Suivez le Conseil communautaire en direct, ce jeudi 16 février

 
Le Conseil communautaire de Sète agglopôle méditerranée est prévu ce jeudi 16 février dès 18 heures (Salle Paul Arnaud à Marseillan).
Il est à suivre en direct sur notre site internet www.agglopole.fr
L’ordre du jour comptera 19 points soumis à délibération  https://bit.ly/3E3H1OP
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Dernière ligne droite, pour vous recenser dès que possible en Mairie

Dernière ligne droite, pour vous recenser dès que possible en Mairie.
 C’est encore plus simple par internet sur le-recensement-et-moi.fr
 Absent de votre domicile jusqu’au 18 février ? Signalez-vous auprès du Service Recensement de la Mairie.
Une question ?
Service Recensement : recensement@ville-poussan.fr – 07 88 79 83 35Peut être un dessin animé de ‎texte qui dit ’‎RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Fraternité Insee partenariat commune Recensement de la population 2023 C'est pour vivre aujourd'hu et construire demain du del population permettent connaîtrel ۔sns population ctuelle (transports établissement ec.)en budget des communes. C'est encore plus simple Internet! noticed'information contenant des codes aremise votre maie pour recenser ligne compter janvier 2023. déterminant C'est sûr Vos données sont protégées. L'Insee exploiter questionnaires Pour savoir plus seul organisme habilité de façon anonyme. Q le-recensement-et-moi.fr oU renseignez-vous auprès Lerecensement votre mairie. population est gratuit!‎’‎

 

Sète agglopôle méditerranée recherche : un(e) responsable du développement de l’offre de logement.

Sète agglopôle méditerranée recherche : un(e) responsable du développement de l’offre de logement.
Merci de déposer votre candidature, comportant votre CV et une lettre de motivation, avant le 12/03/2023 sur : https://www.agglopole.fr/formulaire-recrutement-sete…/

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Le Conseil communautaire de Sète agglopôle méditerranée est prévu ce jeudi 16 février dès 18 heures (Salle Paul Arnaud à Marseillan)

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Il est à suivre en direct sur le site internet www.agglopole.fr
L’ordre du jour comptera 19 points soumis à délibération  https://bit.ly/3E3H1OP

Nouvelles arnaques par SMS : les reconnaître et les éviter !

 Téléphoner, La Technologie, Mobile

Retard de paiement d’une amende, indemnité carburant, vignette Crit’air… Depuis quelques temps, les arnaques par SMS se multiplient et sont de plus en plus difficiles à identifier. Ces multiples tentatives d’escroqueries n’ont qu’un seul but : récupérer vos données personnelles et bancaires. Service-Public.fr vous présente les plus récentes et vous conseille pour vous aider à les repérer et les éviter.

Comme beaucoup de Français, il est probable que vous ayez reçu un de ces SMS provenant de cybercriminels. Le procédé est souvent le même, que ce soit un colis à récupérer ou un mot de passe à changer. Leur objectif est de vous amener à cliquer sur un lien qui récupérera vos données personnelles. Désormais, les escrocs se font aussi passer pour des sites administratifs et usurpent l’identité de certains services publics.

Retard de paiement d’une amende 

Dans une arnaque récente, les escrocs se font passer pour l’Agence nationale de traitement automatisé des infractions (Antai). Des SMS frauduleux mentionnent un retard de paiement pour une amende et essaient de récupérer vos informations personnelles ou vos données bancaires. Le principe est simple, le SMS prétexte que le destinataire a un « retard de paiement d’une amende », le message est suivi d’un lien amenant vers un site frauduleux comme « amende-gouv.org », « dossier-antai-gouv.info », etc. Attention ! Si vous cliquez sur ce lien, vous pouvez transmettre vos informations personnelles.

L’Antai rappelle que tout SMS ne peut être transmis qu’en présence d’un agent des forces de l’ordre et qu’il n’existe qu’un seul site pour régler ses contraventions : amendes.gouv.fr.

Un SMS de verbalisation pour un paiement immédiat reçu sans la présence d’un agent verbalisateur est une arnaque. L’Antai préconise de ne surtout pas cliquer sur le lien.

Indemnité carburant

Une autre arnaque courante est d’envoyer un SMS invitant l’usager à réclamer l’indemnité carburant. L’escroc envoie un message qui suggère de cliquer sur un lien pour réclamer ce coup de pouce de 100 €. En réalité les arnaqueurs usurpent l’identité de la Direction générale des finances publiques (DGFIP). Celle-ci met en garde les usagers et affirme que le seul moyen d’obtenir cette aide est de se rendre sur le site impots.gouv.fr, de remplir le formulaire soi-même en entrant son numéro fiscal et celui de sa plaque d’immatriculation et de certifier par une « déclaration sur l’honneur » que vous devez utiliser votre voiture pour vous rendre sur votre lieu de travail. Pour en savoir plus, consultez l’article d’actualité « Indemnité carburant 2023 : 100 euros pour les travailleurs modestes ».

