Ce samedi soir, à Loupian avait lieu le vernissage de la F.L.A.C. Façade Locale d’Art Contemporain et pour que la fête soit belle une œuvre de Microclimax était également exposée au Musée de la Villa Gallo-Romaine de Loupian.
La Façade Locale d’Art Contemporain est le nouvel espace d’exposition de l’Espace o25rjj.Elle a été inaugurée le samedi 12 décembre 2015.
La F.L.A.C. offre aux artistes un espace d ’exposition urbain dans un objectif de rendre accessible l’art contemporain à tous.
La F.L.A.C. propose ainsi d’incorporer une œuvre d ’art à la vie urbaine des passants. Elle permet de rompre la frontière entre le monde de l’art et la vie quotidienne. Pourquoi ? parce qu’il est stimulant pour tous les esprits de s’interroger sur d’autres façons de voir le monde et les œuvres des artistes issus du mouvement de l’art contemporain participent à la sensibilisation à d’autres perceptions.
A partir de 17 h 30 Carolyn Wittendal & Benjamin Jacquemet présentaient une sculpture mosaïque interactive » Message From Pompéï » au Musée de la Villa Gallo-Romaine. Pascale Ciapp et Thomas Andro étaient heureux d’y accueillir des visiteurs néophytes ou passionnés qui par la suite avaient l’occasion de visiter le Musée Villa Loupian.Benjamin expliquait aux visiteurs d’une part qu’elles avaient été leurs motivations et comment une telle œuvre avait été accueillie au cœur du Musée.Mais à 19h direction Loupian et les allée Jean Jaurès pour le Vernissage de « Vacance » sur la FLAC avec une intervention de Microclimax dans l’espace intérieur de l’Espace o25rjj avec toujours Carolyn Wittendal et Benjamin Jacquemet.
passants les incitant à se ques onner et à porter leur propre regard cri que sur le monde.Oeuvre exposée du 9 juillet au 19 août 2016
« Tous les biens vacants et sans maître […], appartiennent au domaine public »
Article 539 du Code civil.
« En ces temps de grande spéculation foncière, la valeur de chaque m2 de bande littorale a au moins fait une fois la «culbute» sur les 10 dernières années. Dans ce contexte de « Côte‐d’Azurisation » du territoire dont chacun essaie de croquer les miettes, les espaces disponibles pour la création, la fête, le partage collectif, l’expérimentation, le gratuit… Sont de plus en plus rares et chers.
La maison murée, est l’icône de la désuétude urbaine (cf. Roubaix, Detroit,…) et devient l’Eldorado pour l’artiste ou le citoyen.
Territoire possible, friche à explorer, elle s’offre ici le luxe de la « vacance » : vide, abandon, inutilité, absence, perte de fonction, non‐performance…
Microclimax, 2016, se veut une graine d’idéal dans une terre aride, au‐delà de l’utopie, pour une utopie, un lieu possible, que chacun de nous est invité à cultiver. »