
Nouveau calendrier vaccinal simplifié

La Ville de Poussan consciente que le dépistage est un enjeu majeur de santé publique participe à la campagne de Mars Bleu. Cette campagne a pour but d’informer, de sensibiliser et de soutenir la lutte contre le cancer colorectal. Le dépistage est un test simple, facile, à réaliser chez soi et qui peut sauver la vie. Parlez-en à votre médecin. Informez-vous auprès de votre centre départemental de dépistage des cancers: 08 00 801 301(appel gratuit depuis un poste fixe).
Le cancer colorectal, ou cancer du côlon-rectum, touche chaque année plus de 43 000 personnes en France (dont environ 23 000 hommes et 20 000 femmes). Il est responsable de plus de 17 000 décès par an.
Pourtant, s’il est détecté tôt, le cancer colorectal se guérit dans 9 cas sur 10.
Dépister ce cancer est désormais plus facile grâce au test immunologique. Ce test rapide et efficace, est à faire chez soi. Il s’adresse aux femmes et aux hommes, âgés de 50 à 74 ans, invités tous les 2 ans à parler du dépistage du cancer colorectal avec leur médecin. Ce dernier vérifie si son patient ne présente pas de risque particulier nécessitant un suivi adapté, puis lui remet le test de dépistage à faire chez soi.
La vaccination pour le grand public :
Du 22 au 27 mars c’est la 16e Semaine d’information Don de Moelle Osseuse.
Un temps fort pour FRANCE ADOT et pour ses bénévoles, habitués à se rendre sur le terrain pour rappeler au public ce qu’est ce don de moelle osseuse.
Compte tenu des conditions sanitaires liées à la Covid-19, notre présence sera cette année encore pour le moins très limitée …
C’est d’autant plus contrariant que ces derniers temps des évolutions importantes sont intervenues concernant le recrutement de volontaires :
La greffe de cellules souches hématopoïétiques offre un espoir de guérison aux personnes atteintes de maladies graves du sang : leucémie, lymphomes ou drépanocytose. Mais le prélèvement fait peur. Or faire un don ce n’est pas si difficile ni douloureux : dans 80 % des cas, le don se fait par prélèvement dans le sang. Et il s’organise entre un et trois mois à l’avance.
Mais trouver un donneur compatible est compliqué. Car en dehors de la fratrie, la compatibilité entre un volontaire et un patient est de 1 chance sur 1 million ! C’est pourquoi il est vital de recruter chaque année 20 000 nouveaux inscrits sur le registre français.
Lorsque Denise a donné sa moelle en 1957 – une autre époque – ce n’était évidemment pas très agréable !
Mais aujourd’hui donner sa moelle ne fait pas mal : « finalement, ce n’est pas si dur de sauver une vie ! «
La campagne de vaccination s’intensifie et s’ouvre peu à peu à de nouveaux publics. Âgé de plus de 75 ans, atteint d’une pathologie à haut risque ou souffrant d’une comorbidité… Qui est concerné ? Médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers… de nouveaux acteurs peuvent désormais vacciner. À qui s’adresser pour se faire vacciner ? Quand faut-il se munir d’une ordonnance médicale ? Service-Public.fr fait le point avec le ministère de la Santé.
Un simulateur vous permet de savoir si vous êtes éligible à la vaccination ou bien quand vous le serez.
A noter : Retrouvez la liste des :
La vaccination en pharmacie sera possible :
A savoir : Au 5 mars 2021, 3 vaccins sont autorisés en France (Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca). Chacun a des propriétés de transport et de conservation différentes, qui conditionnent les lieux où ils peuvent être administrés. Au regard des informations disponibles sur chacun de ces vaccins, la Haute Autorité de santé a par ailleurs formulé des avis qui ont conduit à proposer à chaque population ciblée le vaccin le mieux adapté à ses caractéristiques, et en particulier à son âge.