La DGFIP n’envoie jamais de SMS pour faire la promotion de l’indemnité carburant.

Vignette Crit’air

Le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires préconise également la vigilance, en particulier pour les vignettes Crit’air.

Le certificat qualité de l’air Crit’air est une vignette à coller sur son pare-brise. Il est obligatoire si vous circulez dans des zones à faibles émissions mobilités (ZFE) ou lors d’un pic de pollution en cas de mise en œuvre de la circulation différenciée. Son prix est de 3,72 €. Pour l’obtenir il suffit de se connecter au site unique et officiel : https://www.certificat-air.gouv.fr/.

Le site officiel Crit’Air du ministère n’envoie pas de messages par SMS aux usagers pour acheter des vignettes, le gouvernement, le ministère de la Transition écologique ou la Préfecture non plus, précise la véritable plateforme gouvernementale.

Comment reconnaître une arnaque ?

Les arnaques sont de plus en plus difficiles à repérer : nulle faute d’orthographe, un site très proche du vrai, codes visuels du gouvernement… La seule différence facile à identifier réside dans l’adresse du lien (url), elle n’est pas conforme à celle du véritable site officiel. Ainsi, tout site de ministère ne finissant pas par « gouv.fr » doit vous mettre la puce à l’oreille. Vous pouvez également vérifier la mention « https » dans l’adresse du site. Avant de réaliser le moindre paiement pour une démarche administrative, vérifiez l’identité du site et ses mentions légales.

Suivez les recommandations de la Commission nationale informatique et liberté (CNIL).

  Attention : Aucune administration ne vous demandera vos données bancaires ou vos mots de passe par message électronique ou par téléphone.

Ne communiquez jamais d’informations sensibles par messagerie ou téléphone.

Que faire si vous êtes victime d’une escroquerie en ligne ?

Vous pouvez transférer le message au numéro 33 700, la plateforme de signalement des spams vocaux et SMS.

Signalez les escroqueries auprès du site internet-signalement.gouv.fr, la plateforme de l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’Information et de la communication.

Pour s’informer sur les escroqueries ou pour signaler un site internet ou un courriel d’escroqueries, un vol de coordonnées bancaires ou une tentative d’hameçonnage : vous pouvez contacter Info Escroqueries au 0 805 805 817 (appel gratuit depuis la France) du lundi au vendredi de 9h à 18h30.

Rendez-vous sur cybermalveillance.gouv.fr, la plateforme nationale d’assistance aux victimes d’actes de cybermalveillance. Elle procure des informations sur les menaces numériques et les moyens de s’en protéger.

Vous pouvez aussi alerter la Direction générale de la de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) qui sanctionne les manquements ou infractions au droit de la consommation. Vous pouvez également signaler un abus sur SignalConso en sélectionnant la rubrique « Démarches administratives ».

En prévision de la saison estivale 2023, le SDIS de l’Hérault recrute des sapeurs-pompiers volontaires saisonniers

En prévision de la saison estivale 2023, le SDIS de l’Hérault recrute des sapeurs-pompiers volontaires saisonniers, pour ses centres de secours et pour le Centre Départemental des Appels d’Urgences. Intéressez? Flashez le code, ou cliquez sur ce lien https://bit.ly/3HZv5jr puis laissez vous guider.Peut être une image de plein air et texte qui dit ’RECRUTEMENT EMENT SAISON 2023 serault SAPEURS-POMPIERS LE SDIS34 RECRUTE DES SAPEURS- SAPEURS-POMPIERS VOLONTAIRES SAISONNIERS DANS LES CENTRES DE SECOURS ET AU CENTRE DE TRAITEMENT DES APPELS #112/18 REJOINS-NOUS S-NOUS’

Assurance chômage : ce qui change pour les nouveaux demandeurs d’emploi au 1er février 2023

Cessation D'Emploi, Silhouette, Gens

Pour les nouveaux demandeurs d’emploi, les règles d’indemnisation changent à partir du 1février 2023. La durée d’indemnisation des chômeurs sera fonction de la conjoncture économique. C’est ce que prévoient la loi du 21 décembre 2022 portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi et le décret d’application publié au Journal officiel du 27 janvier 2023.

