Nouveau calendrier vaccinal simplifié

Avec les Hôpitaux du Bassin de Thau, nouveau calendrier vaccinal simplifié
 En fonction de votre tranche d’âge, retrouvez la période à partir de laquelle vous devenez éligible à la vaccination anti Covid
Pour prendre RDV :
Peut être une image de texte qui dit ’COVID-19 LE CALENDRIER VACCINAL SIMPLIFIE Vaccination ouverte Vaccination ouverte aux personnes à risque 18 janvier 25 février 1er mars 75 ans 2021 5 27 mars mars début avril mi-avril été 70-74 ans 65-69 ans 50-64 ans 40-49 ans 30-39 ans 18-29 ans Sources: Santé publique France, Élysée. VISACTU’
Les créneaux de vaccination sont ouverts au fur et à mesure des livraisons de vaccins, n’hésitez pas à consulter fréquemment les sites des différents centres de vaccination

Ma commune en Bleu. Tous ensemble pour le dépistage du cancer colorectal.

 Aff Mars bleuLa Ville de Poussan consciente que le dépistage est un enjeu majeur de santé publique participe à la campagne de Mars Bleu. Cette campagne a pour but d’informer, de sensibiliser et de soutenir la lutte contre le cancer colorectal. Le dépistage est un test simple, facile, à réaliser chez soi et qui peut sauver la vie. Parlez-en à votre médecin. Informez-vous auprès de votre centre départemental de dépistage des cancers: 08 00 801 301(appel gratuit depuis un poste fixe).

https://fb.watch/3YT0WOl16n/

Mars bleu depistage

Dépistage du cancer colorectal ? Pourquoi ? Comment ?

Le cancer colorectal, ou cancer du côlon-rectum, touche chaque année plus de 43 000 personnes en France (dont environ 23 000 hommes et 20 000 femmes). Il est responsable de plus de 17 000 décès par an.

Pourtant, s’il est détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.

Dépister ce cancer est désormais plus facile grâce au test immunologique. Ce test rapide et efficace, est à faire chez soi. Il s’adresse aux femmes et aux hommes, âgés de 50 à 74 ans, invités tous les 2 ans à parler du dépistage du cancer colorectal avec leur médecin. Ce dernier vérifie si son patient ne présente pas de risque particulier nécessitant un suivi adapté, puis lui remet le test de dépistage à faire chez soi.

Découvrez en vidéo les activités sportives proposées par le CLSH des Baux dans le cadre du Grand Défi Vivez Bougez

Grand Défi Vivez Bougez
Découvrez en vidéo les activités sportives proposées par le CLSH des Baux dans le cadre du Grand Défi Vivez Bougez qui se déroule actuellement jusqu’au 18 avril, visant à promouvoir l’activité physique auprès des jeunes.bauxCapture
A Poussan, le sport est un élément indissociable de l’activité scolaire et extra scolaire. Sans parler des nombreux clubs sportifs, qui permettent aux petits Poussannais de découvrir et pratiquer régulièrement une activité sportive.
La commune dernièrement labellisée « Terre de Jeux 2024 » entend développer le sport santé pour tous.
Vous pouvez retrouver cette vidéo sur notre Chaîne Youtube Ville de Poussan : https://youtu.be/kTyO68UMilc

16e Semaine nationale d’information Don de Moelle Osseuse

6e Semaine nationale d’information Don de Moelle Osseuse

Du 22 au 27 mars c’est la 16e Semaine d’information Don de Moelle Osseuse.
Un temps fort pour FRANCE ADOT et pour ses bénévoles, habitués à se rendre sur le terrain pour rappeler au public ce qu’est ce don de moelle osseuse.
Compte tenu des conditions sanitaires liées à la Covid-19, notre présence sera cette année encore pour le moins très limitée …

C’est d’autant plus contrariant que ces derniers temps des évolutions importantes sont intervenues concernant le recrutement de volontaires :

  • Simplification des inscriptions, en privilégiant l’inscription en ligne et en offrant la possibilité de recevoir chez soi un kit de prélèvement salivaire,
  • Diminution sensible de la tranche d’âge pendant laquelle on peut s’inscrire comme volontaire : de 18 à moins de 36 ans, contre de 18 à moins de 51 ans précédemment.
Le don de moelle osseuse évolue !

Pourquoi s’inscrire comme donneur ?

La greffe de cellules souches hématopoïétiques offre un espoir de guérison aux personnes atteintes de maladies graves du sang : leucémie, lymphomes ou drépanocytose. Mais le prélèvement fait peur. Or faire un don ce n’est pas si difficile ni douloureux : dans 80 % des cas, le don se fait par prélèvement dans le sang. Et il s’organise entre un et trois mois à l’avance.
Mais trouver un donneur compatible est compliqué. Car en dehors de la fratrie, la compatibilité entre un volontaire et un patient est de 1 chance sur 1 million ! C’est pourquoi il est vital de recruter chaque année 20 000 nouveaux inscrits sur le registre français.