La campagne de vaccination s’intensifie et s’ouvre peu à peu à de nouveaux publics. Âgé de plus de 75 ans, atteint d’une pathologie à haut risque ou souffrant d’une comorbidité… Qui est concerné ? Médecins généralistes, pharmaciens, infirmiers… de nouveaux acteurs peuvent désormais vacciner. À qui s’adresser pour se faire vacciner ? Quand faut-il se munir d’une ordonnance médicale ? Service-Public.fr fait le point avec le ministère de la Santé.
Un simulateur vous permet de savoir si vous êtes éligible à la vaccination ou bien quand vous le serez.
A noter : Retrouvez la liste des :
La vaccination en pharmacie sera possible :
A savoir : Au 5 mars 2021, 3 vaccins sont autorisés en France (Pfizer-BioNTech, Moderna, AstraZeneca). Chacun a des propriétés de transport et de conservation différentes, qui conditionnent les lieux où ils peuvent être administrés. Au regard des informations disponibles sur chacun de ces vaccins, la Haute Autorité de santé a par ailleurs formulé des avis qui ont conduit à proposer à chaque population ciblée le vaccin le mieux adapté à ses caractéristiques, et en particulier à son âge.
Suite à un nouvel arrivage de vaccins Pfizer au centre de vaccination du bassin de Thau, de nouveaux rendez-vous vont être proposés sur la plateforme Doctolib ce vendredi 12 mars à partir de 10 h. Les créneaux s’étaleront sur la semaine du 15 au 20 mars. Sont éligibles les personnes de 50 à 74 ans atteintes de comorbidités et les plus de 75 ans.
La prise de rendez-vous se fait en cliquant ici. Pour rappel, la vaccination se déroule, uniquement sur rendez-vous, à Sète à la salle Brassens, à côté du parking du mas Coulet.
Fatigue majeure, essoufflement, douleurs notamment thoraciques, palpitations, troubles de la concentration et de la mémoire, perte de l’odorat et du goût, symptômes cutanés… Un nombre important de personnes infectées par le SARS-CoV-2 présentent encore des symptômes plusieurs semaines après la maladie. Pour aider les professionnels de santé à identifier et prendre en charge ces patients dans une approche personnalisée, la Haute Autorité de santé (HAS) publie des « Réponses rapides » et 10 fiches techniques.
La HAS précise que 3 critères permettent de repérer les patients souffrant de symptômes prolongés de Covid-19 :
Plus de la moitié de ces patients présentent encore au moins un des symptômes initiaux 1 mois après le début de la maladie et plus de 10 % après 6 mois, la gravité et le temps de récupération variant en fonction des patients.
Pour mieux répondre à ce phénomène, la HAS a mis en place à la demande du ministère des Solidarités et de la Santé un groupe de travail constitué de professionnels de santé et d’associations de malades qui a permis de définir la prise en charge optimale qui doit être proposée aux patients souffrant de symptômes prolongés.
Il en ressort que l’état de santé s’améliore de façon progressive, en général en quelques mois, grâce à une prise en charge globale personnalisée pouvant inclure des traitements symptomatiques, du repos et une réadaptation respiratoire avec éventuellement un réentraînement progressif à l’effort.
La HAS propose une douzaine de réponses rapides (susceptibles d’évoluer en fonction de nouvelles données).
Elle publie également 10 fiches techniques [application/pdf – 145.7 KB] détaillant la prise en charge clinique nécessaire et les éléments de traitement de premier recours en fonction des symptômes les plus fréquents : fatigue, dyspnée (troubles respiratoires), douleurs thoraciques, troubles du goût et de l’odorat, douleurs, manifestations neurologiques, déconditionnement à l’effort, hyperventilation, troubles somatiques fonctionnels (palpitation, troubles d’attention, nausées, faiblesse motrice…) et troubles du système nerveux autonome (vertiges, frissons…).
Parmi les principales recommandations :