Si certains membres du JAP y travaillent le soir, tous les week-end depuis deux mois, ils sont plus d’une dizaine à s’occuper de leur char bien fleuri qui se veut ainsi habillé, un symbole d’espoir pour qu’un jour, au milieu des colombes, les canons nous inondent de fleurs. Avec leur énergie et leur sens du collectif nous retrouverons bientôt ces militaires de la Paix, pour la cavalcade du 26 février.