Lorsque Denise a donné sa moelle en 1957 – une autre époque – ce n’était évidemment pas très agréable !
Mais aujourd’hui donner sa moelle ne fait pas mal : « finalement, ce n’est pas si dur de sauver une vie ! «

Alors ? voir sur : https://youtu.be/aWKhxz87pLk

Vous êtes jeunes et en bonne santé ? Donner une partie de sa moelle osseuse ne fait pas mal. Et ça vous laissera un souvenir inoubliable !

dondemoelleosseuse.fr

Covid-19 : qui peut se faire vacciner et où ?

La campagne de vaccination s’intensifie et s’ouvre peu à peu à de nouveaux publics. Âgé de plus de 75 ans, atteint d’une pathologie à haut risque ou souffrant d’une comorbidité… Qui est concerné ? Médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers… de nouveaux acteurs peuvent désormais vacciner. À qui s’adresser pour se faire vacciner ? Quand faut-il se munir d’une ordonnance médicale ? Service-Public.fr fait le point avec le ministère de la Santé.

Ce qui est possible maintenant

Illustration 2Crédits : © Ministère de la Santé

Illustration 2 - plus de détails dans le texte suivant l’infographie

 Autres cas :
  • Les personnes en situation de handicap, quel que soit leur âge, et hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) et foyers d’accueil médicalisés (FAM) peuvent être vaccinées dans ces établissements.
  • Les femmes enceintes : la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estiment, au vu des données actuelles, que la vaccination est à évaluer chez les femmes enceintes au cas par cas, d’autant plus si elles présentent une comorbidité ou sont susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle. Cette évaluation doit être faite en étroite concertation avec le médecin, la sage-femme ou le gynécologue. Par ailleurs, selon la HAS et l’ANSM, sur la base des mécanismes biologiques, il n’y a pas d’effet attendu chez le nourrisson et l’enfant allaités par une femme vaccinée.

Un simulateur vous permet de savoir si vous êtes éligible à la vaccination ou bien quand vous le serez.

  A noter : Retrouvez la liste des :

Ce qui sera possible bientôt

La vaccination en pharmacie sera possible :

  • à partir du 15 mars 2021 pour les personnes de plus de 50 ans atteintes de comorbidités. Les patients n’auront pas besoin d’une prescription médicale et pourront se rendre directement en officine pour y recevoir le vaccin AstraZeneca ;
  • à partir de mi-avril 2021 pour les personnes de 50 à 74 ans n’ayant pas de pathologie particulière.

  A savoir : Au 5 mars 2021, 3 vaccins sont autorisés en France (Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca). Chacun a des propriétés de transport et de conservation différentes, qui conditionnent les lieux où ils peuvent être administrés. Au regard des informations disponibles sur chacun de ces vaccins, la Haute Autorité de santé a par ailleurs formulé des avis qui ont conduit à proposer à chaque population ciblée le vaccin le mieux adapté à ses caractéristiques, et en particulier à son âge.

Covid-19 : qui peut se faire vacciner et où ?

La campagne de vaccination s’intensifie et s’ouvre peu à peu à de nouveaux publics. Âgé de plus de 75 ans, atteint d’une pathologie à haut risque ou souffrant d’une comorbidité… Qui est concerné ? Médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers… de nouveaux acteurs peuvent désormais vacciner. À qui s’adresser pour se faire vacciner ? Quand faut-il se munir d’une ordonnance médicale ? Service-Public.fr fait le point avec le ministère de la Santé.

Ce qui est possible maintenant

Illustration 2Crédits : © Ministère de la Santé

Illustration 2 - plus de détails dans le texte suivant l’infographie

 Autres cas :
  • Les personnes en situation de handicap, quel que soit leur âge, et hébergées en maisons d’accueil spécialisées (MAS) et foyers d’accueil médicalisés (FAM) peuvent être vaccinées dans ces établissements.
  • Les femmes enceintes : la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estiment, au vu des données actuelles, que la vaccination est à évaluer chez les femmes enceintes au cas par cas, d’autant plus si elles présentent une comorbidité ou sont susceptibles d’être en contact avec des personnes infectées du fait de leur activité professionnelle. Cette évaluation doit être faite en étroite concertation avec le médecin, la sage-femme ou le gynécologue. Par ailleurs, selon la HAS et l’ANSM, sur la base des mécanismes biologiques, il n’y a pas d’effet attendu chez le nourrisson et l’enfant allaités par une femme vaccinée.

Un simulateur vous permet de savoir si vous êtes éligible à la vaccination ou bien quand vous le serez.

  A noter : Retrouvez la liste des :

Ce qui sera possible bientôt

La vaccination en pharmacie sera possible :

  • à partir du 15 mars 2021 pour les personnes de plus de 50 ans atteintes de comorbidités. Les patients n’auront pas besoin d’une prescription médicale et pourront se rendre directement en officine pour y recevoir le vaccin AstraZeneca ;
  • à partir de mi-avril 2021 pour les personnes de 50 à 74 ans n’ayant pas de pathologie particulière.