La loi du 21 décembre 2022 portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi autorise le gouvernement à prolonger les règles actuelles de l’assurance-chômage jusqu’au 31 décembre 2023 et à prescrire de nouvelles règles d’indemnisation des chômeurs en fonction de la situation du marché du travail. Le décret d’application du 26 janvier 2023 relatif au régime d’assurance chômage précise les nouvelles règles d’indemnisation des demandeurs d’emploi.

Nouveaux demandeurs d’emploi : durée d’indemnisation modulable en fonction de la situation du marché du travail

Pour les nouveaux demandeurs d’emploi dont la fin du contrat de travail est intervenue à compter du 1er février 2023 (sauf date d’engagement de procédure de licenciement antérieure à cette date), la durée des allocations chômage dépend du marché du travail. S’il est favorable, la durée d’indemnisation sera écourtée de 25 %. Un coefficient égal à 0,75 est appliqué à la durée d’indemnisation initiale. Si la situation économique se dégrade, la durée d’indemnisation actuelle sera maintenue.

Nouvelles règles de la durée des allocations chômage en fonction de la situation du marché du travail :

  • Si le taux de chômage global est inférieur à 9 % ou qu’il n’a pas progressé de + 0,8 point sur un trimestre, la durée d’indemnisation sera réduite de 25 % avec une durée minimale de 6 mois (182 jours) ;
  • Si le taux chômage est supérieur à 9 % ou qu’il a progressé de plus de 0,8 % sur un trimestre, les règles actuelles de durée d’indemnisation s’appliquent (en fonction de l’activité salariée et de l’âge du demandeur d’emploi).

Ce nouveau régime ne s’applique pas à :

  • certaines professions : intermittents du spectacle, marins-pêcheurs, ouvriers-dockers occasionnels ;
  • demandeurs d’emploi en contrat de sécurisation professionnelle ;
  • certains expatriés ;
  • demandeurs d’emploi résidant à La Réunion, en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint- Barthélémy, Saint-Martin à la date d’examen des conditions d’ouverture des droits à l’allocation de retour à l’emploi (ARE).

Complément de durée prolongeant l’indemnisation

La durée d’indemnisation peut être complétée dans ces situations :

  • Formation en cours : si vous arrivez à la fin de vos droits à l’allocation, votre durée d’indemnisation peut être complétée à condition de suivre une formation qualifiante d’au moins 6 mois et inscrite dans le projet personnalisé d’accès à l’emploi (PPAE) élaboré avec votre conseiller.
  • En cas de dégradation de l’emploi constatée par un arrêté du ministère du Travail, un complément de fin de droits peut être attribué.
  • En cas de déménagement dans un territoire d’outre-mer : ce complément peut également être versé si vous avez déménagé et qu’à la fin de vos droits vous résidez en Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion, Saint-Pierre-et-Miquelon, Saint-Barthélemy, Saint-Martin.

Dans ces cas, ce complément prolonge votre durée d’indemnisation :

  • la durée complémentaire est calculée par rapport à votre durée initiale d’indemnisation,
  • le montant du complément est le même que le dernier montant d’allocation versé,
  • le complément est versé automatiquement à la fin de vos droits en cours,
  • vous êtes informé avant la fin de vos droits de cette durée complémentaire.

Exemple :

Si vous avez travaillé pendant 24 mois et que la situation du marché du travail est bonne (chômage inférieur à 9 % ou progression de moins de 0,8 % sur un trimestre), vous percevrez 18 mois d’allocation chômage au lieu de 24 mois. En effet, un coefficient de 0,75 est appliqué à la durée d’indemnisation calculée, soit une baisse de 25 %.

Si vous avez travaillé pendant 24 mois et que la situation du marché du travail est mauvaise (chômage supérieur à 9 % ou progression de plus de 0,8 % sur un trimestre), vous percevrez 24 mois d’allocation chômage (règles actuelles).

En cas de situation favorable du marché du travail :

  • Un demandeur d’emploi de moins de 53 ans qui justifie d’une durée d’indemnisation de 730 jours se verra notifier un droit de 548 jours après application du coefficient de 0,75.
  • Un demandeur d’emploi de 53-54 ans qui justifie d’une durée de 913 jours se verra notifier un droit de 685 jours après application du coefficient de 0,75 (avec possibilité d’allongement dans la limite de 137 jours en cas de formation).
  • Un demandeur d’emploi de 55 ans et plus qui justifie d’une durée de 1 095 jours, se verra notifier un droit de 822 jours après application du coefficient de 0,75.

