Qu’elles soient aux œufs ou fraîches, italiennes ou alsaciennes, les pâtes se mangent à toutes les sauces. Et comme tous les féculents, les pâtes présentent un index glycémique bas. Par conséquent, l’énergie qu’elles apportent est lentement assimilée par l’organisme, ce qui évite les creux entre les repas. Certains sportifs qui doivent réaliser des efforts prolongés, les marathoniens par exemple, participent à des Pasta party quelques heures avant leurs courses.
Quoi de plus naturel pour les joueurs de la DHR de s’en payer une, ce jeudi soir, au siège du CAP. Mais pas n’importe laquelle. Après un des derniers entraînements et avant le choc qui les attend contre la Clermontaise, ce samedi, un membre du staff, Gino, spécialiste en la matière, s’est mis aux fourneaux pour préparer une bonne macaronade : du bœuf, du coulis de tomate, du vin rouge, des oignons, du thym…
Chacun a sa recette et Gino ne nous confiera pas ses secrets.
Mais pour les seniors, le principal était de se restaurer en famille, d’oublier les efforts, et de partager dans un esprit festif un repas comme ils partageront les efforts dans leur prochaine rencontre. A l’heure de l’apéritif, l’on oubliait un peu le football pour mieux se décontracter.
Avec plus de quarante-quatre participants, on le voit, les vertus des pâtes vont au-delà de leur qualités nutritives. Mais attendons samedi soir pour vérifier si leur consommation a été profitable.