  A savoir : Au 5 mars 2021, 3 vaccins sont autorisés en France (Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca). Chacun a des propriétés de transport et de conservation différentes, qui conditionnent les lieux où ils peuvent être administrés. Au regard des informations disponibles sur chacun de ces vaccins, la Haute Autorité de santé a par ailleurs formulé des avis qui ont conduit à proposer à chaque population ciblée le vaccin le mieux adapté à ses caractéristiques, et en particulier à son âge.

Vaccination : de nouveaux rendez-vous sur Doctolib dès ce vendredi 12 mars

Suite à un nouvel arrivage de vaccins Pfizer au centre de vaccination du bassin de Thau, de nouveaux rendez-vous vont être proposés sur la plateforme Doctolib ce vendredi 12 mars à partir de 10 h. Les créneaux s’étaleront sur la semaine du 15 au 20 mars. Sont éligibles les personnes de 50 à 74 ans atteintes de comorbidités et les plus de 75 ans.

Infirmière, Vaccination, Garçon, Hôpital

La prise de rendez-vous se fait en cliquant ici. Pour rappel, la vaccination se déroule, uniquement sur rendez-vous, à Sète à la salle Brassens, à côté du parking du mas Coulet.

Covid long : les recommandations de la Haute Autorité de santé

Connexion, Covid-19, Coronavirus, Virus

Fatigue majeure, essoufflement, douleurs notamment thoraciques, palpitations, troubles de la concentration et de la mémoire, perte de l’odorat et du goût, symptômes cutanés… Un nombre important de personnes infectées par le SARS-CoV-2 présentent encore des symptômes plusieurs semaines après la maladie. Pour aider les professionnels de santé à identifier et prendre en charge ces patients dans une approche personnalisée, la Haute Autorité de santé (HAS) publie des « Réponses rapides » et 10 fiches techniques.

La HAS précise que 3 critères permettent de repérer les patients souffrant de symptômes prolongés de Covid-19 :

  • ils ont présenté une forme symptomatique de Covid-19 ;
  • ils présentent un ou plusieurs symptômes initiaux 4 semaines après le début de la maladie ;
  • aucun de ces symptômes ne peut être expliqué par un autre diagnostic.

Plus de la moitié de ces patients présentent encore au moins un des symptômes initiaux 1 mois après le début de la maladie et plus de 10 % après 6 mois, la gravité et le temps de récupération variant en fonction des patients.

Pour mieux répondre à ce phénomène, la HAS a mis en place à la demande du ministère des Solidarités et de la Santé un groupe de travail constitué de professionnels de santé et d’associations de malades qui a permis de définir la prise en charge optimale qui doit être proposée aux patients souffrant de symptômes prolongés.

Il en ressort que l’état de santé s’améliore de façon progressive, en général en quelques mois, grâce à une prise en charge globale personnalisée pouvant inclure des traitements symptomatiques, du repos et une réadaptation respiratoire avec éventuellement un réentraînement progressif à l’effort.

Les recommandations

La HAS propose une douzaine de réponses rapides (susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données).

Elle publie également 10 fiches techniques [application/pdf – 145.7 KB] détaillant la prise en charge clinique nécessaire et les éléments de traitement de premier recours en fonction des symptômes les plus fréquents : fatigue, dyspnée (troubles respiratoires), douleurs thoraciques, troubles du goût et de l’odorat, douleurs, manifestations neurologiques, déconditionnement à l’effort, hyperventilation, troubles somatiques fonctionnels (palpitation, troubles d’attention, nausées, faiblesse motrice…) et troubles du système nerveux autonome (vertiges, frissons…).

Parmi les principales recommandations :

  • La consultation médicale doit à la fois comprendre une évaluation de l’état de santé actuel des patients pour notamment identifier les facteurs déclenchant la survenue des symptômes et évaluer leur impact sur la qualité de vie, ainsi qu’une évaluation de l’épisode initial. Les médecins doivent s’assurer que ces symptômes ne sont pas en rapport avec des complications de l’infection passées inaperçues par exemple.
  • Les professionnels de santé doivent proposer un projet de soins personnalisé, assorti d’objectifs réalisables et d’un suivi dont ils auront discuté avec le patient (son entourage ou ses soignants si nécessaire). Outre des traitements symptomatiques adaptés, la rééducation est un aspect important dans la prise en charge.
  • La HAS conseille aux médecins de fournir aux patients toute l’information nécessaire pour qu’ils puissent s’investir dans leur rééducation : listes de contacts, sources de conseils fiables (groupes de soutien, associations de patients), sources d’information validées sur le Covid-19, services sociaux…
  • La HAS invite les médecins à faire preuve d’écoute et d’empathie envers les patients souffrant de symptômes prolongés, et à les rassurer quant aux possibilités de prise en charge et au caractère temporaire et réversible de leur situation.
  • La HAS rappelle les bienfaits d’une bonne hygiène de vie assortie d’une activité physique quotidienne, dans la mesure des capacités des patients et au besoin avec l’aide d’un kinésithérapeute. Une prise en charge psychologique, fondée sur la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), et si nécessaire une alternative (acupuncture, auriculothérapie, ostéopathie…) qui n’ont pas été évaluées au regard de cette maladie.