  À savoir : Selon Pôle emploi, au 4e trimestre 2022, le nombre de demandeurs d’emploi en catégories A, B, C s’établit à 5 394 200, il diminue de 0,8 % sur ce trimestre et baisse de 5,1 % sur un an.

Selon l’Insee, au 3e trimestre 2022, le taux de chômage au sens du Bureau international du travail (BIT) est de 7,3 % en France hors Mayotte et de 7,1 % en France métropolitaine.

Abandon de poste et refus de CDI

La loi du 21 décembre 2022 portant mesures d’urgence relatives au fonctionnement du marché du travail en vue du plein emploi prévoit de supprimer l’accès aux allocations chômage en cas :

  • d’abandon de poste sans motif légitime (raisons médicales, droit de grève…). Le salarié qui ne reprend pas le travail à l’expiration du délai fixé dans la mise en demeure de son employeur sera considéré comme démissionnaire. Le licenciement pour abandon de poste n’ouvrira plus droit aux allocations de chômage ;
  • de refus de contrats à durée indéterminée (CDI) pour les salariés en contrats courts. Un salarié en fin de contrat à durée déterminée(CDD) ou de contrat d’intérim qui refuse un CDI deux fois en l’espace d’un an, sur un même emploi, le même lieu de travail et avec un salaire au moins équivalent, ne percevra plus l’indemnisation au chômage.

Ces mesures ne s’appliquent pas au 1er février 2023, les décrets d’application n’ayant pas encore été publiés au Journal officiel.

Ce qui ne change pas au 1er février 2023

Au 1er février 2023, il n’y a pas de modifications des règles actuelles en matière :

  • de conditions d’ouverture de droit : vous devrez toujours avoir travaillé au moins 6 mois sur une période de 24 mois (ou 36 mois pour les plus de 53 ans) pour percevoir l’allocation d’aide au retour à l’emploi ;
  • des périodes prises en compte pour la durée d’affiliation ;
  • de durée minimale d’indemnisation (182 jours calendaires) ;
  • de maintien des droits ;
  • de calcul du salaire de référence ;
  • d’application de la dégressivité (au terme de 182 jours indemnisés) ;
  • de qualification des évènements majorants rémunérations (EMR) et des évènements neutralisants durée (END) ;
  • d’appréciation du délai de déchéance ;
  • de règles de l’activité réduite ;
  • de montant de l’indemnisation.

Les règles actuelles de l’assurance chômage sont prolongées jusqu’au 31 décembre 2023.

  À savoir : Le décret du 26 janvier 2023 relatif au régime d’assurance chômage prolonge jusqu’au 31 août 2023 la modulation des contributions d’assurance chômage à la charge de l’employeur (bonus-malus) en vigueur depuis le 1er septembre 2022 et établit la seconde période de modulation du 1er septembre 2023 au 31 août 2024.

Carte grise : tarifs du cheval fiscal 2023

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Quel montant pour la taxe régionale de votre carte grise en 2023 ? Dans quels cas et où peut-on en être exonéré ?

La taxe régionale est l’une des taxes composant le coût du certificat d’immatriculation, plus communément appelé carte grise. Elle peut être modifiée chaque année. Comment calculer le montant de la taxe régionale ? Il faut multiplier le tarif d’un cheval fiscal (CV ou cheval vapeur, indiqué à la rubrique P6 sur la carte grise) de la région où vous habitez par la puissance fiscale du véhicule.

Véhicule neuf ou d’occasion, voiture particulière ou moto, hybride ou à essence… Service-Public.fr vous propose un simulateur en ligne pour calculer le montant complet de votre carte grise quelle que soit votre situation.

Un nouveau simulateur vous permet de connaître le prix du cheval fiscal selon la commune où vous résidez : quel est le prix d’un cheval fiscal ?

Valeur de la taxe régionale d’un CV et pourcentage d’exonération au 1er janvier 2023
Nouvelles régions Anciennes régions Montant de la taxe régionale pour 1 CV Pourcentage d’exonération pour les véhicules « dits propres »
Auvergne-Rhône-Alpes 43 € 100 %
Bourgogne-Franche-Comté 51 € 100 %
Bretagne 51 € 50 %
Centre-Val de Loire 49,80 € 50 %
Corse 27 € 100 %
Grand-Est Alsace, Lorraine, Champagne-Ardenne 48 € 0 %
Hauts-de-France Nord-Pas-de-Calais, Picardie 34,5 € 50 %
Île-de-France 46,15 € 100 %
Normandie Basse-Normandie et Haute-Normandie 35 € 100 %
Nouvelle Aquitaine Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes 45 € 0 %
Occitanie Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées 44 € 100 %
Pays de la Loire 51 € 0 %
Provence-Alpes-Côte d’Azur 51,20 € 100 %
Guadeloupe 41 € 0 %
Guyane 42,50 € 0 %
La Réunion 51 € 0 %
Martinique 30 € 0 %
Mayotte 30 € 0 %

Les taux unitaires par CV ainsi que l’éventuelle exonération d’une partie ou de la totalité de cette taxe pour les véhicules « dits propres » (fonctionnant à l’essence-électricité ou au gazole-électricité, ou exclusivement ou non au gaz naturel, au GPL ou au superéthanol E85) sont décidés chaque année par délibération des conseils régionaux.

