Métaphore de sa propre vie, d’artiste et de femme, son travail mêle son art de la marionnette, de comédienne, de musicienne. Un théâtre visuellement unique qui allie humour, univers sombre, influences au confluent des contes et de la culture d’Europe de l’Est (sa compagnie s’appelle « Theater Meschugge », « théâtre fou » en yiddish).
Ce conte parle de toutes les formes d’art. Pour cela, Ilka Schönbein fait appel à Alexandra Lupidi pour le jeu et la musique et à Pauline Drünert pour le jeu et la manipulation. D’innombrables « métamorphoses » rendent compte de sensations, de sensualité, d’impressions fulgurantes.
Cette artiste, parmi les plus fascinantes de la scène contemporaine, est en résidence au Centre Culturel Léo Malet à Mireval. Elle est soutenue et accompagnée par la Scène Nationale, dans le cadre de son dispositif de production et de diffusion en direction de l’enfance et la jeunesse.
Une artiste hors norme, à la démarche hantée et singulière !
