse avec la chanson de Trénet qu’il entend dans un phonographe…
Les pages consacrées à Frescaly étant probablement les plus touchantes… Et il se souvient des fêtes à Issanka pour Pâques et le 15 Août « l’ambiance inimaginable aujourd’hui », comme lors d’un Tour de France quand arrivent deux coureurs avec plus d’un quart d’heure d’avance et qu’on leur fait boire du vin rosé… Pour repartir : « les deux coureurs avaient du mal à se remettre en selle, et on les a aidés, mais en les dirigeant en sens inverse de la course, si bien qu’ils se sont vite retrouvés face aux autres coureurs qui arrivaient, provoquant une pagaille monstre, pendant que les farceurs et les spectateurs se tordaient de rire…».
Les amateurs d’Histoire apprécieront ses réflexions sur Mai 68 et le Gaullisme, ses commentaires sur le problème que pose la forme exponentielle prise par la démographie… et autres analyses sur les sujets essentiels qui nous préoccupent…
Livre qu’il termine avec sagesse, à partir de vers d’Albert Samain qu’il cite pour étayer son commentaire. Une sagesse de terrien pouvant inspirer ses contemporains.
– Mémoires choisis, 386 pages. En auto-édition, distribué sur Internet par TheBookEdition, livre papier (18 euros) et numérique (5,29€).
Le service culturel de la ville de Poussan pour la deuxième année s’associe au théâtre Molière de Sète pour vous proposer 2 soirées théâtrales à Poussan. » Les sans » le jeudi 17 octobre à 20h30 à la salle de spectacle MJC et » Partez devant » le vendredi 28 février à 20h30 à la salle de spectacle MJC.
Renseignements et réservations : http://www.theatredesete.com/spectacles
Inspiré du livre Les Damnés de la terre de Frantz Fanon, Les sans… écrit par Ali K. Ouédraogo est un texte puissant et révolté.
L’auteur évoque un sujet criant de l’actualité de la plupart des pays en Afrique : les présidents autocrates, la corruption morale et financière, l’absence de démocratie et plus généralement de perspectives.
L’auteur a été frappé par l’actualité des propos tenus il y a 65 ans par Frantz Fanon. « Je me suis dit, ce qu’il a critiqué est aujourd’hui toujours d’actualité, explique-t-il. Le rapport entre le peuple, le bas peuple, et puis la bourgeoisie qui nous dirige, c’est la même chose que le rapport entre le colon et le colonisé. »
Tiibo et Franck, sont deux anciens camarades de luttes qui se retrouvent après dix ans de séparation. Mais alors que Franck, revenu d’exil, est resté révolté, Tiibo, lui, compose avec le système.
Les deux hommes vont s’affronter, le juste et le résigné. Ce spectacle est l’occasion de faire connaissance avec le théâtre du Burkina Faso et du Burundi et la vitalité de ses auteurs et comédiens.
La représentation à La Passerelle sera suivie d’un concert du compositeur Patrick Kabré.
Texte inspiré de : Les Damnés de la terre de Frantz Fanon | Écriture : Ali K. Ouédraogo (Doueslik) | Mise en scène : Freddy Sabimbona | Création musicale : Patrick Kabré | Scénographie et costumes : Yasmine Yerima | Création lumière : Petit Daniel Duevi-Tsibiaku | Avec : Ali K. Ouédraogo (Doueslik), Noël Minougou, Patrick Kabré
Tous ont été accueillis ce matin à l’antenne sétoise, par Guy Sbarra, directeur du CRI, Jean-jacques Di Tucci, directeur adjoint, Sylvie Raffard, directrice administrative et financière, Georges Diisernia, responsable de l’antenne de Frontignan et Guillaume Cazal, responsable de l’antenne de Mèze, ainsi que François Commeinhes, président de l’agglopôle, venu pour l’occasion souhaiter la bienvenue à ces nouveaux enseignants, et souhaiter à l’ensemble des professeurs, ainsi que du personnel administratif, une belle rentrée 2019, soulignant l’enrichissement que chacun peut apporter aux autres de par son expérience et ses compétences. Le président de l’agglo a également évoqué le changement de lieu prévu l’année prochaine avec un « navire amiral qui arrivera bientôt au port », a-t-il souligné, faisant référence au grand et flambant neuf conservatoire qui sera livré en 2020. Avec ses 2000 élèves, 63 professeurs et 3 antennes, le Conservatoire rayonne déjà sur tout le territoire. « J’espère même que dès la prochaine rentrée, le formidable outil que sera le futur Conservatoire rayonnera au-delà. »
PAR LA COMPAGNIE LES ESCOGRIFFES Le SAMEDI 21 SEPTEMBRE à 21 H Entre Shakespeare et BD, cette fantaisie héroïque
où les personnages nous entraînent dans un royaume que l’on voudrait croire
très éloigné de nous tant ses dirigeants n’ont que le crime à la bouche.
Finalement c’est un drame, mais comique sur l’amour du pouvoir et le pouvoir de l’amour !
SALLE DE SPECTACLE (bâtiment MJC ) POUSSAN Il est désormais nécessaire (et urgent !) de réserver ! Tarifs : 8 € (plein tarif) / 5 € (adhérents)
RESERVATION
Tél. : 06 42 13 54 88