Plusieurs régions ont voté une hausse du tarif de la carte grise au 1er janvier 2023. Ainsi, cette taxe régionale augmente dans les Hauts-de-France (+ 1,50 €), en Nouvelle-Aquitaine (+ 4 €) et dans les Pays de la Loire (+ 3 €).

Une grande partie des régions ont maintenu leurs taux et dispositions de l’année dernière. Toutefois, pour certaines régions, des délibérations peuvent être publiées plus tard (février ou mars). Pour la région Midi-Pyrénées, on peut déjà signaler que l’exonération pour les véhicules « dits propres »« » passera à 0 % au 1er mars 2023.

Le tableau des montants pour l’ensemble de la métropole et de l’Outre-mer sera donc mis à jour dès publication des délibérations.

  Attention : Depuis le 1er janvier 2020, les véhicules « propres » fonctionnant exclusivement à l’électricité ou à l’hydrogène ou avec une combinaison des deux sont totalement exonérés de la taxe régionale pour toutes les régions.

Barème des frais de carburant applicable pour la déclaration d’impôts 2023

Neige, Route, Vus, Hiver, Auto, Véhicule

Vous utilisez votre voiture pour vous rendre au travail ou pour vos trajets professionnels ? Si la déduction forfaitaire de 10 % ne couvre pas vos frais, vous pouvez choisir de déduire vos frais professionnels pour leur montant réel. Pour les frais de trajets professionnels, vous pouvez opter pour le barème des frais de carburant pour le calcul de vos dépenses réelles ou pour le barème kilométrique qui sera prochainement publié.

Le barème des frais de carburant pour 2022 applicable pour la déclaration d’impôts 2023 vient d’être publié. Les montants augmentent nettement, d’environ 30 % pour les véhicules roulant au gazole et de 16 % pour les véhicules au super sans-plomb, ils diminuent pour le GPL. Il est applicable aux entreprises individuelles ayant opté pour la tenue d’une comptabilité super-simplifiée et, sous conditions, aux titulaires de bénéfices non commerciaux (BNC) (professions libérales, titulaires de charges et offices, professions soumises aux droits d’auteur…) et aux salariés qui utilisent leur voiture pour des trajets professionnels. Le barème des frais de carburant ne concerne que les véhicules qui ont un usage mixte, personnel et professionnel. Les véhicules utilitaires ne sont pas éligibles.

Si vous optez pour les frais de carburant, les frais réels déductibles autres que les frais de parking, de garage, de péage et les intérêts de votre crédit ne peuvent pas excéder le montant du barème kilométrique (à paraître).

Barèmes des frais de carburant pour 2022 des véhicules de tourisme applicable pour la déclaration de revenus 2023

Puissance fiscale Gazole Super sans plomb GPL
3 à 4 CV 0,102 €/km 0,118 €/km 0,063 €/km
5 à 7 CV 0,126 €/km 0,145 €/km 0,078 €/km
8 et 9 CV 0,150 €/km 0,173 €/km 0,093 €/km
10 et 11 CV 0,169 €/km 0,195 €/km 0,104 €/km
12 CV et plus 0,188 €/km 0,217 €/km 0,116 €/km

Barèmes des frais de carburant pour 2022 des deux roues motorisés : vélomoteurs, scooters et motocyclettes applicable pour la déclaration de revenus 2023

Puissance fiscale des véhicules deux-roues motorisés Frais de carburant
Inférieure à 50 CC 0,038 €/km
De 50 CC à 125 CC 0,078 €/km
3, 4 et 5 CV 0,098 €/km
Au-delà de 5 CV 0,136 €/km

  À savoir : vous devez pouvoir justifier le nombre de kilomètres parcourus ainsi que l’utilisation du véhicule pour les besoins de l’activité professionnelle. Vous ne devez pas joindre les pièces justificatives à votre déclaration mais les conserver au moins pendant trois ans pour les produire, si nécessaire, à votre service des impôts.